Esclave ? Non, dit Jean Jacques Dessalines ! Pourquoi pas, répondent les ........

 





Esclave ? Non, dit Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand !

Mais, Oui, répondent les bunda qmr, irréductibles libres !

 

Lisez seulement ce qui suit pour savoir pourquoi.


La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - d= © Tous droits réservés




q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,   ¼ = on,  ñ



Décret de la Grandeur Esclave Non dit Jean Jacques Dessalines000000072112024


Mémorisez le contenu des liens suivants : 


https://x.com/FBA6681954/status/1848795167349784716     renier ses origines négro-gelefweennes


Le jeune rappeur assassiné in chicago :

 https://x.com/FBA6681954/status/1848993427796472249


Pour être un 2tats-Unien de seconde classe :

https://x.com/FBA6681954/status/1849153949896413665



Vous ne pouvez pas vouloir être et rester Gwqmun, Indépendant-e-, sans courir le risque d’être assassiné-e- :

https://x.com/GWANJEZ/status/1852962713737036048



“Esclave”, une tentative de fabrication :

https://x.com/GWANJEZ/status/1841229612564549660


Régalez-vous : Quincy Jones 

https://x.com/RnB_DITR/status/1853465899648303255




Cela sous-entend clairement que Jean Jacques Dessalines sait très bien ce que signifie le mot d’esclave, une référence incontestablement vide. Ce mot vide est rejeté plus d’une fois par l’Enfant d’Agbawaya Toya, notammant le premier janvier 1804 au moment de la mise en place du gouvernement, ce qu’il appelle “le dernier acte d’autorité nationale” : “Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves. Esclaves !... Laissons aux Français cette épithète qualificative”. Le 25 janvier 1804 Jean Jacques Dessalines, Le Vainqueur du blanciste Napoléon Bonaparte, est nommé Empereur d’AYITI. Moins d’un mois plus tard, soit le 15 février de la même année, il donne sa réponse, affimative, certes. Dans la lettre de consentement, il fait la promesse qui suit : “Si quelques considérations justifient à mes yeux le titre auguste que votre confiance me décerne, c’est mon zèle, sans doute, à veiller sur le salut de l’empire, c’est ma volonté à consolider notre entreprise, entreprise qui donnera de nous, aux nations les moins amies de la liberté non l’opinion d’un amas d’esclaves, mais celle d’hommes, mun, qui prédilectent leur indépendance aux préjudices de cette considération que les puissances n’accordent jamais aux peuples qui, comme vous, sont partisans de leur propre liberté, qui n’ont pas eu besoin de mendier des secours étrangers pour briser l’idole à laquelle nous sacrifions.” Ce qu’il faut tirer de tout cela, c’est que l’OEuvre en cours relève de grands b¼nqy et que ces êtres extraordinaires ne peuvent pas être nés pour servir et être sous la domination, sous quelque forme que ce soit, de qui que ce soit ni de quoi que ce soit. Cela dit, sans ambages, que la pensée de la Résistance Négro-gelefweenne débouchant sur l’Érection de l’Éternel Empire d’AYITI est colossale et sans égale. C’est le moins qu’on puisse dire. Est un infini zéro celui ou celle qui ne comprend pas que Sa Majesté l’Éternel Empereur Jacques 1er est assassiné pour Sa Grandeur Inestimable, du point de vue physique et, surtout, du point de vue des capacités dites bêtement supérieures dans l’intention de préserver le blancisme, produit de capacités très faibles, alors de l’esprit, la déchéance de la puissance b¼nqyelle sous l’effet du soi simple.   



Jean Jacques Dessalines régnant, ce Fils de Tante Toya, c’est la fin certaine, ont compris les blancistes, et ce n’est pas faux, de l’hommalité, particulièrement le blancisme, parce que tout ce qu’ils se disent être est en inadéquation avec le réel. L’assassinat, qui, contre toute attente, s’est révélé physique, n’est pas une fin en soi. C’est que Jean Jacques Dessalines, le Nègre, plus précisément le Nrg Ginc, est la somme totale de la vie, ce qui ne va pas sans l’hommalité, soit l’esclavagisation, malgré sa laideur extrême, autrement dit, le blancisme. Du coup, pour en venir à bout, il faut l’entraîner dans le silence glacial des parties de tout l’univers. Cela veut dire ne plus jamais prononcer son nom. C’est comme s’il n’avait jamais été. Ainsi, croyait-on, après un certain temps le phénomène Jean Jacques Dessalines de Tante Toya, tout ce qu’il incarne, se serait à jamais évaporé. Cet univers obscur, qui émane du vide, est le lieu du salut du blancisme. 



Comme il fallait s’y attendre, la chose ne s’est pas passée comme imaginée. Nous ne voyons pas non plus comment cela aurait été possible. L’intelligence, fille du soi simple, est fidèle à elle-même, faut-il l’avouer. La simplicité, dans ce domaine, est un handicape sérieux. 



Le fil conducteur, dans cette affaire, qui est la domination, au mieux, l’esclavagisation, est l’illogisme implacable. Cela commence par l’entrée de l’hommalité dans le monde, laquelle s’est nécessairement soldée par la conceptualisation de l’idée de l’homme, qui est elle-même une contradiction en soi - la lecture de la pathologie hommale sera d’un grand secours pour la compréhension de ce phénomène - et ensuite la démarche qu’elle appelle

inflexiblement pour se faire être, discours, comme un chemin ,illogiquement cahoteux, où se niche le sens complet de l’irrésistible volonté d’effacer net Sa Majesté Jean Jacques Dessalines.


Les difficultés sans nombre qu’a entraîné la démarche ont ouvert la porte sur ce qui allait devenir le kokcn hcn dewqjmq, dont l’accélérateur est l’assassinat physique de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, une idée insensée, certainement, mais sans pouvoir faire autrement, un sans issue, ni pouvoir reculer ni pouvoir également avancer.  



La descente du Peuple Impérial, armés de piques, pour affronter Jean-Pierre Boyer  aprés avoir appris que le fruit de leur travail se trouvait entre les griffes des Français et qu’il en était ainsi parce que la France était de retour, n’est pas un coup de théâtre dans le processus parce que le projet blanciste est impossible. Ce sont donc des cahots sur le chemin de l’entreprise. Les acteurs blancistes se trouvent face à la contradiction et, par conséquent, l’impossibilité de la chose. Jamais ils ne pensent pas être le sujet comme ils aiment à s’imaginer. Certainement ils monologuent, par la simplicité de leur soi, mais sur un autre angle, c’est un dialogue parce qu’il y a un interlocuteur. Celui-ci est le Peuple Impérial, des mun qui agissent en soi, par soi et pour soi. On ne peut pas ne pas en tenir compte.  Penser et agir autrement, c’est courir tout droit à sa perte, ce à quoi nous assistons.



Cela allait de mal en pis parce que Rivière Hérard avait fait une promesse qu’il ne pouvait pas tenir, compte tenu des circonstances. Cela ne pouvait pas être autrement non plus. On est dans l’ordre normal du désordre. Il y a incompatibilité entre l’Empereur Jean Jacques Dessalines et la république d’Haïti, fille du blancisme. Le décalage ne peut pas être comblé car non seulement ils sont antipodiques l’un à l’autre mais aussi antinomiques. Seul le

b¼nqy est apte à appréhender ce fossé. L’Ancestralité et la blancismité s’opposent de façon inconciliable. Nous sommes dans le domaine de la philosophie organisationnelle non dans la religion ni l’histoire, lieux de n’importe quoi. Ces deux dernières sont des domaines du fourre-tout alors qu’en philosophie aucun faux pas ne passe. La distinction entre la république d’Haïti et l’Empire d’AYITI est nettement et irrévocablement tracée. L’Empire d’AYTI est hermétiquement clos. Le blancisme et ses atha, les irréductibles libres et qu’on peut aussi appeler bunda-qmr, parce qu’ils sont à l’extérieur de l’Empire de Dessalines, n’ont, certes, pas saisi, ce qui n’est pas étonnant, toute la portée scientifique du discours de Sa Majesté Jacques 1er, à savoir que “ c’est ma volonté à consolider notre entreprise, entreprise qui donnera de nous, aux nations les moins amies de la liberté non l’opinion d’un amas d’esclaves, mais celle d’hommes, mun, qui prédilectent leur indépendance aux préjudices de cette considération que les puissances n’accordent jamais aux peuples qui, comme vous, sont partisans de leur propre liberté”, c’est-à-dire leur Gwqmunalité, être en soi, par soi, pour soi. Dans la substance du discours, il est question de nqnq, essence réelle, versus simple conception de soi, par exemple l’homme. Du côté des blancistes, il est question d’imagination, là où tout est permis, tandis que du côté de Jean Jacques Dessalines, le Super Savant, c’est la voie de l’objectivité, alors la science, celle qui est Dqmbala, connaissance vraie, référence faite à son adéquation à la réalité. L’errance n’y a pas sa place. 



Par ce grand et solide savoir, Jean Jacques Dessalines, qui en est le Sujet ou l’Auteur, nous met, Nègre et Négresse, en exergue, soit notre Gwqmunalité. Remarquons bien, tout le savoir qui est ici mis en évidence se rapporte à la Négro-jelefweité, “”donnera de nous”, souligne Jean Jacques Dessalines, et est inséré dans le concept d’“entreprise”, dont la matérialité est l’Empire d’AYITI, nul autre édifice. En d’autres termes “entreprise” et Empire d’AYTI sont interchangeables. Cela est le Projet Ancestral. Ce qu’il faut regarder en face, c’est que l’OEuvre et son Sujet ou Auteur, par leur Source, sont une yunité. C’est là ce qui explique l’ordre d’assassiner Jean Jacques Dessalines  jusqu’à son Nom et, après l’échec cuisant de bannir son Nom, la persistance de l’extirper de l’Empire d’AYITI, dans la pensée que l’Empire d’AYITI, sans Sujet ou Auteur, s’effriterait jusqu’à l’évaporation. Le Nom de Jean Jacques Dessalines est là, il faut se faire avec. Mais il faut faire échec à son contenu, qu’il convient d’appeler la Dessalinité. Par quel moyen ? En lui insufflant une autre substance, une substance délétère. 



Le blancisme, devant l’impasse de l’esclavagisation et son irrésistible penchant à se donner un devenir effectif, persiste et signe. Jean-Louis Pierrot va encore plus loin que Rivière Hérard, en faisant semblant, par des mots vides, d’intégrer Sa Majesté Jacques 1er dans la république d’Haïti, deux voies parallèles, faut-il le souligner. Il lance une belle entrée pour camoufler son projet mortifère. Son action suivra tout au long puisqu’on est en plein dans l’insensé, le comble de l’absurdité. La république d’Haïti est fondée dans le blancisme alors que l’Empire d’AYITI est Ancestral et surtout . Éternel, alors indestructible. C’est ce qui arrive quand on se mêle de ce dont on n’a aucune idée. Pierrot s’enfonce dans la bêtise. Le blancisme, fidèle à la débilité le caractérisant, finira par pondre une dessalinité sans Dessalines sous prétexte que les Négresses et Nègres sont des idiots, idiotes, et que, par conséquent, ils ne s’en rendront pas compte. On se déverse sur l’autre.  Ils se trompent comme d’habitude à notre sujet. Ce ne sont pas les Nègres et Négresses qui sont l’objet de son discours mais les irréductibles libres, les bunda-qmr.



L’enseignement blanciste 

La construction de la dessalinité sans Dessalines se fait sous la dictée de l’église, la colonisatrice de toujours et la base, comme partout ailleurs, de la république d’Haïti. Cet enseignement est une illusion sentimentale et aussi, une construction hideuse. Plus loin nous verrons pourquoi. Pour l’heure voyons les pièces retenues, pour être plus précis, quelques-unes d’entre elles, pour monter l’enseignement, une oeuvre d’une capacité supérieure que l’on peut qualifier, sans risque de se tromper, d’une herbue ! C’est l’église avant tout. 

 


Il est raconté, nos ne disons pas l’histoire parce que c’est une connerie, que les esclaves comme les libres de couleur, ces derniers d’abord, se sont soulevés contre Napoléon Bonaparte afin d’accéder à l’humanité. Il faut entendre par là le monde des blancs. La preuve en est que le dix-huit  novembre 1803, on les entend, dit-on, qui chantent La Marseillese. Les hommes de couleur libres ont initié le mouvement sous l’influence de la révolution française. Les esclaves ont emboîté le pas par corruption. Comprenons bien, il n’y a pas eu de dérapage. On est et reste sous la tonnelle du blancisme, le conquérant et le massacreur maladif, faute d’un terme plud approprié. Un chef religieux musulman, rapporte-t-on, disait un jour :”Seuls les Nègres aiment l’esclavage”. Celui ou celle qui est apte à comprendre, comprenne ! Quant à Jean Jacques Dessalines, qui se passe de présentation, ancien général de l’armée du génie inégalé Toussaint L’ouverture, général français, de qui disait Napoléon Bonaparte, dans une de ses lettres, qu’il est l’agent de la république, et fervent défenseur de la France, puis, par le fait même, le rebelle - faites-en ce que vous voulez -, il a pris d’assaut la révolte et s’y est imposé. Est ici donnée la raison de sa présence dans le camp des libres pro-français. Après ces phrases dégoûtantes, on peut descendre dans les profondeurs du dégoût, à savoir que le dieux des Ancêtres, notamment  Gwqn Guiton, Bukmqn et Dessalines, est le dieux de grâce,  dieux de la bible, et il a guidé les pas des révolutionnaires jusqu’au bout. En effet, après une bataille décisive, le 18 novembre 1803, les révoltés l’ont emporté. Le général Dessalines a par conséquent apporté à l’anthropologie des droits naturels ainsi que sa pratique la portée qui lui manquait, une place pour tout le monde. Il faut entendre par ces propos que l’humanité, ce ciel, est atteinte au grand dam du blancisme. À force de persévérance, on a fini par forcer la porte du paradis. Il fallait nourrir un peu plus Saint-Pierre si on voulait prévenir cet exploit. Wo o, yo pete ! Cri de la défaite à Dessalines, Capitale Impériale. Le premier janvier 1804 l’indépendance est proclamée aux Gonaïves. Devenu le gouverneur ou le président de la république d’Haïti, Dessalines, par tricherie, s’est nommé empereur, un empereur de la lignée des hommes d’État de la bible, c’est-à-dire avec un pouvoir divin. C’est Jean-Baptiste Joseph Brelle, dit père Corneille Brelle qui le lui a transmis en le couronnant, sans couronne, lui-même au Cap-haïtien. Il n’y a aucune offense car Dessalines est de la race hébraïque. Il a rebellé, sans doute, puisqu’il a initié la laïcité, qui le dépôt du clergé au bénéfice des laïques. Il est finalement assassiné par ses propres camarades à cause de sa gouvernance tyrannique. Nous ne savons pas très bien si Dessalines, le grimeau, était retro gradé puisque c’est en tant que président qu’il a été tué. Le général Henri Christophe lui a succédé, en devenant d’abord président et ensuite roi. Alexandre Pétion s’est séparé dès le début d’Henri Christophe à la suite d’une mésentente. Jean Jacques Dessalines a péri là où le génie Toussaint Louverture aurait triomphé aisément. Le Français Louis Dubroca, en parlant de Dessalines, dit que cet Africain recueilli au bord des côtes de la Guinée est aussi sauvage que la nature qui l’a vu naître. 


La contradiction qui tisse ces idées est légion. Pourtant la compréhension, pour tout b¼nqy, n’est pas difficile car un élément important se dégage, lequel est l’appartenance de Dessalines au bloc blanciste malgré sa petitesse et, par conséquent, la blancisté. Et c’est ça l’objectif final, du pays dénommé république d’Haïti. Le discours, si fou semble-t-il, met en scène la reprise du pays, la colonie pour les blancistes et les bunda qmr, lors de l’assassinat physique de Jean Jacques Dessalines en ce 17 octobre 1806, date de naissance de la république d’Haïti, dont le nom secret est La partie française de Saint-Domingue, son ancien nom avant l’Érection de l’Éternel Empire d’AYITI. Ainsi le pays, la république d’Haïti, est ce qu’il a toujours été. La “constitution” de Toussaint Louverture en est la première, dit-on. La république d’Haïti n’est pas, de toute évidence, reliée avec l’Empire d’AYTI. Les dirigeants viennent et passent mais l’institution est et reste ce qu’il est, une esclavagisation. C’est cela le contenu de la dessalinité sans Dessalines. 



il est une évidence que la dessalinité, soumise à la blancismité, que véhicula  la république d‘Haïti, ne comporte rien de Jean Jacques Dessalines, dont nos aîné-e-s nous parlaient et nous  parlent encore quotidiennement, eux qui vivaient à ses cotés et qui avec lui ont fait le Pays qui est à jamais le Nôtre, soit l’Éternel Empire d’AYTI, tel que les textes officiels aussi nous le rapportent, et à qui nous nous identifions et qui à nous s’est identifié. 



C’est exactement sur cette yunité que misait le blancisme pour nous entraîner vers lui, dans son parc à bestioles. En effet, les Négresses et Nègres sont tellement attachés à Jean Jacques Dessalines que le bien et le mal est ce que ferait et ne ferait pas. La dessalinité sans Dessalinité devient l’essence de celles et ceux qui y croient, autrement dit, qui tombent dans le lac. C’est par ce moyen que les blancistes et les bunda qmr avalent comme un serpent leurs victimes et les maintiennent en esclavagisation. Elle est une anthropologie de troisième main. Là est le grand objectif de la dessalinité sans Dessalines. Voir l’ouvrage suivant : 


L’HOMME SQUELETTIQUE DE L’ORDRE ARTIFICIEL DU DROIT

OU

L’ESCLAVAGISATION VOLONTAIRE PAR LE PIÈGE



Collection :  

Au Nom de la Princesse 

Atala Dessalines D’Orléans 

Fleur des Champs


     Tome VIII



Les Éditions LOF 

LEKBA/OGU/FWEDA


Dépôt Légal 1e trimestre 2020

ou 280e année de la GWQMUNALITÉ, de la

BELLE NÉGRESSE

Bibliothèque nationale du Québec

ISBN 978-2-923307- 10 -7 Tous droits réservés

Aucune reproduction partielle ou totale de ce livre, cet incontestable bijou, n’est autorisée

GGGGGGGG



La dessalinité sans Dessalines est une coquille vide au niveau du sens parce qu’elle est semée de contradictions et de chimères. Cependant au niveau d’orientation elle ne l’est pas. La dessalinité sans Dessalines est pour conduire à la haine viscérale de l’Ancestralité et à l’amour fou du blancisme tous ceux et celles qui y croient d’une créance indéchoucable. Ils ne peuvent pas renoncer au blancisme parce qu’en dehors de celui-ci, selon l’enseignement reçu, il n’y a rien, si ce n’est l’obscurité. Leur conscience d’être est le blancisme.   



Comme il n’y a pas d’esclavagisation sans génocides, ce, pour deux principales raisons, premièrement la résistance des envahi-e-s et deuxièmement le seul moyen pour l’agresseur de se savoir dominant, alors fort de son succès imaginé, le blancisme a entrepris la vengeance, toujours au rythme d’horreur les plus folles. À ce sujet, voir le “Décret la république d’Haïti, instituée pour la vengeance”.



Il ne fait aucun doute, la république d’Haïti est à jamais dissoute. Toute personne, bien qu’en dehors tout cadre social et institutionnel, qui continue à recourir à la même méthode de perdition est accusée, d’office, de pratique génocidaire sur le Territoire de l’Empire d’AYITI, de pratique esclavagiste et de crime contre l’humanité, ici, pour le tribunal pénal international, elle et les gens extérieurs comme intérieur avec et pour elle travaille.



Point n’est besoin de dire qu’elles seront jugées et lourdement condamnées pour leurs crimes.



Le Décret entre vigueur aujourd’hui, le samedi 2 novembre 2024,

Jour Brave Gede Nibo.



 Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :


HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w ¼ nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn



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