Le 29 novembre 1803, à Dessalines, Le Quartier-Général, c'est l'arrivée de l'Empire d'AYITI ! Par le massacre répondent le blancisme et les bunda qmr.

 




Le crime de génocide

https://youtu.be/qzzEDL_zvbo?si=amMESw45WlhHZgqK



Les racines des chinoises, chinois, sont des noir-e-s :


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Forum-Impératrice Claire Heureuse Dessalines, Ville de Dessamines, Capitale Impériale


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Le 29 novembre 1803, à Dessalines, Le Quartier-Général, c'est l'arrivée de l'Empire d'AYITI ! Par le massacre répondent le blancisme et les bunda qmr.


La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - d= © Tous droits réservés



q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,   ¼ = on,  ñ


Décret 00000007L’impardonnable manquement contre les Ancêtresvend29112024le refus de l’Éternel Empire d’AYITI


L’homme, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres 


Fini ce discours, à savoir que les Haïtiens et Haïtiennes sont méchants, et même pire, la méchanceté est haïtienne ! Ce discours est un piège, il est suggéré par l’hommalité. Il est une tentative de nous détourner de nous-même afin de nous monter contre nous-mêmes, contre soi-même, d’abord. puis les uns contre les autres, ensuite, dans le but de camoufler le mal hommal, dont le blancisme est l’état major, parce qu’il s’auto-proclame l’homme véritable, pour qu’il puisse avoir le champ libre nécessaire à ses opérations en vue de son devenir effectif, soit se faire, seul et unique l’homme, par l’absorption des autres êtres. 



Pour tout comprendre, il faut commencer par le commencement mais ce n’est pas le lieu ici. Dans plusieurs de nos ouvrages, il est question de la pathologie hommale. Nous recommandons la lecture de ce texte pour avoir une idée très claire de l’homme. Ici retenons simplement que la genèse de l’homme n’est pas le teint, plus précisément le blanc, comment les Européens et Européennes aiment à se le dire, mais le soi simple, lequel conduit d’abord à l’hommalité, principe de l’homme. Ainsi l’homme est une tendance politique, domination des autres, laquelle inclination a pour corollaire le refus de se laisser subjuguer par les semblants. Le blancisme, comme la dénomination le laisse entendre, lie irrémédiablement son teint à la substance de l’homme, un amalgame. Il a ainsi substantivé son teint pour mieux se placer au dessus de ses semblants. Ensuite il les attire à lui pour se les approprier. Nombreux sont-ils ceux qui, par inadvertance ou crétinisme, sont tombés dans le lac. Telle est la situation des irréductibles libres, les atha, bunda qmr. 



Pour comprendre la situation prévalant sur la terre, il faut, au moins avoir une notion de l’hommalité, une impitoyable bactérie. Jean Jacques Dessalines, l’Enfant d’Agbawaya Toya et un Puissant Savant dans le domaine, a très bien maîtrisé le domaine. Il a défini le blancisme en ennemi naturel et a mis en évidence sa nature sous le vocable de “monstre”. Il est en soi naturel et sans pitié parce qu’il n’est que  ce qu’il tend à être, soit l’homme, et que cela est en tous points. Dans sa pensée il croit, et il en est convaincu, que la ruse et la violence, voire sans limites, est la seule et unique voie qui s’offre à lui pour atteindre l’être qu’il veut être. L’idée  d’une mission impossible lui est inconnue. C’est ce qui fait de lui un génocidaire. Écoutons ce que dit le Savant Jean Jacques Dessalines : “ 



“Citoyens, citoyennes, mes compatriotes, j'ai rassemblé en ce jour solennel ces militaires courageux, qui, à la veille de recueillir les derniers soupirs de la liberté, ont prodigué leur sang pour la sauver ; ces généraux qui ont guidé vos efforts contre la tyrannie, n'ont point encore assez fait pour votre bonheur... Le nom français lugubre encore nos contrées.


Tout y retrace le souvenir des cruautés de ce peuple barbare ; nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française ; que dis-je, il existe des Français dans notre île, et vous vous croyez libres et indépendans de cette république qui a combattu toutes les nations, il est vrai, mais qui n'a jamais vaincu celles qui ont voulu être libres


 Qu'avons-nous de commun avec ce peuple bourreau ? Sa cruauté comparée à notre patiente modération ; sa couleur à la nôtre ; l'étendue des mers qui nous séparent, notre climat vengeur, nous disent assez qu'ils ne sont pas nos frères, qu'ils ne le deviendront jamais et que, s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions”.



Jean Jacques Dessalines rassemble ici les éléments avec lesquels il a défini les blancistes : le caractère autre, l’irrévocabilité, l’impitoyabilité ou la monstruosité et l’infréquentabilité. Ce ne sont pas des traits arbitraires, ils trouvent leur justification dans  l’inclination à se faire pour dominer et ils ne sont que cet élan.  



Il y a deux voies qui se dessinent sous nos yeux. La première est la voie ancestrale. Point n’est besoin de dire qu’elle est ofowu. Parce qu’il en est ainsi, il n’y a rien de commun entre eux et nous, il est question, bien sûr, de l’essentiel. Qu’est-ce que cela veut dire ? Que nous sommes d’essence ubuntu, rien de plus. Cette caractéristique nous rend calmes, tendres et de bonne intention. Jean Jacques Dessalines glorifie en ces termes ce trait générateur de nous-mêmes : “vous qui ne faites aujourd’hui qu’un même tout, qu’une seule famille … Maintenez cette précieuse concorde, cette heureuse harmonie parmi vous; c’est le gage de votre bonheur, de votre salut, de vos succès; c’est le secret d’être invincible » page 28, Dessalines le 28 avril 1804. Cette seule caractéristique comporte tout ce vers quoi tend l’être munal. Nous comprenons beaucoup mieux maintenant pourquoi est-il placé dans le Titre d’Empereur, d’où émane l’Éternel Empire d’AYITI, qui est une yunité, à l’image de notre munité, ce qui suit : “Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes, il convient d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens et citoyennes d’une manière immuable et irrévocable, et que le plus sûr moyen d’atteindre ce but est de décerner au seul chef capable de représenter et de gouverner dignement la nation, un titre auguste et sacré qui concentre en lui les forces de l’État, qui en dispose au dehors et qui en est au dedans la gage de la tranquillité..” L’Empire est la manifestation sensible de notre propriété fondamentale et, par conséquent, notre lieu propre d’exister, donc de vivre. Le Titre d’Empereur ne concentre pas en lui les possibilités des affaires égoïstes mais l‘être en soi, par soi et pour soi, alors les gens en un TOUT, collés serrés et indestructibles, une yunité en dehors de laquelle rien n’est possible et en laquelle résident toutes les bonnes choses, la vie bonne. Il est un bouquet de fleurs et de fines et suaves odeurs. 

 


La bactérie hommale


Cette construction est la suite de notre substance munale et elle est intensément nécessitée par une expérience nouvelle, laquelle est une contradiction de l’être que nous sommes : “Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes” , exprime-t-on clairement. Cela signifie le rejet, non sans mépris, de cette épreuve inédite, une  vie très amère, impropre à leur munité. Heureusement nos Ancêtres n’ignorent pas l’origine de l’horreur. Bukmqn disait, dans son discours du 14 août 1791 : “le dieux des blancs”, ce qui revient à dire le dieux des hommes, puisque c’est ainsi qu’ils se définissent, “ est la cause de tous nos malheurs”. Il en est ainsi parce qu’il est le sujet de l’action et que les hommes, pour être véritablement “homme”, doivent soumettre les non-hommes à leur grille de re-création. Ils recourent à la cime de la cruauté contre tous ceux et celles qui leur tiennent tête. Et ils ne peuvent pas ne pas le faire à cause de l’unidirectionalité de leur être de pensée, soit leur nature ou substance hommale. D’où la “longue série de malheurs et de vicissitudes”. Le responsable de tout cela est l’homme, cette idée être, l’homme se faisant dieux, qui siège à l’intérieur de ces gens pour les guider en tout. Il est le virus mangeur des gens, voire de toutes choses. C’est un virus très violent. Nous avons dénommé le blancisme, après les expériences “de malheurs et de vicissitudes”, la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. L’homme, dans son sens général, selon l’anthropologie vudun, est le virus auquel Jean Jacques Dessalines, le Distingué Savant, a donné le nom de “vrai cannibale”, une magnifique conclusion. Le contenu sémantique de l’appellation homme, ce virus, est défaire pour se faire, cela en toute bonne conscience.   



L’homme, au sens étroit du mot, c’est-à-dire blancisme, tel que nous venons de le voir, est une appropriation, un vol, un faux usage  du mot dans son sens large, laquelle appropriation est permise par celui-ci. En d’autres termes la signification universelle de l’homme, au sens négro-divin du terme, comporte ou suggère logiquement une telle réduction. Il n’y a pas de prédestination, un singulier ou un groupe hommal, c’est une question de moyens, d’occasion heureuse, le hasard, de volonté acharnée, etc., puis de bien ou plus ou moins bien, jouer sa carte pour arriver à tenir tant bien que mal. Tel est le lieu du blancisme car la situation le met sans cesse en porte à faux. Il lui suffit de peu pour tomber. C’est là ce qui explique le fait qu’il recourt constamment au cime de la férocité et que le nom d’ennemi naturel lui est donné par le Savant Jean Jacques Dessalines.  



Le blancisme est étranger sur tous les fronts, ce qui le rend toujours instable, pourtant il dure. Ici ce n’est pas l’effet du hasard. C’est que ce qui est la cause de sa chute possible est ce qui le retient. En effet il sait très bien que bien des autres veulent la même chose que lui et qu’il se trouve à sa place, cette place, par concours de circonstances. Il exploite cette soif intense en ses victimes en sa faveur. À l’avantage d’un petit nombre, il lâche du lest en leur accordant certains privilèges en rapport à la soif en question, moyennant certaines conditions. À l’opposé de cela, c’est quotidiennement le sommet de l’horreur. 



L’effroyable sensation que provoque quelquefois la deuxième situation, parce qu’il y en a qui s’en réjouissent, joue en la faveur du blancisme. De temps à autre, celles et ceux qui ont peur de souffrir finissent, contre eux-mêmes, par se plier pour éviter le désagréable. Il y a des êtres hommaux qui ne sont pas prêts à se donner, quelles que soient les conditions, ceux-là résistent. Ils ne font aucune concession. Leur hommalité est aussi à son pic comme celle du blancisme, ils veulent autant ce qu’ils cherchent. À ce groupe, il faut ajouter les êtres munaux, dont la nature est l’Indomptabilité. Point donc de porte de sortie pour le blancisme! Pour en finir avec le blancisme, il faut le soumettre à une victoire totale-capitale, lui ainsi que ses atha, tandis que le Mal hommal exige la suppression de l’hommalité. Nous ne traiterons pas de ce point ici. 



Ce qu’il faut comprendre assez bien et aussi retenir, c’est que le blancisme est par son essence, que celle-ci est une entité mentale ou spirituelle, laquelle est sans référence dans le réel, donc un vide. Comme être de pensée ou simplement une pensée, il tend, par sa nature de pensée, à devenir ... Il s’ensuit qu’il n’est que cette inclination, rien d’autre. Jean Jacques Dessalines à relever ce trait d’être dans le blancisme dans son énoncé : “s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions “. En d’autres mots, c’est tout ce qu’ils sont. Pourquoi cela ?Parce qu’ils ne sont qu’une volonté de se faire. Étant donné que ce penchant est gordrm, étranger dans le La, l’univers dans son accord avec lui-même, il s’efforcera de se faire mais en vain. Il butera toujours contre la résistance des autres, qui sont forcément des êtres déterminés par le fait d’être puisque ce qui est est déterminé. Cela signifie qu’ils ne peuvent pas aller à l’encontre de ce qu’ils sont. C’est là l’échec insurmontable du blancisme, qui est mun mais qui, sous l’effet d’un mauvais calcul, au lieu de se reprendre, il se laisse aller. Cependant comme il est soumis, pareil à tout être, au Mbwa de l’indéterminité de l’être, il ne peut pas devenir autre tel que la pensée de l’homme, ce néant, l’exige. L’obstacle auquel il fait face est ofowu, c’est-à-dire qui émane de la Source des choses, donc Notre Dieu, Bon-Dieu, GwqmrtLa. 



Ce sont là des considérations extérieures pour le blancisme. Du coup il persiste et signe. Tout ça, croit-il d’une créance indéchoucable, n’a pas rapport à lui parce qu’il ne fait partie de la nature. L’homme se présente en dieux et partant en créateur. Il a vocation, selon lui, de se faire ainsi que l’environnement qui lui est spécifique. C’est à cela qu’il s’applique. Telle est la logique du Mal, le Mal hommal. Il rapporte tout à lui et, intentionnellement, soumet donc tout à lui.   



Le blancisme, par sa fausse prétention de pouvoir et de devoir tout re-créer, ne voit ni n’entend rien. Il est pleinement centrer sur lui-même, autrement dit, son devenir effectif. Tout ce qu’il cherche à transformer tourne contre lui. Souvent il entreprend de détruire avant de se faire détruire. Il chambarde la nature dans la visée de ce qu’il veut devenir, il provoque la faim, les maladies, la déstabilisation du climat, de l’environnement, bref, tout. Il n’a aucunement l’intention de désister. Toutes ses activités s’inscrivent dans la pensée qui l’a constitué. Rien ne l’arrête ni ne peut l’arrêter. C’est un être unidirectionnel.  

    


Pour appuyer le fait unidirectionnel de l’homme, ici le blancisme, soulignons quelques faits historiques. En juin 1794 la Guyane s’est libérée et a mis fin à l’esclavagisation; le 21 octobre 1801 la Guadeloupe en a fait de même; en 1795, Sainte-Lucie, la Grenade et Saint-Vincent ont l'aboli l’esclavagisation eux aussi. Les britanniques les ont envahis en 1796. La Guadeloupe a connu le même sort en mai 1802. La partie française de Saint-Dimingue a vaincu la France en août 1791. Les esclavagistes se sont infiltrés dans notre sein et faisait tout, en tentant de se reconstituer, pour faire échec à l’organisation du Pays et réinstituer l’esclavagisation. Cela dura quatorze ans. Jean Jacques Dessalines est très clair là-dessus : “Eh quoi ! victimes pendant quatorze ans de notre crédulité et de notre indulgence ; vaincus, non par des armées françaises, mais par la piteuse éloquence des proclamations de leurs agens ; quand nous lasserons-nous de respirer le même air qu'eux ?.” Il ne fallait pas en laisser sur notre Territoire, dit Jean Jacques Dessalines, parce qu’ils ne savent faire qu’une chose : “ils ne deviendront jamais nos frères et, s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions. Que faut-il faire pour éviter de pareilles choses ?  La réponse est sans appel : “ au moins par la résolution terrible que nous allons prendre de dévouer à la mort quiconque, né français, souillerait de son pied sacrilège le territoire de la liberté “. L’expérience de 1791, sans oublier les autres, il y en a bien d’autres, a guidé l’Invincible Général dans ses décisions à prendre. 



Ce qui va arriver dans très peu de temps confirmera la pensée de Sa Majesté Jacques 1er en matière d’homogénéité groupale, au niveau de la conduite. En effet la France inonde l’Empire d’AYITI de fausse citoyeneté. Des citoyens français arrivent au Pays Ancestral sous de fausse identité, de fausse citoyenneté, une maneuvre de l’empereur français. Nos Ancêtres se retrouvent dans la situation d’avant, des blancistes, “de vrais cannibales”, sur notre Territoire. Selon la pensée exprimée de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, à savoir que “ s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions.”, ils récupéront les irréductibles libres qui voulaient former une classe à part dans l’Empire d’AYITI mais qui étaient déboutés par Sa Majesté Jacques 1er. Jean Jacques Dessalines se révèle un fin anthropologue philosophique. Les espions de Napoléon Bonaparte accentuent l’hommalité et partant la blancismité en ces mécontents et mécontentes et l’écart entre nos Ancêtres et eux s’agrandit. Le 17 octobre 1806, ils, Alexandre Pétion en tête, empoisonneront le physique de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines. Comme l’Empire d’AYTI leur est inaccessible, il est irrévocablement protégé, sous différents points,  par la Constitution, laquelle est promulguée le 20 mai 1805 à Dessalines, la Capitale Impériale, ils ont institué un autre pays, en tous points distincts de l’Éternel Empire d’AYITI. Et c’est le retour de la France, le traité de Charles X est on ne peut plus catégorique. Malheureusement pour eux, ici en AYTI, comme partout ailleurs, le Pays Ancestral est irréversible. Ici c’est l’Empire d’AYITI, Empire Ancestral, Empire Toya-Dessalines. 



Ce genre de coup qu’a tenté le blancisme est légion et ne connaît pas de temps. En voici trois exemples de cela! La Martinique, Madinina, était fin prête  à empoigner pour en finir. À la tombée du jour, nos Ancêtres se rendaient au point fixé pour contre-attaquer. Quelques minutes avant de foncer, un coup part, prévenant sans doute l’ennemi, qui se converge de toute part vers le lieu où le coup retentissait. Et c’était l’échec de la contre-attaque ancestrale. Plusieurs Nègres et Négresses puissants en payaient le prix. C’est l’effet de la présence de l’hommalité dans notre sein. Ils ont pris le parti de leurs pairs.



En 1802, lorsque Napoléon Bonaparte a envoyé son armée, sous le commandement de Jean-Baptiste , pour reprendre Karukera, la Guadeloupe,  c’est avec Magloire Pelage même, le chef du gouvernement karukeran, qu’il a parlé. Pelage, non sans ses combattants, abandonne les siens pour se ranger du côté du général Jean-Baptiste. L’hommalité est la plus forte. Cette force suppléméntaire a fait la différence. 



Busa, notre Ancêtre du côté de la Barbade, un fanatique du Général Vainqueur, Jean Jacques Dessalines, se dit, confiant, que c’est maintenant son tour de vaincre les britaniques. Il choisit de contre-frapper en plein jour. Il réunit ses Combattantes et Combattants Ancestraux. Sur le point de se déplacer, une nuée de noirs s’amène. Voici du renfort, se disent-ils ! Ils retardent leur déplacement. Parmi tous ces gens au teint foncé, il y a un blanc. On apprendra plus tard qu’il était le commandant. Lorsque la foule aura fini de se mêler à l’armée de libération de Busa, il se mettra à les empoigner pour enfin les tous tuer. Ces noirs n’étaient rien d’autres que des hommes.    

 


Aujourd’hui, en AYITI, la république d’Haïti est destituée par l’Empire d’AYITI, il ne reste qu’une bande de cabris et boucs sur le Territoire Impérial, toujours sous la direction directe du blancisme puisqu’ils sont tous deux liés par l’hommalité et le commandement. L’Éternel Empire d’AYTI s’organise à son propre rythme. Il faut reconnaître que le travail n’est pas mince. Seulement la mise en accusation et l’entrée en communication avec le plus de gens possible pour les informer de l’Administration qui est la leur, c’est quelque chose même si cela est passionnant. 



À côté de cela, il y a les blancistes qui tiennent tant à détruire l’Empire d’AYITI, un Édifice Éternel pourtant, et nécessairement les Citoyennes et Citoyens, pour reprendre définitivement le Territoire sous prétexte qu’il est à eux. Ils se servent des bunda qmr pour y parvenir même si ceux-ci ne sont pas une organisation. Ils sont des attaché-e-s à l’organisation blanciste, sa branche agissante spécifique en dehors d’elle-même. Ils ne sont pas en eux-mêmes mais le reflet du maître, le blancisme. En somme ils fonctionnent depuis toujours en mode de gardien. On se souvient de cette armée de libres au teint foncé à laquelle le général français, Rochambeau, a confié la garde de la ville du Cap avant sa tentative de fuir, à Vertières, pour ne pas avoir à affronter l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines. Le même procédé est en cours, les gardiens se maintiennent même avec la Gwqmunité. Ils étaient là, sur le Territoire de l’Empire d’AYITI, sans y faire partie, parce qu’ils n’avaient pas la Substance Nègre et nécessaire. L’Empire d’AYITI est inapte à recevoir ce qui est autre. Le Territoire est et demeure un des éléments constitutifs nécessaires et indispensables de l’ Éternel Empire d’AYTI. Alors ils n’étaient, ces atha, que dans leur tête, sans aucun support solide et physique.  Cependant, sur un autre plan, leur présence, bien que néant, a facilité l’infiltration des espions de Napoléon Bonaparte sur l’espace physique du Territoire, un espace qui est un vide sous un autre rapport, faute d’appartenance à aucune chose en soi. Les irréductibles libres, les atha ou bunda qmr, depuis toujours, n’étaient jamais enracinés ici parce qu’ils n’ont jamais eu de base territoriale  ni vivasinelle, deux des propriétés de l’Éternel Empire d’AYITI. Pourtant ils sont. La vacuité de cette sensibilité est l’absence de connexion entre le sensible et le mental. Leur lieu d’être est la pensée, celle des blancistes et la leur propre. Ils se portent, en toute conscience, dans le mental. Leur lieu mental est soutenu par les organisations, du dehors évidemment, instituées par le blancisme et dans lesquelles gouverne - se plier devant les organismes ou organisations internationales, c’est accepter l’esclavagisation - ce maître, qui est le leur propre, soit le blancisme. Il est leur territoire, non pas physique, parce qu’ils ne partagent pas ce qui est à eux. Leur objectif principal est l’addition en faveur de leur devenir. C’est de là que dérive leur apparence d’être. Ce n’est pas un lieu proprement dit mais un vide. Au fond ils ne sont rien, pur néant, les bunda qmr, parce qu’ils sont sans lieu. Celui-ci est nécessaire et indispensable à l’êtralité. La raison est simple. L’Empire d’AYITI est un tout, un plein. Le fait que les bunda qmr soient physiquement sur le Territoire, ça ne leur accorde pas une place ici. Ils butent contre le fait que l’Empire d’AYITI soit un plein et hermétiquement clos. Il ne leur reste aussi que le mental même si leurs actions soient sensibles. Celles-ci ont lieu en dehors du plein de l’Édifice Impérial. Si paradoxal que cela puisse paraître, la sensibilité d’une chose ne signifie pas sa réalité. La réalité d’une chose est dans son en-soi, ce qui exprime alors son objectivité, laquelle est son ofowuité, l’enracinement dans la Volonté Divine, de façon immédiate ou lointaine, ici par la traçabilité. Toute chose, dont la réalité est contraire et contradictoire à ce qui précède, est néant. Telle est la situation des actes que posent sans cesse les tubabu. Point n’est besoin de dire que les blancistes sont des gordrm dans l’Empire d’AYTI. à cause de leur blancismité, laquelle émane de l’hommalité. L’esclavagisé-e- comme le maître sont chimériques dans l’Empire de Dessalines. C’est pourquoi ils y sont pourchassés. Ils sont sans effet, comprenons bien, du point de vue de l’Organisationnelle, l’Éternel Empire d’AYITI. Pourtant dans leur intention leur présence magique, parce qu’elle n’est pas prise en charge par la Chose Divine, est une masse de nuages délétère.  



Pour atteindre leur objectif, les blancistes fomentent un coup très complexe dans lequel il se perdra certainement. En effet pour “reprendre” le Territoire Ancestral, conformément à son projet, il faut qu’il l’administre directement. Il ne peut pas recourir à l’invasion directe, comme la conquête des esclaves de l’idéologie. Ce n’est pas par manque de moyen. La perspective de la Résistance Ancestrale massive, donc de l’Empire d’AYTI,  à l’intérieur ainsi qu’à l’extérieur, malgré la présence massive des atha, freine son élan. Il y a plus. L’Empire d’AYITI dispose de coups sans nombre dans son djakut, une sorte de boîte à secrets à l’Ancestral, et d’utilisatrices et utilisateurs puissants et infinis dispersés sur toute la terre, ce qui laisse envisager un combat sans fin parce que l’Empire d’AYITI est Éternel. L’Édifice Ancestral Dessalinien a toutes les chances de l’emporter à la mesure de sa Grandeur Infinie. 



Le blancisme refuse cette option au profit du maintien des bunda qmr, une multitude informe, depuis la dissolution de la république d’Haïti, malgré leur greffe sur lui. Coincé par l’Empire d’AYTI, il nomme, sous une couche de nuages très mince, ses agents. La chose est évidente à la capacité de tout le monde. Les autres atha embarquent comme s’ils n’avaient rien vu et que ces agents sont arrivés là où ils sont, parce que nous ne savons pas exactement où, par un processus normal, ce qui met à l’évidence qu’ils forment tous et toutes un même tout. Il n’y a pas d’innocents, innocentes, mais rien que des coupables, même ceux et celles qui font semblant de critiquer, parce qu’ils agissent à l’intérieur de ce qui était autrefois la république d’Haïti, nid forgé par le blancisme pour camoufler sa présence. Ils appartiennent toutes et tous à la même communauté de tueurs et tueuses. Ils ont tous et toutes le même maître, le blancisme. Cette concordance d’actions, même là où elles semblent s’opposer, gêne la stratégie des blancistes car elle fait reposer sur eux tous les malheurs qui rappellent, sans détour, l’esclavagisation et ses massacres quotidiens, puis les génocides auxquels tout le monde est habitué. 



Le blancisme, ayant jugé nécessaire de se faire absent, là où il est la seule bougie, tente de faire porter les responsabilités à ses agents, les bunda qmr, afin que ceux-ci lui retournent la balle. Ici on cherche à faire d’une pierre deux coups : 1 - l’absence du blancisme; ils sont en dehors même d’une simple coopération; et c’est même la brouille entre eux, blancisme et bunda qmr 2 -cela revient à ressusciter, s’il était possible, la défunte république d’Haïti en la portant, par l’accusation, et surtout par les protestations de certaines personnes bien précises, sur la scène internationale. En d’autres mots blancisme et atha auraient attiré l’attention du monde entier sur une institution qui s’est évaporée comme si elle était encore. C’est un coup de petitesse. Cela n’a, certes, pas marché. Tout le monde sait que les blancistes sont derrière tout ce à quoi nous assistons, cela depuis toujours. Ils sont même accusés d’être les responsables de tous les malheurs, comme Sa Majesté Jacques 1er l’a prédit.   

   


Pourquoi cela est-il si important pour eux? Parce que le blancisme projette de réaliser l’invasion par un organisme international légitime, savoir l’ONU, soit-dit en passant l’organisme qui mène la conquête des esclaves pour les esclavagistes les plus puissants en influence mais aussi piétiné, plus que jamais, par ces mêmes pays. Ce dernier point est obscur à l’intelligence des blancistes et des bunda qmr. 



Les tubabu sont insignifiants dans cette stratégie et sont-ils, en plus, tombés dans le lac. En effet ils sont là où ils sont par les blancistes et le monde entier en est témoin. Ça ne date pas d’hier, il y a de cela un instant. Il n’y a donc pas moyen de se cacher en se présentant sous de faux jours. Ce n’est pas l’histoire qu’ils ont pour habitude de modifier à tout bout de champ dans le but de camoufler l’esclavagisation, l’esclavage pour les blancistes. C’est le fait du jour. Ils sont mis là par des gens bien identifiés, des gens dont la vocation est de s’emparer des autres avec tout ce qu’ils possèdent. Tout le monde le sait. Si le blancisme parle des bunda qmr en termes de gens aux commandes, c’est qu’il cherche à opacifier quelque chose en vue d’un objectif précis. Cela ne se soustrait pas et ne peut pas se soustraire à la capacité de comprendre des gens alertes. Nous, Négresses et Nègres, dignes enfants de nos Ancêtres, nous ne nous laissons pas avoir. Le fait de jouer le jeu, afin de réintroduire “l’esclavage” là où il est clairement et irrévocablement aboli, premièrement  par la Constitution Impériale de Sa Majesté Jean Jacques Dessalines, promulguée le 20 mai 1805 à Dessalines, Capitale de l’Empire d’AYITI, et, deuxièmement, aussi qualifié de crime contre l’humanité par une instance internationale, laquelle est attachée au tribunal pénal international, les atha livrent, leur maître blanciste et eux , à la Cour Impériale comme à la cour pénal international, laquelle a, ces jours-ci, une vive soif de gens accusés ou soupçonnés de crime contre l’humanité, donc des esclavagistes et des génocidaires, puisque, à ce point, tous les crimes qui sont commis sur le Territoire Impérial le sont par des blancistes, bien identifiés, qui sont assoiffés de la reprise de Notre Territoire Ancestral Impérial, qui nous est laissé en héritage par l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines. Les blancistes passent par des bunda qmr, certes, mais cela change rien, car ils ne sont pas des nôtres, et même s’ils l’étaient, il suffit qu’une seule voix s’oppose pour que tout tombe à jamais, même après sa mort. Avant cela, une telle chose est impossible car l’Empire d’AYITI est Éternel.  Sa Base Fondamentale, ce sont “des Décrets Divins immortels”, nous rapportent les Ancêtres. 



Aucune instance internationale ne peut servir de canal au blancisme sur le Territoire Impérial Ancestral Toya-Dessalinien. C’est nous qui avons érigé l’Empire d’AYITI, Notre Pays Ancestral : Le Peuple-État : l’Éternel Empire d’AYITI !


 “Quel peuple a combattu pour nous ?”, dit Jean Jacques Dessalines.


“Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti”. 


“L'esclavage est à jamais aboli. L’Éternel Empire d’AYTI est hermétiquement clos. Ce n’est pas un effet mais une propriété de l’Empire d’AYITI.” 


“Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété. “



Ce à quoi nous assistons présentement est le rendez-vous de l’histoire. En d’autres mots ce qui devait arriver est au rendez-vous. Ce n’est pas un combat mais un coup de balai et la chose est irréversible. Rien qu’un coup de balai car il n’y a pas d’affrontement entre l’être et le néant. 



Le blancisme et sa suite, les atha, ont évidemment construit leur tonnelle en lien à leur soif de destruction de Notre Empire, l’Empire de Dessalines, laquelle soif repose sur leur conception des Nègres et Négresses. Que l’on consulte les récents Décrets ou nos ouvrages, notamment : “Politique et esclavage, deux termes interchangeables” et LA PLUS GRANDE OU L’INDICIBLE PESTE DE LA TERRE : LE BLANCISME,  pour apprendre ce qu’Aristote, le Stagirite, en dit. L’Empire d’AYTI les gêne évidemment. Ils assassinent physiquement l’Empereur Jacques 1er et s’érigent en obstacle à son fonctionnement sensible. L’objectif de l’assassinat physique de Sa Majesté Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines est la destruction, s’il était possible, de son Oeuvre Grandiose, l’Empire d’AYITI, et la reprise du Territoire Ancestral, le Territoire de l”Empire. Nous l’avons vu ci haut que les blancistes tiennent toujours à “reprendre” les territoires spoliés d’où ils sont expulsés. Ils comptent toujours sur les tubabu pour leur faciliter la tâche. Ceux-ci répondent toujours à l’appel. C’est ce qui se passe ici, chez NOUS, en AYITI, depuis le 17 octobre 1806.  



Les actions des blancistes et les irréductibles libres contre l’Empire d’AYITI ne peuvent pas aller plus loin, c’est-à-dire se placer à travers son chemin pendant un certain temps. C’est la fin de leur chemin, la fin du possible. Ils se concentrent ensuite sur la construction de la république d’Haïti, une appellation-paravent parce qu’elle cache le nom véritable, soit la partie française de Saint-Domingue. Puisque le nom, dans ce cas-ci, signifie l’essence, la partie française de Saint-Domingue exprime clairement ce qu’est la république d’Haïti. La “constitution de Toussaint L’Ouverture, laquelle est non promulguée, alors une contradiction dans les termes, est, dit-on, la première constitution d’Haïti, ce qui est très révélateur, et on y lit ce qui suit : “ Saint-Domingue dans toute son étendue, et Samana, la Tortue, la Gonâve, les Cayemites, l'Ile-à-Vaches, la Saône et autres îles adjacentes, forment le territoire d'une seule colonie, qui fait partie de l'empire français, mais qui est soumis à des lois particulières. ... Le territoire de cette colonie se divise en départements, arrondissements et paroisses. Tous les hommes y naissent, vivent et meurent libres et Français”, alors la république d’Haïti en est la continuité. La constitution de 1806 et le papier de Charles X le révèlent sans détour. Il s’ensuit que la substance de la république d’Haïti est blanciste. En d’autres mots il n’y a rien d’Ancestral. Elle a à sa tête le blanciste, le chef est assisté d’un conseil blanciste, ça va de soi, et soutenu par des organismes internationaux forcément blancistes. Il le faut car, dans ce contexte, c’est le blancisme contre l’Ancestralité. Ainsi en dessous se trouve la place réservée aux irréductibles libres, les bunda qmr. 



Pour se couvrir, le blancisme institue le pouvoir noir, une façon de faire qui opacifie difficilement le maître. Cela est involontaire. Le pouvoir noir consiste à confier au teint foncé les responsabilités mineures, cela au grand jour, alors que la véritable orientation, la domination, donc le pouvoir puisque le blancisme a le dernier mot, et les richesses et ressources sont confisquées entre les mains des blancistes. Les détenteurs et détentrices des responsabilités secondaires sont soumis à un régime strict. Ils sont en consultation permanente avec leur maître dans l’exécution de leurs tâches avoisinant les siennes. Le maître institutionnellement n’est jamais le même, cela se joue entre eux, les blancistes. Sur le plan législatif, c’est une copie de la législation blanciste en prévision de leur présence physique dans l’institution. La république d’Haïti est, au niveau général, dans le blancisme. Avec qui le pouvoir noir parlera-t-il demain? Il ne le sait pas à l’avance, cela lui sera communiqué lorsque viendra le temps. C’était, grosso modo, cela la défunte république d’Haïti. 



C’est le mécanisme de cette structure, destituée par l’Éternel Empire d’AYITI depuis, que les blancistes tentent de faire fonctionner aujourd’hui pour parvenir à passer par dessus la destitution de la république d’Haïti dans le but d’aboutir à leur projet sinistre. Le blancisme fait semblant d’ignorer que toute cette charge institutionnelle n’est qu’une entité mentale parce qu’il y a l’Éternel Empire d’AYTI, l’Arrêtoir. Cette action n’EST pas, soit effective, parce qu’elle est illégitime, c’est-à-dire qu’elle n’a rien à voir avec l’Ancestralité, et illégale, la théorémie bien sûr, à savoir en pleine conformité à l’être munal, ce qui conduit à la Constitution, Notre Constitution, qui est depuis 1805.    



Le blancisme est incapable de s’arrêter parce qu’il est unidirectionnel. L’adversaire est l’Éternel Empire d’AYITI, dont le Peuple occupe tous les coins du Territoire. Par conséquent, même avec l’arrivée de l’institution chimérique de la république d’Haïti, il est et demeure l’ennemi à abattre. D’où le mauvais traitement innommable du Peuple-État, l’Éternel Empire d’AYTI, et l’eliminrgyo, suppression physique des Négresses et Nègres, voir à ce sujet “le Décret la république d’Haïti : la pure vérité, instituée pour la vengeance”. Rester en toute bonne conscience sous la bannière du blancisme, c’est être les massacreuses et massacreurs des Négresses et Nègres pour l’avancement de celui-ci. Toute cette violence apparemment injustifiée à laquelle nous assistons présentement, le génocide en cours, est orchestrée par les blancistes et exécutée par les bunda qmr. Il y a beaucoup plus de gens qui y prennent part activement que ceux que nous voyons et entendons. La très vaste majorité des voix qui dénonce, particulièrement radios, télévisions, mobinautes, marche avec le blancisme. Ce sont des voix de la république défunte. En d’autres mots tous ceux et celles qui affirment être en train de lutter pour les Haïtiens et Haïtiennes et qui agissent dans le cadre de la défunte république d’Haïti mentent sciemment parce qu’ils sont consciemment sous l’autorité du blancisme. En sus c’est un acte volontaire. Ils rendent les Haïtiennes et Haïtiens responsables de tout pour opacifier les blancistes. Ils défendent le blancisme, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. Qui ignore que les blancistes sont les seules et uniques génocidaires des Nègres et Négresses! Ces bunda qmr, comme les blancistes, font semblant de s’en soucier mais ce n’est que pour protéger l’action du blancisme. Ils font le paravent. Tous celles et ceux qui rejettent l’Éternel Empire d’AYITI pour rester avec la république d’Haïti, même défunte, sont antinègres, antiancestraux et, par conséquent, des irréductibles libres, de fervents adeptes du blancisme, sont coupables de tous les crimes, hier et aujourd’hui. Ils font passer celui-ci avant eux, au mieux, ils sont celui-ci, autrement dit, ils ne sont pas. Ils sont des instruments des blancistes. 



Le blancisme veut l’eliminrgyo, il l’a inventé. Alors c’est son projet. Jean Jacques Dessalines l’a déjà dit : “ Les blancistes sont nos ennemis naturels”, “ils sont les vrais cannibales”, “ils sont un monstre”. L’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines ne nous a jamais enseigné que le blancisme était le moindre Mal mais le Mal à son plus haut point. Les bunda qmr ne sont pas un phénomène nouveau. Ils ont toujours été là. Sa Majesté Jacques 1er les combattait, lui aussi. Le travail qu’ils font n’est pas le leur propre mais celui du blancisme. Ainsi l’ennemi naturel, le vrai cannibale et le monstre sont bien le blancisme, bactérie mangeuse de Nègres et Négresses.   



L’Empire d’AYITI est notre Élan d’être, il est la Manifestation de ce que Nous Sommes dans le monde sensible. Il nous enjoint de mettre en accusation irréductibles libres et blancistes pour violation répétée des lois de l’Empire d’AYTI et même des crimes contre l’humanité pour les envoyer au tribunal pénal international.  


Aujourd’hui, en ce 29 novembre 2024, Jour de la Proclamation de NOTRE GWQMUNITÉ en 1803, comme au Premier Jour, et surtout pendant tous les jours passés, Nous Nous Tenons Debout dans l’Éternel Empire d’AYITI, Empire Ancestral, Empire Toya-Dessalines ! 




 Le Décret est en vigueur dès aujourd’hui, le vendredi 29 novembre 2024.



Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn


Découvrez mon dernier article : Le 29 novembre 1803, à Dessalines, Le Quartier-Général, c'est l'arrivée de l'Empire d'AYITI ! Par le massacre répondent le blancisme et les bunda qmr

. https://www.linkedin.com/pulse/le-29-novembre-1803-%25C3%25A0-dessalines-quartier-g%25C3%25A9n%25C3%25A9ral-de-krrre via @LinkedIn

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