Nous le savons maintenant, le 1er janvier 1804 n’est pas la journée de l’indépendance; alors pourquoi cette date dans notre vie?
Nous le savons maintenant, le 1er janvier 1804 n’est pas
la journée de l’indépendance; alors pourquoi cette date dans notre vie?
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - x = © Tous droits réservés
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Administration impérial rétabli
L’esclavagisation est le crime contre Busa ou contre le Nègre et la Négresse, Terrienne, Terrien.
AYIBOBO !
Presque personne ne sait, même grosso modo, ce qui s’est passé le 17 octobre 1806 ni avant cela. Il y a deux raisons à cela, elles sont inclusives. La première est le caractère hautement secret de l’opération dans le sens qu’on intégrait très peu de gens dans le coup. Il y a des gens qui y participaient étroitement sans le savoir. Tout cela a commencé par l’envoi des espions français, des gens munis d‘une autre nationalité, par l’empereur Napoléon Bonaparte dans l’Empire d’AYITI. Sa Majesté Jacques 1er en est prévenu très tôt et a immédiatement pris des mesures appropriées. Point n’est besoin de dire que les espions sont bien couverts par des traites blancismités pour faciliter leur mission. Finalement l’assassinat a eu lieu par empoisonnement par l’intermédiaire du christianisme, principe de l’esclavagisation, et Alexandre Pétion. Celui-ci, par son amitié délétère, est le bras qui a permis le succès de l’opération. Napoléon Bonaparte comptait là-dessus parce qu’il était convaincu qu’ils ne pouvaient rien, sur le terrain de la guerre, contre le Général Jean Jacques Dessalines, l’Invincible, pour avoir essayé plus d’une fois mais en vain.
L’assassinat physique de Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines n’est pas une fin en soi. L’objectif est l’Ordre Ancestral Dessalinien de Protection, à savoir que le Muc est la finalité immédiate de l’Organisationnelle, mode d’être dans le monde conforme à l’Ordre Divin. Que faut-il entendre par-là? Il s’agit de l’anéantir avant sa consolidation par sa pratique car il représente une menace sérieuse pour les chances de l’hommalité, immédiatement le blancisme qui en émane. Ce qui s’ensuit tout de suite après, c’est l’interdiction de parler simplement de Jean Jacques Dessalines. On ne veut que personne sache même qu’il fut. C’est l’omerta. On pense pouvoir ainsi en venir à bout. C’est là ce qui explique le fait que presque personne ne soit bien imbu du 17 octobre 1806.
Cependant cela ne peut pas finir ainsi, un État est sorti de la Dessalinienne, dont la base est un océan de tortures. Ils se feraient prendre en un rien de temps. Certainement pas! Ils savent au moins ça. Il est convenu, dans ce cas, de parler mais d’autres choses. Ainsi ils ajoutent à l’assassinat physique un narratif pour rendre compte de l’état des choses selon leurs points de vue, un tohu bohu. Dans ce nouveau discours les pas de Jean Jacques Dessalines, grand contre-guerrier et Savant extraordinaire, sont supprimés. Il y a plusieurs auteurs, il y a donc forcément beaucoup de narratifs, qui souvent, trop souvent, se contredisent. Ceux-ci, malgré leurs contradictions, sont inventés pour remplacer l’histoire, celle de nos Ancêtres, ayant Jean Jacques Dessalines à sa tête. Pour donner une idée, on a renommé la Ville de Dessalines, Quartier-général de la Résistance Terrienne; on a transféré le lieu de la proclamation de l’indépendance; on a aussi modifié la date; nos Ancêtres n’ont pas fait l’indépendance, selon plusieurs, ce sont les teints clairs, lesquels voulaient plutôt se rapprocher des Français, au mieux, accéder à “l’humanité”, ici le point le plus important; enfin les insanités sont légion.
Que s’est-il vraiment passé après le 29 novembre 1803, naissance officielle de notre Nation? L’Éternel Vainqueur du blancisme et des autres esclavagistes, puisque Jean Jacques Dessalines lui-même, par sa Victoire, a dit : “J’ai vengé tous les mun éteints dans l’esclavagisation”, poursuivait ses réflexions, ses discussions, ses consultations et poser des actes en vue de la suite des choses. À Dessalines, le 31 décembre 1803, sous un grand Mapu, originaire de la nuit des temps, se réunissaient une foule d’Ancêtres pour préparer l’activité de demain. C’est sans nul doute le jour convenu. L’histoire, les habitantes et habitants de la Ville-Capitale, raconte qu’ils y sont restés jusques tard dans la nuit. Au retour du jour, soit le 1er janvier 1804, ici même, non aux Gonaïves, même si c’est la ville d’à côté, le corps des combattants et combattantes a pris place, il en sera de même le 1er janvier 1805 prochain ainsi que le 20 mai de la même année, pour poursuivre la Mission, une partie très importante d’elle, évidemment.
Qu’est-ce que c’est? Pourquoi sont-ils ici aujourd’hui? Que faisaient-ils hier à l’ombre du Mapu, puissance environnementale transformé en Cabinet de la Victoire? Jean Jacques Dessalines, le Centre de tout cela, nous éclairera lui-même : “il faut, par un dernier acte d'autorité nationale, assurer à jamais l'Empire de la liberté dans le pays qui nous a vu naître “. De tous les actes qui sont jusqu’ici posés, il en reste un, d’après ce qui est dit. Certaines personnes, excessivement brillantes, voient dans la réunion d’aujourd’hui la proclamation de “l’indépendance”. Cette proclamation peut-elle être le “dernier acte”? Certainement pas. Ce serait une absurdité. Elle est logiquement la première, celle qui ouvre la porte aux autres au niveau de la nation. Quel est le prédicat énoncé de l’acte en question? “L’autorité nationale”. En d’autres mots le “dernier acte” est “d’autorité nationale”. Il est clairement dit ici que celle-ci est déjà constituée par la proclamation de la Gwqmunité par l’Invincible Général Responsable du Peuple Ancestral Auto-constitué par la Volonté d’être Gwqmun en soi. Cela ne pouvait pas autrement. Tous les autres actes, la proclamation exceptée, sont de “l’autorité nationale”. La proclamation est ce sans quoi il n’y a pas “d’autorité nationale”. Jusqu’ici ça va très bien.
Il y a plus. Nous lisons au paragraphe suivant, dans la première idée du texte, ce qui suit : “... vous vous croyez libres et indépendans de cette république “. Il y a adéquation entre ce qui est souligné au paragraphe précédent et ce membre de phrase. La proclamation de l’Indépendance est chose ancienne. “La liberté”, être en dehors de l’entrave blanciste, et “l’Indépendance”, ne pas avoir à se soucier de la présence blanciste, ce sont des acquis dans la tête des Terriens et Terriennes. Nous pouvons dire que c’est loin tout ça. Le texte est clair là-dessus. La réunion d’aujourd’hui vise autre chose. Les choses sont en marche, elles se succèdent selon l’ordre logique. Le bnqy des gens est dans la stabilité de leurs croyances quotidiennes.
Il manque effectivement un dernier point d’une importance dessalinienne. Ils y arrivent. La connaissance négro-gelefwenne du monde est importante pour accéder à ce point. Ne cherchons pas longtemps. Le texte du discours l’énonce sans détour : “il faut enfin vivre indépendans ou mourir.” Nous ne cherchons pas à être Indépendant(e)s. Nous sommes dans un autre registre. Lions la connaissance avec la formule employée “il faut enfin ...”. Nous entrons dans une nouvelle phase; elle consiste à se gouverner soi-même. C’est sans issue, ou nous nous gouvernons nous-mêmes ou nous mourons! Voilà ce qu’il faut tirer de ce qui est exprimé! Il n’est pas question de devenir “indépendant” ou on “meurt”. Il n’y a pas à sortir delà. La phrase est énoncée tout de suite après l’expression “un dernier acte d’autorité nationale”. D’où son importance! Le mot pilier de la phrase, c’est “vivre”. Nous sommes “Indépendant(e)s” mais nous ne vivons pas en “Indépendant(e)s. Par l’adverbe “enfin”, qui peut être remplacé par “finalement”, cela ne peut plus durer ou cela touche à sa fin. Cela est une nécessité. L’obligation est immédiate, là, sur le champ. C’est ce qui n’était pas encore. Nous sommes ici pour cela, faut-il comprendre. La Gwqmunalité nous tient dans l’être, la Gwqmunité est notre capacité de nous gouverner nous-mêmes et le gouvernement effectif de nous-mêmes est la gestion de notre Gwqmunité, ce qui est l’Indépendance. Les Ancêtres n’agissent pas vaille que vaille.
Nous sommes maintenant habitué-e-s avec le vocabulaire dépendance et indépendance, interdépendance, immanence et transcendance. D’un côté il y a une partie de notre corps munal qui travaille avec lui-même en dehors de notre conscience de nous-mêmes, de l’autre, ce que nous appelons transcendance, indépendance, c’est la partie qui ne nous échappe pas, nos capacités, même si elle est de la masse. C’est la base de notre Ubuntu. Le Mun s’incline à travailler avec lui-même pour répondre à ses exigences. Les activités munales arrivent et s’exécutent en tant que quelque chose de massif. L’entrée en activité est la prise en charge de son être munal. C’est ce temps qui est finalement là. L’obligation vient du munal en soi. “Nous avons osé être libres, dit Jean Jacques Dessalines, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes”. L’être munal, dans cette proposition, est mis en exergue sous nos yeux. Nous entrons dans la sphère d’agir effectivement en nous-mêmes, par nous-mêmes et pour nous-mêmes. Tel est l’enseignement de notre corps munal, ce que nos Ancêtres sont en train de mettre en pratique. La production globale qui consiste à tout séparer, à tout donner à tous et toutes, à travailler pour toutes et tous indistinctement en passant par soi-même, c’est-à-dire que j’observe pour savoir ce qu’il faut à tous et toutes et que je mets en marche ma machine pour le rendre disponible, sans dépendre d’un autre que soi, sans ingérence de l’autorité à ce chapitre, etc., tout cela du tableau munal que nous avons devant nous.
L’obligation hic et nunc de monter notre cadre gouvernemental a poussé Jean Jacques Dessalines à commencer le discours par ce qui est inadmissible : “Citoyens, mes compatriotes (...) Le nom français lugubre encore nos contrées. Tout y retrace le souvenir des cruautés de ce peuple barbare ; nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française ; que dis-je, il existe des Français dans notre île, et vous vous croyez libres et indépendans de cette république “. Jean Jacques Dessalines parle du Pays, de notre Pays, qui n’est pas à faire mais qui est effectif. Tant et aussi longtemps qu’il n’y a pas de prise en main sa propre vie, il n’y a ni”liberté” ni “Indépendance”effectives, laisse-t-il entendre par là. Jean Jacques Dessalines attire l’attention sur le fait qu’il n’y a pas de gouvernement de soi, en soi, par soi et pour soi. L’ombre du Mal infini, la France ou le blancisme, est là. Cet enseignement est éternel. Jean Jacques Dessalines, l’Invincible, met, en évidence, d’entrée de jeu, la nécessité de la chose pour l’imposer ici et maintenant. Nous ne sommes pas dans l’arbitraire, ici. Il ne faut pas attendre, dit le Super Savant. Ne pas le faire, ce serait “quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves!” Nous la possédons maintenant la science de l”esclave”. Mais “cette république qui a combattu toutes les nations, il est vrai, mais qui n'a jamais vaincu celles qui ont voulu être libres”. C’est un grand style, la mémoire de ce que nous sommes émerge; les Vainqueurs. Alors notre situation est différente. Faut-il conclure que nous ne pouvons pas ne pas avoir notre propre gestion de l’Indépendance, donc de nous-mêmes. Ainsi “Marchons sur d'autres traces “. Il y a un autre point dessalinien. Ici le second sens de l’énoncé n’est pas un conseil mais un ordre. L’ordre est suivi d’un appel qu’il n’est pas possible de contester : “Généraux, et vous chefs, (...) le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance. Ici encore, “l’Indépendance” est donnée comme déjà faite. Mais ce qui est plus important à signaler, c’est le jour fixé, aujourd’hui! Hic et nunc! Nous entrons dans la fin des vielles habitudes.
“S'il pouvait exister parmi vous un cœur tiède, qu'il s'éloigne et tremble de prononcer le serment qui doit nous unir.
Jurons à l'univers entier, à la postérité, à nous-mêmes, de renoncer à jamais à la France, et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination,
de combattre jusqu'au dernier soupir pour l'indépendance de notre pays !”
“Prête donc entre ses mains le serment de vivre libre et Indépendant, et de préférer la mort à tout ce qui tendrait à te remettre sous le joug. Jure enfin de poursuivre à jamais les traîtres et les ennemis de ton Indépendance.”
Le mot “Vivre” revient!
La question de l’Indépendance, ce n’est pas parti pour reculer. Ce mouvement est inconnu à l’être munal puisqu’il est un de ses traits constitutifs. Quiconque doute de nos capacités à nous gouverner nous-mêmes, dans nos pensées propres, doit foutre le camp. Ici c’est le Pays des Négresses et Nègres, Terriennes et Terriens. Il n’y a pas de place pour vous. Ici, c’est le règne du Muc, le MUN. NOUS COMMANDONS!
“ Le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance.”
Ce n’est pas le jour de la proclamation de l’Indépendance mais celui qui doit l’éterniser. Cela sous-entend qu’elle y est déjà.
Jean Jacques Dessalines est à jamais la Figure de notre gouvernement de soi, en soi, par soi et pour soi. Il reçoit les SERMENTS d’engagement.
Nous sortions de la contre-guerre, il nous manquait de tout. Nous avons, une fois de plus, fait la preuve concrète de l’excellence de nos capacités dans la gestion d’une famine menaçante durant la première année de notre gouvernance. Sa Majesté l’Impératrice Claire Heureuse Dessalines a créé la soupe au giraumont pour servir de repas solide. Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines a conduit, en un an, l’Empire d’AYITI à la prospérité. Le 1er janvier 1805, il a réuni le Peuple dans la Capitale de l’Empire d’AYITI, Ville Dessalines, pour fêter ce grand succès .
C’est pour tout mettre cela en évidence que Jean Jacques Dessalines, le Fils élevé par Agbawaya Toya, a, le 1er janvier 1805, à Dessalines, Capitale Impériale, désigné le 1er Janvier comme Jour de l’Éternel Empire d’AYITI, le jour de l’entrée en scène du Gouvernement.
Le 1er janvier 2026 est consacré à la célébration de ce grand événement et la continuité de notre gouvernement, le Gouvernement de l’Empire d’AYITI, en nous-mêmes, par nous-mêmes, pour nous-mêmes. Préparez-vous à vous prendre en charge, suivant la Voie Ancestrale! Où que nous soyons, toutes et tous, fêtons notre Héritage Ancestral!
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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