Le message du 2 janvier 2016, Jour des Ancêtres Au nom des Ancêtres, notamment Jean-Jacques Dessalines.
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Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 3 V © Tous droits réservés
Le
message du 2 janvier 2016, Jour des Ancêtres
Au nom
des Ancêtres, notamment Jean-Jacques Dessalines.
« … que mon nom est devenu en horreur à tous les
peuples qui veulent l'esclavage, et que les despotes et les tyrans ne le
prononcent qu'en maudissant le jour qui m'a vu naître » Parole de
Dessalines, paroles lourdes de significations.
q =
an
u =
ou
w = r
⊗ = on
r =
ê
c =
in
h =
ch
e = é
Le calcul est bien conduit car cette prophétie est accomplie. En effet le
nom de Jean-Jacques Dessalines est cauchemardesque pour « les despotes,
les tyrans et les
esclavagistes ». On ne peut pas
s’empêcher de se demander quelle est la signification de cette proposition.
Pour accéder à l’intelligence des paroles de l’Éternel Vainqueur du
blancisme, il faut avoir la science de la politique, laquelle implique celle de
l’homme. La culture politique, théorique et pratique, établit une frontière
sémantique entre les trois appellations, savoir despote, tyran et esclavagiste. Au niveau qualitatif les mots despote et tyran ont le même
signifié alors qu’au niveau quantitatif ils s’éloignent l’un de l’autre. C’est
par leur propriété commune qu’ils rejoignent le terme esclavagiste. Pourtant un
despote comme un tyran peuvent ne pas être esclavagistes. Il est ici question d’un
autre prédicat de l’esclavagisme, lequel le différencie de celui que le tyran
et le despote ont en commun, soit l’application de la propriété commune aux
trois concepts au-delà de leurs frontières. C’est de cette propriété que parle Jean-Jacques
Dessalines en mettant despote, tyran et esclavagiste dans le même panier. Une
analyse sémantique minutieuse.
Quelle est l’intention véritable de cet attribut commun? C’est la
privation des gens de l’exploitation de leurs aptitudes en décidant à leur
place quelle doit être leur mode de vie. Cette privation est, sans nul doute,
une invasion de leur être, laquelle est une tentative de l’absorber,
c’est-à-dire le détruire. Ce qui se solde, en cas de victoire, par sa
domination. Là où il y a domination, il y a forcément distinction, hiérarchie et
inimitié entre les gens. Et ces caractéristiques sont la somme totale de l’être
des tyrans, despotes et esclavagistes.
Cela entraîne une situation
chaotique dans un cadre présentiel produit par Notre-Dieu. D’où la raison de la
Mission Divine de Jean-Jacques Dessalines, laquelle Mission consiste à faire
échec total-capital au désordre initié par l’entrée de l’homme, être mental,
dans le monde, c’est-à-dire désentraver notre constitution interne.
Puisque la Mission divine de Dessalines a pour objectif de contrer la
démarche hommale, Il est par le fait même l’ennemi de ces acteurs. Dessalines
comme Messie est à l’antipode de ceux-ci car Il signifie l’unité de l’être, sa
gwqmunalité, l’intégrité de son corps physique et son blrz. « En
combattant pour votre liberté – gwqmunalité -, dit Dessalines, j'ai travaillé à
mon propre bonheur - blrz». Cet énoncé à lui seul comporte tous les
éléments précités. Dans un autre contexte le Messie disait :
« J’ai vaincu toutes les races éteintes dans l’esclavage », dont le
terme juste est l’esclavagisation à cause du caractère chimérique du mot
« esclave ». C’est l’aspect lakortal, le Nous munal, de l’être de
Dessalines qui est ici mis en relief. Nous l’exprimons quotidiennement sous
cette forme : ne pas faire monter le Dessalines en moi. Les gens et
Dessalines ne font qu’un. La situation des gens d’en-face est exactement
contraire et contradictoire à la nôtre. Il est clair que la présence de
Dessalines dans le monde est pour eux une menace certaine.
Si Dessalines avait échoué dans Sa Mission, son échec aurait été l’objet
de gloire et de justification pour les despotes, les tyrans et les
esclavagistes, la trilogie bactérienne de la planète. Puisque tel n’est pas le
cas, le Missionnaire Divin a gagné la première manche et s’apprête à solidifier
Sa Victoire, le sentiment des indésirables envers Jean-Jacques Dessalines,
Éternel Vainqueur de l’hommalité, ici celle du blancisme, ne peut pas ne pas
être lourdement négatif. Le seul Nom de Dessalines évoque dans un camp
l’affirmation et appréciation de soi, et, dans un autre, le cauchemar. Il est
évident que ceux du dernier camp, composé des trois pians, auraient aimé que
l’Invincible Général ne soit pas né. L’Enfant des Mornes Cahos personnifie l’échec
total des despotes, des tyrans et des esclavagistes.
La
contre-attaque de la trilogie bactérienne
Il faut toujours avoir présent à la mémoire que l’homme ne se laisse pas rayer
facilement. Le cauchemar est sans nul doute une aversion, comme toute aversion
elle appelle une réaction. Voici celle des gens ici concernés face à Dessalines.
Pour eux l’affrontement ne fait que commencer. En effet l’ennemi, pour se
protéger contre le Vengeur et Libérateur, Jean-Jacques Dessalines, ce qui veut
dire faire échec à l’échec, Sa Mission Divine, décide de Le supprimer. Mouvement
on ne peut plus classique. Telle est la raison de l’assassinat physique de
l’Éternel Empereur.
Cependant l’ennemi, qui n’avait pas compris la solidarité entre l’être
des gens et celui de Dessalines, ne tardera pas à se rendre compte que le
parricide produit l’effet contraire, savoir qu’il solidifie la présence du
Messie dans la pensée des gens au lieu de la supprimer. Il entreprend alors une
nouvelle démarche consistant à attaquer la capacité de rétention des gens. Le
parricide est ce qu’il y a certes de plus facile dans le plan macabre.
Cependant au niveau mental, soit la pensée, c’est une autre paire de manche. Le
travail est extrêmement complexe. Ici encore, c’est l’échec cuisant qui attend
l’adversaire.
Comment procède-t-il, l’ennemi ?
Jacques 1er, quoi qu’assassiné,
est toujours présent dans la vie des gens comme si rien ne s’était passé. Le coup
est raté car Dessalines est toujours là. La première mesure pour faire échec à
cette présence est l’interdiction de dire son Nom, bref de parler de Dessalines.
Jean-Jacques Dessalines est frappé d’anathème au Pays de Toya-Dessalines. Ce n’est
qu’en 1844-45 qu’une brèche est faite, au mieux, que deux présidents de court
règne, Rivière Hérard et Pierrot, ont réparé la brèche en réintroduisant au
niveau officiel le Père de l’Empire de la Gwqmunalité. Il faut dire que le bannissement
de Dessalines dans l’histoire, l’histoire dont Il est le sujet, n’a eu d’effet
que dans un certain milieu bien déterminé, celui des antinègres et assassins du
Messie.
Ça va de soi, l’expulsion de Dessalines entraîne la
révision d’une multitude d’évènements, par exemple l’inexistence de la Ville de
Dessalines, Ville fondée en 1802 par Jean-Jacques Dessalines Lui-même, ce qui
nécessite le transfert de tous les évènements importants qui y sont attachés,
notamment le Quartier-général de la contre-guerre – plusieurs l’attribuent à la
Petite-Rivière de l’Artibonite, ville d’à-côté -, la création du drapeau en
février 1803 à la suite d’un article paru dans la Gazette de Port-au-Prince dont
Alexandre Pétion lui a envoyé un exemplaire à Son Quartier-général à la Ville
de Dessalines – on en fait don à l’Arcahaie -, la naissance du Pays à
Dessalines le 29 novembre 1803 par la proclamation de la Gwqmunité du Peuple
Vainqueur – quand ce n’est pas Fort-liberté, toujours à la même date, c’est la
ville des Gonaïves qui en hérite à cause de la grande réunion du 1er
janvier 1804 pour la présentation du Général Vainqueur comme Administrateur en
Chef et son équipe, ce qu’Il appelle Lui-même « un dernier acte d'autorité nationale, assurer à jamais
l'empire de la liberté dans le pays qui nous a vus naître » et qu’Il
qualifie, ce jour tant attendu, de « jour
qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance » ; ces deux
propositions laissent clairement entendre que le Pays est déjà érigé, avant
cette date, et que l’Administration par soi, pour soi et en soi est ce qui lui
manquait -, la reconnaissance plus tard de l’existence de la Ville de
Dessalines pour attribuer tout de suite sa fondation à un des colons, Marchand
Laville, dont la plantation se trouve à quelques kilomètres plus loin au milieu
d’autres plantations, ce qui est une absurdité, et lui fait porter son nom –
une offensive dans les moindres détails – et -puisque le Pays est là et qu’il
ne pouvait pas être là depuis toujours, il lui faut un fondateur ; on ne
peut pas en parler en faisant semblant d’oublier Jean-Jacques Dessalines - la
minimisation du rôle de l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines. Le
Général Dessalines n’est plus à l’origine de l’affrontement avec l’expédition
française dirigée par le général Emmanuel Leclerc, beau-frère de Napoléon
Bonaparte, mais Celui qui s’y joint en cours de route. Pour certains, Alexandre
Pétion en est l’initiateur – tout porte à croire que ces gens oublient que
Pétion est revenu en Ayiti avec l’expédition en question comme un de ses
soldats français -, pour d’autres, c’est Henry Christophe, celui qui parle fort
mais qui n’a jamais remporté une seule victoire sur le champ de bataille – on aura
tout vu. Et ce n’est pas le dernier Titanic. Il y en a qui remontent jusqu’à
Toussaint L’Ouverture pour en faire tantôt le fondateur, tantôt le co-fondateur
d’Haïti. Je dis bien, Toussaint L’Ouverture, le nègre à blanc, qui s’est vu
confier la fonction de gouverneur de la colonie par Félicité-Léger Sonthonax,
fin politicien français, et qui a fait au Directoire, gouvernement français, la
promesse de la « soumission de ses frères les noirs » et de qui
disait Napoléon Bonaparte, en 1816, sur l’Île Sainte-Hélène : « j’aurais
dû continuer de gouverner par Toussaint ». On aura bien compris qu’il y en a en tout
quatre fondateurs. Jean-Jacques Dessalines, selon le dernier consensus est un
des pères de la nation d’Haïti. Une homosexualité idéologique pititrale.
Quand on s’éloigne de la Volonté de Notre-Dieu, Bon-Dieu, Celui en qui ultimement
repose l’Empire de Toya-Dessalines - les facultés intellectuelles tombent de
toute évidence en panne car la seule et unique constitution d’Ayiti, promulguée
en 1805, au nom des combattantes et combattants, affirme sans ambages que
Jean-Jacques Dessalines est « le Vengeur et Libérateur », le Père de
l’Empire - le déterminant « le » est ici un singleton – et que, conformément
à l’article de la constitution, ils
accusent de parricide les assassins de l’Éternel Empereur Jean-Jacques
Dessalines, notamment Alexandre Pétion et Henry Christophe. Le général Goman,
quoi qu’ennemi de Dessalines, prendra les armes contre Pétion parce qu’il a
assassiné Celui qui nous avait donné un Pays, c’est-à-dire Jean-Jacques
Dessalines.
L’offensive de l’ennemi vise à détruire l’œuvre
Grandiose de Dessalines, l’Empire de la Gwqmunalité, afin de restaurer le règne
du despotisme, de la tyrannie et de l’esclavagisme. La destruction de l’œuvre passe
par la suppression de Jean-Jacques Dessalines.
Cette agression contre Jean-Jacques
Dessalines Plus Que Grand est nécessairement une agression contre nos Ancêtres
à cause de leur unité d’être en Dessalines. Pour attaquer les Ancêtres, il suffit de s’en prendre
à l’Invincible Général et Éternel Vainqueur de Napoléon Bonaparte. Cette agression continue est aussi une
agression contre le CHOIX de nos Ancêtres, à savoir l’Ancestralité comme mode d’existence
dans le monde, lieu du blrz.
En ce samedi 2 janvier 2016, Jour des Ancêtres,
quelle est votre camp, Hommalité, dont le blancisme est la plus haute expression
et la source de tous vos malheurs, ou Munalité, dont l’Ancestralité est le
miroir à travers l’Être de Dessalines?
L’ennemi est sans cesse en action, et nous
aussi. Nous sommes les enfants de la Victoire.
La révolution est en marche dans le monde
ancestral pour un retour à l’ordre ofowu, dont l’ordre ancestral est le
décalque.
HRH Prince Tiécoura Jean
Dessalines D’Orléans
7e de la
Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse
Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et
l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme
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