FINI LE VERBIAGE STÉRILE, LE BLUFF DIALOGIQUE, UN CONSTAT FAIT LE 17 OCTOBRE 2017
La Famille
Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = z © Tous droits
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FINI LE VERBIAGE STÉRILE, LE BLUFF DIALOGIQUE
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h = ch
e = é
LE GRAND INTÉRÊT QUE VOUS PORTEZ AU MESSAGE DU 17 OCTOBRE 2017 EN
EST LA PREUVE TANGIBLE.
Il n’y a là rien
d’étonnant car la détérioration considérable, ce à un rythme vertigineux, des
conditions de vie sur la planète – il est aussi question du gwqmuntrt qui est
sous un constant assaut d’une plus grande ampleur et plus aiguë que celui qui a
conduit à la première version de la colonisation sauvage blanciste, il y a plus
de cinq cents ans –, la menace réelle de disparition future d’autres peuples,
le nôtre en tête de liste, et la Mission Divine de Jean Jacques Dessalines en
rapport avec ces agressions qui nous revient pleinement parce que nous sommes
le Peuple de l’Éternel Empire d’Ayti et qu’il, le Vengeur et le Libérateur, Est
dans toute sa puissance en nous, ont boosté illico votre Gwqmunalité.
Il n’y a pas de peuple
ou de groupe constitué sans projet, vous le savez très bien déjà. Maintenant
vous connaissez le vôtre. Si colossal soit-il, il vous incombe de l’accomplir.
Il est le sens de votre vie. En dehors de votre projet collectif, ce qui est à
la base de votre Groupe ou NqhÄ,
vous n’êtes que des riens. On n’intègre pas le projet des autres car il ne nous
comprend pas en tant qu’être à part entière. Nous ne sommes qu’en nous-mêmes.
C’est cela être en soi, par soi et pour soi. Cela est un des mbwa de l’être. Ce
mbwa est l’objet de la lutte de l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean
Jacques Dessalines. Il est alors le nôtre, nous qui sommes son Peuple, principe
de notre force ainsi que notre Grandeur dans le monde. Que vous ne puissiez pas
être absentes, absents sur la scène de la Gwqmunalité, cela est
compréhensible.
Quiconque est en dehors
de cette pensée n’est pas en soi et, par conséquent, ne peut, en aucun cas, se
prononcer sur le fait d’être. Il ou elle n’en a aucune idée et est
incontestablement une propriété d’un(e) autre que soi. On ne peut pas en parler
comme un être en soi. Un tel être est un monstre et, partant, un gordrm,
étranger au La.
Beaucoup de gens gagas,
qui ont une conscience blafarde d’eux-mêmes ou leur être, affirment, de façon
éhontée, et ça va de soi, leur sous-être, soit le fait d’être des riens,
d’autres cherchent constamment à le dissimuler par le verbiage, consistant à
critiquer, dans leur salon, donc à voix basse, le prédateur à nul autre pareil.
La première catégorie ne pose aucun problème car ils assument leur choix. C’est
la deuxième qu’il convient de dénoncer.
Les deux groupes de
gens sont des branches du même arbre. Ce n’est qu’en apparence qu’ils
s’opposent l’un à l’autre. Le premier prend fait et cause pour la Bactérie. Il
le fait sur la place publique. Il lutte pour le maintien et le succès du
système malencontreux. Le second fait la même chose mais autrement. Par son
attitude d’opposant, il canalise l’animosité de la multitude agressée envers
l’agresseur.
Quel est l’objectif? Le
dialogue entre les gens du deuxième groupe et les agressé(e)s a pour but de
centraliser la volonté de repousser l’adversaire pour la vaincre ensuite en
l’entraînant au bord de l’inactivité. Autrement dit, le dialogue, qui prend la
forme d’exprimer aux agressé(e)s leur insatisfaction et leur haine envers
l’envahisseur mais sans aller plus loin, vise à garantir au blancisme une
continuité dans son offensive contre la négro-jelefweité sans risque aucun.
Qu’on se le dise tout
haut, le verbiage n’est pas une lutte mais une anti-lutte. Parler pour parler,
et rien que cela, est une contre lutte. On reste cloîtré(e) dans le dire, sans
rien d’autre. Pendant ce temps l’ennemi de notre être travaille sans relâche à
notre destruction. S’enfermer dans le discours, c’est se complaire dans le Mal
dénoncé. C’est alors œuvrer en vue de sa perpétuation.
Fini le bluff
dialogique. La lutte réside dans la praxis, un autre mbwa de l’être. C’est cet
élan qui est à la source de l’intérêt exceptionnel que vous portez si nombreux
au message du 17 octobre 2017.
Arrive enfin la fin des
malheurs, surtout nos malheurs. Désormais la planète pourra respirer.
L’effet du point final
que nos Ancêtres, les Braves, sous la Direction de l’Invincible Général et
Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, avaient mis au système d’invasion des
peuples et la cime de l’horreur initié par le blancisme, la plus haute
expression de l’homme, s’amenuisait par le parricide et l’avènement de la
horde-républicaine. Le blancisme avait du vent dans les voiles et maintenait
une pluie d’horreurs indicible sur la planète et particulièrement les
Négro-jelefweennes et Négro-gelefweens. Avec l’entrée en scène du Grand Peuple
Nègre de la planète par l’intermédiaire du Peuple Impérial d’Ayti, le Peuple de
Dessalines, les choses désormais rentreront dans l’ordre ofowu.
Chacune-chacun, pour
mener à bien et à terme la Mission Divine qui nous incombe, a besoin de rentrer
en soi-même pour s’évaluer ainsi que les possibilités qui s’offrent à son bÄnqy. Le 17 octobre,
spécialement cette année, 2017, à l’occasion du premier anniversaire du
Rétablissement de l’Administration Impériale, est le jour convenable.
BONNE MÉDITATION !
Pour la Maison
Impériale Dessalines
HRH Sa Majesté
Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire
Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et
professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment
du blancisme, et la collectivité munale, existentialisme vudun
Blog de Tiécoura
Dessalines :
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