LE BLANCISME, UNE GUERRE RACIALE, UNE GUERRE D’EXTERMINATION


La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 q =  t © Tous droits réservés
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LE BLANCISME, UNE GUERRE RACIALE,
UNE GUERRE D'EXTERMINATION,
ET LA RAISON DE LA NAISSANCE DE DESSALINES



 
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LE SAVIEZ-VOUS ?

Ce qui était, à l’aube de notre éveil de soi (le lakort munal, soit l’ordre du Nous), le fruit d’un mauvais calcul, je parle de la connaissance de soi, l’hommalité, et dont l’analyse, suivant le mode du connaître, devait être reprise, après maintes expériences négatives, pour arriver au dqmbala, connaissance vraie, s’est finalement, contre toutes les contradictions et les tourments sans nombre, fait mentalement être. Cette fausseté, dans plusieurs contrées, est connue sous le vocable homme : tendance politique, c’est-à-dire volonté de soumettre les autres à soi, volonté ayant pour corollaire le refus de se laisser subjuguer par les autres. L’homme est une conception hiérarchique de soi et la réalité. Le non-sens, dans ces régions, a atteint son apogée dans l’appréciation positive et irrelative de l’homme, savoir que la chose est telle qu’elle doit être. On a ainsi prêté une dqmbalaïté (dqmbalaité) à une vacuité.  

Quelle est la justification de cette affirmation ? Elle s’enracine dans la religion et la science. Notons que le mot de science n’est pas en soi une valeur de vérité, savoir la logique du discours et son adéquation avec la réalité (l’extramentalité), il réfère plutôt à une méthode. Aussi une science peut ne pas être un dqmbala. Ceci étant dit, revenons à la religion comme fondement de l’être de l’homme. Point n’est besoin de signaler que la religion est inapte à justifier quoi que ce soit. Elle est un mode de vie tiré de la substance hommale. Tout ce qu’elle dit de l’homme est une autojustification.

L’homme parle d’un dieu gendarme auquel il accorde arbitrairement une valeur de principe de toutes choses,    et par conséquent le titre de propriétaire exclusif – c’est la mise en relief d’une structure hiérarchique du monde, dominant/dominé -, puis à l’image de qui, le point essentiel, il est créé, ce qui fait de lui, selon cette logique, la figure divine sur la terre. L’homme pose ainsi la raison de sa structure d’être, la tendance politique. Par cette appropriation on voit bien que c’est l’homme qui a créé dieu à son image.

Le premier discours scientifique est et reste aussi collé à la nature de l’homme, soit sa substance politique (hiérarchisée). Il est énoncé dans la droite ligne du discours religieux. Ce discours donne à l’homme une structure binaire dont l’un des éléments est animal, c’est-à-dire lié à la matière et partant à la terre, et l’autre divin parce qu’esprit. La domination de l’homme sur la terre relève de cette partie. Le second discours scientifique le plus populaire n’en fait pas exception, il a sa base dans la religion, à savoir que le salut est personnel, et fait de l’homme, par ce socle, un être naturellement individualiste. Il centre l’homme sur lui-même et à la tête de toutes choses en lui attribuant une substance tripartite, dont chaque élément se nomme droit : droit à la vie (l’élément premier et la finalité de l’homme), droit à la liberté (la raison ou les facultés supérieures, la conquête et le respect des prescriptions rationnelles) et droit à la possession totale, soit le propriétaire de toutes choses. Ces trois droits fondamentaux, cette substance, font de l’homme, réduit à l’individu, l’être dominant de la terre, y compris les autres hommes. En matière d’anthropologie tout chemin mène à Rome.

Alors l’homme, à travers la science de l’homme, reproduit l’homme. C’est delà que résulte l’idée positive de l’homme, c’est-à-dire l’idée de domination par l’homme.

Comme l’homme réfléchit à l’avantage de l’homme, le groupe de gens sujet de la réflexion pense l’homme en leur faveur. En effet ils se déclarent les seuls hommes de la terre. Ainsi à la substance politique génératrice de l’homme s’ajoutent, d’abord la raison, source de toutes les capacités dites supérieures parce qu’elles sont propres à l’esprit ou à dieu, et ensuite le teint, et pour une spécificité plus restreinte, le blanc comme teint, la culture, les langues et le lieu, Europe. Bravo !

Cela implique, de toute évidence, une segmentation de l’ordre du Nous, le lakort munal. Il est divisé en deux groupes distincts malgré leur communauté perceptible. On arrive à la bipartition en partant de l’élément divin, parce que fait à l’image de dieux, soit le blanc. On est soit blanc ou noir. Le blanc, parce que divin, est accompli, il est par conséquent monolithique. Les autres sont tous matière, à donner forme, et ils sont donc noirs. Il y en a qui le sont moins que d’autres. Ce n’est pas une question de degré mais de variété.

Ainsi apparaît la notion de race pour bien classer les gens; autant de variétés, autant de races. Mais il n’y a aucune énonciation de frontières. Ce qui rend problématique la chose. Parait-il que cela n’est d’aucune importance pour l’objectif à atteindre.

Puisque aucun corps des corps composant le Corps munal n’est prédisposé à se laisser subjuguer ou dominer par les autres et que le discours est sans effet sur l’extérieur, une collaboration s’impose pour contraindre les gens-pas-comme-nous à accepter le verdict divin et naturel. Comme l’homme n’est pas et qu’il n’y a que des hommes, des semblants, bref des individus, qui sont des indépendantes libertés sauvages, il faut un consensus. Et cela débouche sur le blancisme.  

Le blancisme, au niveau du caractère disparate des hommes, est, comme la notion de races qui le précède et qui en est même le préalable nécessaire, une stratégie hommale et, au niveau du consensus et la praxis, il est une guerre raciale.

La logique exige, les hommes, autoproclamés, plus précisément les blancistes, s’énoncent unilatéralement en seuls normes, maîtres et possesseurs de la terre. Il s’ensuit qu’ils sont les seuls à avoir de droits parce que ceux-ci sont leur substance d’être. Par le droit de liberté, un droit inscrit en eux, qui est l’autorisation divine et naturelle de recourir, selon bon leur semble, à leurs facultés supérieures pour faire advenir leur être (chimérique) dans le monde, cette tendance politique, ils exproprient, d’abord, par le simple discours, la Gwqmunalité - Mbwa de l’être consistant à se mener soi-même, en soi-même et pour soi-même - des gens de toutes les races distinctes, ce qui signifie qu’ils expulsent les gens d’eux-mêmes, et des lieux qu’ils habitent en les envahissant. Et c’est l’état de guerre planétaire, initié par l’homme, au mieux, les hommes, soit le blancisme. Personne ni aucun groupe, où qu’on soit, n’est exempt. Religion et science accompagnent les guerriers dans leur tâche de créer l’homme, la tendance politique.

Personne ni aucun groupe, quoique habitué à l’affrontement mais limité, ne voyait venir le blancisme, la guerre raciale, une opération d’extermination, soit se faire en défaisant les autres. Les peuples qui ne connaissent presque pas de conflit n’y étaient certes pas préparés et disparaissent sous le déferlement des hommes, les blancistes. Un exemple de ces peuples, les Arawak des Antilles. En Ayti seulement ces peuples comptaient un million de gens au moment de l’invasion de ces coquerelles venimeuses. Christophe Colomb et son équipage ont débarqué sur l’Île et, les habitantes et habitants qui ignoraient leur intention sinistre, les ont reçus à bras ouverts. Peu de temps après l’accueil, Colomb est rentré en Europe pour un compte rendu et est retourné en Ayti à la tête d’une armée de 20 000 hommes, armés jusqu’aux dents pour exterminer les Arawak afin de prendre possession de l’Île. Mission sera accomplie. LES PEUPLES Arawak sont remplacés par les Négresses et Nègres, victimes eux aussi de la ruse des hommes. Il y a deux-cents millions de razzié(e)s et déporté(e)s, dont la majorité est assassinée pendant la traversée. Par exemple pour le seul territoire d’Ayti appelé ridiculement Saint-Domingue, les blancistes ont kidnappé 15 000 000 de nos Ancêtres, 1 colonie. De ce nombre 5.5 sont jetés à la mer au cours de la traversée sous prétexte que les bateaux étaient trop chargés et qu'il fallait les alléger. II me semble que cela ne pouvait arriver qu'une seule fois là où on a affaire à des gens qui pensent non pas régulièrement. 4.5 sont arrivé(e)s dans l'île. Le dernier recensement a révélé qu'il en restait 600 000. Les Nègres et Négresses ne sont pas morts de mort naturelle, ils ont été assassinés, des faits quotidiens. En plus de cela ils étaient soumis à la cime de l’horreur. Pour en donner une idée : viol systématique; suant sang et eau sous les coups de fouet; les enterrer vivants debout jusque au cou et la tête imbibée de graisse pour être mangé(e)s par les fourmis; les bourrer de poudre à canon pour être explosé(e)s ensuite; les enflammer vivants; les livrer aux chiens anthropophages; châtiment du blanchiment, lequel consiste à enlever la peau foncée jusqu’à ce que mort s’ensuive. Après la guerre conduisant à l’aération de notre sphère existentielle, Jean Jacques Dessalines, l’Arrêtoir du blancisme, a commandé un recensement. Il en restait 380 000. On a perdu presque la moitié, faute d’armes. Très peu de peuples sont parvenus à traverser cette innommable opération. Des faits de cet ordre peuplent la planète. Chaque peuple qui a survécu à l’assaut des hommes a une histoire d’horreur de ce genre à raconter. Suivant l’opération blanciste, il faut s’emparer des territoires, retenir prisonniers et prisonnières un certain nombre de gens pour l’esclavagisation et la domination, puis supprimer physiquement tous les autres, soit la vaste majorité.

Pour ce qui est des peuples qui connaissent les conflits plus ou moins importants, ils résistent tant bien que mal au raz-de-marée blanciste et mettent ipso facto en échec le processus de destruction systématique. Alors là entrent en action la religion et la science, là où elles ne précèdent pas les génocidaires blancistes, pour démanteler la façon dont ces peuples se situent dans le monde, soit leur mode de vie, qui représente l’obstacle, et leurs capacités artificielles de contrer la guerre, par des raisonnements truqués et la ruse, une des choses initiales de l’homme.

Face à l’impossibilité de réussir cette sortie contre les peuples, on pensait que le blancisme allait renoncer à lui-même. Malheureusement il est un être unidirectionnel et il n’est qu’irrésistible inclination à se faire. Les blancistes ont depuis eu recours à la conjonctionnelle, soit l’enchâssement par la corruption d’un petit groupe de gens, vulnérables par une trop forte hommalité en eux, pour s’en servir comme agents de déstabilisation internes. Le progrès se fait attendre car les peuples ne se laissent pas vaincre.

En réponse à l’invincibilité dont font preuve les peuples, les blancistes s’accordent avec la conjonctionnelle pour injecter toutes sortes de maladies dans un nombre illimité de citoyens et citoyennes en vue de les supprimer autrement. Le blancisme, par l’intermédiaire de ses sbires, empoisonne les récoltes et détruit les terres. L’opération est en marche, là encore le succès n’est pas à l’horizon. Parmi ces maladies, il faut mentionner les virus d’Ébola et du SIDA ainsi que le choléra. Je parle de ces maladies parce que les Négresses et Nègres sont en première ligne. Les autres peuples raconteront eux-mêmes leur histoire d’horreur respective. Pour la première fois de notre présence le choléra a fait récemment son entrée en Ayti. Il y est sciemment importé par l’ONU, Organisation des Nations-Unies. On a récemment tenté d’y importer également le virus d’Ébola. Òù en est-il avec ce projet? Les blancistes sont les seuls à le savoir. Veillons! Le virus d’Ébola est inventé dans le cadre d’eliminrgyo. Il en est de même du virus du SIDA, inventé au Canada dans les laboratoires de l’université d’Alberta, selon les publications des milieux bien informés. Le blancisme tue par la malnutrition et la famine. Au Gelefwe, appelé improprement Afrique par les hommes, les blancistes suppriment des cultures vivrières en retenant les bonnes terres pour autres choses qui leur sont utiles quand ce n’est pas au profit de la monoculture pour leurs besoins propres. En Ayti, pays d’agriculture, ils inondent le marché de leurs produits à bon marché, au début, poussant ainsi les agricultrices et agriculteurs aux faillites. Ils ont offert, cette année encore, leur aide à ceux et celles qui se maintenaient malgré tout en leur donnant gratuitement des plants mais empoisonnés. La majorité de celles et ceux qui avaient accepté, sous l’insistance de la conjonctionnelle, ont perdu leur récolte entière. Plusieurs terres sont endommagées, d’autres sont carrément inutilisables. Les blancistes, depuis des années déjà, ont supprimé le cheptel sous prétexte que les bêtes étaient malades. La faune et la flore sont inexistantes en Ayti, les blancistes les ont détruites depuis quelques années déjà. Il n’y a pas si longtemps de cela, nous étions autosuffisant(e)s en productions alimentaires en Ayti. Il n’y a aucune autre source, les usines, sans qu’on ne sache pourquoi, sont fermées. Toutes tentatives de les remettre en marche butent toujours contre un problème épineux. Pourtant elles fonctionnaient à plein rendement. Imaginons le désastre qui est en chemin.

Les nouvelles armes des blancistes contre les peuples sont l’imitation des catastrophes naturelles, tornade, cyclone, tempête, tremblement de terre, etc. Fait étrange, les cyclones, souvent dévastateurs, nous rendent fréquemment visite en Ayti. Le 12 janvier 2010 les États-Unis d’Amérique ont fait trembler la terre en Ayti. Plusieurs scientifiques se sont empressés de confirmer la naturalité du séisme, d’autres ont affirmé que les plaques n’ont pas bougé. Ce qui confirme la main de l’homme. Les premiers scientifiques sont ceux et celles qui accompagnent les blancistes dans leur opération dépravée. Des centaines de milliers d’Aytiens et Aytiennes ont péri, des gens de tous les milieux sociaux.

Les dirigeants et dirigeantes blancistes étaient au courant de ce qui allait se passer en Ayti le 12 janvier 2010. Ils s’attendaient à ce que les populations mondiales réagissent en faveur d’Ayti. Pour récupérer les sommes d’argent qu’elles donneraient, ils ont mandaté leurs organismes pour recueillir l’argent à la place des dirigeants et dirigeantes aytiens, ils ont aussi nommé Bill Clinton pour s’en occuper à dessein de détourner les fonds. Bill Clinton, au dire du peuple en Ayti, a bien fait son travail, celui pour lequel les blancistes l’avaient nommé. On parle de plusieurs milliards de dollars. Il y a une logique dans le comportement des dirigeantes et dirigeants blancistes. Pourquoi secourrions-nous les gens, se disent-ils, que nous voulons rayer de la surface de la terre par notre action, le séisme artificiel ? 

On rapporte que toutes les 12 minutes les États-Unis, au vu et au su de tous les gouvernants blancistes de la planète, larguent une bombe sur des peuples de la terre, ce qui signifie des milliers de morts quotidiennement. Un président états-unien qui tombe dans l’opinion publique de son pays pour mauvaise gestion, invente un conflit international, parce que les blancistes ont toujours des ennemis, et envoie les commandos de terroristes larguer des bombes sur les gens de ce pays pour pouvoir remonter tout de suite dans les sondages. L’ex-président Bill Clinton  recourait sans cesse à cette tactique à chaque scandale sexuel pour se faire oublier. Rien que pour cela, il faut des morts. Quelle est la valeur êtrale des non-blancs ? Aucune. Cela en dit long sur les peuples aux pays blancistes. Les blancistes trouvent, aujourd’hui encore, cela tout à fait normal.Quel mental sinueux est celui des blancistes !

Sous de faux prétextes les blancistes cherchent à être présents dans tous les pays et au sein de tous les gouvernements au détriment des peuples. Les dirigeants et dirigeantes qui s’y opposent deviennent automatiquement des arbres à abattre. Ils racontent toutes sortes de monstruosités à leur sujet. Ils sont secondés par la conjonctionnelle dans ce sale boulot. 

Les blancistes ne respectent ni leurs lois nationales ni leurs lois internationales. Ils sont non liés. S'ils veulent larguer leurs bombes meurtrières sur un peuple dont ils accusent de n'importe quoi et qu'ils voient la possibilité d'être bloqués par un des leurs au conseil de sécurité, question d'intérêt, avant tout ce sont des hommes, ils passent outre. Ils y vont avec leur projet d'assassinat. Quoi de plus idiot! Comment attacher une crédibilité quelconque à un tel organisme si ceux qui y font la pluie et le beau au désavantage des peuples de la planète crachent dessus. De quel endroit arrivent-ils ces indescriptibles monstres, des gens qui n'ont aucune constance, si ce n'est celle de détruire pour être? 

Dans toutes les organisations internationales les blancistes tentent de prendre la direction afin de dicter leur politique au désavantage des peuples. Aucune de ces organisations n’est d’une utilité quelconque pour ces pays. Elles légifèrent toujours contre leurs intérêts propres. L’Organisation des Nations-Unies qui avait pour but de faire échec à la guerre est devenue l’instrument de celle-ci parce que les blancistes y règnent en maîtres. Elle ne devait pas non plus s’ingérer dans les affaires internes des pays, plus maintenant. Les blancistes s’en servent pour y foutre la pagaille afin de les envahir légalement. En voilà, des bandit-légal. L’ONU tue, même massivement, et elle a même rétabli, par sa Déclaration Universelle des droits de l’homme de 1948 - quoi de plus logique -, l’esclavage pourtant aboli par l’Infiniment Grand, l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines.

Dans tous les coins de la planète les blancistes, les seules associations, ont des bases militaires, prêtes à agresser les peuples. Naturellement pour l’efficacité de leurs commandos de terroristes ils s’opposent à l’armement des peuples, surtout des armes dangereusement destructrices. Ils veulent être les seuls à posséder de telles armes pour pouvoir mener à terme leur mission de mort sur la terre, NOTRE TERRE. Et l’ONU marche côte à côte avec eux pour leur supériorité en armement au bénéfice de leur guerre de réification de soi, le soi hommal.

Dirigeantes et dirigeants, que faites-vous dans cet organisme dont la vocation est de semer la pagaille au sein de vos peuples  ainsi que les tuer pour le compte du blancisme, une horreur institutionnelle? Êtes-vous de la conjonctionnelle ? Complotez-vous contre la vie de vos peuples au profit de ces associations de bandit-légal? Votre mandat n’est-il pas de les protéger contre ces pestes mordantes à l’excès ?

Le Pays d’Ayti, dont la population s’élève à 12 millions,  occupe une toute petite partie de l’Île du même nom et des petites Îles adjacentes. Le Canada, la France, l’Allemagne, l’Angleterre, les États-Unis se partagent le petit territoire alors qu’il n’y a pas assez  d’espace pour loger la population. Notre or, notre pierre noire, notre pétrole et toutes les autres ressources dont regorge notre territoire, ils veulent mettre la main sur la totalité de ce qui s’y trouve et qui appartient au Peuple pour vivre. Quel est le message qu’ils envoient au Peuple de Dessalines ? Quel est le message qu’ils envoient aux peuples de la terre ? Au Gelefwe, notre continent ancestral, les blancistes expulsent des peuples de leur territoire respectif pour s’emparer des ressources du sous-sol. C’est un pensez-y-bien.

Les blancistes ne se constituent pas en pays mais en associations de bandits, des organisations criminelles. La vertu, dans la sphère blanciste, est d’être le plus grand criminel, la plus grande criminelle. L’art de tuer est ce qu’il y a de plus prisé. Le plus grand discours dans cette sphère morbide porte sur ses fières capacités de tuer des gens. On en parle au grand jour ? Quelle conscience d’être ! Le blancisme est une civilisation de la criminalité positive, il est, par la guerre raciale qui le caractérise, la plus grande peste que la terre ait jamais connue. La présence des blancs remonte à six mille ans, et déjà en sont sortis les êtres les plus vils et les plus dégueulasses qui soient, des tigres altérés de sang, des cannibales, la racaille de la terre. Quelle horreur !    

Les peuples de la planète terre sont en guerre continuelle car le blancisme, verte épidémie, est une guerre raciale, ce qu’il y a de plus impur dans la vie.

Peuples de la terre, ouvrez l’œil car vous êtes en guerre, une ignoble guerre initiée par les blancistes. Sachez qu’est aussi avec vous l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, Empire de Toya-Dessalines. Gardez toujours présent à la mémoire que nous sommes les indigènes de la planète terre, plus de 20 000 ans de présence négro-gelefweenne, peut-être plus.

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :  

HRH Sa Majesté Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.


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