Le message du 20 septembre 2018, Dessalines une naissance exceptionnelle, un don fait à la terre



La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 q =  y © Tous droits réservés




VI


LA FIGURE DE L’ÊTRE INVARIABLEMENT DEBOUT
ET L’ARCHÉTYPE : JEAN JACQUES DESSALINES,
 DEUX-CENTS SOIXANTE ANS DÉJÀ,
20 SEPTEMBRE 1758 - 20 SEPTEMBRE 2018
QUEL DON DIVIN !
 
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 = on
r = ê
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e = é



La naissance de Jean Jacques Dessalines,
Infiniment Grand ou Plus Que Grand, 
est la réponse de la munalité, par l’Ancestralité,

à l’hommalité, particulièrement au blancisme et ses pairs.


Quand on parle de l’hommalité et son dérivé, le blancisme, il est question d’une vison binaire de l’ordre du Nous, soit a) « Beau, brillant, bon, meilleur, grandeur, imbattable, et supérieur » versus b) «Laid, nul, mauvais, pire, faible, bassesse, et inférieur». Le blancisme, étant le locuteur, s’identifie tout bonnement au point « a » et le point « b » va ipso facto aux non blancs ou gens-pas-comme-nous, comme il se plaît à les appeler. Sans détour le blancisme bafoue, à son propre bénéfice, la constitution interne de l’ordre du Nous, le lakort munal.

Arrive Jean Jacques Dessalines; il prend note de la situation et se charge de faire respecter la constitution interne. Dessalines n’est ni le seul ni le premier à entreprendre cette démarche grandiose. Sa spécificité est de procéder sans faille aucune et avec panache. Il en est ainsi parce que Jean Jacques Dessalines, Enfant des Mornes Cahos et élevé par Agbawaya Toya, a accédé, à l’ombre de sa préceptrice, à la plus haute représentation de la réalité. Le blancisme n’est pas au bout de ses peines.

Jean Jacques Dessalines ne manquera pas de faire connaître, avec certitude,  son exceptionnelle Grandeur au blancisme.  En octobre 1802, étant instruit de ce qui s’est passé à la Petite-Rivière, le général français, Quentin, commandant de la ville de Saint-Marc, adresse une lettre à Dessalines. “Il lui manda, dit Boisrond, que des bruits auxquels il ne pouvait ajouter foi, lui apprenaient qu’il avait levé l’étendard de la révolte contre le gouvernement français, mais qu’il le connaissait trop pour le soupçonner capable d’une conduite aussi opposée à ses intérêts et à ceux de ses troupes. Dessalines lui répond: “J’ai arboré l’étendard de la révolte (Résistance) parce qu’il est tems d’apprendre aux Français qu’ils sont des monstres que cette terre dévore trop lentement pour le bonheur de l’humanité (la munalité). J’ai pris la Petite-Rivière et les Gonaïves; demain je marche contre Saint-Marc”. Ce que la terre a mis trop de temps à faire, l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines se charge de le faire à sa place. En apprenant la nouvelle, Le général Victor Emmanuel Leclerc, chef de l’expédition, dit : “Me suis-je fait avoir par un barbare!”.

L’Invincible Général Jean Jacques Dessalines est au-dessus des opinions, il se tient à ce qui doit être fait selon son jugement à lui. On ne pense ni n’agit en lieu et place de Dessalines. En effet au lendemain de sa particulière Victoire sur les troupes de Napoléon Bonaparte, le Général à jamais Vainqueur du blancisme s’exprime en ces termes « Peu importe le jugement de la postérité et des contemporaines comme contemporains, j’ai vengé le continent, j’ai aussi vengé toutes les races éteintes dans l’esclavagisation, j’ai sauvé mon Pays, j’ai alors fait ce qu’il fallait; je suis en paix avec moi-même; ma propre estime me reste; il me suffit». Il faut tirer de ces propos de l’invincible Général Dessalines qu’il EST uniquement à l’intérieur de lui-même, sa constitution interne munal, donc sa pensée, non à l’extérieur de lui-même, dans la pensée des autres. Dessalines ne se soumet qu’à Dessalines.

Il réserve à ses adversaires ces belles paroles : «Que mon nom est devenu en horreur à tous les peuples qui veulent l'esclavage, et que les despotes et les tyrans ne le prononcent qu'en maudissant le jour qui m'a vu naître , ce 20 septembre 1758». Ces immortelles paroles mettent en relief l’affirmation de soi de Jean Jacques Dessalines et le font voir comme l’antithèse du blancisme et de tout autre groupe d’êtres qui est habité par la même malice qu’icelui.

Les Anglais qui voulaient peut-être prendre leur revanche sur la France ou pour tenter de lui succéder à l’avenir, ont fait l’expérience de l’affirmation de soi de Dessalines. En effet ils lui ont offert leur aide durant la contre-guerre qui opposait les Ancêtres à la France. La réponse du Super Soldat était claire «  « NON, nous sommes capables de défaire la France »  Les Anglais ne lâchent pas prise, ils reviendront dans d’autres circonstances. Ils buteront toujours contre le soi de Jean Jacques Dessalines, qui est le soi du lakort munal face à l’espèce hommale. L’Enfant élevé par Agbawaya Toya ne se fie à personne pour la conduite et la défense de sa vie. Il réveille en plusieurs ce Mbwa de l’être munal : « Nous avons osé être libres (Gwqmun), dit Dessalines,, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche.» Le projet de Jean Jacques Dessalines est, en tous sens, être en soi, par soi et pour soi. Il renforce la Gwqmunalité de toutes et tous.    

Pour mettre en évidence et renforcer leur soi, le 12 avril 1805, à son retour du siège de Santo-Domingo, Sa Majesté, le Super Soldat, dit à ses soldats : «Généraux, officiers, soldats! Le moment approche où vous allez moissonner de nouveaux lauriers. Ne vous enivrez pas de quelques succès peu dignes de votre valeur, obtenus sur des hommes abâtardis et dégénérés; songez que vous avez à combattre des ennemis entreprenants, fameux par les forfaits dont ils se sont noircis, mais qui ont plus d’une fois senti la pesanteur de votre bras, et dont la destinée sera toujours vaincue par votre constance héroïque. Des sièges à soutenir, des assauts à livrer, voilà ce que vous prépare la conclusion prochaine de la paix en Europe. Ils vont luire enfin, ces jours marqués pour consolider en ces lieux l’édifice de la Gwqmunalité et la Gwqmunité. Sachons en profiter. Sur quelque point la destinée de ce pays appelle ma constance, vous recevrez de moi l’exemple de vivre et de mourir en Gwqmun. Pour vous, fidèles à vos serments et vos plus chers intérêts, courez perfectionner ces fortifications que vos mains ont élevées; que votre ingénieuse audace n’apprête à vos tyrans que la honte réservée à leur entreprise criminelle. Au premier coup de canon d’alarme, que le sol d’Ayti n’offre à leurs regards avides que des cendres, du fer et des soldats; et s’il nous faut périr victimes de la plus juste des causes, laissons après nous le souvenir honorable de ce que peut l’énergie d’un peuple luttant contre les fers, l’injustice et le despotisme.” Ces paroles de l’Invincible Général Dessalines nous présentent des gens debout, des capacités infinies et des vainqueurs éternels. C’est là la plus haute appréciation de soi.

Le Pays qui est sorti de ce soi hautement affirmé n’est pas différent : Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti”, L’Empire d’Ayti, Empire de Toya-Dessalines, est à l’image de son Peuple, il est debout, en lui-même. Les citoyennes et citoyens sont des êtres qui vivent en eux-mêmes non en un autre que soi. « Marchons sur d'autres traces », leur dit le Général Dessalines. Il les invite ainsi à vivre dans leur propre vision des choses. C’est croire fermement en leurs capacités propres. « Tant qu’un reste de souffre m’animera, dit Dessalines, je le tiendrai, ce serment. Jamais aucun blanciste, colon ou Européen, ne mettra le pied sur ce territoire à titre de maître ni de propriétaire ». L’affirmation de soi a atteint le point culminant. L’Éternel Vainqueur du blancisme nous dit ainsi : Chez nous, c’est nous qui menons.

Jean Jacques Dessalines ne parle pas pour lui-même, il se donne en modèle : « Que d’autres chefs, après moi, soutient Dessalines, creusent leur tombeau et celui de leurs semblables, en tenant une conduite diamétralement opposée à la mienne, vous n’en accuserez que la loi inévitable du destin qui m’aura enlevé au bonheur et au salut de mes concitoyens, concitoyennes; mais puissent mes successeurs suivent la marche que je leur aurai tracée! C’est le système le plus propre à consolider leur puissance : c’est le plus digne hommage qu’ils pourront rendre à ma mémoire. Dessalines 28 avril 1804, Cap-Haïtien (Ayti).”

En tant que modèle Jean Jacques Dessalines se présente en CENTRE d’unité des gens : « Le témoignage de ma conscience n’est pas ma seule récompense : j’ai vu deux classes, que la duplicité raffinée des Européens a cherché si longtemps à diviser, ne font qu’une seule famille » par la campagne que le Super Soldat a mené contre le blancisme. Dessalines leur dit : «Maintenez cette précieuse concorde, cette heureuse harmonie parmi vous, c’est le gage de votre bonheur, de votre, de votre succès : c’est le secret d’être invincibles ». Ce ne serait pas tirer sur le texte que de dire qu’on peut en déduire que Dessalines et son Peuple ne font qu’un. «En combattant pour votre Gwqmunalité»., j'ai travaillé à mon propre bonheur ». Dessalines a aussi dit : «Rappelle-toi que j'ai tout sacrifié pour voler à ta défense, parents, enfants, fortune, et que maintenant je ne suis riche que de ta Gwqmunalité». Le bien du Peuple est aussi le Bien de Jean Jacques Dessalines. Il tire son Bien de celui du Peuple. 

Le 15 février 1804, dans sa lettre de réponse, je parle bien sûr de sa désignation comme Empereur d’Ayti, Dessalines s’exprime ainsi : « Malheur à celui qui apporte sur les degrés du trône d’autres sentiments que ceux d’un père de famille ». Que fait-il un père de famille ? Il prend grand soin de sa famille. La Famille, selon l’Ancestralité, est le Peuple Impérial. Lorsque les irréductibles libres de couleur voudront s’emparer des biens et ressources du Pays, Dessalines leur dira : « Gardons ça! Nous avons fait la guerre pour les autres ; avant notre prise d’arme contre Leclerc, les hommes de couleur, fils de blancs ne recueillaient point les successions de leurs pères ; comment se fait-il, depuis que nous avons chassé les colons, que leurs enfants réclament leurs biens ? Les noir(e)s dont les pères sont en Afrique n’auront donc rien?…, les Vastey, les Blanchet auront mis en possession des biens de l’État les fils de colons aux dépens de mes pauvres noir(e)s. Prenez garde à vous, noir(e)s libres et libres de couleur, nous avons tous combattu contre les blancistes ; les biens que nous avons conquis en versant notre sang, appartiennent à nous tous et toutes; j’entends qu’ils soient partagés avec équité ». Jean Jacques Dessalines se soucient du Bien de son Peuple, sans discrimination.   

Avant même tout cela, les gens cultivaient un grand respect pour celui en qui ils voyaient déjà leur « Vengeur et leur Libérateur ». Ils vouaient eux-mêmes un culte à Jean Jacques Dessalines : « En arrivant au Cap, rapporte le général français Pamphile de Lacroix, j’eus l’occasion de faire de sérieuses réflexions. Je vis passer plusieurs de nos officiers généraux en grand uniforme. Les habitants du Cap, n’importe leur couleur, ne leur témoignaient aucun signe extérieur de déférence. Tout à coup, j’aperçois de la rumeur. C’était le général Dessalines. Il venait pour la première fois saluer le capitaine général Leclerc. La population de tout sexe et de toute couleur se précipitait sous ses pas. Elle se prosternait à son approche (PAMPHILE DE LACROIX, 1995, p. 344). 

Faut-il comprendre de tout cela que Jean Jacques Dessalines, par son affirmation de soi, a attiré les gens vers lui pour former un seul tout, debout, debout en Dessalines et par conséquent en eux-mêmes.

Pourquoi Jean Jacques Dessalines ? Parce qu’il a accédé à la plus haute représentation de la réalité et que, suite à cela, il a consacré sa vie au service des gens qui veulent vivre en Gwqmun. Tous celles et ceux qui veulent être eux-mêmes s’accrochent à Jean Jacques Dessalines. Cela est aussi vrai aujourd’hui encore. Il est l’exemple, à savoir que chacune-chacun dispose de toutes les facultés pour sentir et conduire leur vie. Jean Jacques Dessalines, Enfant des Mornes Cahos et élevé par Agbawaya Toya, renvoie ainsi l’hommalité, particulièrement le blancisme qui en dérive, à sa fausseté. Personne ne naît pour servir personne mais pour se diriger soi-même par les capacités dont sa constitution interne lui a pourvues. Le blancisme, comme l'hommalité, est vaincu par Dessalines, au mieux, la Dessalinité de l’individu munal.

Je suis tout Jean Jacques Dessalines. Et vous?

Il n’y a que les rampants et rampantes qui n’aiment pas Jean Jacques Dessalines.

Dessalines est notre constitution interne munale personnifiée.

Alors fêter la naissance de Jean Jacques Dessalines est une inclination de notre être même et c’est célébrer aussi le fait d’être en soi-même.

Peuples de la terre, sans nuances épidermiques, accueillez en ce 20 septembre votre Vengeur et Libérateur!

Jean Jacques Dessalines est né et est mort pour NOUS 
pour être éternellement en NOUS:
sommes-nous sauvé-e-s du Mal hommal.

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti : 
HRH Sa Majesté Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.


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