Le message du Drapeau en ce sanedi 16 février 2019
La Famille
Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 s = t © Tous
droits réservés
Le message du Drapeau, symbole de
l’Éternité de l’Empire d’AYITI et partant la wÄnbadr de celui-ci
Sous le Drapeau Bicolore, Noir et
Rouge, luit le Salut Éternel du lakort munal.
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Ä = on
Comme les textes officiels nous le
rapportent, de 1802 à 1806, l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines est
celui qui a mené, conformément à ce qui est prédit, l’offensive contre le
blancisme, laquelle a débouché sur l’Érection de l’Éternel Empire d’Ayti. Autrement
dit, Jean Jacques Dessalines est le Fondateur de l’Empire de la Gwqmunalité, dont
l’Opération repose sur un des plus grands symboles de l’Ancestralité, le
Couple. Le Couple, comme symbole de la Perfection et la Génération, prend effet
dans la Personne de Jean Jacques Dessalines et Agbawaya Tóya. Selon l’usage, il
revient au Maa, ici Dessalines, de poursuivre la bataille et la gagner.
Toujours dans la même logique, l’œuvre Grandiose
de Jean Jacques Dessalines et Agbawaya Tóya, le Super Couple, possède son
propre symbole, le Bicolore Noir et Rouge.
Le Bicolore Ancestral représente le katrl,
équilibre holiste, qui lie les choses entre elles sans subordination, ce qui s’appelle
l’indépendance dans la dépendance mutuelle, une sorte de transcendance dans l’immanence.
Au sein du lakort le Bicolore se traduit par le Noir comme absence de traits
biologiques observables et le Rouge comme Résistance au deloko, désordre initié
par l’homme, jusqu’à la Victoire, ce, quel que soit le prix.
Le Bicolore ainsi défini est vertement
détesté par l’homme, ici le blancisme. Dès son émergence, le blancisme fait
tout pour y faire échec. Le 17 octobre 1806, par la Conjonctionnelle, les
irréductibles libres de couleur et les noir(e)s libres, il est parvenu à s’infiltrer
dans l’Ordre Ofowu. Le blancisme y a ramené la structure hiérarchique qui le
constitue, ce qui a instantanément introduit un décalage net entre l’Éternel
Empire d’Ayti et celles comme ceux qui profondément lui ont toujours été fidèles.
À travers ses sbires, les atha, gens en qui règne le blancisme et qui sont à son service, il mène le bal.
L’une des premières mesures qu’a prises le
blancisme, par personne interposée, était de hisser son étendard pour signifier
sa présence ainsi qu’afficher son idéologie de droits, qui est, selon la
doctrine du philosophe anglais, Thomas Hobbes, « la possession naturelle de
toutes choses, y compris le corps des autres », ce qui évidemment ne va
pas sans l’écrasement du Peuple adverse, « l’idée affreuse » dont
parle Sa Majesté Jean Jacques Dessalines dans son discours du 1er
janvier 1804, le jour de l’entrée en fonction de son Administration.
Le blancisme est devenu, depuis lors, le centre
d’action de tout ce qui se fait dans la colonie républicaine, en accordant
toutefois à la Conjonctionnelle un certain espace d’action au niveau du gouvernement.
Pourtant les gens d’hier comme ceux d’aujourd’hui,
s’y sentent bien, sans aucune indigestion. Ils se battent entre eux pour
pouvoir accéder à la colline que leur laisse le blancisme. Selon eux, tout ce
que fait celui-ci est bon, si ce n’est la priorité accordée à son adversaire. On
sert de drap blanc au blancisme pour qu’il puisse accomplir sans peine son œuvre
morbide.
Quel contraste avec l’Empire et son
Administration dont le Symbole est le Bicolore Noir et Rouge ! Le
premier élément de l’Éternel Empire d’AYITI est l’affirmation de soi par le
fait d’être Maîtres et Maîtresses de chez soi en marchant dans sa propre voie,
la Famille Impériale dont le Père est Sa Majesté Jean Jacques Dessalines, un
mode d’être ancestral.
Aucun cas ne font-ils, ces gens, aux paroles de Jean Jacques Dessalines :
«Nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore
l'empreinte française
(…)Nous avons osé être libres, osons
l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit :
son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa
marche. … Et quelle déshonorante
absurdité que de vaincre pour être esclaves. (…) Marchons sur d'autres traces». Servir le blancisme est devenu la seule chose qui vaille.
Pourtant plusieurs parmi ceux et celles qui luttent au sein de la république
coloniale pour accéder à la colline gouvernementale osent parler d’un « idéal
dessalinien ». La logique est-elle ?
Parler de Dessalines dans la république d’Haïti,
c’est nier le contraire et le contradictoire.
Il n’y a pas de Peuple de Dessalines dans la
république ; il n’y a pas d’attente, de quelque nature que ce soit, du
Peuple Impérial dans le gouvernement colonial. C’est mal connaître la
Dessalinienne ou chercher à bluffer le Peuple Impérial, que de s’exprimer en
ces termes.
S’il y en a qui sont sincères, qu’ils sachent
que la république d’Haïti est la verte ennemie de Sa Majesté Jean Jacques
Dessalines. Il a fallu l’assassinat de Sa Majesté pour l’entrée en scène de la
république dont l’un des premiers objectifs est de faire échec au projet de
Dessalines, c’est-à-dire qu’à ce que vous attendez d’elle. Le saviez-vous ?
Tournez le dos aux faux espoirs et embrassez
l’Empire d’AYITI, là où vous pourrez travailler pour la collectivité munale et
forcément vous-mêmes en retour.
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire
d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que
l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort
avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean
Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité
Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et
Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire
Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique,
théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la
munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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