Nos Ancêtres redisent haut et fort : Gwqmunalité ou la mort !
La Famille
Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 s = v © Tous
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« Oui, nous avons rendu, à ces vrais
cannibales, guerre pour guerre, crimes pour crimes, outrages pour outrages », Parole de l’Invincible Général et
Archétype Jean Jacques Dessalines. L’expression les « vrais
cannibales » met en lumière la destruction qui est l’essence même des
blancistes. Ils ne sont pas simplement « cannibales », d’après ce que
dit Sa Majesté Jacques 1er, des gens qui tuent d’autres gens pour
vivre, mais de « vrais cannibales », une qualité est ajoutée au
substantif, dont le sens complet est des gens qui assassinent froidement et
sans répits pour être ce qu’ils se disent être. Il y a plus que le simple fait
de tuer, un niveau élevé accompagne l’acte de répandre la cime de l’horreur. Ce
niveau et l’acte sont indissociables. Les blancistes atteignent ce qu’ils
prétendent être en s’alimentant du sang des autres. Ils savent ce qu’ils font
et pourquoi ils le font. Rien ni personne ne peut les convaincre du contraire. C’est
de cela que résulte la monstruosité indescriptible de leur être. Regardez les
blancistes droit dans les yeux, écoutez-les parler, observez leurs gestes, appréhendez
leur détermination, se révélera à vous ce que Dessalines appelle les
« vrais cannibales », terme qui les définit directement. Quel grand bÄnqy,
ce Jean Jacques Dessalines! La compréhension de l’adversaire détermine le comportement
envers lui. Les paroles qui suivent sont les réponses qu’appelle la satanité de
cet être, des réponses déterminées par l’être menacé en vue de se protéger. Elles
sont sans doute, ces paroles, l’expression de la rage d’être en soi, par soi et
pour soi dont la Gwqmunalité est le dépôt. Voilà le fond du premier cri :
Gwqmunalité ou la mort!
« GWQMUNALITÉ OU LA MORT ! » REDISENT NOS
ANCÊTRES !
Apprenons un peu plus sur ce mot, Gwqmunalité,
qui pave toute l’histoire de nos Ancêtres. Gwqmunalité, dans l’ordre du Nous,
est la seule chose qui vaille. Pourquoi ? Rien n’est plus simple. Nous
SOMMES et tout ce qui EST est déterminé. Que signifie cela ? Il faut
entendre par là que l’être est une forme ou à l’intérieur d’une forme qui est la
sienne propre et par laquelle il a son sens. En d’autres mots l’être est une
voie déjà tracée, il EST par cette voie. La détermination est cette forme et
cette signification.
Il s’ensuit que l’être ainsi défini ne peut pas
se mouvoir autrement. Une voiture est fabriquée pour avancer et reculer. Tout
est déjà dans la forme, au mieux, tout ce que peut faire le véhicule à partir
de la façon dont il est monté est ce qui est sa forme. Le sens réside dans ce à
quoi il sert. Tous les éléments qui, rassemblés, font de l’automobile ce
qu’elle est, livrés à eux-mêmes, sont de la matière (de celle-ci) et sont, par
le fait même, privés de forme et de sens. Il en est de même de l’être munal.
La forme du mun est la façon (tous les éléments
et les Mbwa, ce qui résulte de la mise ensemble des éléments) dont il est
produit et le sens réside dans la direction définie par la forme.
La Gwqmunalité est la réaction, que commande la
somme totale, qui est l’être par sa forme, devant une action menaçant
l’identité de l’être à lui-même et devant un fait qui lui serait bénéfique. La
Gwqmunalité est l’affirmation de soi de l’être. Par exemple l’être par la
Gwqmunalité tend à fuir tout ce qui peut le gêner et à rechercher ce qui peut
lui être bénéfique. C’est pour cela que le mun fuit notamment la soumission à
un autre que soi, la douleur, la fausseté, l’échec, la tristesse, l’erreur,
l’égarement, la mort accidentelle (avant le temps) et qu’il recherche la
direction de soi, l’eua (agréable sensation forte), la douceur, l’accord, la
réussite, la vérité. La Gwqmunalité est l’expression pure et la protectrice de
l’être munal. Elle est tout l’être.
L’accord de base de l’être munal avec lui-même est
ce qui s’appelle munité. La munité est l’accord de la substance de l’être avec
la Gwqmunalité. En d’autres mots la munité est la forme en accord avec
elle-même. Elle affirme l’être en pleine possession de lui-même. L’absence de
munité est l’incohérence entre les deux, substance et Gwqmunalité, un véritable
désordre. Tout mun bien balancé jouit forcément de la munité.
Le cri de nos Ancêtres, « Gwqmunalité ou
la mort ! », témoigne de leur munité.
Alors dans la situation qui est la nôtre, la
Gwqmunalité est la seule chose qui vaille. C’est l’impératif de la munité. Celle-ci
appelle la Gwqmunalité pour la protection de l’Ordre Ofowu, soit ce qui relève
de la Volonté de Notre-Dieu.
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q = an
u = ou
w = r
r = ê
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
Ä = on
Le premier cri de la Gwqmunalité ou la mort
Entrons dans la logique de l’agression pour
comprendre le cri de la Gwqmunalité ou la mort de nos Ancêtres, ici comme
ailleurs. Sous prétexte que nous, les Négresses et Nègres, sommes dans la vie
comme moyens non comme êtres pleins, le blancisme a, lui aussi, osé fouler le
sol de la négro-jelefweité, notre milieu propre. La particularité de
l’agression blanciste est la conséquence de son être, qui est sa façon de se définir
dans le monde, lequel est de voir ce qui est autre que lui comme néant, un vide
sur lequel il lui est donné de se construire et régner éternellement en
recourant, pour y parvenir et s’y maintenir, à la cime de la cruauté, là où
cela s’avère nécessaire. Il ne s’en est pas privé, sur le sol de la
négro-gelefweité.
Point n’est besoin de dire pourquoi, on le
sait, la Gwqmunalité, devant cette menace au plus haut point, a aussitôt émergé.
Elle a entraîné avec elle, comme une sonnette d’alarme, le cri de « Gwqmunalité
et ou la mort ». Suivant la Parole de Dessalines ci haut mentionnée, on
voit très clairement que la réponse à emprunté le langage du blancisme et qu’elle
en a fait usage avec plus d’acuité : Rouvray (1785) : “Une colonie à
esclaves est une ville menacée d’assaut; on y marche sur des barils de poudre”;
en août 1791 le président
de l'assemblée coloniale s’adressa en ces termes au président de la
Législative : «... Trop faibles pour
résister à ce torrent, nous avons demandé des secours aux insulaires les plus
voisins, s'ils arrivent assez tôt pour prévenir notre
anéantissement». Le général Leclerc n’en revient pas, la
savqnrie blanciste ne fait pas trembler les Négresses et Nègres. Ils affrontent
la mort sans peur : “Depuis que je suis ici, écrit Leclerc au premier Consul, je n’ai eu que le spectacle d’incendies,
d’insurrections, d’assassinats, de morts et de mourants”. Les hommes meurent
avec un fanatisme incroyable” «Ils se
rient de la mort. Il en est de même des femmes”. C’est la Gwqmunalité ou la Mort ! Il n’y
a qu’une possibilité, une seule, dans le contexte de la Louperie, prédation
blanciste, et même toute autre forme de prédation.
La Victoire de la Gwqmunalité sur la Bêtise
irrelative, le blancisme, maintient ferme et inébranlable l’être munal ou la
constitution interne munale ainsi que l’existence, mode d’être dans le monde
propre au mun. Pour la protection externe de celui-ci, elle institue la wÄnbadrité du résultat, ce qui est sorti
d’elle, soit l’Empire.
Désormais l’Ancestralité fait un grand pas
dans l’histoire de l’Ordre du Nous, un Pays devient le Centre du monde, le
Salut de chacune-chacun sans nuances épidermiques et culturelles. Ce Pays est
l’Empire d’Ayiti, lequel est doté de la Force Protectrice et Offensive nécessaires
pour mener à bien sa Mission.
Voici, en résumé, la forme, dans le même sens
que ce mot est employé plus haut, de l’Empire de Tóya-Dessalines : ordonné
par des Décrets Divins, c’est-à-dire que Notre Dieu, Bon-Dieu, en est le
Premier Principe ; le mun ou la Gwqmunalité, Voix nous parlant de
l’intérieur ; le Super Couple Tóya-Dessalines, dont Jean Jacques
Dessalines est l’Instrument, soit le Missionnaire Divin ; l’Empereur et
l’Impératrice, dont la Personne est sacrée et inviolable, c’est-à-dire
inaccessible ; les Enfants de Dessalines reconnu(e)s par l’Empereur,
Sphère de l’inaccessibilité, ce qui signifie leur introduction dans
l’Indestructible Solidité de l’Empire ; tout membre du lakort munal, ce
qui est la wÄnbadrité, y a sa place ; l’Ancestralité ;
le rejet, sans autre forme de procès, du mode d’être venant des autres,
particulièrement le renoncement à la culture du blancisme ; le Peuple
comme Enfants de l’Empereur ; le Peuple comme première préoccupation de Sa
Majesté ; le Peuple comme la fin immédiate du travail de l’Empereur ;
le Bien effectif du Peuple comme la Puissance de Sa Majesté ; l’absence de
signification déterminante du teint ; les couleurs Noir et Rouge du
Drapeau ; aucun blanc ne peut être ni doté d’une autorité quelconque ni
propriétaire ; aucun rôle à la religion ; le caractère de Père de
l’Empereur ; l’accession au trône passe par la désignation de son
successeur par l’Empereur ; toutes tentatives d’insoumission débouchent nécessairement
sur le sort des peuples ingrats, une affreuse idée, donc un acte infructueux ;
l’expulsion du Territoire impérial de tous ceux et celles qui ne croient pas en
la DIVINITÉ de l’Empire, etc. Ainsi l’Empire est Imprenable et Éternel. Toutes
ces propriétés nécessaires sont objectives parce qu’elles sont tirées des
textes officiels et des paroles de Sa Majesté Jacques 1er.
Nos Ancêtres redisent : Gwqmunalité ou la
mort !
D’après ce qui précède, la Gwqmunalité est en pleine
action. Pourtant il est dit plus haut que nos Ancêtres redisent :
Gwqmunalité ou la mort ? Que s’est-il passé ? C’est que, dans un
certain sens, nous sommes revenu(e)s à la case départ. En effet un autre groupe,
non nouveau, s’est glissé dans le Territoire Ancestral. On se souvient de la
contre-offensive du mois d’août 1791, un vocabulaire retient notre attention :
« L'assemblée générale, rapporte-t-on dans Les événements
coloniaux de J Saintayan, chargea M. de
Blanchelande de faire appel au concours des forces espagnoles et
décida de s'entendre avec lui pour demander aux Anglais de la Jamaïque
et aux États-Unis, au nom de l'humanité
et de leur intérêt respectif, de donner à la partie française de Saint-Domingue en danger un secours prompt et fraternel, de troupes,
de munitions, de ravitaillement ». Cette même appellation se trouve dans l’ordonnance
de Charles X en 1825, « la partie française de Saint-Domingue ». Cette dénomination est avant comme après
l’Érection de l’Empire d’Ayti. Dans tous les cas elle signifie le Territoire
arawak devenu Territoire Ancestral. L’ordonnance, on le sait, affirme haut et
fort, par un acte juridique, l’autorité de la France sur le même territoire, là
où elle a été chassée par nos Ancêtres. Je rappelle que la France n’a pas posé
un geste unilatéral mais à l’unisson avec les autorités sur place. Les deux
groupes de gens savent très bien ce qu’ils font. L’empereur Napoléon Bonaparte,
en 1816, à l’Île Sainte-Hélène, s’exprima en ces termes : « “J’ai à
me reprocher une tentative sur cette
colonie lors du consulat”. C’est une action passée, « lors du
consulat », sur un objet présent, le groupe du
nom complément (une tentative sur cette colonie) l’affirme clairement. C’est que la partie française de Saint-Domingue est
une « colonie »,
une colonie française. Ce qui attire
l’attention, c’est que Napoléon parle d’Haïti, en 1806. Il l’appelle
« la partie française de Saint-Domingue », mot signifiant « la colonie française ». Le vocabulaire de Napoléon Bonaparte n’est
pas incongru, il concorde avec le statut d’Haïti d’après 1806. La colonie, que repoussaient avec force nos Ancêtres, s’est incontestablement
rétablie.
Voici, sommairement, ce qui s’est
passé : l’assassinat physique de Sa Majesté Jacques 1er le 17
octobre 1806 ; les ministres de l’Empereur Jean Jacques Dessalines ont
tenté, mais sans succès, de placer Jacques Dessalines (Jacques II), désigné par
Sa Majesté Jacques 1er; des Bras puissants, qui ont combattu pour
l’Érection de l’Empire, sont aussi assassinés en tombant dans des
embuscades ; Henry Christophe, qui est récemment chargé par Sa Majesté de
continuer le Combat Impérial en cas de son assassinat physique en le nommant le
chef de l’Armée Impériale, a participé au complot ; Christophe est même désigné
chef de la colonie rétablie avant même l’effectivité de l’assassinat ; avant
même son entrée en fonction, Alexandre Pétion lui donne pakala (faire tomber ce
qu’on tient dans sa main pour se l’approprier), la partie cachée du plan
machiavélique ; l’église, auteur de la colonisation sur toute la planète,
redevient la religion d’État ; des colons français sont invités à venir
reprendre leurs activités ; d’autres blancs européens obtiendront la
citoyenneté en acceptant un poste de fonctionnaire de l’État ; les hommes
et femmes de couleur obtiennent des terres ; le Peuple Impérial est
repoussé vers l’arrière-pays et sera même frappé d’un code d’esclave un
peu plus tard dont la France dirigera elle-même; le Nom de Sa Majesté Jean
Jacques Dessalines est frappé d’anathème ; le code de Napoléon s’y
applique, etc. La réalité est donc tout autre.
Pourquoi le code civil de Napoléon ? Parce que l’empereur français est
celui qui, par ses espions entrés au Pays de Dessalines sous une fausse
nationalité et les irréductibles libres, des gens de couleurs et des noir(e)s
libres, a dirigé le plan d’assassinat. Il s’est très vite débarrassé de
Christophe – le laissé pour compte réagira promptement, on en connaît le
résultat –, jugé peu sûr, au profit de Pétion en qui il a plus de confiance. Napoléon
Bonaparte est très actif sur la scène coloniale haïtienne, des militaires
français conseillent Pétion et assistent aux activités du gouvernement, des
comptoirs de la France, la reconnaissance de leur indépendance. En lisant tout
cela, on se pose la question à savoir que la France est-elle l’institution
ennemie. Le serment qui rassemblait les gens, le premier janvier 1804, il y a
moins de trois ans :
« Généraux, et vous chefs, réunis ici près de moi
pour le bonheur de notre pays, le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser
notre gloire, notre indépendance.
S'il pouvait exister parmi vous un cœur tiède, qu'il s'éloigne et tremble
de prononcer le serment qui doit nous unir.
Jurons à l'univers entier, à la postérité, à nous-mêmes, de renoncer à
jamais à la France, et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination ».
Est-ce le même pays ? « … ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance », c’est le serment : « Jurons à l'univers entier, à la postérité, à
nous-mêmes, de renoncer à jamais à la France, et de mourir plutôt que de vivre
sous sa domination ». Le serment
bannit à jamais la France. Est-ce le même pays, une fois de plus ? Certainement pas. Le serment n’a pas été prononcé par ces gens, les irréductibles
libres. On est ici en territoire français. Le code civil de Napoléon le
justifie, il en est ainsi parce que Napoléon est en tous points l’acteur
principal dans la colonie.
L’Haïti d’après le 17 octobre 1806 est un autre pays. Au cours des
premières années, Pétion gouverne comme un simple chef, sous l’œil observateur
des militaires français. La colonie porte le nom d’Haïti, un camouflage. Elle
est une simple colonie. Plus tard elle se verra accordée l’indépendance et la
deuxième constitution en fera mention contrairement à la première qui était une
colonie tout court. Il faudra attendre l’accession au trône français Charles X pour
savoir exactement ce à quoi réfère le mot d’indépendance, employé par
l’empereur français, c’est-à-dire au « gouvernement ». L’indépendance
est une propriété historique du gouvernement, cela veut dire que l’indépendance
y est ajoutée suivant certaines considérations. Très satisfait de la situation,
compte tenu des circonstances, l’empereur français, Napoléon Bonaparte,
dit : « C’était une grande faute que d’avoir voulu la soumettre
par la force. Je
devais me contenter de gouverner par Toussaint », ce qu’il fait présentement par Alexandre Pétion, sans
tirer une cartouche. Napoléon Bonaparte ignore qu’il a fallu passer par là pour
apprécier ce qu’il a présentement.
La comparaison
Regardons le Pays Ancestral et celui des
parricides, c’est le jour et la nuit. Ce sont deux réalités qui se contredisent
l’une, l’autre. À chacun son fondement propre qui lui donne sa forme. Même si
on était fou, folle, à lier, on ne peut pas prétendre que la république est la
continuité de l’Empire. Être de la république, c’est prendre ses distances de
l’Ancestralité, autrement dit, cracher sur le serment de l’indépendance. C’est
aussi s’avouer parricide, c’est-à-dire l’assassin ou l’assassine de l’Éternel
Empereur Jean Jacques Dessalines. Il n’y a aucun lien entre les partisans et
partisanes de la république et Jean Jacques Dessalines, donc l’Empire d’Ayiti,
Pays Ancestral.
L’opposition entre l’Empire et la république
L’Empire, malgré la présence des libres
irréductibles, va de succès en succès et il est Puissant dans le monde. Les
prisons sont vides. En 1805 le Peuple s’est réuni à Dessalines, Capitale
Impériale, pour fêter la prospérité après une seule année de l’Érection de
l’Empire. Alors que la république est, depuis son apparition, une zone de turbulences
sans répits, de 1806 à aujourd’hui, une lutte sans fin pour le pouvoir, dans un
océan de sang. Le conflit généralisé, l’humiliation par les autres pays et la
pauvreté sans cesse croissant sur le Territoire Ancestral, voilà la triste
réalité de la république. Cela s’explique par « le sort des peuples ingrats, une affreuse idée », dit Sa
Majesté. Le sort des peuples ingrats est la confusion entre les parricides, ce
qui a débouché sur les affrontements sans cesse croissant et l’impossibilité de
réussir le rejet de l’Empire. Le Territoire est déjà consacré à une force
invincible.
Ce n’est pas tout. Le blancisme, qui est une
impitoyable puissance destructrice, s’est donné pour objectif l’anéantissement
du Peuple Impérial. Le Territoire face à des coups durs, tels que les inondations,
les cyclones, la mort des terres arables, la disparition de la faune et la flore, les
maladies de toutes sortes, le tremblement de terre, tout cela est provoqué par
le blancisme en vue de précipiter la disparition physique du PEUPLE. On rapporte également que les gens qui fuient la
situation sinistre initiée par la république et qui meurent en chemin, sur la
mer, sont assassinés, selon une politique d’élimination systématique mise en
place par le blancisme, par ceux-là mêmes qui viennent à leur secours. Ce n’est
pas par accident qu’ils meurent mais par provocation.
Se nourrir une ou deux fois par semaine est
un exploit pour la majorité des gens du Peuple. Les ressources, qui permettraient
aux gens de s’en sortir, le blancisme les vole quotidiennement au grand jour,
sous l’œil égayé des gens de la république.
Les blancistes de tous poils arrivent
massivement dans la république. On les voit dans tous les coins. Ce sont des
espions et espionnes envoyé(e)s par les autorités de leur pays respectifs pour
mettre sur pied des moyens de supprimer sur place le Peuple.
Dans une telle situation le cri Gwqmunalité ou la mort s’impose.
Pourtant plusieurs partis politiques
prétendent disposer les moyens de résoudre le problème, au sein de la
république. Ce sont des serviteurs et servantes du blancisme qui parlent. Ces gens
ignorent que, dans la république, ils sont des étrangers et qu’ils ne sont pas
autorisés à changer quoi que ce soit. Chez le blancisme on écoute et on exécute.
Ils ignorent également que la république ne
peut rien contre le sort des peuples ingrats,
cette affreuse idée dont parle Sa Majesté Jacques 1er, en cas de
tentatives de s’écarter de l’Empire. S’opposent-ils, une fois de plus, à Jean
Jacques Dessalines ?
Nous demandons au Peuple Impérial de ne pas
écouter ces hommes et femmes, un nombre important n’a aucune idée de ce qui
arrive sur le Territoire Impérial. Il vaut mieux chercher à les entraîner avec
vous. L’Empire a besoin beaucoup de talents, de gens, bien sûr, qui y croient.
Sauvez-les !
Rassemblez-vous autour de Dessalines qui est
déjà en vous pour aller vous placer sous les ailes de la Famille Génétique de l’Empereur
Jean Jacques Dessalines, laquelle Famille a pour Mission de vous sortir de toutes
les mauvaises passes. Si vous vous confiez aux institutions de la république,
vous mourez certainement. Fuyez la république, une peste à nul autre pareil !
Combattez-la ! Qu’elle quitte votre Territoire ! Plus vite, mieux c’est.
Rentrez dans votre Empire ! Tel est votre SALUT !
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire
d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que
l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort
avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean
Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité
Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et
Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire
Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique,
théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la
munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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