Voici les pires criminel(le)s, les vrais terroristes de la planète terre Le 17 octobre, jour de l’assassinat physique pour le maintien de l’horreur extrême
Voici les pires criminel(le)s, les vrais terroristes de la planète terre
Le 17 octobre, jour de l’assassinat physique pour le maintien de l’horreur extrême
LeDécret0000000le 17 octobre mode opératoire du blancisme et du tubabuisme en ce 17 octobre 2025
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - v = © Tous droits réservés
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Administration impérial rétabli
L’esclavagisation est le crime contre Busa ou contre le Nègre et la Négresse, Terrienne, Terrien.
AYIBOBO !
Le mode opératoire de notre ennemi naturel, à savoir l’homme, plus précisément le blancisme, sa plus haute expression, et ses initié(e)s, les tubabu ou bunda qmr, est le 17 octobre 1806, vive soif de malheurs indescriptibles.
Aujourd’hui, dans une exceptionnelle et rare envie de tuer, ces mêmes gangs, par la continuité de la pensée délétère, certainement renforcée par l’expérience et les moyens techniques des plus performants, veulent rééditer le 17 octobre.
Il faut dire que, malgré l’écoulement du temps, particulièrement les cinq cents dernières années, années de conquête savqn débouchant sur les tentatives ininterrompues d’esclavagisation, cela dans un océan de pic de douleurs et malheurs, les choses n’ont pas changé d’un iota. Nous nageons sans cesse dans la cime de l’horreur. Le fait que l’océan empesté d’horreurs des plus répugnantes que représente le monde, soit accessible avec une facilité étourdissante, consolide, avec satisfaction grandissante, l’état des choses. On s’apprécie pleinement et se valorise décomplexé(e) au sommet de l’atrocité. L’art d’humilier, insulter, de voler, piller, violer, tuer, assassiner, génocider, etc., est la plus grande morale qui soit, dont la pratique est la vertu la plus noble. La réédition du 17 octobre s’inscrit dans cette grande vertu morale.
Le principe de la morale est l’absorption des autres, un ou des ensembles bien déterminés. Le mal moral est de s’y opposer tandis que le bien est de contraindre de se plier, par n’importe quel moyen, ouvert ou subtile, par sa volonté ou voie de droit.
Ce qui a débouché sur le 17 octobre 1806, c’est le refus net d’un groupe d’êtres de reconnaître la morale hommale, portée jalousement par le blancisme. Cette morale est discursivement anéantie par la mise en lumière d’une b¼nqyée, pensée exacte, au mieux, adéquate, qui fait découler du Muc, Affirmation de Soi, l’ordre du monde. Les Terriennes et Terrien sont à l’origine de ce mode d’être dans le monde, lequel est porté par le Grand Savant Jean Jacques Dessalines.
En 1806 la réaction de l’homme, fruit de l’hommalité, à travers le blancisme, pour se sauver du ridicule et de la disparition totale, est le 17 octobre.
De nos jours ce qui, à leurs yeux, puisque les choses sont et restent les mêmes, nécessite la réédition du 17 octobre, c’est le Rétablissement de l’Administration Impériale car l’Empire d’AYITI, étant reposé sur des Décrets Immortels Divins, n’a pas de fin.
L’enseignement de cette grande vérité fait beaucoup de bruit, à cause de sa grande importance dans un monde sans boussole, si ce n’est le pays sans chapeau, et il a entraîné la chute de la république d’Haïti, instrument de vengeance du blancisme sur les Nègres et Négresses et semblant retour de l’esclavagisation sur le Territoire Impérial, là même où elle est à jamais abolie, avant le décret officiel de sa destitution.
Toute vérité de cette nature conduit forcément à la mise à nu du blancisme, N’acceptant pas de contestation ni de résistance de la part de ses prétendues proie, celui-ci à posé son verdict de mort.
Une idée du coup porté par l’Empire d’AYTI,
dont Jean Jacques Dessalines est le Fondateur
Voyons un peu, rien qu’un peu, ce qui a poussé au 17 octobre 1806, assassinat physique de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines ou Jacques 1er, et qui exige la réédition du 17 octobre, au jour d’aujourd’hui, en passant par des tentatives d’empêcher la diffusion d’informations.
1a
Le discours du 1e janvier 1804, appelé “l’Acte d’Indépendance”, débute par la mise en scène du Muc, Affirmation de Soi, et le rejet du blancisme, dont la France est, à cette époque, l’image.
L’Ancestralité nous apprend qu’Être, c’est être libre (Gwqmun), c’est-à-dire en soi, par soi et pour soi. Nous, c’est Muc, ce qui revient à s’affirmer en soi-même.
Renonçons à la France, souligne Jean Jacques Dessalines, le Vainqueur de Napoléon Bonaparte!
Marchons sur d’autres traces, poursuit-il !
Nous ne vivrons pas dans la pensée des autres, ce serait être Victorieux pour “être esclave”, bien évidemment un non-sens.
“Le Peuple”, Nous, “se fait État, Indépendant de toutes les puissances de l’univers, dont le Nom est l’Empire d’AYITI”.
L’Empire d’AYITI est fondé sur “des Décrets Immortels Divins”, alors il est indestructible :
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“Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes, il convient d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens d’une manière immuable et irrévocable, et que le plus sûr moyen d’atteindre ce but est de décerner au seul chef capable de représenter et de gouverner dignement la nation, un titre auguste et sacré qui concentre en lui les forces de l’État, qui en dispose au dehors et qui en est au dedans la gage de la tranquillité.”
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2a
La république blanciste, institution de malheurs
Ce pays, racontent les histo-à-riens, est fondé par une révolution en vue de “s’élever à l’humanité,” c’est-à-dire devenir comme les pays européens ou accéder à la culture des blancs. L’humanité et la religion vont ensemble, et même interchangeables.
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1b
Le Principe de Notre Pays, l’Empire d’AYTI, est Notre Dieu, Bon-Dieu. Ainsi parlents Jean Jacques Dessalines et les autres. Nous l’avons vu, il repose sur des Décrets Immortels Divins.
Le Dieu ici s’appelle Notre Dieu, Bon-Dieu, soit GwqmrtLa. Selon Bukmqn, il est distinct du “dieux des blancs”, le dieux de la bible, parce qu’il est le “Créateur”. Bukmqn, qui reprend ici, à son compte, les discours de Jean Jacques Dessalines, nous invite à ne pas suivre ce dieux parce qu’il est “la source de nos malheurs”. Cela signifie que l’église a institué “l’esclavage” sous prétexte que nous sommes des “esclaves”. Notre Dieu, poursuit-il, nous enjoint de nous battre et vaincre.
Jean Jacques Dessalines n’interdit pas aux gens, ceux qui se sont joints à nous, de suivre leur religion mais il affirme clairement que l’Empire d’AYTI ne prend pas en charge les prêtres. En d’autres mots le privilège de l’église ailleurs, dit Dessalines, ne nous concerne pas ici. La religion et l’Empire d’AYITI ne vont pas de pair. Pour lui c’est une affaire personnelle.
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2b
La république d’Haïti était un système d’esclavage, dont le terme exact est esclavagisation.
L’Article 35 de la constitution du 27 décembre 1806, constitution de la république d’Haïti:
La religion catholique, apostolique et romaine étant celle de tous les Haïtiens, est la religion de l'État. Elle sera spécialement protégée ainsi que ses ministres.” Le fondement de “l’État” est ici posé. Il faut faire attention au membre de phrase suivant : “étant celle de tous les Haïtiens”. Il n’est, de toute évidence, pas question du Peuple-État, l’Empire d’AYITI, mais des gens qui forment la république d’Haïti, les gens qui veulent “accéder à “l’humanité”, soit ressembler aux blancs. Il y a plusieurs Décrets sur ce site qui traite de la question de “l’homme ou l’humanité” et la place des Négresses et Nègres. Consultez-les! L’expression “tous les Haïtiens”, ce sont des gens qui sont la direction du dieux de la bible, le dieux qualifié de “dieux des hommes”, le faux dieux qui est “la source de tous nos malheurs” et “qu’il faut combattre et vaincre”. Ce dieux, et la religion qui en est sortie, est esclavagiste. Il a défini les Terriennes et Terriens, c’est-à-dire Négresses et Nègres, comme “esclaves” et “les “esclaves”, selon la lettre de l’apôtre Paul aux Éphésiens, sont éternellement “esclaves”. Le pape Alexandre a partagé le monde et il a donné notre continent ancestral à une partie des Européens, ce qui est tout à fait normal puisque les “esclaves”, n‘étant pas le propriétaire d’eux-mêmes, d’après les auteurs européens, ne peuvent rien posséder. Le pape Nicolas 5, successeur du pape Alexandre, a ordonné la conquête de nos Ancêtres et leur réduction en “esclavage” (esclavagisation). L’église est donc l’institution qui a initié partout l’esclavagisation. C’est ce qui explique notre présence ici au Masuana, continent dénommé l’Amérique, et c’est aussi la raison pour laquelle Bukmqn disait que le “dieux de la bible est la source de nos malheurs”. Il n’y a pas d’organisation coloniale, par conséquent esclavagisationnelle, sans l’église. C’est pour cela que l’article de la constitution dit que “La religion catholique, apostolique et romaine (...) est la religion de l'État “ La religion est chez elle dans la république d’Haïti
: “Article 36 : La loi assigne à chaque ministre de la religion l'étendue de son administration spirituelle.
Ces ministres ne peuvent, sous aucun prétexte, former un corps dans l'État.
Article 37.
Si, par la suite, il s'introduit d'autre religion, nul ne pourra être empêché, en se conformant aux lois, d'exercer le culte religieux qu'il aura choisi.”
Établir la religion biblique comme la religion d’État, c’est affirmer sans complexe, à grands coups d’éclats, que celui-ci est une esclavagisation. La république d’Haïti est la continuité du système esclavagisationnel.
Suivons bien la chose, l’assassinat physique de Jacques 1er, chez le curé ou au presbytère, vol des biens de nos Ancêtres, vols actuels de nos richesses et nos ressources, l’expulsion de nos gens du Territoire, leur assassinat en mer sous prétexte de leur venir en aide, le cul d’Alexandre Pétion, un vil personnage, un plus qu’un salaud, etc. Disons un mot de cette vilenie comme preuve tangible! Les bunda qmr n’auraient jamais accepté de nager dans une source puante si elle ne portait pas l’esclavagisation.
Les blancistes entreprennent l’anéantissement de l’Empire d’AYITI par ce qui lui est contraire et contradictoire sans se soucier du choc logique que cela entraînera ni du problème de vérité qui lui barrera la route. C’est grossier que de présenter comme des soumis un groupe de gens qui farouchement s’oppose à tout envahisseur de son espace existentiel, de dociles ceux et celles qui scient en quatre les prétendus maîtres qui les tuent pour désobéissence; des croyantes, croyants, les opposantes, opposants, à un dieux qu’ils qualifient de faux. Alexandre Pétion jouit d’une bonne presse en tant que fondateur visible de la république d’Haïti, lui qui est arrivé avec l’expédition française dirigée par le général Emmanuel Leclerc, qui a affronté nos Ancêtres à la Crête à Pierrot; qui est sauvé de la mort lorsque le Général Jean Jacques Dessalines a refusé de l’exécuter sous l’ordre du général Leclerc; qui s’est opposé aux Ancêtres, qui combattaient à ses côtés, dans la 13e demi-brigade , victorieuse de la troupe adverse, lorsqu’ils voulaient appliquer sur eux le sort qui était le leur, qui, comme le curé qui ne levait pas le petit doigt pour protéger nos jeunes Ancêtres sans défense de la ville contre leurs massacreurs français, avait demandé au Général Jean Jacques Dessalines, à la fin du siège de Port-au-Prince, de ne pas livrer la ville à la vengeance des Négresses et Nègres (Terriennes, Terrien), et qui, trois ans plus tard, au presbytère de la même ville, se sont rencontrés avec ses amis, non sans le curé, pour empoisonner Sa Majesté l’Empereur Jean Jacques Dessalines à la demande de Napoléon Bonaparte et envoyer son corps en France, puis qui s’est enfin écrié : “J’ai tué le tyran!”.
Le pic de l’aventure d’Alexandre Pétion, bunda qmr par qui Napoléon Bonaparte a fondé la république d’Haïti - car dans les Confessions, écrites sur l’île Sainte-Hélène, il a avoué être là à chaque étape du processus et enfin très satisfait du résultat -, sous l’influence particulière de son maître français, est le vol direct des fruits des récoltes du Peuple Impérial par la France au nom d’une fausse dette, une dette nominale, suggérée par Alexandre pétion pour obscurcir le “retour” de la France avec le bluff de la république d’Haïti. Alexandre Pétion voulait favoriser la rentrée de la France dans les récoltes par l’idée de compensation pour les pertes que l’Empire d’AYITI a causé mais Napoléon Bonaparte, très rusé, lui a demandé d’attendre un peu. Il pensais, se dit-il, à un meilleur coup, celui de la remise d’un emprunt que la république aurait contracté de la France. La chute de Napoléon a retardé la démarche et Charles X l’a complétée. Ainsi nos Ancêtres se voient voler le fruit de leur courage par le blancisme sous le couvert de la république d’Haïti, le pouvoir noir. Les citoyennes et citoyens du Peuple-État les plus près, en distances physiques, de là où se passent les mauvais coups, instruisent les cultivateurs et cultivatrices des plus éloignés du coup français et de la république d’Haïti, en les entendant se plaindre du vol incessant de leurs biens. Depuis d’autres pays, suivant leur force et leurs intérêts, se succèdent à la tête de ce pays du dehors et le supportent au niveau international en renforçant son insertion dans d’autres institutions, un élargissement ou une sorte de renforcement du territoire extérieur, un vide malgré tout, pour qu’il puisse durer.
Les bunda qmr, sauf quelques-uns et quelques-unes, savent très bien qu’en tant citoyens et citoyennes de la république d’Haïti ils vivaient en esclavage (esclavagisation) et qu’ils y tiennent encore même après sa destitution. Quand ils ne parles pas “d’accession à l’humanité” pour justifier cette institution bizarre par sa situation de nulle part, faute de lieu réel, ils recourent à Toussaint L’Ouverture, celui-là même qui disait au Directoire, gouvernement français, dans une lettre, : “«Je réponds sous ma responsabilité personnelle de la soumission, de l’ordre et du dévouement à la France de mes frères les Noirs ». Il y a plus. Napoléon Bonaparte, dans son livre les Confessions, en 1816, avoue avoir commis une erreur en envoyant une force en AYITI pour soumettre les Terriennes, Terriens, soit négresses et Nègres, qu’il savait qu’il allait échouer et que, dit-il, : “Je devais continuer de gouverner par Toussaint”. Dans le texte du projet de constitution en 1801 il est dit : “Article premier.
Saint-Domingue dans toute son étendue, et Samana, la Tortue, la Gonâve, les Cayemites, l'Ile-à-Vaches, la Saône et autres îles adjacentes, forment le territoire d'une seule colonie, qui fait partie de l'Empire français, mais qui est soumis à des lois particulières.” Ce n’est pas tout. Dans la république d’Haïti il y avait une place appelée Place des constitutions. Ce projet de constitution de Toussaint s’appelait “constitution” et “première constitution d’Haïti”.
Tous les adeptes de la république d’Haïti par Napoléon Bonaparte-Alexandre Pétion- Charles X portent à bout de bras, même après sa suppression - à savoir l’impossibilité de faire usage du nom de Notre Territoire -, ce pays de nulle part par identité idéologique et comme moyen de vengeance, jusqu’à l’eliminrgyo.
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Nous sommes en face de deux réalités antithétiques, l’Empire d’AYITI et la république d’Haïti, nom de paravent, dont le vrai est la partie française de Saint-Domingue, suivant l’ordonnance de Charles X. L’Empire d’AYITI est la manifestation de la Substance de nous-mêmes dans le monde sensible. Le Ce-que-nous-sommes, la Substance ou l’Essence, est la Production de Notre Dieu, GwqmrtLa, Bon-Dieu, celui qui, au dire de Nos Ancêtres, est à l’origine de toutes choses, preuves de Sa Présence. Cela fait de l’Empire d’AYTI une Réalité Immortelle Divine, selon la Constitution du 20 mai 1805, promulguée à Dessalines, Quartier-général devenu Capitale. Le nom, par exemple l’Empire d’AYITI, n’est pas une chose en soi parce qu’il est transparent. En d’autres mots il fait voir autre chose que lui-même, ce qui est dit. Il se yunise avec sa signification sans être elle-même. L’Empire d’AYTI, en tant que phonation, est unique et invariable à cause de la définition, l’Essence Munale, qu’il rend sensible. Alors l’Empire d’AYITI, dans son entièreté, est un fait irréversible.
L’autre réalité, pas en tous sens, est la république d’Haïti. Sur le plan de la dénotation, ce mot renvoie à un ensemble de faits artificiels blancistes, dont le plus important est l’esclavagisation, appelée “l’esclavage”. Cela donne clairement à entendre qu’elle s’oppose en substance, donc en tous points, à l’Empire d’AYTI. La réalité qu’elle représente est, sans l’ombre d’un doute, ce que combattent nos Ancêtres.
L’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, celui en qui l’Empire d’AYITI est fondé comme gage de sensibilité, est le lieu de Yunité, indissoluble lien. Alors prétendre que la république d’Haïti est la continuité de l’Empire d’AYTI ou même le Pays du Peuple-État, est une contradiction dans les termes. Soutenir que nos Ancêtres, en se dressant contre le blancisme, voulaient “accéder à l’humanité”, c”est dire une grosse et irréparable bêtise parce que cela est affirmer qu’elles et ils sont des esclavagistes, dont la victime est eux-mêmes. Jean Jacques Dessalines n’a-t-il pas dit : “Renoncez à jamais à la France ! Marchons sur d’autres traces !
Puisque, en somme, la situation est telle, la question qui se pose pourquoi le 17 octobre 1806, l’assassinat physique de Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, donc Jacques 1er , et la volonté clairement affichée en ce moment de rééditer le 17 octobre 1806 ? Les choses sont claires, très claires. Il n’y a qu’un temps dans le Monde Impérial. Il n’y a ni hier ni aujourd’hui mais l’Empire d’AYITI, au mieux, l’Éternel Empire d’AYITI. À cause du Rétablissement de l’Administration Impériale, Administration de l’Empire d’AYITI, Empire de Toya-Dessalines, Empire des Ancêtres, Empire de toujours, nous sommes toutes et tous dans une réalité massive. Notre mission est l’Affirmation de Soi et de cheminer vers la Perfection, la Négro-divinité, ce qui implique la vie en pleine conformité avec soi-même. D’où le Muc, dont la vive expression est : “Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti.” De la première razzia à aujourd’hui, c’est l’unique discours et il en sera toujours ainsi. Il s’ensuit que le blancisme, et forcément les bunda qmr, n’a pas d’avenir. Nous, le monde des Terriennes et Terriens, sommes irréversiblement la Voie ou la Lumière du monde. Ce qui vient automatiquement à l’esprit des hommes, c’est le 17 octobre.
La république d’Haïti, jusqu’à sa destitution récemment, et la multitude informe qui en dérive, organisation terroriste, était le miroir de l’organisation blanciste et son instrument de vengeance. Elle se met, dans le néant où elle est, à la disposition de son maître dans l’oeuvre de la mort. Sous les ordres du blancisme, comme le chef déjà mis en accusation dans l’Empire d’AYITI, et, particulièrement, ceux et celles qui travaillaient sous le commandement des organismes internationaux, dirigés par les blancistes, les plus gros criminel(le)s de la planète, agissent les bunda qmr. D’où leur culpabilité !
Les bunda qmr sont mobilisé(e)s ! Ils arrivent de partout, en avion, en bateau, en hélicoptère, en camion, en automobile, en cheval, à pied, la tête remplie de stratégie d’assassinat, d’actes terroristes, etc., etc., etc., Ils sont aussi de tous les coins, les pays. Nous avons déjà vu ça, en 1791: « La race blanche et la classe de gens de couleur, et les Noirs libres sont unis, il n’y a que les esclaves qui sont ouvertement soulevés, et qui tuent leurs patrons et incendient leurs habitations ». « Blanchelande au gouverneur de Santo Domingo (S.d.) », AGI, Santo Domingo, 1029, f. 1.
Au sujet de la réédition du 17 octobre 1806, il est important de savoir que l’Empire d’AYITI est une yunité, donc yun, et qu’il se charge de tout. Il s’agit d’une Gestion Globale. Il en est de même pour la défense de l’Empire d’AYTI. C’est la responsabilité de toutes et tous, quel que soit son âge. L’Empereur, comme l’Impératrice, et les Badr forment YUN. Tout assassinat, tout acte terroriste, toute agression, bref tout, contre un ou une Badr, est contre l’Empire d’AYITI, c’est-à-dire contre toutes et tous indistinctement. Il n’y a rien de nouveau. Il en a toujours été ainsi. Cependant il y a une différence. C’est que les moyens dont nous disposons ont évolué, changement du temps. Que notre ennemi naturel aie toujours ceci présent à la tête : Nul ne peut se soustraire à l’Éternel Empire d’AYITI !
Tous ces gens du blancisme, qui sont ici en vue d’opérer pour leur cause, y compris les bunda qmr, la multitude informe, sont déjà en état d’arrestation pour actes terroristes, génocides, crimes contre l’humanité, violation de la Constitution de l’Éternel Empire d’AYITI, vol et pillage de biens et ressources, sous prétexte que “nous sommes des “esclaves”, selon leur idéologie, et que, par conséquent, “nous ne pouvons rien posséder”, puis effectivement “nous ne possédons rien”, etc., etc., etc. S’il y en a qui quittent le Territoire Impérial, pour quelque raison que ce soit, ils sont sous la responsabilité du tribunal pénal international, parce que la loi de l’extérieur se chargera d’eux. C’est leur loi. Nous, en tant que Terriens, Terriennes, bien que non lié(e)s par leur droit, le tribunal pénal international est obligé de les prendre en charge.
Les Badr de l’Empire d’AYITI sont, par le fait même, protégé(e)s par les Badr, précisément par la législation, où que nous soyons sur notre Territoire, du continent ancestral au Masuana, partout où nous habitons. Que chacune-chacun veille sur chacun-chacune et est toujours prêt, prête, à recourir au dispositif mis en place par l‘Empire d’AYTI pour faire face à cela!
Nous le savons toutes et tous que ce n’est ni une belle voiture, ni une belle maison, ni l’instruction, ni l’argent, ni les fréquentations, ni ...... qui font l’être mais le Muc. Nous sommes à la hauteur de nous-mêmes, notre Être, le Mun.
Toute volonté de s’imposer à un autre que soi s’évanouit forcément devant le Muc, ici Nous, Terriens, Terriennes, donc Négresses, Nègres.
Le Décret est en vigueur dès aujourd’hui, le 7 octobre 2025.
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
Pour les activités en ce 17 octobre 2025
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