Nègre ou Terrienne est à jamais cette Terre parce qu’elle est le fruit de la Pureté et l’Inégalée et Inégalable Vaillance de nos Ancêtres.

 



Nègre ou Terrienne est à jamais cette Terre parce qu’elle est le fruit de la Pureté et l’Inégalée et Inégalable Vaillance de nos Ancêtres. 


La faiblesse, la lâcheté, la fin des blancistes !


Quand vous ne faite que tuer ou, plus précisément, assassiner, vous êtes faible, lâche et fini parce que vaincu. Telle est la situation des blancistes avec leur culture de l’assassinat!

Dites-le moi! Comment ne pas s’en réjouir follement ? 



Le Décret0000000NègreouTerrienne,fruitdelePuretéetInégaléeetInégalableVaillancede nos Ancêtres,estàjamaiscetteTerre08920250000000 

 

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - t = © Tous droits réservés


q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,  =¼ on, ñ

 

Traduction Google, voir l'original si nécessaire :




LinkedIn: HRH Prínce Tiécoura Jean Dessalines D'Orléans;

Blogger: Forum-Impératrice Claire Heureuse Dessalines, la Ville de Dessalines, capitale d’AYITI;

X: @ForumEmpereurje


Pour tout ouvrage, consultez le site d’Akadémie X :

https://www.akademiex.com/product-page/tome-6-l-administration-impériale-rétablie-au-pays-ancestral-ayiti

Administration impérial rétabli


L’esclavagisation est le crime contre Busa ou contre le Nègre et la Négresse, Terrienne, Terrien.


AYIBOBO !


L’art de vivre, qui est en synonymie avec l’art d’exister, est déjà déterminé par notre Corps Munal, Pensée de Notre Dieu, Bon-Dieu. Notre part, dénommée la part munale par excellence, consiste à le penser et l’exécuter. Ce n’est pas une mince affaire mais l’efficacité de la Divinité en nous par notre pureté d’être, c’est-à-dire là où il n’est pas atteint de la pathologie hommale, rend la tâche particulièrement facile et savoureuse. 



C’est là la grande tâche et la spectaculaire réussite de la Dessalinienne dans l’Érection Inégalée et Inégalable de l’Éternel Empire d’AYITI, notre Être Munal dans le monde sensible, cet Être qui est le Muc, dans l’entièreté de sa substance, est notre Moi Yunitaire Seconde Pétillante, qui scintille de brlte, satisfaction continue et gangance inédite, l’art de se mettre en évidence. 



Pourtant, en face, devant ou contre cet exploit sans pareil, il y a le Mal infini ou le plus grand Mal qui soit, c’est-à-dire le blancisme, une branche de l’hommalité, principe de l’homme, laquelle est la partie la plus évoluée du Mal. Cette bactérie, dont l’évidente spécificité est la dévoreuse des Terriennes et Terriens, soit Négresses et Nègres, jure de casser l’Oeuvre Grandiose du Grand Savant en la matière, Jean Jacques Dessalines, Fils élevé, donc préparé à cette fin, par Agbawaya Toya et de conduire cette branche-racine jusqu’à l’eliminrgyo. 



En guise de rappel de cette chose que Jean Jacques Dessalines dénomme “le monstre”: sur la planète, seuls les blancistes sont partout et dans tous les coins et ce n’est pas sans raison. Le principe de ce mouvement sans cesse et sans limites réside en eux? C’est leur être même, c’est-à-dire l’hommalité. L’être qu’ils sont roule à l’envers, voie contraire et contradictoire au La, et par conséquent a un effet toxique sur lui-même, sur les autres et sur l’environnement dans son entièreté. Ce poison en lui ne le ronge pas calmement, il est une démangeaison sans repos et il le pousse à aller partout, toujours plus loin. Il n’a pas de lieu propre. Cette violation constante ne va pas naturellement sans violence, non, mais pas n’importe laquelle. Il s’agit de la cime de l’horreur. L’action de cette monstruosité s’explique par la gordrmité, - caractère étranger de leur être dans le La - de ce qui fait de lui ce qu’il est.



Comment faut-il comprendre ce fait? En effet l’hommalité est un vide, elle n’est qu’une pensée et on peut aussi dire des souhaits. Aucune réalité, dans le La, ne la sous-tend. Il y a plus. Tout lui résiste, sous quelque forme qu’elle se présente parce que rien n’est apte à la recevoir. Le vide ou le néant de l’hommalité est son insaisissabilité en tous points. Cela est dû au fait qu’il n’est rien. Ce qui est est forcément saisissable. Le réel nous le renvoie sous une forme ou sous une autre. Ce recours au réel s’explique par le fait que notre capacité de b¼nqyer a cette habitude de se référer au réel comme support. Le néant, n’étant pas une chose, n’est doué d’aucun effet en ce sens. Pourtant il fait du bruit puisqu’on en parle. Eh bien, le désir du désir, qui est ici la pensée-néant repliée sur elle-même, est la substance sur laquelle s’appuie la pensée-rien. Ce désir est le penchant irrésistible vers l’être. Cela donne l’impression qu’il est une chose. Comme dans la réalité on a souvent recours à la violence pour contrer ce qui menace notre maintien dans l’être, on applique le même procédé dans le cas de la contrariété à la pensée du vide par le fait qu’il soit porté par un être réel. Qu’est-ce que cela veut dire ? Ce n’est pas le vide qui en est la cause, puisqu’il n’est rien, mais celui qui est à l’origine de cette pensée. L’être de celle-ci, un être dégénéré, se sert, dans toutes ses démarches, de la violence comme instrument de réussite, c’est-à-dire moyen de se faire advenir, cette tendance à laquelle il est en proie, tendance qui consiste à tout casser, notamment tous les gens, soit les soumettre à lui. L’hommalité n’a que la violence comme support d’être, ce qu’elle pense. L’important, c’est sa croyance. Plus on la repousse, plus elle désire la violence. Finalement elle devient toute violence, sous sa forme la plus inédite. Sa plus grande production est la violence. Elle est forcément un agent destructeur, cela de tout, vivant et non vivant, tout y passe. Elle est en soi destruction furieuse. Elle rend inhabitable, la planète. Voilà ce qu’est le blancisme, qui est sa forme la plus avancée, sa plus vive expression, donc pur Mal ! C’est ce qui a conduit jean Jacques Dessalines à le définir comme monstre, un monstre contre lequel se dresse la terre, souligne-t-il. 



Comme tous les autres gens, les Terriens, Terriennes, sont sous le feu déchaîné du blancisme. Il envahit notre espace vital et tente mais en vain de nous dominer. Être en nous-mêmes, nous répondons coups pour coups. Le Muc est proportionnel au Mal. Plus celui-ci prend de l’ampleur, plus le Muc devient fort parce qu’il est en lui-même Tout-puissant. Nous vaincrons. Même devant le fait accompli, il refuse de déposer les armes. Il ne peut pas car il est unidirectionnel, nous le dit Jean Jacques Dessalines. Sa place est dans le vide, de l’autre côté de la frontière. Il n’arrive pas à s’y faire. Comme toute pensée, il ne prend corps qu’en les autres. Ainsi, le 17 octobre 1806, il se manifeste en ceux et celles qu’il a niché depuis fort longtemps, des gens qui sont comme lui dégénérés sous le poids du même vide et du désir du désir. 



Échec total

Coup vide! Le vide n’accouche que du vide. En effet rien ni personne ne peut renverser l’Empire d’AYITI car il repose sure des Décrets Immortels Divins : “Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes”, référence faite ici à l’esclavagisation, source de tous les malheurs, “il convient d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens d’une manière immuable et irrévocable”. L’objectif même de l’Empire d’AYITI, au mieux, de l’Éternel Empire d’AYITI est hors du temps. Le Projet que Jean Jacques Dessalines a à à réaliser est Divin et, par conséquent, s’ouvre sur l’Éternité. L’homme ne peut rien faire contre NOUS, l’Empire d’AYITI. Par sa Constitution, il est“ un gage signalé de la bonté divine, qui, par suite de ses Décrets Immortels,“, est-il dit dans la Constitution nous avons atteint la Perfection de l’Être que nous sommes. La Dessalinienne est irréversible et elle débouche nécessairement sur son objectif. L’Empire de Toya-Dessalines dépasse l’imagination. Le blancisme ne pourra jamais faire reculer le Muc qui s’est bâti en Empire d’AYITI.  



Un pays blanciste

Comme le blancisme est unidirectionnel et que, par conséquent, il ne peut pas faire volte face, il persiste et signe. Puisque tout être dégénéré à ce point est idiot, il ne comprend pas la situation dans laquelle il se met, soit l’objectif de vaincre l’Éternité. L’un des traits de l’idiot, idiote, est de croire en lui-même, elle-même, sous la simple base du désir du désir; l’autre trait le plus exploité est la valorisation de soi, c’est-à-dire vantard, vantarde, toujours enraciné dans le désir du désir, Ces caractéristiques ne retiennent pas un fait, que l’assassinat physique de Sa Majesté Jean Jacques Dessalines, voire ne plus parler de lui, ne peut pas l’effacer dans la mémoire des gens comme il se l’imagine  parce qu’il y a ceux qui  vivaient avec lui et leur progéniture. Par conséquent il est éternellement. Jean Jacques Dessalines et l’Empire d’AYITI sont une seule et même chose, l’un n’est pas sans l’autre. 



Privés de ce savoir, les blancistes et leurs atha, soit les bunda qmr, se font passer pour la genèse de toutes choses, y compris un pays d’Haïti. Pour ce qui est de ce dernier, ils expliquent l’affrontement qui a conduit à la république d’Haïti par la volonté, particulièrement celle des hommes de couleur en tout premier lieu, “d’accéder à l’humanité, à savoir eux, plus précisément leur mode d’être dans le monde, volonté dont le point de départ est la révolution française. “Les esclaves, disent-ils, à la toute fin ont emboîté le pas”. Et avant cela il y a Toussaint L’Ouverture qui a déjà initié le pays, toujours selon eux. Le 17 octobre marque la correction d’une mésentente interne et le pays continue.


Le mode d’organisation du pays d‘Haïti

Il faut bien comprendre le sens profond de “ce pays”. “Ce pays” est une colonie esclavagiste blanciste. De Toussaint à ce qu’ils appellent “la révolution”, en vue de protester contre le retour au passé enclenché par Napoléon Bonaparte, c’est le pays du blancisme et aujourd’hui encore, toujours selon leur logique


Les traits du pays d’Haïti

Qu’est-ce qui caractérise “ce pays” ? D’abord et avant tout la fidélité à la France, laquelle est considérée comme la tête du blancisme d’alors; la France comme chef de l’État, suivant l’histoire inventée par les histo-à-riens; la chrétienneté, puisqu’il est sous l’obédience de l’église; ensuite, la pensée de“l’esclavage”, mode d’organisation, alors lieu du dieux de la bible; puis l’anthropologie des droits de l’homme, ce qui débouche sur le système de droits et ses modes de production économique, laquelle se solde par la pauvreté; la haine profonde de l’Ancestralité; le mauvais traitement et l’eliminrgyo (le génocide) du Peuple-État en guise de vengeance par le blancisme. La somme des traits mentionnés forme la substance de la république d’Haïti, le pays blanciste.     



Le trait stratégique

L’histoire fabriquée, telle que nous venons de la voir, présente, sans détour, la république d’Haïti comme une institution blanciste. Elle prétend qu’elle a toujours été là, comme enfant du blancisme français. Ce n’est pas seulement la France qui a comploté contre l’Éternel Empire d’AYITI en assassinant physiquement l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines. D’autres pays blancistes lui ont prêté assistance, par exemple, les espions français munis de fausses citoyennetés. Les blancistes savent très bien qu’il leur est impossible d’avoir accès à l’Empire d’AYTI. La république d’Haïti est instituée comme leur continuité. Ils inventent la pensée de fondement externe du pays en question, qui est une reconnaissance combinée de plusieurs. Les enfants de la république d’AYITI sont enracinés dans une entente extérieure et ils ont dans leur sein une présence étrangère, par exemple, des militaires du dehors qui assistent aux réunions de l’assemblée nationale. Cette base nominale externe se renforce d’année en année par de nouvelles alliances extérieures. Plusieurs organismes intègrent la république d’Haïti dans leur sein et le terrain externe devient de plus en plus large. Les décision par l’extérieur, des pays et organismes internationaux, sont de plus en plus complexes au fil des années et couvrent tous les champs. Comprenons bien, l’Empire d’AYITI est irrévocable parce qu’Éternel; il s’ensuit que le Territoire est hermétiquement clos, il n’y a donc pas de place pour la république d’Haïti; elle est sans assise physique; elle devient sur ce plan une illusion; il y a recours à l’extérieur, les organismes internationaux comme d’autres pays pour lui donner un être-là par des déplacements, une activité littéraire, etc.   

 

Les mains en l’air!

Pour faire face au Peuple Impérial, cela dès les premières heures de 1803, ils misent sur la force des armes, au tout début, en bloquant les capacités des gens armés à contre-frapper; c’est le cas de l’assassinat de Capois Lamort par Henri Christophe et d’autres soldats chef par Alexandre Pétion, puis plusieurs autres par Jean-Pierre Boyer. Il y a des militaires européens au sein de ses militaires de la république d’Haïti. Avec l’augmentation des institutions internationales, toujours sous la direction des blancistes, ils multiplient le nombre de forces armées contre l’Empire d’AYITI. Les organismes forment un groupe terroriste contre le Peuple-État, des cas de génocide Terriens, Terriennes, sur le Territoire de l’Empire d’AYITI, sont multiples, des actes perpétrés par les militaires des pays qui soutiennent le territoire externe de la république d’AYITI, sous l’autorité des organismes internationaux ainsi que des pays, tous esclavagistes et sous-esclavagisés. L’Empire d’AYITI est tenu les mains en l’air. Sans ce trait, il serait impossible aux esclavagistes d’opérer. 



L’objet des blancistes

Le Peuple de Dessalines, dans l’aventure de la république d’Haïti, ce que nous avons vu jusqu’ici, est l’objet des blancistes. Ils veulent son effacement par l’assassinat physique de Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines comme institution et visent aussi la mort de chacune-chacun en tant que mun. Des assassinat, il y en a massivement par des maladie provoquées, de fausses catastrophes naturelles, la faim, etc.,il y a aussi des tentatives de rabaissement de grandeur, d’humiliation, en les poussant à aller à l’étranger. Ils se donnent la mission de nous réduire à néant. La république d’Haïti travaillait d’arrache-pied pour le succès de la mission de mort blanciste. Elle exécutait sans failles les ordres des blancistes. Voir à ce sujet sur LinkedIn : HRH Prince Tiécoura jean Dessalines D'Orléans, le Décret suivant : ( Décret : La pure vérité : Instituée pour la vengeance,  Décret 00000007la sinistre création artificielle 26052024 le blancisme et la république d’Haïti une naturelle unité pour la vengeance) X: @ForumEmpereurje; .etc. Maintenant elle est destituée, la république d’Haïti et il ne reste qu’une multitude informe avilie, elle maintient le cap vers le blancisme.



Le pays des blancistes

Les blancistes, sur Notre Territoire Impérial,  s’installent chez eux, se disent-ils, mais, par prudence ou stratégie, ils recourent une fois de plus au pouvoir noir, toujours comme paravent, jusqu’au jour où ils se montreraient la face. Cela veut dire que leur administration est dans l’ombre. Il en est de même forcément pour le pays de la république d’Haïti, avant son effecement, parce que, malgré tout, le Peuple-État est et reste chez lui. Ça va de soi, le pays des blancistes n’a pas accès au Territoire de l’Empire d’AYITI. Ils s’en forgent un avec les institutions et les organismes internationaux, dont les supports sont du papier et des fichiers électroniques.  Ce sont des agents et agentes de ces institution qui parlent dans le nom d’Haïti et les bunda qmr reprennent les paroles. Nous sommes dans la logique du vide. Le pays des blancistes n’est logiquement pas et NOUS, parce que nous sommes l’Éternel Empire d’AYITI, rien ni personne ne peut nous vaincre. D’ailleurs nous avons à jamais vaincu le blancisme.  



La fin du stratagème 

L’Empire d’AYITI, Yun et Éternel en soi, met fin à cette supercherie en interdisant tout, franchement tout, ce qui servirait à une illusion d’optique, un faux pays, en périphérie de son institution. L’Empire d’AYTI s’apprête à confier au tribunal pénal international tous ceux et celles qui, par un subterfuge, instituent un commerce autour de lui en se servant de l’illusion d’optique en question. Il faut comprendre que les blancistes font comme s’il s’agissait du Pays de Toya-Dessalines avec de faux documents légaux qu’ils produisent. Ceux-ci les permettent de bluffer pour agir et s’emparer (voler) de nos ressources et nos richesses. Ces faux documents, puisque le Pays Ancestral n’a rien à voir avec les esclavagistes, sont, certes, avantageux dans un sens pour les blancistes. Les documents légaux des esclavagistes produits en ce sens, quelle que soit leur provenance, nous servent, sur un autre plan, le plan contraire, de preuves tangibles que nominalement notre Lieu Territorial est utilisé en guise de lieu physique, même si cela, pour reprendre une formule courante, est dépourvue de toute légitimité et de toute légalité, soit faire usage du nom d’un pays pour faire ses transactions illégales, des transactions réelles et de toutes sortes, et que, pour que cela se fasse, ils recourent au mode de “haut les mains”, soit recourir à des hommes en armes, donc des terroristes, pour paralyser toutes sortes de riposte de la part de l’Empire d’AYITI. Cela nous donne l’avantage de les identifier clairement, preuves à l’appui, comme des violeurs de la loi internationale et les accuser de crime contre l’humanité en plus de génocide, et de la loi nationale, particulièrement la Constitution, promulguée depuis 1805 dans la Capitale Impériale, Dessalines. Nous reprenons, nous sommes l’Empire d’AYITI et nous n’avons aucun lien avec les institutions et organismes internationaux. Pourtant ceux-ci, sous l’initiative des pays internationaux agissent en Notre Nom en notre désavantage, soit contraire à Notre Pay, ils nous tuent et nous assassinent, chez Nous, parce que nous ne soumettons pas à leur volonté. C’est sans conteste l’esclavagisation, un crime condamné par la loi nationale comme internationale.  



Nous mettons, en attendant l’aventure internationale, sous arrestation, à l’instant même, au niveau national, tout pays, ainsi que ses citoyennes et citoyens concernés, ayant recours à l’illusion optique pour accéder, en leur faveur, à nos richesses et ressources contrairement à nos lois, qui sont, de toute évidence, nous-mêmes. Ils comparaîtront, administrateurs et administratrices comme propriétaires, où qu’ils se trouvent, devant le tribunal populaire national ou un tribunal spécial international pour vol, pillage, génocide (comme effets des crimes), crime contre l’humanité, etc. 



Quant aux tubabu, soit les bunda qmr, qui ont les mêmes jouissances ou avantages, ils subiront les mêmes sorts.



Si les atha sont à l’extérieur de l’Empire d’Ayiti, au jour fixé, ils seront confiés au tribunal international.   


Les organismes internationaux et leurs agents, agentes

Les organismes internationaux ne sont pas une pavée unie mais des formes diverses ainsi que des intérêts. C’est sur ce plan qu’ils fonctionnent. Ce concept descend du nouveau principe politique, lequel est le droit, tel que théorisé par le philosophe politique anglais, Thomas Hobbes, celui dont je suis le spécialiste. Les organismes internationaux sont la mise en scène, en miniature, de l’état de nature conceptualisé par ce philosophe anglais. Aucune représentation n’est avec aucune autre et toutes sont avec toutes ou presque à cause du jeu des intérêts. Tout dépend du contexte et des intérêts en jeu. C’est le statut de l’individu naturel hobbien se donnant en spectacle. Forcément la règle universelle est l’intérêt national, fondé sur le modèle de l’intérêt personnel. Cette règle est, par conséquent, supportée par la loi du plus fort. Toutes les nations sont des prédatrices. Ce n’est pas toujours le plus fort qui l’emporte parce que celui-ci n’est jamais le même dans un tel contexte. Tout marche par des tractations. Il s’ensuit que le terrain est en permanence glissant. Ce qui stabilise ce fait, c’est la présence des esclavagistes, notamment les plus gros, alors les monstres de taille infinie, dont certains sont des chefs permanents. Tout compte fait, il n’y a aucune régulation qui tienne. Ils transgressent la loi qu’ils se donnent là où ils perdent l’avantage. Les perdants, perdantes, sont ceux et celles qui ne croient pas suffisamment en eux-mêmes ou qui se font rouler ou qui sont de même tendance et qui par conséquent marchent dans leurs combines dans l’espoir de tirer leur épingle du jeu. Il y a bien évidemment plusieurs autres raisons. Tout se ramène aux affrontements et la victoire va à ceux qui sont les mieux positionnés. Si dans l’état de nature, les choses tendent à évoluer faute d’intervention de notre capacité créatrice, ici, dans les organismes internationaux, ce à quoi nous assistons est l’ordre artificiel, alors la stabilité et la marche des choses. C’est un désordre en ébullitions. Même avec la législation, rien n’est fixé. La solidité de ces modes d’institution réside dans le non respect de leurs paroles particulièrement par ceux-là même qui les énoncent. L’être des organismes internationaux est le non-être. Ils ne peuvent rien imposer, ils parlent pour parler et n’encensent, par leurs actions, que ce qu’ils décrient. Plus ça va, plus ils s’enfoncent les brouillards du désordre. ICI RIEN N’EST finalement, même pas l’intérêt personnel ni l’intérêt national. Aucune boussole n’est pour ce genre de situation. 



Les organismes internationaux, il faut toujours avoir ce qui suit à la mémoire, sont donc, malgré leur inefficacité sur une multitude de points,  faits pour dicter la conduite à partir de certains intérêts. Il faut les tenir en respect. Dans l’état actuel des choses, les savqn, esclavagistes notoires par conséquent les grands assassins, gens les plus sales et vils qui soient, se donnent tous les droits. Ils vont jusqu’à organiser chez vous, et se permettre de vous expulser de la vie collective, de chez vous. Le désordre est à son plus haut point et débouche sans détour sur la folie furieuse. Des riens, faute de respect pour le lakort munal, qui veulent se faire passer pour être. L’indécence est à comble! Ils vous dictent votre conduite parce que, selon leur idéologie, vous n’êtes pas et que, par conséquent, vous êtes inférieur, eux, supérieur. Les conséquents morales, ils ont tous les droits face à vous. 



Il n’y a rien de plus catastrophique quand un pays ou un groupe de gens, telle la multitude informe résultant de la dissolution de la république d’Haïti, a pour territoire un tel chaos. Et c’est ce que cherchent les loup-hommes, les esclavagistes, assoiffés de sang. Faut-il le souligner, ce n’est pas une pensée qu’ils ont forgée et développée  ensuite mais l’effet d’un hasard. Le territoire-organisme-international est une esclavagisation à tête multiple. Cela est possible seulement là où il n’y a pas de gens en eux-mêmes. De tels gens sont lorsque leur munalité est déshydratée et que cela provoque un abandon de soi non sans savoir les conséquences d’un tel comportement. Nous disons de ces gens qu’ils sont des ainsi-soit-il. Ils ne sont à l’origine d’aucun principe, ils ne sont que des suiveux, suiveuses, ce qui ne veut pas dire qu’à partir de l’enseignement reçu ils ne peuvent d’aucune création. Ils ne sont tout simplement pas authentiques. Ce sont des esclavagisé(e)s non des esclavisé(e)s, ce concept est une bêtise. Il donne une substance à l’”esclave”, une chimère. L’esclavage n’est pas, sauf l’esclavagisation. C’est ce qui introduit le territoire-organisme-international dans les relations interpersonnelles comme les relations internationales et les organismes internationaux. On vide certaines gens de leur êtralité originale en saoulant leur inclination à se mener soi-même. Un tel état d’être, état de zombifié(e), est avantageux à l’esclavagisation. Le travail du territoire-organisme-international ne se réduit rien qu’à cela. Un exemple de cela est les propos du canadien Jean-Louis Roy, secrétaire général de l’ACCT : “Il y a une chose qui n’est pas négociable, c’est le respect des droits de l’homme. Sur cela, la communauté internationale doit partager les mêmes normes, droits politiques, doits économiques et droits sociaux”. Ce monsieur, a ce moment-là s’adressait aux pays nègres, donc terriens. Jean-Louis Roy affirme ici que les Terriennes et Terriens ne sont pas des êtres en soi et que, par conséquent, ils doivent suivent les blancistes, le monstre de la planète. Là où il y a pensée d’esclave ou esclavage et esclavagisation, il y a toujours un concept réduit de l’être. Celui-ci se voit servir ce qu’il mérite. On ne le dit pas forcément tout haut mais il est compris de façon évidente dans les discours. C’est une question de logique. On n’impose pas aux gens d’un autre espace sa façon de vivre. Là où cette manière d’être dans le monde est celle à laquelle on appartient, on se dit le “maître”, on le lui dit sans détour. Comme Jean-Louis Roy vient de nous en donner l’exemple. On enlève le choix à l’esclave, on est tellement puissant face à lui. Le sujet du discours de Jean-Louis Roy est “la communauté internationale”, quelque chose qui est supérieur aux Négresses et Nègres, au mieux, Terriennes et Terriens, et qui, par conséquent, a le droit, puisque c’est de cela qu’il est question, naturel de les commander. Cela signifie clairement que Nous, les Négresses et Nègres, sont sur le territoire de la communauté internationale de Jean-Louis Roy et qu’ ils sont fait d’elle. Nous sommes sa terre et nous nous nourrissons d’elle. 



 Le langage est le même quand les agents, agentes, du territoire-organisme-international parlent de la république d’Haïti : “ Vous avez tel problème; vous êtes un problème; vous allez faire ceci; nous décidons que cela se passera de telle façon; nous déployons des forces militaires de telle taille pour tel nombre de temps; nous déterminerons la nature du travail; ces forces feront de vous ce qu’elles voudront; il vous faut tel montant d’argent; telles personnes sont assignées à tels postes comme notre interlocuteur, etc.”



La république d’Haïti n’est plus, ils le savent très bien. Pourtant la prétention reste puisque le discours n’a pas changé. Ils s’adressent à l’Empire d’AYITI. Y-a-t-il des “esclaves” ou des esclavagisé(e)s dans l’Éternel Empire d’AYITI ? La planète terre répondra spontanément avec certitude et fracas que NON car l’Empire d’AYITI est Dessalines et Ancestral, ce qu’il y a de plus PUISSANT sur la planète entière. Les Ancêtres ont parlé et ils ont agi. Leurs Paroles sont Éternelles : “C’est mon zèle, sans doute, affirme Jean Jacques Dessalines, le Général à Jamais Vainqueur,  à veiller sur le salut de l’Empire, c’est ma volonté à consolider notre entreprise, entreprise qui donnera de nous, aux nations les moins amies de la liberté non l’opinion d’un amas d’esclaves.“ Pourtant ils veulent nous dicter notre conduite. En plus nous ne sommes membres d’aucune organisation internationale. Nous n’avons rien signé avec les organismes internationaux et nous n’aurions, sous aucun prétexte, rien signé non plus. La raison est simple, Jean Jacques Dessalines l’a déjà évoqué dans un contexte de rejet de toute collaboration avec un peuple autre que nous-mêmes : “Quel peuple a combattu pour nous ? Quel peuple voudrait recueillir les fruits de nos travaux ? “ Nous sommes seul(e)s dans ce travail, nos Ancêtres et Nous, c’est-à-dire le monde des Terriennes et Terriens. Cette Oeuvre exceptionnelle est la leur propre, sans mélange : “Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves..(...) Marchons sur d'autres traces “. Ces paroles révèlent l’impossible pensée de flirter avec d’autres peuples que nous-mêmes parce que nous-sommes en Nous-mêmes, rien que Nous-mêmes, et que Notre Voie est faite de nos “traces”, nos propres traces. Tout repose sur le Combat en Soi, par Soi et pour Soi. Que tous les peuples autre se tiennent loin de NOUS. Le Muc est une fois de plus en tête et il atteint le pic de lui-même en ces termes : “Le Peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État Libre, Souverain et Indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti.”L’Empire d’AYTI, c’est être en Soi, rien qu’en Soi. Être en Soi, c’est être par Soi-même et pour Soi-même. Le contexte de l’Érection sensible de l’Empire d’AYITI est celui d’appropriation de Soi par Soi, le rejet avec force et conviction de toute intrusion d’autrui. Cela se solde particulièrement par des mots très forts et évidents : “ L'esclavage (ici l’esclavagisation) est à jamais aboli”. Ne pas pouvoir accéder à l’intelligence de la proposition ici énoncé, c’est être idiot, idiote. En effet, par ces mots il est ici question de marcher sous la dictée d’un autre que soi.  La casse est totale-capitale et la Gwqmunité s’érige en Étendard.  Il ne suffit pas de le dire mais il faut nommer le Mal par ses racines, le blancisme : “Aucun blanc, dit Dessalines, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce Territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété.”. Il fallait nommer le plus grand Mal pour mieux le maîtriser. C’est une des exigences de la vie et l’existence. Il n’est pas le seul, évidemment, mais le pointer du doigt est une nécessité êtrale et existentielle. Jean Jacques Dessalines, le Fils élevé par Agbawaya Toya, a la Mission Divine d’achever l’existence pour le Blrz du Peuple Munal. Ce n’est pas quelque chose de temporaire, il s’agit d’atteindre le plus haut point : “Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes”, référence faite ici aux malheurs dont nous sommes frappé(e)s par le dieux des hommes, le dieux des blancistes, “il convient d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens d’une manière immuable et irrévocable”. Le projet Divin, celui que nous avons à réaliser , s’ouvre sur l’Éternité. L’homme ne peut rien faire contre NOUS, l’Empire d’AYITI. Le démarrage du Projet est irréversible et il atteindra son objectif. Cette démarche est“ un gage signalé de la Bonté Divine, qui, par suite de ses Décrets Immortels, “ nous avons érigé l’Éternel Empire d’AYITI comme moyen de tout réaliser. 



 

La mise en arrestation de notre ennemi naturel

Les pays, quels qu’ils soient, des organismes internationaux qui se permettraient de nous traiter en “esclaves” en prenant des décisions en Notre Nom, Nous l’Éternel Empire d’AYITI, se verront immédiatement interdire à jamais l’accès au Territoire de l’Empire d’AYTI, Notre Être et Notre Pays, et, par la suite, à tout Territoire des Terriens et Terriennes, Négresses et Nègres, sur le continent Masuana, ridiculement appelé l’Amérique, et sur le Continent Ancestral, Gelefwe, par le dialogue pressant avec tous les peuples distinctement, tous Peuples de l’Éternel Empire d’AYITI, promulgation faite par l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines. 

  


 Tous ceux et celles qui foulent le Territoire Impérial, sous quelque prétexte que ce soit, sont en état d’arrestation. Qu’ils arrivent de n’importe quel pays, qu’ils viennent de n’importe quel organisme international, sans exception, il suffit qu’ils soient sous Notre Territoire, partie de nous-mêmes, en “maître ou propriétaire” pour qu’ils tombent sous la loi de l’Empire d’AYITI. Obligatoirement ils seront tous et toutes identifiés, d’une manière ou d’une autre. Ici ce n’est pas une savqn mais l’Empire d’AYTI, CHEZ NOUS et CHEZ NOUS SEUL(E)S. Ils passeront en temps et lieu devant le tribunal international spécial. 


S’ils se sauvent avant d’être pris ou instruits de leur situation, le rendez-vous est au tribunal pénal international. 



Point n’est besoin de dire que les bunda qmr connaîtront le même sort.



Le Décret est en vigueur dès aujourd’hui, le 12 septembre 2025.


Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :


HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn



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