20 septembre 1758 : Naissance du Messie Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand et la critique des opposants

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20 septembre 1758 :
Invincible Général et Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines

NOUS SOMMES À L’ÈRE DESSALINIENNE
C’est aujourd’hui le 20 septembre. Un jour comme celui-ci, au cours de l’année où le Grand Chef Marron, François Makqdal, fut immolé par la Bactérie mangeuse de Négro-jelefweennes et Négro-jelefweens, la planète terre a accueilli, non sans fébrilité, Son Sauveur, Jean-Jacques Dessalines. Très tôt, sous le préceptorat d’Agbawaya Toya, le tout jeune Enfant prendra sous Sa responsabilité l’expulsion du blancisme, une fière idéologie pour ses adeptes, de notre champ existentiel et de rétablir l’ordre du Nous dans sa constitution interne wÄnale. 
  
La mission de l’Enfant du 20 septembre 1758 est, de toute évidence, double mais se rapporte au même objet, qui est l’unité indivise de l’être munal, l’être que nous sommes indistinctement.

L’aspect premier de la mission doit se faire, et se fait effectivement, dans la continuité de l’émergence des Nations de Marronnes et Marrons, particulièrement du makqdalisme dont l’Enfant des Mornes Cahos, Jean-Jacques Dessalines, est l’Unique Figure. L’Enfant devient grand et milite dans la Nation de Bukmqn tout en menant, à l’ombre d’Agbawaya Toya, de petites contre-attaques à droite et à gauche.

Le contexte est extrêmement difficile et marécageux. Pour cheminer l’Enfant doit être excessivement brillant, point de doute Il l’est effectivement. Les premières connaissances acquises d’Agbawaya Toya l’amènent à en acquérir une foule d’autres, par Lui-même. Fin observateur, Jean-Jacques Dessalines connaît par cœur toutes les sinuosités du contexte. Il est Celui qui a accédé à la plus haute compréhension de la réalité globale.

Jean-Jacques Dessalines dira: “Je pensais que Toussaint était pour la liberté”, le terme exact est gwqmunalité. L’expérience prouve le contraire pourtant l’Enfant des Mornes Cahos, Son lieu de naissance, ne s’en va pas. Il restera là jusqu’à la fin sans rien laisser suinter et sans faire le gros dos, au contraire. Pour celles et ceux qui ne le savent pas, le signe personnel de Jean-Jacques est la pintade, animal méfiant et rusé. Dessalines méprise Toussaint à tel point qu’Il refusera d’accorder la main de Sa fille aînée, Princesse Célimène, au colonel Bernard Chancy parce que celui-ci est le neveu de Toussaint : “Jamais, dira l’Empereur, je ne mélangerai mon sang avec celui de ce scélérat”, soit Toussaint L’Ouverture. Heureusement Sa Majesté Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines s’y était opposé car Je ne serais pas là en train d’écrire ces lignes puisque Je descends de la Princesse Eugenia Dessalines, fille que la Princesse Célimène a eue d’une union ultérieure. La Princesse Eugenia Dessalines est la mère du grand-père de la Princesse Atala Dessalines D’Orléans (ma mère), soit Prince Petit-Phare Dessalines D’Orléans, qui est le père de ma grand-mère, Princesse Phénomène Dessalines D’Orléans. Une haine divinement avantageuse pour la planète terre parce que Je Suis, Le Prince de l’Empire Dessalinien Déployé, Moi, Celui qui a accédé à la plus haute compréhension de la Dessalinienne pour la Marche Victorieuse Ininterrompue de l’être munal.

L’Enfant des Mornes Cahos maîtrise le jeu. En mars 1802 à la Crête à Pierrot, ayant observé les techniques de manipulation mises en place par le blancisme français à travers Toussaint L’Ouverture, sans compter sa victoire certaine et irrévocable sur celui-ci, pour nous soumettre et ayant évalué les forces en présence, blancisme et négro-jelefweisme, le Missionnaire Divin, Jean-Jacques Dessalines, annonce, de façon laconique mais presqu’opaque ou énigmatique, ses possibles techniques de Résistance : “ Ne soyez pas surpris(e)s, cent fois Je me donnerai à la France MAIS cent fois Je trahirai”. Celles et ceux qui savent lire les événements ainsi qu’à travers les mots y comprennent que le jeu de l’Enfant de Tante Agbawaya Toya est monté. Pintade est-Il.

Jean-Jacques Dessalines est-Il si fin stratège comme Il le laisse entendre en des termes à peine voilés ? Laissons parler les faits : “Me suis-je fait avoir par un barbare”, dira, au sujet de Jean-Jacques Dessalines, le général Emmanuel Leclerc, chef de l’expédition de Napoléon Bonaparte et gouverneur de la colonie dite Saint-Domingue. Et ce n’est qu’un début. Le Missionnaire Divin, qui n’a rien d’un bluffeur, exécutera le général Leclerc. Il n’y a là rien de glorieux, un général en chef perd souvent la vie sur le champ de bataille. Ce qu’il y a de particulier ici, c’est que le général vaincu, Leclerc, avait écrit à Napoléon Bonaparte pour lui dire qu’il avait le Général Dessalines dans sa poche et qu’il le tuerait quand il aurait fini de s’en servir. Sans doute, le général Leclerc pensait avoir affaires à un autre Toussaint L’Ouverture, un idiot. Leclerc croyait fermement à la soumission de Jean-Jacques Dessalines. Qui manipulait qui, avec dextérité en sus ? Alors qui se servait de qui ? Les faits le disent tout haut et avec fracas.

Le point culminant de l’affaire, c’est lorsque Napoléon disait à sa soeur Pauline, épouse de Leclerc : “Ma soeur, je vous ai confié un vaillant soldat, vous me ramenez un cadavre”. Le consul se taisait, puis subitement il laissa tomber ses paroles: “Voilà le résultat d’un Nègre révolté ! ” Allusion faite à l’idéologie de l’esclave, fondement de l’idéologie blanciste, à savoir que le nègre est fait pour être subjugué par l’homme, soit le teint clair. Un Nègre ? Et un Nègre révolté ? Et on touche le plus haut point quand la décision est prise de faire passer la mort du général Leclerc sur le dos de la fièvre jaune, qui sévissait alors dans l’Île, pour ne pas faire trop d’honneur à Jean-Jacques Dessalines. Aussi ce n’est plus le Nègre qui est attaqué mais Son génie, le génie dont il fait preuve. On peut comprendre la situation de la France. Si elle ne le fait pas, le blancisme sera entravé chez les populations blanches elles-mêmes, ce qui donnera raison aux blancs-tout-court, adversaires farouches du blancisme.    

Cela m’amène à parler du second aspect de la mission de l’Enfant de Tante Toya, qui est de poser un démenti ferme au blancisme, lequel met de l’avant la dualité de l’ordre du Nous pour pouvoir y instituer une domination artificielle. La démarche de Dessalines n’est possible que par l’intégration des blancs-tout-court dans l’armée de la Résistance et la mise en place d’un système de vie collectif qui ne repose pas sur les nuances épidermiques. Ces objectifs, Jean-Jacques Dessalines les a atteints tous les deux. Car dans son armée comme dans son Administration il y a des Blancs, des blancs-tout-court bien évidemment.

Le Missionnaire Divin va encore plus loin dans sa démarche de mettre en lumière le caractère indivis de l’être munal. Jean-Jacques Dessalines Vainqueur a mis fin au port de ceinture de chasteté imposée par les colons, libérant ainsi les femmes blanches d’une pratique machiste et humiliante fondée sur l’anthropologie régnante. Plus encore, lorsque Les militaires polonais, ils étaient 5000 environs, qui prenaient part à l’expédition de Napoléon Bonaparte, ont fait défection, l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines les a accueillis et leur a donné des terres pour qu’ils puissent subvenir à leurs besoins. Dessalines Empereur les appellera : “Mes nationaux”.

La Dessalinienne n’est pas une lutte raciale, cela est d’une importance cardinale, mais une lutte contre la volonté d’intégrer le système de domination, de quelque forme que ce soit, au sein de l’être munal, l’ordre du Nous. D’où l’accueil irrelativement favorable aux gens quel que soit leur teint. D’ailleurs les couleurs de l’Empire Dessalinien sont NOIR et ROUGE, NOIR pour l’absence de teints ou caractéristiques différentielles observables, ROUGE pour le triomphe spectaculaire et immuable de l’indivis de l’être munal, ce que j’appelle le wn.

Le lendemain de la Victoire, Irréversible Victoire - faut-il le rappeler à ceux et celles qui nourrissent le désir d’y revenir -, l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines s’écrie : “J’ai vengé toutes les races éteintes dans l’esclavagisation”, tentative, à défaut d’esclave véritable, de rendre les gens semblables à l’esclave. Le Missionnaire Divin exprime ainsi sans détour le caractère global, extension irrelative, de Sa Démarche, l’être munal dans toute son extension et toute sa compréhension. Il ne peut pas en être autrement à cause du caractère wnal du mun.

Il y a plus. Après la Victoire à Vertières le 18 novembre 1803, le Général à Jamais Vainqueur, Jean-Jacques Dessalines, proclamera la naissance (Gwqmunité) de la Nation d’Ayiti, nom initial de l’Île, le 29 novembre (1803) au Quartier Général, la Ville de Dessalines, Ville qu’Il a Lui-même fondée et à laquelle Il a donné Son Nom, tout cela au début de l’année 1802. 

Suite à cela, le 1er janvier 1804 se sont réunis aux Gonaïves (Boirond-Tonnerre-ville) le Peuple-Gwqmun, à Jamais Victorieux (une partie certes), ainsi que l’Armée Gwqmunale pour la présentation de la Première Administration Nationale. Ça va de soi. Fait marquant. Durant cette rencontre Jean-Jacques Dessalines, Fondateur du Peuple et de la Nation, y va d’une énonciation spectaculaire - ce que madame Bayyinnah Bello, célèbre historienne et professeure, appelle la Déclaration Universelle de l’Indépendance, ce qui peut être compris, selon moi, comme le second aspect de la Nation qui est Née le 29 novembre 1803 à Dessalines-Ville, lequel aspect n’est pas un ajout mais déjà compris logiquement dans le caractère extensionnel d’Ayiti par son enracinement dans l’être munal -, savoir que la Nation qui vient de naître n’est pas uniquement Celle des gens qui sont présentement sur le territoire mais Celle de tous les razzié(e)s - Négresses et Nègres - implanté(e)s sur ce continent (Masuana appelé Amérique) ainsi que de tous les gens, quelle que soit la couleur de leur peau, quelle que soit leur nationalité, qui fuient la tyrannie. Quiconque, poursuit Jean-Jacques Dessalines, foule le sol d’Ayiti est irrévocablement gwqmun (libre). Tout cela, selon le Missionnaire Divin, est en pleine conformité aux principes régissant le Grand Tout, soit le La, que certains appellent l’univers.  

L’Éternel Empereur Jacques 1er est indéniablement Brillant. Le grand savoir et la toute-puissance de Ses facultés ne sont pas à démontrer.

Jean-Jacques Dessalines ou la Dessalinienne est le Deus Ex Machina mais en Vrai.     

L’Enfant qui a vu le jour le 20 septembre 1758 est la manifestation de l’unité et l’indivisibilité de l’Ordre du Nous. C’est cela la MISSION de l’Empire Dessalinien dont Je Suis Le Prince. 

Voilà l’Ère Dessalinienne !

Pour une nouvelle planète terre


Plus que jamais la terre a soif de la Dessalinienne
Place à l'Empire Dessalinien !
Hrh Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans

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La Grande Fête de Septembre et l’inquiétude ...
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Une voix discordante au sujet de la Grande Fête de Septembre. C’est celle de Norluck Dorange : “Dessalines a vu le jour en Afrique et personne ne sait quand exactement. Au nom de la vérité historique, je me vois obligé de prendre la défense de Jean-Jacques Dessalines.” Et pour toute justification, il expose, sans préalable, ce qui suit.

Dans son libre, La vie de J. J. Dessalines, chef des Noirs révoltés de Saint Domingue (Paris, Décembre 1804), Louis Dubroca écrit à la page 16 : “Ce féroce Africain, transporté tout récemment à Saint Domingue des côtes de la Guinée… Entièrement étranger aux mœurs des Européens, à l’influence de leurs habitudes, de leur civilisation, et de leur langage, il avait conservé toute la férocité, toute l’ignorance du climat qui l’avait vu naître…” 

Le contradicteur amène un autre point. Dans un autre livre, « Événements qui ont précédé et suivi l’évacuation de Saint Domingue » (1804), écrit par Armand Levasseur, un ancien prisonnier de l’Invincible Général Dessalines, l’auteur, à la page 25, présente Jean-Jacques Dessalines comme un « Bossale », soit “Venu de la Côte d’Afrique”, par opposition aux Créoles, celles et ceux qui ont vu le jour dans l’Île. 

Et ce n’est pas fini. Michel Etienne Descourtiltz, un autre ancien prisonnier de Dessalines, a lui aussi publié une monographie intitulée : “Voyages d'un naturaliste et ses observations faites sur les trois règnes de la nature dans plusieurs ports de mer français, en Espagne, au continent de l'Amérique septentrionale, à Saint-Yago de Cuba et à Saint-Domingue. Dans ce livre l’auteur raconte comment Jean-Jacques Dessalines ravivait la flamme de la Résistance chez les razzié(e)s et que toutes et tous chantaient en langues ancestrales à la fin de chaque rencontre.

En plus de ces trois références, le contradicteur mentionne plusieurs encyclopédies datant de 1806 à 1863 dans lesquelles il est question de la naissance de Jean-Jacques Dessalines au Jelefwe (Afrique). La première est écrite par Alphonse de Beauchamp et a pour titre : Biographie moderne, ou Dictionnaire biographique de tous les hommes morts et vivants. Dans cette encyclopédie l’auteur dit de Dessalines qu’il est né en Afrique. Bref tous les auteurs s’accordent à dire que Jean-Jacques Dessalines est né en Afrique (Gelefwe), plus particulièrement à Côte d’Or.

Nous avons sans doute compris que l’opposant a énoncé, à travers ses auteurs, les origines de Jean-Jacques Dessalines pour contredire le Peuple endogène d’Ayiti qui a institué la Grande Fête de Septembre en l’Honneur du Père Fondateur de la Nation, leur Nation, qui a vu le jour le 20 septembre 1758 dans l’Île, dans les Mornes Cahos, département de l’Artibonite.

Aucun tort n’est fait à l’Empereur. Son Peuple veut Le garder Éternellement Vivant auprès de lui. Étant donné que Sa Majesté voulait instituer Sa Fête et qu’Il n’a pas eu le temps de le faire, Son Peuple l’a fait en Son Nom. Pourquoi cela choque-t-il tant ? L’autre problème, c’est qu’aucune donnée n’est posée, de la part des auteurs cités ni de l’opposant, pour justifier la naissance de Jean-Jacques Dessalines au Gelefwe. Nous assistons à une juxtaposition de discours par l’opposant. C’est le style de parole d’évangile. Norluck Dorange a-t-il agi en messager? 

Ce monsieur qui se présente comme intéressé à l’histoire de nos ancêtres polémique contre le Peuple de Dessalines sur un point capital, l’anniversaire de naissance de l’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines. Il conteste la date et le lieu de naissance de Jean-Jacques Dessalines. Pourquoi quelqu’un a-t-il jugé important de s’insurger contre une fête en l’Honneur de Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand ? Laissons le contradicteur répondre lui-même à la question. « Au nom de la vérité historique », dit-il. C’est comme si « la vérité historique » comportait une obligation interne. Ainsi le type se sent obligé de faire échec à la date comme au lieu de naissance, par conséquent à la Fête. La Fête, c’est là le point central de la contestation. Il s’ensuit que cela dérange le contradicteur. Pour être contrarié au point d’élever la voix contre cette Grande Fête instituée par le Peuple et soutenue par la constitution nationale (1805), - Y-a-t-il un précédent en cette matière, je l’ignore -, il faut être irréfutablement du peuple exogène.

Je m’explique. Il n’y a aucune justification valable donnée par l’opposant à la Grande Fête de Septembre. Tout d’abord la raison donnée par le contradicteur, soit « Au nom de la vérité historique», est vide de sens, faute bien sûr d’obligation in foro interno. Ce type d’obligation relève de la morale et nous n’avons pas ici affaire à un principe moral. Même si c’était le cas, la morale est de l’ordre du multiple et par conséquent contradictoire et conflictuelle. En d’autres mots ce principe ne nous engagerait pas toutes et tous. Et il faudrait aussi que l’opposant nous fasse une démonstration du fondement de cette morale. Il ne suffit pas de dire, il faut aussi justifier. En sus la morale ne peut pas prendre en charge l’idée de « vérité historique » à cause de l’inintelligibilité de cette séquence sonore. En termes limpides la « vérité historique » est une illusion parce qu’elle ne peut pas être toujours soumise aux concepts de vérité. Pour toutes ces raisons la justification morale ne peut pas s’appliquer ici.

L’inadéquation de la démarche. Le contradicteur sait, de toute évidence, qu’il faut faire appel à une source pour justifier sa position. Pourtant il ignore que toute contradiction exige le rappel de ce qui fait problème, ici les arguments de celles et ceux qui ont spécifié le lieu et la date de naissance de l’Invincible Général et Éternel Empereur, Jean-Jacques Dessalines, l’identification du problème et la preuve de la crédibilité de ses sources. Le contestataire n’a fait ni l’un ni l’autre.

Nous sommes en droit de nous demander sur quoi repose l’assurance de l’opposant à la Fête de l’Éternel Empereur. Tout porte à croire que l’opposant fait de ses sources leur propre soutien. C’est cela, parole d’évangile. Cela est irrecevable. Ce n’est pas parce qu’un Français dit quelque chose de Jean-Jacques Dessalines que cela a une quelconque valeur de vérité. C’est faire du Français en tant que Français le support de ce qu’il dit. C’est une absurdité. Ce comportement ne fait pas partie des règles de la contradiction. Le Français comme Français peut être une autorité pour le contradicteur mais cette autorité n’a aucun poids dans l’acte de dire, lequel est régi par des règles externes.

Alors nous ne sommes pas dans une démarche que les auteurs qualifient d’intellectuelle ou scientifique.

Et le contradicteur se sent fort d’un savoir ne reposant que sur le simple dire, c’est-à-dire non supporté. De toute évidence ce savoir ne résulte pas de la spéculation, soit la réflexion, mais des sens. On lit des yeux et on entend des oreilles.

En effet l’opposant à la Grande Fête de septembre ignore tout bonnement que le fait qu’une parole soit dite une fois, comme c’est le cas ici, et reprise par plusieurs personnes n’y accorde aucune valeur de vérité. Chacun-chacune doit inconditionnellement prouver sa parole. C’est le support qui a force de vérité. Le locuteur n’est pas, surtout dans ce cas-ci, le principe de vérité. On reconnaître que le locuteur est, mais non de façon irrelative, le principe de vérité quand il énonce quelque chose le concernant, précisément dans le domaine du sentiment. Cependant quand l’énoncé porte sur l’extérieur, cela ne relève plus du locuteur.

Autre chose. Quant à la naissance de Jean-Jacques Dessalines, les auteurs ultérieurs reprennent tout simplement ce que dit le premier, Louis Dubroca.

Dans ce contexte de guerre/contre-guerre, nous ne pouvons pas accorder crédit à la simple parole de Louis Dubroca et des deux prisonniers de Dessalines. Ils ne sont pas fiables. Cela repose sur le fait que ces hommes agissent au nom d’une idéologie, le blancisme dont le contenu foncier est la condition naturelle de l’esclave, montée de toute pièce par leur nature hommale au bénéfice de celle-ci. Ces hommes, des soldats français agissant sous l’autorité d’un pur mensonge, le blancisme, sont venus pour nous assassiner à cause de notre Résistance à celui-ci. C’est le loup qui parle de l’agneau. Le blancisme ne dit ni ne fait rien sans en être le bénéficiaire en retour. Son intérêt et celui de sa prétendue proie sont forcément antipodiques. Être incapable de considérer globalement une chose, surtout dans ce contexte-ci, c’est tout simplement être limité(e) dans ses capacités.

Il y a ici une seule source non pas plusieurs, contrairement à ce que le contradicteur laisse sous-entendre. C’est là que le bal commence. Commençons par se demander quelle est la valeur de vérité de ce que dit le prisonnier, le blanciste enragé contre Jean-Jacques Dessalines, le Vainqueur. C’est une réalité dont il faut tenir compte. On n’agit pas s’il n’y a pas de pensée. Pour le dire d’une autre façon, ce que disent Louis Dubroca, Armand Levasseur et Michel Etienne Descourtiltz, les deux prisonniers, est le résultat d’une pensée.

Avant de l’identifier cette pensée, il est juste de nous demander depuis quand la France, ainsi que les autres pays colonisateurs, donc blancistes, faisait-elle le suivi du parcours des razzié(e)s vendu(e)s et implanté(e)s au Masuana (Amérique). C’est la seule façon de suivre de très près Jean-Jacques Dessalines et d’enregistrer sa vie. Conserve-t-elle, la France, les fiches de celles et ceux qui ont été jetés à la mer ? Nous aimerions les consulter.

Je rappelle que l’on parle de plusieurs millions de Négresses et Nègres. La France à elle seule en a razzié 15 millions pour sa seule colonie d’Ayiti, appelée Saint-Domingue. Elle a jeté en tout à la mer 5. 5 millions. Le nombre total de celles et ceux qui ont foulé le sol d’Ayiti s’élève à 4.5 millions. Alors tous ces gens auraient été suivis et fichés.   

À supposer que les razzié(e)s ne soient pas suivis ni fichés, d’où viennent-elles ces informations concernant Jean-Jacques Dessalines, du début de sa razzia, - tous les razzié(e)s ne viennent certainement pas de la Côte d’Or -  à sa carrière militaire. Jean-Jacques Dessalines s’était-il déjà révélé Jean-Jacques Dessalines en acte avant même d’être Jean-Jacques Dessalines, le mun historique, sur l’Île d’Ayiti ? C’est la seule chose qui lui aurait mérité autant d’attention. Comprenons bien. Il n’est même pas ici question du lieu où Jean-Jacques Dessalines a été razzié mais de son lieu de naissance précis. Sa naissance ne leur est pas un mystère, Lui qui n’est pas né dans la maison des razzié(e)s dans l’attente d’être déporté. Louis Dubroca et les auteurs prisonniers, verts ennemis de la Nation qui vient de naître et de Celui qui en Est le Père, en étaient bien informés. C’est invraisemblable. Est-ce que ces gens-là, les auteurs et le contradicteur, nous prennent pour des zozos, nous les Vainqueur(e)s ?

Une autre incohérence majeure. Le contradicteur cite le Français Michel Etienne Descourtiltz, l’auteur prisonnier, selon lequel Jean-Jacques Dessalines chante avec les gens qu’Il rassure, certainement de la Victoire finale car c’est cela Sa Mission, uniquement en langue ancestrale. Il y voit, l’opposant à la Grande Fête, la preuve que l’Éternel Vainqueur du blancisme, Jean-Jacques Dessalines, est né non pas seulement en dehors de l’Île d’Ayti mais au Gelefwe (Afrique). Il n’y a aucune nécessité logique entre les prémisses et la conclusion. Le fait de chanter dans une langue n’est pas la preuve que le chanteur, la chanteuse a vu le jour au sein des gens qui la parlent, la langue. Je chante en anglais et en espagnol sans pour autant être né dans une communauté anglaise ou hispanique. Accoucher de telles paroles, ce n’est pas fort.

Faut-il opposer au contradicteur l’argument suivant : Si le fait de chanter dans une langue signifie qu’on la connaît et qu’on est né(e) au pays où elle est parlée, pas nécessairement son foyer, Dessalines n’est pas né au Jelefwe. En effet au Gelefwe on ne parle pas français et Dessalines n’est pas venu au monde dans la cour des envahisseurs et des négriers. Pourtant Jean-Jacques Dessalines parle couramment le français et transmet par écrit les ordres que lui confie Toussaint L’Ouverture, au dire même de celui-ci. Si on reste à l’intérieur de la pensée qui anime le contradicteur, il faut conclure que Dessalines a vu le jour en France ou en Suisse ou en Belgique, bref, là où on parle le français. Mais le Nom de Jean-Jacques Dessalines n’est aucunement lié à l’Europe. Puisqu’il en est ainsi, pourquoi pas l’Île d’Ayiti, le français y est parlé comme langue de la colonie française.

Le contestataire fait appel à Louis Dubroca pour appuyer sa démarche. « Ce féroce Africain, écrit Dubroca, transporté tout récemment à Saint Domingue des côtes de la Guinée …. » Pour un mun qui vient d’arriver, Jean-Jacques Dessalines est exceptionnellement brillant car il a maîtrisé en un temps éclair la langue française, ce qu’un nombre massif de Françaises et Français n’arrivent pas à réaliser durant une vie entière. L’ex-président français, Nicolas Sarkozy, qui est avocat de profession, est un des massacreurs et massacreuses de la langue française en France. Je ne parlerai même pas des Haïtiennes et  Haïtiens qui l’ont étudiée, la langue française, pendant toute leur jeunesse et qui ont fait toutes leurs études dans cette langue sans parvenir à la maîtriser, même un peu. Dubroca possède peut-être la langue non l’art de penser. Le contradicteur n’est pas en reste.

L’exploit, au niveau de la maîtrise de la langue, accordé à Jean-Jacques Dessalines contredit net certaines recherches au chapitre de l’apprentissage de la langue étrangère. Quand on ne connaît qu’une langue, il est difficile, dit-on, d’apprendre une langue étrangère sur le tard et de la maîtriser. C’est pourquoi le meilleur temps pour apprendre avec succès une autre langue, voire plusieurs langues, est celui de l’enfance. Ce domaine du savoir n’est pas ma compétence même si j’ai une formation poussée en lettres françaises. Pourtant s’il faut croire Louis Dubroca et le contradicteur, l’exemple de Jean-Jacques Dessalines est en porte-à-faux avec les résultats de ces études. Christ, qu’Il est divinement brillant, Jean-Jacques Dessalines, Notre Jean-Jacques Dessalines. Ce n’est certes pas ce que ces détracteurs voulaient mettre en lumière. 

Ce qui vaut pour le français, toujours dans le cadre de la pensée de Dubroca et du contestataire, vaut autant pour la ou les langues ancestrales que parle Jean-Jacques Dessalines. Pour le dire autrement, si Jean-Jacques Dessalines, qui est arrivé de la Guinée, a pu apprendre le français aux contacts des colons, Il a pu aussi apprendre la ou les langues ancestrales en compagnie des nouveaux razzié(e)s arrivés dans l’Île. Cela est dans l’ordre logique des choses et n’est pas contre la loi naturelle, pour employer une terminologie en vigueur dans le monde blanciste. 

Le contradicteur, par pensée, en prenant appui sur les propos de Louis Dubroca, Michel Etienne Descourtiltz et Armand Levasseur, prouve ce qu’il cherche à nier. En effet puisque Jean-Jacques Dessalines parle plusieurs langues, jelefwo-masuana (langue proprement nègre et contextuel), français et langue(s) ancestrales, parlées au Gelefwe, cela prouve hors de tout doute que tout jeune Il est en contact avec un milieu multilingue, que ce milieu ne peut pas être le Jelefwe mais l’Île d’Ayiti où ces langues sont parlées et qu’Il y est alors né. À moins qu’on fasse appel à la Guadeloupe, la Sainte-Lucie, la Martinique, etc. parce que la situation est en tout point pareille. L’obstacle est que l’histoire ne retient aucune trace de Jean-Jacques Dessalines dans ces collectivités sœurs. La seule possibilité, qui vite se transforme en certitude, est que Jean-Jacques Dessalines ait vu le jour dans l’Île d’Ayiti.

La discussion sur le lieu de naissance de Jean-Jacques Dessalines en Ayiti va dans le même sens. Brutus C Timoléon, qui a écrit le premier ouvrage haïtien sur Jean-Jacques Dessalines,  L’homme d’airain, en deux tomes, est le farouche partisan de la naissance de Dessalines à la Grande-Rivière du Nord. Une des preuves qu’il apporte est quelqu’un qui a connu le jeune Jean-Jacques Dessalines à Grande-Rivière-du-Nord. Ils ont grandi en partie ensemble. La prémisse est sans doute très faible car la génitrice de Dessalines, comme la personne qui l’avait à sa charge – cela fait penser à Tante Toya -, aurait pu être vendue à un colon originaire de Grande-Rivière du Nord et là Jean-Jacques Dessalines a rencontré l’ami ou les amis dont parle Monsieur Timoléon. Il y a aussi une autre possibilité, Jean-Jacques Dessalines Timun (Enfant) aurait été séparé de la personne qui l’avait sous ses responsabilités et vendu à la Grande-Rivière du Nord. C’est dans la pratique de la chose. Le fait de grandir dans un lieu ne signifie nullement qu’on y est né(e). Cependant cela prouve que Jean-Jacques Dessalines n’est pas arrivé « récemment » comme le soutient Louis Dubroca mais qu’il y est né. Et l’histoire d’Akbawaya Toya, mun réel (personne réelle) est intimement liée à cette naissance, sur l’Île d’Ayiti.    

Moi qui Suis de la Famille de Jean-Jacques Dessalines, 7ème de Sa Génération, et qui Suis né également à Dessalines, Ville fondée par Dessalines Lui-même et à laquelle Il a donné Son Nom, question de racines, nous avons toujours su, avec toute la population, que l’Ancêtre y est né, plus précisément à Cahos, 6ème section de la Ville-Capitale Impériale, Dessalines ou Dessalines-Ville. Ce n’est pas quelque chose que nous avons appris à l’école ou dans les livres des histo-à-riens. C’est la mémoire populaire. Que le contradicteur oppose cela à ses sources.  

Il ressort de tout ce que nous venons de voir que l’opposant à la Grande Fête Populaire de septembre ainsi que ses sources ont tout simplement menti au sujet de la naissance de Jean-Jacques Dessalines.

Il nous faut nous poser une fois de plus la question, à savoir qu’est-ce qui se cache derrière cette campagne de désinformation au sujet de la naissance de l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines, au mieux quelle est la pensée qui sous-tend cette sortie contre la Grande Fête de septembre.

Deux choses à retenir pour saisir cette pensée. La première. L’histoire d’Haïti est l’une des rares histoires, peut-être la seule, où les événements ont eu lieu une multitude de fois et à des endroits différents. On ne s’entend sur presque rien. Presqu’à chaque endroit où a eu lieu un événement, on oppose un autre lieu pour ce même événement, parfois à une date différente si ce n’est pas la même. Par exemple, la Gwqmunité de la Nation (l’indépendance) a été proclamée en des lieux (des villes) différents, parfois le même jour, parfois à une date différente. Cela n’a aucun sens. C’est le travail des Français, des soi-disant historiens, donc des histo-à-riens, pour reprendre le vocabulaire de Léopold-Édouard Deher-Lesaint de la Guadeloupe. Les histo-à-riens d’Haïti, comme des zozos avérés, suivent tout bonnement. Sous la plume de ces propres-à-rien nous faisons figure de vaincu(e)s dans Notre Histoire, une Histoire Grandiose et Victorieuse. Les ennemi(e)s de la Résistance, défenseurs avoués de la royauté, notre oppresseur, sont présentés comme nos guides, nos chefs, et même nos libérateurs, par les histo-à-riens. Quoi de plus ridicule. La France et sa gang ont initié cette manœuvre et font tout pour transformer notre Histoire en situation bordélique, en tohu-bohu, tout cela pour nous perdre d’abord et nous vaincre (dominer) ensuite. Mais, depuis toujours et heureusement, le Peuple raconte, se raconte. D’où notre salut.     


Il faut ajouter à cela les tentatives perpétuelles de nous dresser les un(e)s contre les autres afin de faire échec à l’unité et à toute collaboration, éléments nécessaires et indispensables à la Victoire Finale et points forts de l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines. Très tôt la France a dépêché Étienne Mentor, un espion martiniquais, pour semer la zizanie entre les membres de l’Empire. Blancs versus Noir(e)s, Hommes et Femmes de couleur versus Nègres et Négresses, Créoles versus Bossales. Tous les noms placés en tête se voient accordés une supériorité sur ceux qui suivent. Bossales, Ce féroce Africain, transporté tout récemment à Saint Domingue des côtes de la Guinée… Entièrement étranger aux mœurs des Européens, à l’influence de leurs habitudes, de leur civilisation, et de leur langage, il avait conservé toute la férocité, toute l’ignorance du climat qui l’avait vu naître…”  Ce qui n’est pas le cas des Créoles, autrement dit, les Créoles sont civilisé(e)s grâce à l’influence de l’Europe. Qui dit civilisé(e) dit supérieur(e). Qui dit supérieur dit être fait pour commander. Jean-Jacques Dessalines est un Bossale, Il ne peut pas commander. En tant que sauvage, Il est plutôt fait pour être commandé. Alors ne vous laissez pas commander par Jean-Jacques Dessalines, cela est contre-nature. On en connaît la suite. C’est là les significations de la naissance africaine, la nature bossale, attribuée à Jean-Jacques Dessalines par Louis Dubroca et tous les autres. C’est une invitation à l’insurrection et au parricide pour rétablir l’ordre de la nature, toujours selon l’idéologie blanciste. 

La faiblesse de l’attaque discursive de l’opposant, c’est qu’elle repose sur une seule source, le blancisme à travers ses auteurs. Son texte n’est pas une étude comparative, il n’est tout bonnement pas argumentatif. Toute sa force repose sur le dire des auteurs blancistes dont le point de départ est un seul auteur. Tous les autres s’abreuvent à la même source, y compris le contradicteur. C’est la masturbation. Il s’ensuit que l’objectif de l’opposant à la Grande Fête s’inscrit dans la démarche de Dubroca, contrecarrer le Général À Jamais Vainqueur, L’empêcher d’émerger en chacune-chacun à l’avantage du maintien inébranlablement du Grand Peuple. Que le Grand Peuple mette fin à cette Fête qui fait de Dessalines l’Archétype, Modèle Vivant! En clair Jean-Jacques Dessalines est incontestablement vivant. Alors c’est une invitation au parricide.

Pourquoi cette attaque maintenant ? On veut faire échec à ce grand mouvement dessalinien qui voit le jour, la mobilisation du Peuple endogène, Peuple de Dessalines, autour de son Directeur, le Père Fondeur de la grande Nation, Jean-Jacques Dessalines, au moment où la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres tente de s’emparer de notre terre et faire échec à Notre Présence en tant que Peuple À Jamais Victorieux. Voilà ce qui l’a sans doute occasionnée.

Qui a subventionné les déplacements ou les soi-disant travaux de recherche du contradicteur ? Il ne le dira peut-être pas mais sa position injustifiée – parce qu’il est en apparence nègre - dans cette affaire met en évidence son boss.

Pour une nouvelle planète terre


NOUS SOMMES À L’ÈRE DESSALINIENNE
Plus que jamais la terre a soif de la Dessalinienne
Place à l'Empire Dessalinien !
Hrh Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
Dessalines pi wrd



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