La douceur d'être en soi et l’unité indéfectible de la wqnité de notre être, l'être munal, et la Dessalinienne et la raison du 17 octobre 1803

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HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D'Orléans

La douceur d'être en soi et l’unité indéfectible de la wqnité de notre être, l=être munal, et la Dessalinienne et la raison du 17 octobre 1803

q = an
u = ou
w = r
q = on
r = ê
c = in
e = é
h = ch

Le coup du 17 octobre 1806 contre le Messie, coup porté par les êtres les plus infâmes qui soient,
vise le loko de l’ordre du Nous, le munal, et la stabilité de la planète TERRE

Il est intéressant de constater que la pensée, en tant qu=acte, est le moyen par lequel nous connaissons profondément les choses et qu=elle est aussi l=élément qui nous barre l=accès à la connaissance des choses.

Le problème réside dans le fait que nous ne pensons pas à partir de rien et que ce rien, qui est les prémices de la pensée, peut être l=ouverture à la chose à connaître comme il peut être l=obstacle à l=accès à cette chose.



Il n=est pas ici question de l=usage que nous en faisons, de ce rien, mais de son contenu. Comment cela s=explique-t-il ? Cet objet de l=acte de penser, les prémices, est produit par le corps, c=est-à-dire les facultés, quelle que soit leur nature, à travers ses communications avec lui-même et/ou son environnement. Elles peuvent être vraies ou fausses. Ce qui est lié au contenu. Ces prémices, par l=opération de la pensée comme faculté, deviennent à leur tour pensée, c=est-à-dire discours, croyance, connaissance, etc. Il s=ensuit que ce résultat, dépendamment de sa substance, peut conduire à une connaissance plus complexe encore de l=objet. Or cette connaissance est intrinsèquement liée à la connaissance précédente de la même manière que celle-ci est tributaire du contenu des prémices. Alors la connaissance la plus complexe peut être vraie ou fausse et, si elle est fausse, peut être un obstacle majeur, elle aussi, à la connaissance vraie de l=objet.

C=est là ce qui explique la problématique de l=acte de la pensée.

L=obstacle à l=objet à connaître est notre situation à nous, nous qui constituons l=ordre du Nous appelé le munal. Nous ne nous voyons pas pour ce que nous sommes, bref nous ne nous connaissons pas, même en nous côtoyant, à cause d=une fausse science de nous-mêmes, que j=appelle l=hommalité, cause de l=homme.

Les prémices ne comprennent pas la réalité extramentale de notre être, par conséquent l=acte de la pensée a accouché d=une pensée (connaissance) inadéquate. Cette connaissance dont la substance est la segmentation de l=être munal en singuliers irrelatifs ou disparates, connus sous les vocables d=homme, d=individu et de droits, donne naissance à une connaissance complexe divisée en deux champs, la morale ou l=éthique et la politique, comme lieux de réalisation de chacune-chacun, soit l=homme singulier irrelatif. Ainsi naît un monde où les individus, pour employer le vocabulaire en vogue, au lieu de s=approcher des uns des autres pour se maintenir dans la wqnité s=approchent certes des autres mais pour obtenir d=eux un ce-sans-quoi et se retirent aussitôt - comme aller s=abreuver à la source puis s=en aller avec soi-même - pour se faire dans l=éloignement des uns des autres. Un monde de solitaires dans des relations interpersonnelles en surface. Presque toutes les pensées secondaires ou dérivées transpirent cette fausse science. Une logique implacable.



Cependant il arrive à l=être munal, être primitif, de percer, par ses propres mécanismes, les murs de cet être-pure-pensée, l=homme - dont l=humain est la forme en progression -, pour aller à la rencontre de ses parties superficiellement segmentées par l=hommalité, donc à la rencontre de Soi. Le sentiment et la pensée sont les deux seuls moyens connus qui puissent conduire le singulier à un autre et à travers lui le soi munal. Il faut passer par l=un et/ou par l=autre pour y arriver.

Une prudence s=impose. Toute pensée comme tout sentiment (passion, désir...) peuvent conduire à Soi à travers l=autre, ce que j=appelle la reconnaissance munale. Cela donne à entendre aussi que tout sentiment comme toute pensée n=y conduisent pas nécessairement.      

Procédons par élimination. Toute pensée, il y va aussi de tout sentiment, qui est dominée par le soi singulier hommal, l=être de pure-pensée, ne va pas à la rencontre de l=autre parce qu=elle est enfermée en elle-même et que par conséquent elle n=est au service que d=elle-même, au mieux elle n=est en communication qu=avec elle-même. Elle va s=abreuver à la fontaine ou se nourrir de l=autre. Elle est avec l=autre soi irrelatif sans le voir (pour lui-même et en lui-même, à cause de l=irréconciliable intérêt êtral), elle est uniquement en relation avec le ce-sans-quoi elle ne peut pas être ce qu=elle se sent être. Cette pensée ne voit qu=elle-même. Ses paroles, ses soupirs, ses projets et ses joies sont incontestablement des effets de la jouissance effective de ce ce-sans-quoi. Ce sont en fin de compte les fruits de la satisfaction du soi irrelatif qui s=approprie jouissant, en train de jouir de. Cela explique pourquoi, assez souvent, et même trop souvent, que l=autre n=est pas instruit des projets qui l=impliquent. C=est un oubli lié à l=exclusion (êtrale). Les cas de domination, de discrimination, d=exclusion, que sais-je, relèvent de la pensée, du sentiment également, imprégnée du soi singulier irrelatif. Les fréquentations qui découlent de cette sorte de pensée ou de sentiment, lequel est corrompu par la pensée - faut-il le souligner -, sont de nature disjonctive. L=activité du soi singulier irrelatif lui est propre et il en est donc l=unique ou le principal bénéficiaire. 



Cependant il arrive que le singulier, pour une raison ou pour une autre, est entraîné en marge de toutes les considérations singulières disparates ainsi que sociales. Alors s=estompe le soi Aindividuel@. Une nuit silencieuse suit et ensuite émerge spontanément le àmu de l=être premier, être munal, une sorte de passion (sentiment) de soi le Soi global, c=est-à-dire le Munal. C=est comme si nous étions assis, assises devant le soleil couchant et que lentement mais sûrement la douceur du silence enveloppé de couleurs vives et accueillantes nous introduisait dans l=immensité sournoise qui est à la fois autre et soi. Ce sentiment de soi pur naît souvent de l=oubli ou d=absence momentanée à la réalité ambiante ou d=un désir pur, indéfini, et a pour tout mobile la rencontre de soi, le vrai, le profond, bref le munal. C=est l=être nu qui se donne dans cette sensation à condition que le processus en cours ne soit pas contrarié par le retour soudain du soi * individuel + ou singulier irrelatif et des considérations sociales. L=émergence du Soi lakortal se fait sous le mode d=une sorte d=aimant décrassé, désembué, un mouvement vers pour être avec l=autre sans objet défini. L=absence d=un tel objet fait voir le Soi pur qui s=approche vers le Soi pur, donc le munal nu. Deux cours d=eau qui se rencontrent et s=interpénètrent pour se confondre. C=est un sensible pur, non corrompu par la pensée illusoire. Nous y découvrons la wqnité, indivis de l=être munal, qui se reconnaît et se saisit au travers de la singularité, son expression. La communication est profonde et vive, cela se solde par le désir d=être ami(e), volonté de rester auprès de soi-même, le soi global, le munal. Une sensation indicible s=ensuit. Quiconque y séjourne relativement longtemps peut lire, par un calcul bien conduit B non souillé par la pensée segmentaire et dualiste de l=hommalité -, la structure et les propriétés de l=être munal, Son ou Notre Être. L=eua qui s=ensuit est voluptueusement sismique. J’en sais quelque chose pour en avoir fait l’expérience.

Ce fond de l=être, notre être, est constitué de la dépendance mutuelle de chacune-chacun - d=où le nœud générateur du wqn et la valeur proportionnelle irrelative des singuliers munaux qui en résulte - dont la science vraie, soit le dqmbala, engendre la volonté universelle ou lakortale, propre à toutes et tous, de s=assister réciproquement. En d=autres mots, une fois accédé(e)s à la science ou au dqmbala de nous-mêmes, nous voulons aider l=autre, l=assister dans ses projets, bref, nous impliquer dans sa vie sans raison définie. Nous sommes sous l=élan du Soi Munal, l=être dans sa nudité. 

Cette inclination implique la sûreté et la quiétude au sein de l=ordre munal.

Le Nous munal est le socle de toutes les relations que les singuliers entretiennent entre eux et elles. Chacun-chacune se voit et s=apprécie à travers lui.

Toutes les caractéristiques différentielles observables ou non - et il en faut pour répondre à la capacité infinie d=apprécier qui est en nous, un voyage non-stop dans la vibration, l=élégance, etc. -, par exemple, visages, teints, cheveux, grosseurs, grandeurs, timbres de la voix, postures, couleurs des yeux, types de cheveux, façons de marcher, de sourire, etc., etc., etc., sont, et je pèse mes mots, des étincelles, comparables à des feux d=artifice, d=une seule et même réalité, le munal, et appréciées par toutes et tous sous le même rapport, celui de l=être, le Soi lakortal (l=Ensemble).



Moi qui ai élu domicile au Soi global ou lakortal, donc le munal, je n=ai jamais éprouvé de sentiment de distinction de quelque nature que ce soit en compagnie de qui que ce soit. C=est toujours une agréable sensation forte de confort d=être en Soi, le munal, et un incessant et irrésistible désir d=y nager à l=infini, c=est-à-dire maintenir le lien d=amitié, dont le terme juste est la reconnaissance munale, et aller à la rencontre d=autres gens, donc d=autres moi sous d=autres visages. Sur ce plan Je Suis Invincible.   

Le Nous Munal, c=est sur cet indifférencié de l=être, nommé wqn, que repose la Dessalinienne. D=où sa vocation planétaire. 

Le lendemain de Sa Victoire Décisive, l=Invincible Général Jean-Jacques Dessalines s=est écrié : * J=ai vengé toutes les races éteintes dans l=esclavagisation + Plus tard Il dira : * Le Pays qui vient de naître est Celui de tous ceux et celles, quelle que soit la couleur de la peau, fuyant la tyrannie +, donc cherchant ou tenant à être soi-même ou eux-mêmes.

Pour une nouvelle planète terre

http://youtu.be/BdMNHtwT8Us

NOUS SOMMES À L=ÈRE DESSALINIENNE

Plus que jamais la terre a soif de la Dessalinienne

Place à l'Empire Dessalinien !

Hrh Prince Tiécoura Jean Dessalines D=Orléans
7e de la génération du Couple Impérial Marie Claire Heureus Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines
Spécialite de la science de la politique, savant et théoricien du blancisme
Enfin le garant de l’Éternité de lEmpire Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité

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