Toussaint L'Ouverture: une volonté d'anéantir la Résistance Nègre

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7-Z 
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JEAN-JACQUES DESSALINES, FONDATEUR DE LA NATION D’AYITI, LE VAINQUEUR DE NAPOLÉON BONAPARTE
et Toussaint L'Ouverture: une volonté d'anéantir la Résistance Nègre


En connaissez-vous des Toussaint L'Ouverture ? En connaissez-vous des Dessalines à part les membres de la Famille Impériale ?
Répondez aux deux questions à la fin.
Pensée de l'heure : À travers le mythe de Toussaint L'Ouverture, le blancisme continue la campagne d'eliminrgyo, nous soumettre, Nous les Négresses et Nègres. Depuis quand le prédateur et sa proie ont-ils le même intérêt ? Depuis quand le blancisme loue-t-il l'ennemi de son être lugubre ? Rien qu'à prononcer leurs noms le blancisme montre les crocs. Il y en a qui sont tellement cons, connes B c'est le peuple exogène -, qu'ils n'y voient ni n'y comprennent rien.

Essayer d'intégrer Toussaint L'Ouverture dans Notre Histoire (Nous les Nègres et Négresses), une Histoire Grandiose à nul autre pareil, c'est travailler à faire advenir le blancisme, le plus grand Mal qui soit à l'heure qu'il est. Ces gens ne sont pas de NOTRE PEUPLE, le PEUPLE de DESSALINES. Qu'ils s'en aillent !

La Dessalinienne est l'unité irrelative de l'être non la hiérarchie, soumission des uns par les autres, et c'est la VOIE SALUTAIRE de la planète terre.


q = an
u = ou
w = r
Ä = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Lorsque l'Invincible Général et Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines a refusé d'accueillir le colonel Bernard Chancy dans sa famille parce qu'il est du même sang que le "scélérat", c'est-à-dire Toussaint L'Ouverture, il ne s'agissait nullement d'une affaire personnelle mais ancestrale munale. Tout d'abord, conformément à la science munale, que j'appelle munsqmba, l'Éternel Vainqueur du blancisme, forme la plus évoluée de l'hommalité, tendance à absorber les autres pour être effectivement, ne dissocie pas son intérêt propre de celui du munal car celui-ci, à l'instar de la mer où se jettent finalement tous les courants d'eau, est la finalité de chaque singulier munal. En d'autres termes tout part du munal et lui revient, cela, à cause de sa wnité (le massif de l'être), son caractère. C'est pourquoi la munalité, dont l'Ancestralité est la forme en acte, est l'aune par laquelle Jean-Jacques Dessalines, suivant l'éducation qu'Il a reçue de sa préceptrice, Tante Toya, choisit ses fréquentations ainsi que les gens auxquels Il accorde sa confiance. Somme toute l'admiration et le respect que voue Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand à une personne sont tributaires du degré de l'Ancestralité, partant la munalité et la gwqmunalité, en elle.

Toussaint L'Ouverture, par la volonté qui le définit, a failli car il se révèle le digne fils du blancisme et enfant légitime du blancisme français. L'Invincible Général a dit un jour : "Je croyais que Toussaint voulait la liberté (la gwqmunité)". Cet énoncé témoigne d'une déception et par conséquent a indubitablement une connotation négative. Toussaint L'Ouverture nous est ainsi présenté comme un partisan de la situation prévalant dans notre sein et du même coup comme l'ennemi de l'Ancestralité. Ce qui fait de lui un être-paria, infréquentable. 

Pour comprendre l'anathème dont est frappé Toussaint L'Ouverture, il faut l'appréhender à travers son cheminement. Et la chose est d'une laideur innommable. Un triste personnage, une lèpre, un AVC, une crise cardiaque, un choléra, un cancer, bref une 101-maladies.

Après la contre-attaque concertée des chefs marrons du Nord, la France vote le 7 décembre 1791 un décret dont voici le contenu : "Les troupes doivent soumettre les Noirs sans porter atteinte aux hommes de couleur." Les termes qu'il faut retenir ici sont "doivent soumettre les Noirs". Point n'est besoin de dire que nos ancêtres donnent du fil à retordre au blancisme et que celui-ci, malgré la cime de l’horreur à laquelle il recourt, ne parvient toujours pas à nous dominer, nous soumettre ou nous contraindre à renoncer à nous-mêmes, soit notre Ancestralité, notre mode d’être dans le monde. Autrement dit, l'idéologie blanciste ne prend pas. Nous sommes et restons des êtres Supérieurs, c’est-à-dire en accord avec notre constitution interne, notre ofowuité, divinité de notre être munal. La soumission est nécessaire et indispensable pour que le blancisme soit, en d'autres mots il faut que les Noir(e)s (Négro-gelefweennes et Négro-gelefweens) soient soumis pour que le blancisme passe de l'état discursif (mental) à l'état d'être effectif, une vérité pragmatique. Cela ne veut pas dire que la France n'a jusqu'ici enregistré aucun gain. Elle en a fait, des gains. C'est pourquoi elle insiste sur la soumission, qui veut dire la reddition. 

Durant la contre-guerre du 22 août 1791, les gains du blancisme prennent les armes le 26 août contre les colons blancs qui s'opposent au décret du 15 mai 1791, un décret de la Constituante, sous l'influence du député de Colmar, Reubell, accordant les droits civiques à ceux qui naissent de père et mère libres. Leur France, ce n'est pas la France révolutionnaire mais la France de la Royauté.

Les voici, ces gains, avec leur drapeau blanc fleurdelisé, s'affirmant "gens du roi". Pour ces hommes, en se battant contre les colons blancs, ils font la guerre aux insurgés (les vrais, selon le sens du mot, des gens qui recourent à la lutte armée au lieu de se plier devant la volonté du roi). Jean-François, dont le combat est à l'antipode de la contre-attaque du Grand Résistant Bukmqn, affiche publiquement son titre : "grand amiral de France", son grand ami Biassou, lui, prend le titre de "vice-roi des pays conquis" et dira qu'il fait cette guerre pour le roi. C'est ce même Biassou à qui se joindra Toussaint L'Ouverture, à cause de la communauté de leur croyance. Toussaint Bréda lui-même se présente comme <<médecin général des Armées du roi>>. 

En 1792 le commissaire Léger Félicité Sonthonax, un révolutionnaire, arrive à Saint-Domingue avec un impératif clair, maintenir le pouvoir français, faire appliquer le décret du 4 avril 1792 mettant sur le même pied d'égalité colons blancs, hommes de couleur libres et noir(e)s libres, tous des colons, et de soumettre les Enfant du Jelefwe, corps de la Résistance gwqmunale. Seul le dernier point fait l'unanimité au sein des colons blancs. Ils traitent Sonthonax en ennemi. 

L'Espagne, en guerre contre la France depuis 1791, lance un appel aux insurgés et leur promet un meilleur traitement, terre et liberté, moyennant qu'ils combattent sous ses couleurs. Il n'y a là rien de particulier car la France recourt parfois aux bras négro-jelefweens qui la combattent contre les blancs, dans certains cas des Français, qui se font menaçant. Au printemps 1793, plusieurs insurgés répondent par l'affirmative à l'appel de l'Espagne, notamment, bien qu'ils soient déjà libres, Jean-François, Jeannot, Biassou, nécessairement Toussaint Bréda, dit L'Ouverture, parce qu'il est soigneur de chevaux dans la troupe de Biassou. Le problème, c'est qu'ils s'opposent à la révolution en France. 

Sous les coups des insurgés la France recule devant l'Espagne car tombent plusieurs villes françaises. Mais la victoire traîne les pieds. 

L'Espagne, ayant certes appris la fidélité dont Toussaint a fait preuve durant les premières heures de la contre-attaque concertée des marronnes et marrons dans la nuit du 22 août 1791 en sauvant la famille de son maître de Libertat, choisit Toussaint, en lui donnant congé de son métier de soigneur de bêtes, lui donne une formation militaire sommaire et le place à la tête d'une petite troupe. Toussaint L'Ouverture se bat aux côtés des Espagnols. Pour la première fois Toussaint fait son entrée sur les champs de bataille dans un contexte presque exclusivement de champs de bataille. Cela en dit long. 

Du côté français les problèmes du grand stratège avéré, Sonthonax, se multiplient car ses adversaires, des colons français, lancent un appel au secours aux Anglais. Déjà la France et l'Angleterre sont en guerre depuis février 1793. C'est l'occasion rêvée pour les Anglais qui bientôt s'empareront de Jérémie, Saint-Marc, Môle Saint-Nicolas, Arcahaye dans l'espace de deux mois, soit du 20 septembre au 24 décembre 1793.
Léger Sonthonax, le génie français, peut-être le plus grand politicien de toute l'histoire de ce pays, n'a pas dit son dernier mot. Le matin du 29 août 1793 le commissaire, pour se concilier la population négro-jelefweenne, proclame, contrairement en apparence à sa toute première déclaration en foulant le sol d'Ayti en faveur du maintien ferme et inébranlable de "l'esclavage", l'affranchissement général, soit l'abolition de "l'esclavage" mais, sans le dire, se limitant seulement aux travaux forcés. Comme l'aspect essentiel du blancisme est et reste intact, le stratège français, Sonthonax ne s'est pas renié. Ce que j'appelle la sonthonaxique. 

Cependant le même jour, le 29 août 1793, dans l'après midi, en réplique à la sonthonaxique, l'Espagne, qui n'est pas en reste, envoie Toussaint L'Ouverture auprès de quelques chefs marrons de la partie française pour les enrôler. Deux points importants s'exondent de cette manœuvre espagnole : 1) l'Espagne songeait, une fois de plus, à recourir à la pratique française consistant à utiliser les bras négro-jelefweens en sa faveur en enrôlant Toussaint L'Ouverture, et le fait même si Sonthonax, fin stratège français, l'a devancée, 2) l'Espagne exploite la naïveté de Toussaint, nègre à blanc, à son propre avantage. 

Le communiqué que l'Espagne confie à Toussaint Bréda se lit comme suit : "Frères et amis, je suis Toussaint Louverture, mon nom s'est peut-être fait connaître jusqu'à vous. J'ai entrepris la vengeance. Je veux que la liberté et l'égalité règnent à Saint-Domingue. Je travaille à les faire exister. Unissez-vous à moi. Général des armées du roi, pour le bien public". Toussaint arrive comme un cheveu sur la soupe. Voir mon livre : ....Pour une nouvelle planète terre pour une analyse complète de ce désastre discursif.

L'esprit qui a composé le communiqué est vraiment faible sur le plan intellectuel et celui qui le lit est encore plus faible. Donc un parfait idiot, ce Toussaint. Premièrement quelle vengeance ? Deuxièmement quel en est l'objet ? Troisièmement contre qui ? Il s'agit d'une guerre entre l'Espagne coloniale et la France coloniale pour le privilège lié au blancisme, principe de la colonisation. On ne peut pas nous y impliquer en tant que bénéficiaires, et c'est cela l'intention du sujet de l'énonciation, parce que cette guerre n'a rien avoir avec la Résistance Ancestrale. Toute compréhension contraire et contradictoire relève de la faiblesse excessive des facultés dites supérieures ou tout simplement d'incapacité d'analyse.
Pourtant la réponse des chefs interlocuteurs est affirmative. Elle n'est pas affirmative par crétinisme partagé mais accidentellement ou par effet contextuel puisqu'ils, les chefs concernés, ignorent que la petite troupe de Toussaint L'Ouverture, qui est composée exclusivement de Nègres nous ressemblant, se bat contre la France en faveur de l'Espagne. On ne doit jamais oublier que l'Île d'Ayiti se vautre dans la confusion apparente. Trop de luttes s'excluant mutuellement en même temps. C'est ce qui explique les paroles de Dessalines : "Je pensais que Toussaint voulait la gwqmunité".

L'Espagne gagne ainsi du terrain. La réplique française ne se fera pas attendre. Connaissant la débilité de Toussaint L'Ouverture, laquelle débilité n'est pas ontologique mais artificielle, Sonthonax, toujours Sonthonax, demande à Lavaux, le gouverneur, de lui écrire en vue de le rapatrier. Lavaux le fait le 5 mai 1794 et le 18 mai de la même année Toussaint quitte l'Espagne pour se joindre à Sonthonax, toujours avec l=Armée gwqmunale, celle qui signe toutes ces victoires. J’insiste car Toussaint ne sait pas se battre. Se battre, ce n’est pas son métier. 
Ce changement de cap met Toussaint à nu, il est perçu pour ce qu'il est par les Enfants du Jelefwe, qui entrent officiellement dans le jeu du blancisme, mais tacitement, sans celui-ci ni Toussaint. Les paroles de l'Invincible Général Jean-Jacques Dessalines, prononcées le 22 mars 1802 à la Crête-à-Pierrot, en sont les preuves irréfutables : "Cent fois, dit-Il, je me donnerai à la France, ne soyez pas surpris, cent fois je trahirai. Je vous conduirai à la Gwqmunité". Ni la France ni Toussaint n'en est instruit. C'est l'une des rares fois que nos Ancêtres peuvent se battre sans se marronner, une opportunité en or. Désormais la Résistance est au mode de Makqdal, en tuer le plus possible pour les affaiblir et nettoyer l'Île à la fin. Et c'est la débâcle de l'Espagne. 

La France ne voit pas les Résistantes et Résistants, toute l'attention se porte sur Toussaint, qui est à ses yeux le chef. Pour le saouler encore plus, la convention le nomme Général de brigade. En 1795 c'est autour du Directoire de remercier Toussaint L'Ouverture pour services rendus en l'élevant au grade de général de brigade, et plus tard, général de division. En mars 1796, le général Villate, qui est instruit, se voit mieux à la place de Toussaint L'Ouverture - il n'est pas le seul, c'est le cas de Rigaud et Alexandre Pétion - et s'insurge contre le gouverneur général Étienne Mayneaud de Bigefranc de Lavaux Ils croisent le fer et le gouverneur est fait prisonnier par le général. Toussaint arrive à la tête de l'Armée gwqmunale et le libère. Pour remercier Toussaint le gouverneur Lavaux, le 31 mars de la même année, le nomme lieutenant général, c'est-à-dire lieutenant gouverneur de Saint-Domingue. Tout cela se fait sous la recommandation de Sonthonax.
Où est le Peuple de la Résistance dans tout cela ? Nos ancêtres sont sous une pluie de fausses promesses afin de camoufler ce qui se trame sur leur dos. Dessalines résume la réalité en ces : "Eh quoi ! victimes pendant quatorze ans de notre crédulité et de notre indulgence; vaincus, non par des armées françaises, mais par la piteuse éloquence des proclamations de leurs agents". Cela sous-entend que certains y croient et qu'ils attendent leur réalisation. Toussaint y croit forcément, n'est-ce pas Pétion qui dira à l'Invincible Général Dessalines, comment se fait-il que Toussaint qui est leur "esclave" a crû en leur parole. Ce n'est pas Toussaint L'Ouverture qui manipule le blancisme français mais l'inverse. À travers Toussaint la France cherche à réaliser le décret du 7 décembre 1791, à savoir que "Les troupes doivent soumettre les Noirs sans porter atteinte aux hommes de couleur". Toussaint L'Ouverture lui-même écrit au Directoire en ces termes : <<Je réponds sous ma responsabilité personnelle de la soumission de l'ordre et du dévouement à la France de mes frères les Noirs.>> Toussaint L'Ouverture est incontestablement l'instrument du blancisme français.

Pour la première fois de toute l’histoire, la pression semble baisser un peu dans l'Île, cela, à cause de fausses promesses et du jeu du chat et la souris. La France croit être en train de l'emporter alors le collège électoral élit, le 11 septembre 1796, Sonthonax et Lavaux comme députés de Saint-Domingue en France pour défendre les intérêts de la colonie. Lavaux décline et Sonthonax, un an plus tard, rentre en France. Avant de partir il nomme, le 3 mai 1797, Toussaint L'Ouverture commandant en chef de l'armée de Saint-Domingue en remplacement de Lavaux. Ce qui veut dire que Sonthonax nomme Toussaint L'Ouverture gouverneur de la colonie. Puis Sonthonax part en août 1797. 

Les Anglais, qui occupent une partie de Saint-Domingue, ont vite compris le jeu. Ils décident d'exploiter eux aussi la naïveté de Toussaint. Les Anglais veulent négocier leur retrait. Alors ils poursuivent la lutte sur un autre front. En avril 1798 Toussaint L'Ouverture et le général Maitland arrivent à une entente et à la suite d'une autre entente les Anglais complètent l'évacuation de toutes les villes occupées le 31 août 1798. En guise de récompense le roi George II d'Angleterre donnera en cadeau à Toussaint L'Ouverture de la vaisselle anglaise et un château situé au Môle Saint-Nicolas. 

Conformément au plan de Sonthonax le 12 octobre 1800 L'Ouverture fait la lecture du communiqué écrit par celui-ci, lequel communiqué ordonne le retour des Noir(e)s sur les plantations. C'est "le rétablissement de l'esclavage". La réaction était vive et instantanée. Dans la foulée Toussaint L'Ouverture exécutera même son propre neveu, le général Moyse pour s'y être opposé. 

Arrive Napoléon Bonaparte, il donne à Toussaint le plus haut grade, celui de signer la loi. Mais Toussaint n'est pas seul, en plus de l'Assemblée coloniale, il est assisté par Gros, Pascal et le régiment béarnais. Il n’y a là rien d’étonnant car jamais le blancisme ne confierait le commandement des Blanc à un nègre, si docile soit-il. Toussaint L’Ouverture est le parablancisme, celui qui cache le gouvernement blanciste en vue de casser la Volonté des Négresses et Nègres de vivre en soi, par soi et pour soi.
Et Toussaint fait bien son travail. En effet la constitution coloniale du 3 juillet 1801 stipule que Saint-Domingue fait partie de l'empire français et que tous les gens qui y vivent sont des citoyens français, y compris nos ancêtres. Est-ce la soumission réelle des Noir(e)s ou une tactique de guerre blanciste ? C’est une tactique de guerre, le blancisme cherche à amener la population négro-gelefweenne à s’identifier à la situation présente, histoire de les soumettre.
L'Assemblée demande au gouverneur Toussaint L'Ouverture d'acheminer le texte de la constitution en France pour être approuvé. "L'invitation de l'Assemblée centrale, dit Toussaint, est un ordre pour moi ; en conséquence, je la ferai passer au gouvernement français pour obtenir sa sanction..." Il faut souligner que cette même constitution, qui intègre nos ancêtres dans la structure prédatrice française, nomme Toussaint L’Ouverture, pour renforcer la force du piège tendu aux ancêtres (Résistantes et Résistants hors de pair), gouverneur général à vie avec possibilité de choisir son remplaçant – le caractère présent et futur du piège. C’est un jeu bien orchestré. L’Assemblée centrale, Toussaint L’Ouverture ainsi que le conseil l’assistant ou le vrai gouverneur et Napoléon Bonaparte travaillent de concert pour porter le plus grand coup à la Résistance, qui est sa défaite certaine. Et ce n’est pas tout le jeu, une partie est cachée à Toussaint L’Ouverture. Il s’agit du sort de celui-ci et des généraux, comme les hommes de couleur, à la suite de la victoire programmée. Le blancisme français veut supprimer tout risque de revenir en arrière, les affrontements perpétuels, parce qu’il impute les responsabilités aux généraux et aux hommes de couleur. Analyse simpliste. 

En décembre 1801, l’expédition chargée d'exécuter le plan se prépare à gagner Ayiti. Toussaint L'Ouverture, instruit de tout cela, affirme qu'il faut recevoir les ordres et les envoyés de la métropole avec le respect et la piété filiale.

Ainsi Toussaint L'Ouverture participe au complot français qui consiste à nous enchâsser dans le blancisme, ce qui signifie à passer un trait sur la Résistance Ancestrale dont le but est de bouter le blancisme hors de notre champ existentiel. C'est l'objectif final de la louverturienne ou du louverturisme. 

Mais il reste une dernière chose à régler, le désarmement des Noir(e)s et l'exécution de tous les généraux pour qu'ils ne recourent plus aux armes. Toussaint L'Ouverture, bien sûr, y consent. Toussaint est instruit de l'arrivée de l'expédition française chargée d'exécuter le plan macabre. Pour tromper la Résistance gwqmunale, il fera un simulacre de résistance et inclinera très vite devant Rochambeau. 18 000 soldats français contre 950 Résistantes et Résistants à la Crête-à-Pierrot, fort dont le Général Jean-Jacques Dessalines est le commandant, dans l'unique but d'assassiner le Général Jean-Jacques Dessalines, commandant en chef, Résistant le plus redouté. Échec ! Près de trois mille soldats français y perdent la vie contre la moitié des 950 Résistantes et Résistants. Et l'Invincible Général Jean-Jacques Dessalines s'en tire indemne.

Le coup manqué. Bredouille, Toussaint rend visite à l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines à Dessalines-Ville pour lui faire part de sa reddition. L’Invincible Général s’y oppose et dit à Toussaint qu’Il peut, Lui, l’emporter sur l’armée française. Toussaint L’Ouverture réplique : <<Faites votre soumission à la mère-patrie>>. 

Plus de parole ambiguë de la part de Toussaint. Le jeu est clair. Étant instruit du plan du Général Dessalines, Toussaint L'Ouverture conseillera fortement au capitaine-général Leclerc d'intégrer le Général Dessalines ainsi que tous les autres combattantes et combattants dans l'armée française afin de les avoir à l'œil. Quel traître ou quelle fidélité à la France, ce qu’il confessera plus tard en France ! Toussaint L'Ouverture signe la fin de son mandat de gouverneur en faveur du capitaine général Emmanuel Leclerc, beau-frère de Napoléon Bonaparte, et en retour reçoit, en guise de paye pour son concours à l'opération, le droit d'exploiter ses centaines de carreaux de terre et ses "esclaves".
Coup de théâtre, Toussaint L'Ouverture pensait qu'il n'était pas sur la liste des généraux à exécuter et qu'il serait toujours bien apprécié pour sa collaboration à « la soumission de ses frères, les Noir(e)s ». Le blancisme est naturellement méfiant. Sous de faux prétexte il arrête Toussaint L'Ouverture le 7 juin 1802 et le fait emprisonner en France où il mourra de froid le 7 avril 1803. Juste avant de mourir, Toussaint reproche à la France son attitude cruelle et ingrate à son endroit : <<C'est ainsi que la France remercie ses enfants. J'ai combattu pour imposer les couleurs de la France à Saint-Domingue>> <<Fallait-il, poursuit-il, ajouter cette humiliation à mon malheur ?>> <<Sans doute je dois les traitements qu'on me fait subir à ma couleur. Mais ma couleur m'a-t-elle empêché de bien servir ma patrie ? La couleur de mon corps nuit-elle à mon honneur?>> Propos qui seront confirmés par son neveu Charles Belair en Ayiti. Ce que les gens ignorent, c'est que la reconnaissance en hommalité est une contradiction dans les termes, donc un non-sens. 

Jean-Jacques Dessalines, élevé par Tante Toya, une militaire enlevée au Dahomey par les esclavagistes et déportée en Ayiti, a déjà maîtrisé le jeu qui consiste à se servir des Négresses et Nègres pour maîtriser les Nègres et Négresses. Toussaint L'Ouverture, contrairement à son plan, a ouvert la porte de la traîtrise à l'Invincible Général. Jean-Jacques Dessalines joue la France comme une toupie et conduit, comme promis, le Grand Peuple Nègre à la gwqmunité le 29 novembre 1803 en battant l’armée de Napoléon Bonaparte, grand conquérant de l’heure. 

C'est la consternation en France. La classe des intellectuels, notamment Châteaubriand, Victor Hugo, Auguste Comte, donc des blancistes avérés, blâment Napoléon Bonaparte de s'être débarrassé de Toussaint L'Ouverture. 
En 1816, treize ans après l'assassinat de Toussaint Louverture, Napoléon Bonaparte, sur le rocher de l'Île Sainte-Hélène, a confessé son erreur en ces termes :
<<J'ai à me reprocher une tentative sur cette colonie lors du consulat. C'était une grande faute que d'avoir voulu la soumettre par la force; je devais me contenter de la gouverner par Toussaint >.

Comment Jean-Jacques Dessalines, Invincible Général et Éternel Empereur, aurait pu ne pas haïr ce scélérat, François Dominique Toussaint L'Ouverture. 

Quiconque arbore le nom infâme de Toussaint L'Ouverture à côté du Nom d'Ayiti réclame le démantèlement de Notre Grande Nation pour Nous esclavagiser en retour. 

NOUS SOMMES À L'ÈRE DESSALINIENNE
Plus que jamais la terre a soif de la Dessalinienne
Place à l'Empire Dessalinien !
Hrh Prince Tiécoura Jean Dessalines D'Orléans
Dessalines pi wrd

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