Jean-Jacques Dessalines Vainqueur du blancisme et de Napoléon Bonaparte ainsi que l’acte de reddition

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7- 1 J 8 Tous droits réservés  


Jean-Jacques Dessalines
 Vainqueur du blancisme et


 de Napoléon Bonaparte ainsi que l’acte de reddition
18 novembre 1803 -18 novembre 2015
q = an
u = ou
w = r
q = on
r  = ê
c = in
h = ch
e = é

Oui, il faut se battre si on veut être maître et maîtresse chez soi, la leçon du 18 novembre 1803
Jean-Jacques Dessalines disait à Toussaint L=Ouverture que la Résistance gwqmunale pouvait facilement battre l=armée de Napoléon Bonaparte et qu=il fallait attendre seulement deux mois pour la poursuite de la contre-guerre. Mais Toussaint L=Ouverture avait une autre préoccupation, la chute des Négresses et Nègres devant le blancisme par l=élimination des bras combattant, dont Dessalines le Premier. Toussaint avait promis au Directoire qu=il réussirait à <<soumettre>> à la France <<ses frères les noirs>>. Toussaint L=Ouverture voulait à tout prix abattre la Résistance gwqmunale au profit du règne convoité du blancisme. Aujourd=hui, le 18 novembre 1803, la Résistance ancestrale, plus puissante que jamais, affronte, à mains nues, pour la dernière fois le blancisme français qui, rappelons-le, ne gouverne plus rien déjà en Ayiti.


LInvincible Général Jean-Jacques Dessalines ne promet jamais ce qui n=est pas à Sa portée. Seulement le fait d=arriver au dernier affrontement est la preuve irréfutable de Son inégalable et inégalé Savoir. Et commence la bataille. La mort tourne autour de nos ancêtres mais tous et toutes sont infailliblement déterminés à en finir avec le blancisme. Les canons de l=ennemi, le blancisme, crient sans répit. Les voilà, nos ancêtres, qui tombent en grand nombre ! Mais ils avancent sans faiblir. Regardez-le, Capois Lamort ! Rien ni personne ne l=ébranle. Pendant ce temps le Général en chef observe, place, déplace, positionne et repositionne avec calme et conviction. Le sol jonche de morts et de blessés par milliers. Ceux et celles qui sont debout avancent sans frayeur en enjambant morts et blessés sous une pluie de cris d=encouragement de ces derniers. Quelle brlte ! L=ennemie, la Bactérie, a déjà fait savoir qu=elle ne quitterait jamais cette terre, Notre terre. Nos ancêtres sont d=avis contraire car ils comme elles n=ont l=intention d=être et exister que sous la Direction exclusive de leur gwqmunalité, expression de la plénitude constitutionnelle de notre être. En bandition, soit sans peur, plein de rage et confiants, les contre-guerriers et contre-guerrières foncent sous une pluie de feu. C=est l=horreur et le carnage dans leur camp.

<<En avant, les Braves !>>, crie inébranlablement Cappois Lamort. Toutes et tous tiennent irrelativement à encercler la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. Comme le veut l=Invincible et Éternel Général, ils y parviennent effectivement. Alors le combat est à son comble, le feu et la fumée tissent le ciel. Enragés, ils maintiennent la Bactérie sous une réplique de feu nourrie. Elle tombe par centaines sous la RAGE NÈGRE.

Quand le Nègre ou la Négresse est nègre tout de bon et qu=il ou elle est sous l=effet de la colère beuglant parce que menacée est sa vie dans sa gwqmunalité, la Victoire est forcément au rendez-vous. Il n=y a pas d=autre possibilité. Nos ancêtres, déchaîné(e)s, continuent d=avancer avec une confiance pleine et inébranlable. Les militaires du grand conquérant Napoléon Bonaparte tombent comme des mouches.

Soudain le ciel devient plus nuageux, il tonne à n=en plus finir. C=est le La (le Grand Tout, soit les éléments de l=univers dans leurs relations d=interdépendance) qui s=y met. Nos ancêtres s=en rendent vite compte. Le point culminant de la RAGE en elles comme en eux va à la rencontre de la fureur du La pour ne former qu=un faisceau de jrvwin, une sorte d=énergie témoignant de la pleine forme de la personne. Fumant de RAGE et de CERTITUDE : <<Grenadiers, à l=assaut !>>, hurlent les Braver-dangers. Les feux des guerriers, des contre-guerriers et contre-guerrières comme des forces du La coïncident. Indescriptible spectacle ! L=affirmation de soi de nos ancêtres est à son paroxysme, elle crève le plafond du ciel. <<Grenadiers ! À l=assaut ! Sa ki muwi, zafr a yo !>> La mort n=a plus d=effet sur nos ancêtres, elle est vaincue. La Victoire à tout prix.

Nos ancêtres, toujours sous l=effet de la RAGE indicible et invincible, inlassablement se contre-battent, se contre-battent, se contre-battent, se contre-battent, se contre-battent, se contrebattent...
Et, désemparée, la Louperie, prédation blanciste, ne riposte soudainement plus. Elle est saisie d=une frayeur ahurissante devant la gwqmunalité, affirmation de soi, et s=effondre.

Et le Pays, dans une rivière de sang, sur un tapis de blessé(e)s et devant des mornes de cadavres consentis, émerge !

Au milieu des milliers et des dizaines de milliers de morts et de blessés, tout en beuglant, c=est l=indescriptible eua, agréable sensation se propageant dans tout le corps.

Grenadiers ! Le voilà, contre le droit naturel de l=homme, l=Éternel Empire de Dessalines qui sort des entrailles de la gwqmunalité, l=Empire Toya-Dessalinien, sans nuances épidermiques !

Une Victoire pour la planète terre, la Victoire du 18 novembre 1803 !


Pour une nouvelle planète terre

http://youtu.be/BdMNHtwT8Us


NOUS SOMMES À L=ÈRE DESSALINIENNE

Plus que jamais la terre a soif de la Dessalinienne

Place à l'Empire Dessalinien
Texte tiré du manuel d=histoire d=Ayiti de


HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité       Bonheur et Jean-Jacques Dessalines,
spécialiste de la science de la politique et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire de Toya-Dessalines, Éternel Empire de la Gwqmunalité



VERTIÈRES : ACTE DE REDDITION 19 NOVEMBRE 1803
 « Aujourd'hui 27 Brumaire (19 novembre 1803), l'adjudant Commandant Duveyrier, chargé des pouvoirs du Général en chef Rochambeau, Commandant l'armée française, pour traiter de la reddition de la ville du Cap, et moi, Jean Jacques Dessalines, sommes convenus des articles suivants :
Art. 1er. - La ville du Cap et les forts qui en dépendent seront remis dans les dix jours, à dater du 28 présent, au Général en chef Dessalines.
Art. 2. - Les munitions de guerre qui seront dans les arsenaux, les armes et l'artillerie seront laissées dans l'état où elles sont présentement.
Art. 3. - Tous les vaisseaux de guerre et autres qui seront jugés nécessaires par le Général Rochambeau, tant pour le transport des troupes et des habitants que pour l'évacuation, seront libres de sortir au jour nommé.
Art. 4. - Les Officiers militaires et civils, les troupes composant la garnison du Cap, sortiront avec les honneurs de la guerre, emportant leurs armes et les effets appartenant à leurs demi-brigades.
Art. 5. - Les malades et blessés hors d'état d'être transportés seront traités dans les hôpitaux jusqu'à leur guérison. Ils sont spécialement recommandés à l'humanité du Général Dessalines.
Art. 6. - Le Général Dessalines en donnant l'assurance de sa protection aux habitants qui restent dans la place, réclame de la justice du Général Rochambeau la mise en liberté des hommes du pays quelle que soit leur couleur, lesquels ne pourront sous quelque prétexte que ce soit être contraints à s'embarquer avec l'armée française.
Art. 7. - Les troupes des deux armées resteront dans leurs positions respectives jusqu'au dixième jour fixé pour l'évacuation du Cap.
Art. 8. - Le Général Rochambeau enverra pour sûreté des présentes conventions l'adjudant commandant Urbain Deveau en échange duquel le Général Dessalines remettra un officier du même grade.
 Fait en double et de bonne foi, au Quartier général du Haut du Cap, les dits jours, mois et an précités.
Signé : Général DESSALINES et adjudant Commandant Duveyrier


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le Pays ďAYITI, dont le Nom est l’Empire ďAYTI, Est Seulement et Uniquement Ancestral

Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D'Orléans Charles Jean Baptiste

Le message du 1er janvier 2016 Par Le Prince de l’Éternel Empire de Toya-Dessalines, HRH Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans, Pour l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines