L’addition des forces pour la Victoire complète du 18 novembre 1803
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7- 1 k
© Tous droits
réservés
L’addition
des forces pour la Victoire complète du 18 novembre 1803
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r =
ê
c = in
h = ch
e = é
La Bataille de Vertières n’est pas une fin
en soi - les Français ne commandaient plus rien et n’avaient pour préoccupation
que leur survie - mais le moyen devant conduire à la pleine (totale-capitale)
appropriation de soi, le soi munal ou ancestral, notre guide et principe de
l’impératif de la contre-guerre.
L’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines, Éternel
Vainqueur du blancisme, est on ne peut plus clair là-dessus. Deux points à
retenir. Premièrement le nettoyage de Notre lieu d’existence (l’Île d’Ayti),
c’est-à-dire suppression de la Bactérie, une présence qui gênerait
inconditionnellement l’œuvre en cours, selon les paroles mêmes de l’Éternel
Empereur : « … s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les
machinateurs de nos troubles et de nos divisions » ; le verbe de
Juste Chanlatte à ce sujet témoigne de la nécessité et l’urgence de la chose.
Deuxièmement ces paroles de Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand qui en sont
le corollaire : « Tout y retrace le souvenir des cruautés …. nos lois, nos
mœurs, nos villes, tout porte encore ( leur )empreinte …. Nous avons osé être
libres (gwqmun), osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons
l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient
inutile et l'entrave dans sa marche. …. Marchons sur
d'autres traces ». La
Bataille de Vertières ne peut donc pas déboucher sur une existence à l’ombre de
« l’humanité », verte épidémie dont nous faisons chaque jour l’expérience, mais
à la valorisation de SOI, notre constitution interne munale, celle qui sous
forme de VOIX intérieure nous ordonne de repousser inconditionnellement l’envahisseur,
pour nous ici le blancisme, et à la prise en charge de SOI par SOI et pour SOI.
Un détachement complet du blancisme et ce qui lui est propre. C’est cela la
Dessalinienne, tout un programme d’Être et Existence. Ce grand idéal terrestre,
la Dessalinienne, la seule qui vaille, est opaque seulement à celles et ceux
qui, pour une raison ou pour une autre, sont inaptes à la grande spéculation.
À tout peuple blanciste qui nourrit le désir de profiter
de la Victoire de Vertières pour se substituer au blancisme français et à tous
ceux et celles qui pensent pouvoir lui servir de pont pour réaliser son
intention lugubre, le Général Vainqueur leur dit sans ambages :
« Quel peuple a combattu pour nous ? Quel peuple voudrait recueillir les
fruits de nos travaux ? Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour
être esclaves.» Nous avons
combattu et nous avons vaincu pour NOUS-MÊMES, et NOUS SEUL(E)S.
Puisque depuis le 17 octobre 1806 la Bêtise irrelative,
le blancisme, par l’intermédiaire du peuple exogène, s’est réinstallée CHEZ
NOUS, sur le territoire Gwqmunal, les paroles de Dessalines, Éternel Vainqueur
du blancisme, sont d’actualité, notamment les précédentes et celles-ci : « ….
s'ils trouvent un asile parmi nous, ils
seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions ». La marche vers la Victoire finale sur l’hommalité est,
depuis deux cents neuf ans, entravée par le peuple exogène à cause de sa nature
de canal par lequel agit le blancisme. Le Grand Peuple est méprisé et confiné
dans la malcité, la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres s’en réjouit
quotidiennement et en fait sa risée. Le 18 novembre est certes la dernière bataille
mais une bataille prolongée, à savoir tant et aussi longtemps que toute trace
du blancisme et du peuple exogène, son organe, n’est définitivement pas effacée.
C’est cela, le point fort du discours du premier janvier 1804, discours prononcé
à l’occasion de l’entrée en fonction de l’Éternel Empereur en puissance, l’Invincible
Général Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand.
Que tout le monde en prenne note, la Dessalinienne est
sans équivoque : NOUS SOMMES afin d’être en NOUS, par NOUS et pour NOUS. Cela
n’est pas une volonté de conquérir- les autres vivent leur vie à l’intérieur de
leurs frontières comme ils le veulent ; nous n’avons rien à y voir – mais tout
simplement une invariable et irrévocable affirmation de SOI, laquelle ne va pas
sans le rejet irrelatif du mode de vie des autres dans NOTRE SEIN, ce qui bien
sûr implique le refus de la POLITIQUE, structure dominant/dominé.
Aussi, en ma qualité de Le Prince de l’Éternel Empire Toya-Dessalinien
Déployé, je demande à tous celles et ceux en qui vit Jean-Jacques Dessalines
Plus Que Grand comme Personnifié de l’Ancestralité, quelles que soient leurs
allégeances, de ne pas se laisser entraîner dans la politique, théorique et
pratique - parce qu'elle est une création blanciste et
qu'elle est par conséquent dominée par son auteur -, de combattre la situation actuelle qui, dans tous ses détours, est extrêmement
menaçante, de marcher dans les pas du général Goman, de se mobiliser avec ceux
et celles qui le sont déjà et, comme un seul corps, de se rassembler
immédiatement autour de la Famille Impériale et la Ville de Dessalines pour le
sprint final de la Dessalinienne. La division n’est pas dessalinienne. LE PAYS
DE DESSALINES DOIT MARCHER.
Pour une nouvelle planète terre
NOUS SOMMES À L’ÈRE DESSALINIENNE
Plus que jamais la terre a soif de la Dessalinienne
Place
à l'Empire Dessalinien
Hrh Prince Tiécoura Jean Dessalines
D’Orléans
7ème de la Génération du Couple
Impérial, Claire Heureuse et Jean-Jacques Dessalines
Commentaires