La dangerosité de la démocratie, un message cardinal à la veille du 210e
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines
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La dangerosité de la
démocratie, une doctrine politique. Ceci est un message cardinal, lisez attentivement.
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
« Marchons sur d’autres traces » dit HRH
Sa Majesté Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand. Alors on ne
peut pas associer la doctrine collective de Jean-Jacques Dessalines à la politique,
théorique ou pratique, incontestable fruit de la pensée européenne, parce qu’elle
est Ancestrale, générée par une conception munale de soi, donc w⊗nale, soit indivise de l’être. Il s’agit,
dans le cas des deux blocs de gens (précédemment nommés) appartenant au lakort
munal, une espèce indivisible, ce sous quelque prétexte que ce soit, d’une
façon propre ni plus ni moins de se définir dans le monde.
La dangerosité de l’idéologie
démocratique est d’abord son fondement, c’est-à-dire l’homme, au mieux la
nouvelle anthropologie, l’homme ayant pour substance les droits, et ensuite la
nouvelle conception du pouvoir qui en découle, soit pouvoir individuel laïque,
un pur désordre dans tous ses détours.
Le premier point. Pour qu’il y ait
démocratie, il faut d’abord et avant tout une conception de soi, appelée ici l’homme.
Ce soi hommal, contrairement aux conceptions précédentes, est fait de droits. Le
droit est une vision éponge des natures d’autrefois dans le sens qu’il les
ramasse toutes. Ce qui importe ici, c’est que l’anthropologie subjective du
droit est une conception éclatée de soi. Chacune-chacun est non pas homme mais
l’homme. Une plénitude. Une irrelativité.
L’homme par le droit se révèle ou se
manifeste par l’inclination à la possession, ce sans quoi il ne peut pas
persévérer dans son être et lieu d’atteindre son plein développement. La possession
est une propriété de l’homme sous forme de vide tendant à se remplir. Elle appelle
l’action. C’est alors dans la praxis, rendre effective la possession, que l’homme
est pleinement homme.
Il y a deux conséquences à cela. La première
est que l’homme est non par le développement interne, un haut degré de soi à
atteindre, mais à l’extérieur de l’homme, soit dans les objets qu’il possédera.
Il s’ensuit que la valeur de soi est dans l’extension ou l’extensité de la
possession. C’est ce qui explique qu’on met toujours en avant ce qu’on possède,
si minime soit-il, histoire de s’affirmer. Aussi si on ne possède rien, on n’est
rien. La deuxième conséquence qu’il faut tirer de l’homme à l’extérieur de l’homme
est qu’en dehors de l’homme, être irrelatif, il y a seulement des objets à
posséder, y compris ceux qui se disent homme eux aussi. Cet autre est, aux yeux
de l’homme, le sous-homme, être en vue de soi, c’est-à-dire l’homme. On se
souvient très bien, dans l’idéologie de l’esclave l’homme est le maître et le
propriétaire (possesseur) tandis que le soushomme, est l’esclave, la propriété.
Tout cela trouve sa justification dans l’homme par le droit.
L’homme est certes l’un mais il y en a
une multitude. La multitude de l’un débouche sur des semblants, qui se croient
homme comme « moi ». Cela met en lumière le caractère disparate de l’homme,
c’est-à-dire sans lien avec les autres qui se disent homme. C’est ce que j’appelle
une anthropologie éclatée.
La
nécessité ou l’obligation interne (obligation suffisante, certes, puisqu’il s’agit
du contenu constitutif de l’homme) d’être homme en acte, soit par la possession
effective, laquelle nécessité prend à l’intérieur de soi-même la forme d’un
désir excessif et sans compromis de soi et qui est sous le même rapport,
faut-il le souligner, la non reconnaissance de l’autre, débouche
immanquablement sur un conflit généralisé, lequel appelle forcément, par la
ruse du droit de liberté, au dialogue en vue d’atténuer l’inimitié, ce qui s’appelle
civilisé(e), non pour cesser d’être soi-même mais se frayer, à travers le tohu-bohu
hommal, un chemin pour arriver à soi, la possession totale. Point extrêmement
important à retenir. Voir à ce sujet mon livre Pour une nouvelle planète terre
Le fruit de la ruse du droit de liberté,
capacité de calculer, est l’érection d’une instance supérieure, dénommée
pouvoir, qui prend à sa charge la direction de certaines avenues de la vie de
chacun-chacune en vue de coordonner leurs actions dans leur élan à être
pleinement, toujours à l’extérieur de soi, c’est-à-dire la possession,
forcément totale. Logique ou cohérence exige.
La mise en marche du processus implique
l’accord de toutes et tous, lequel accord est une participation générale
directe ou indirecte à la chose, ce qui s’appelle la démocratie. Les modalités
sont secondaires.
La démocratie est d’abord le coup d’État
par la prise en main de sa propre vie au moyen de l’anthropologie des droits, lequel
coup est mis en forme par la ruse du droit à la liberté contre le système
politisé prévalant, livrant ainsi les hommes à eux-mêmes et à eux seuls par le
moyen d’un pouvoir tout hommal comme gouvernail, et ensuite le cheminement, à
travers le match social (production, consommation et acquisition), vers la
réification de l’un, homme véritable, soit le maître et possesseur de toutes
choses.
La démocratie s’inscrit donc dans la prédation
artificielle institutionnalisée. Un désordre effarant. D’où l’invariabilité de sa
dangerosité.
Le projet collectif de Jean-Jacques
Dessalines Plus Que Grand est ofowu, soit conforme à la Volonté de Notre Dieu,
Bon-Dieu (Dieu Véritable), et s’oppose donc de part en part à la politique, mode
de subordination des autres en vue de soi, et par conséquent à la démocratie, qui
est une de ses expressions.
C’est le
fondement (pensée maîtresse) qui donne sa nature (couleur) au discours (pensée
dérivée).
Dessalines
pi wrd.
Le jeudi 15 septembre 2016, à la veille
du 210e anniversaire de l’Assassinat physique de HRH SA Majesté
Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines, une date importante.
Pour la Maison Impériale Dessalines
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques
Dessalines et Garant de la w⊗nité du lakort,
l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de
la politique, notamment du blancisme
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