Pour ouvrir le 210e anniversaire du parricide de 17 octobre 1806, anniversaire particulier.

Pour ouvrir le 210e anniversaire du parricide de 17 octobre 1806, anniversaire particulier. Pour entrer pleinement dans cette pensée, commencez les jours de méditation avec ce si beau et salutaire texte. Discutez-en autour de vous.




La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 p = x © Tous droits réservés

Ce qui fait de la Voix et la Voie Dessaliniennes les moyens les plus sûrs à l’entente entre les peuples de la terre


q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é

Un Dessalines en chacune-chacun de nous,
quelle que soit sa nation d’origine

Point de doute, personne ne veut être constamment en guerre, même les guerriers et guerrières les plus fanatiques, parce que la guerre comporte des risques incalculables. Il y a aussi le fait que la guerre n’est pas sa propre finalité. Dans les deux cas on souhaite la fin de la guerre.

Cependant il faut diviser en deux groupes les gens qui ne veulent pas la guerre parce qu’il y a une nuance. Il y a un groupe qui veut la fin de la guerre 1) pour ne pas mourir et 2) pour obtenir ce qu’ils désirent, soit la soumission de leurs ennemi(e)s, le plus gros bénéfice de la guerre. Ce que veut cette catégorie de gens, c’est la puissance dans la réduction à l’infini zéro, soit à rien, leurs adversaires. Cette fin de la guerre, et qui très recherchée, s’appelle la paix. Alors le premier groupe ne veut pas faire constamment la guerre à cause de son objectif, qui est la paix, sa puissance sur l’adversaire.

L’autre groupe s’oppose à la guerre à cause du danger qu’elle représente à la vie. C’est simplement la vie pour elle-même, sans autre préoccupation, qui est au centre de cette opposition. Les deux groupes se rejoignent en partie ici. Ce qui les différencie, voire les distinguer, c’est le refus, de la part de ce groupe, de l’inimitié que la guerre maintient entre les gens, inimitié qui au contraire fait partie du projet de l’autre groupe, lequel refus implique le penchant à l’entente, un véritable clivage entre les deux. Ce groupe rejette la paix, structure dominant/dominé, parce qu’il ne peut y avoir d’entente qu’entre égaux. Le mot d’égalité ici n’a pas la même propriété que celle dont il est question dans la doctrine des droits de l’homme, reconnaissance du droit de chacun-chacune de vouloir l’emporter sur les autres. L’égalité de la doctrine des droits de l’homme  est en soi prédation et par le fait même source de guerre ou d’affrontement. Elle légitime et légalise la menace à la vie. Cependant l’égalité que comporte l’entente est le rejet de toutes formes d’hostilité, atmosphère propre à la vie, la vie bonne.

Voilà, deux catégories de deux gens qui peuplent notre planète, l’une gravite autour du pur désordre, la paix par l’annihilation, l’autre suit son cours comme un ruisseau.

C’est là que le groupe inclinant vers l’entente rejoint la Voix ainsi que la Voie Dessaliniennes. 

Dans l’entente il n’y a pas de discrimination, soi et les autres et gens-pas-comme-nous, manifestation de l’inimitié et source de la guerre, mais un seul élan, faire obstacle à tout obstacle rendant la vie indigne d’être vécue. D’où qu’elle vienne, la menace, il faut la vaincre par l’entente. C’est pourquoi l’idée d’entente n’implique pas la ségrégation. On s’entend pour conjurer le Mal et pour vivre, bien vivre, soit entre Nous, le Nous lakortal munal, soit gens appartenant à un seul et même être. C’est cela que j’appelle la brlte (belleté).

Ce point de rencontre est le premier attribut de l’Enfant des Mornes Cahos, élevé par Tante Toya, je parle de Jean-Jacques Dessalines. Le nœud entre le groupe inclinant vers l’entente et Jean-Jacques Dessalines est ofowu, c’est-à-dire conforme à la Volonté de Notre Dieu. La naissance de Dessalines a pour impératif, la concrétisation de l’inclination à l’entente. Cela fait de Lui le Messie, instrument de la Volonté de Notre Dieu et celle de notre être ofowu, mieux connu sous le vocable de Gwqmunalité. Dessalines marche sous la direction de l’être, notre être.

Le premier prédicat de Jean-Jacques Dessalines met en lumière son appartenance à la munité et aussi son incorruptibilité. Rien ni personne ne peut le dévier de la direction de notre être. En effet Jean-Jacques Dessalines qui connaît le pic de l’horreur – toute la surface de son corps en porte les stigmates, des marques de coups de toutes sortes -, jamais ne songe à renoncer à SA Mission Divine ni à particulariser le Mal, l’hommalité à travers sa plus haute expression de l’heure, le blancisme. Voici un exemple parmi des centaines illustrant cela. De passage chez Jacques Duclos, un colon, Jean-Baptiste Dessalines, homme de couleur (enfant de Français et Négresse), témoin des supplices que ce planteur français inflige à Jean-Jacques, son nom d’alors, pour refus de se soumettre, lui propose de l’acheter. Jacques Duclos y consent sans réflexion, il veut s’en débarrasser. En cours de route Jean-Jacques, le Messie, dit à Jean-Baptiste Dessalines : « Il faut mettre les choses au clair. Que tu es blanc ou noir, quelle que soit la couleur de ta peau, je ne me soumettrai pas à toi car je ne servirai personne». Deux choses à souligner de ces propos, 1) le fait que Jean-Jacques, qui désormais va devenir Jean-Jacques Dessalines à cause de la loi dans la colonie, même sous la torture ne renie pas Sa Mission, 2) et qu’il ne fasse aucun amalgame entre le Mal, la prédation, et le teint. Il défend la structure constitutionnelle interne selon laquelle l’être que nous sommes est en soi, par soi et pour soi non en vue d’un autre que soi. Le Mal n’a pas de frontière en ce sens qu’il n’est pas lié à un teint. Contre vents et marées, Jean-Jacques Dessalines est et reste au niveau lakortal de l’être, lequel s’oppose farouchement à la paix. C’est cela l’incorruptibilité.  

La pensée munale en Jean-Jacques Dessalines le dresse contre le particularisme introduite par la notion raciale. Des Français de la colonie montent leurs troupes et demandent à Dessalines de combattre dans son camp. Les Polonais, qui sont arrivés avec l’expédition de Napoléon, passent du côté de Dessalines. L’Invincible Général sait faire la différence entre le blancisme et le Blanc-tout-court. Le Général Dessalines accepte sans méfiance Français et Polonais. À ces derniers Dessalines donne des terres pour qu’ils puissent subvenir à leurs besoins. La Voie de Dessalines n’est pas multiple mais UNE, celle de l’être que nous sommes. Alors le combat est celui de l’être, le NÔTRE.

Après Sa Victoire sur l’armée de Napoléon Bonaparte, le Général À Jamais Vainqueur du plus grand Mal qui soit, s’écrie : « J’ai vengé tous les peuples éteints dans l’esclavagisation ». Jamais Dessalines ne dévie de la lakortalité de Sa Mission.

L’être que nous sommes originellement ne se laisse pas faire, il est doté d’une inclination à rester omunon, soit identique à lui-même. Il est muni d’un mécanisme de défense qui lui est propre. Il réagit, cela avec force et rage, contre toute menace à son maintien. En contre-guerre contre les soldats de la paix, l’Invincible Général riposte avec une exceptionnelle volonté de se perpétuer dans l’être ofowu. Il défend avec intrépidité son espace existentiel. Les voici qui s’avancent, un jour, les militaires aguerris de l’armée de Napoléon. De toutes ses forces, le Général Dessalines crie : « AVANCEZ ! » Les combattantes et combattants de la gwqmunalité, qui ne disposent depuis toujours presque pas d’armes ni de munition pour mener efficacement la lutte, sont lents à répondre au cri du Général en chef. Une fois de plus crie Dessalines : « AVANCEZ! » Les combattants et combattantes de la gwqmunalité de répondre : « Nous n’avons pas de munition, Mon Général! » Dessalines crie : « AVANCEZ! Prenez-les avec vos ongles et vos dents! » La rage de l’être qui veut rester ce qu’il est contre vents et marées.

L’être, le nôtre, est la mesure de la pensée et l’action chez Dessalines. Jean-Jacques Dessalines agit sans passion. Il est l’être de la mesure par opposition à la démesure qui caractérise la personne de ses adversaires, les guerriers de la paix. Jean-Jacques Dessalines assiste à une scène terrible. Le général Leclerc, celui à qui le Premier Consul, Napoléon Bonaparte, a confié la mission d’assassiner tous les officiers noirs, leur fait la promesse de ne pas les punir s’ils déposent les armes. Seul Maurepas reçoit favorablement la parole du gouverneur qui aussitôt les invite, lui et ses centaines de combattants et combattantes, à le suivre. Le général Leclerc les conduit à côté de la ravine où il les fusille tous et toutes. Et Leclerc, content du succès de son coup de bluff, regarde Dessalines qui se trouve de l’autre côté, observant la scène. Jean-Jacques Dessalines, sans tarder et sans passion, riposte. Il compte le même nombre de gens, ni plus ni moins, parmi ses prisonniers français et les fait passer au fil de l’épée, là sous le regard du général Leclerc.

Le Général Dessalines remporte la Victoire sur l’armée prédatrice, les soldats de la paix, et Il fonde l’Empire de la Gwqmunalité. Le Vainqueur est très clair, le Pays est celui de tous les razzié(e)s, déporté(e)s et implanté(e)s ici au Masuana, appelé Amérique, et aussi de tous les gens de la terre fuyant la tyrannie. Quiconque foule le sol de l’Empire d’Ayti est automatiquement gwqmun. Le Pays de Dessalines est celui des gens, de tous et toutes, qui veulent vivre en accord avec leur être ofowu.

Dessalines annule le port de ceinture de chasteté à toutes les femmes françaises qui prennent la nationalité ayitienne.

Le Français Jean-Pierre Maillet, qui a combattu du côté de Dessalines, accède à l’Administration Dessalinienne. Il faut y lire l’absence de domination d’un groupe par un autre. Il s’agit du gouvernement des gens, conformément à notre être, manifesté par l’élan vers l’entente.

Toujours dans la même ligne de pensée, celle du caractère massif ou indivis de l’être que nous sommes et dont Jean-Jacques Dessalines est l’unique personnification, l’Éternel Empereur est légitimement et légalement proclamé géniteur institutionnel de tous les citoyennes et citoyens de l’Empire. Et cela entraîne plusieurs conséquences, notamment celle qui suit. Père de tous et toutes l’Empereur Jean-Jacques Dessalines supprime l’appellation ou la désignation par le teint, parce que source de division et d’animosité et impropre aux gens de même source, et déclare que désormais tout le monde est connu sous une seule dénomination, « NOIR(E) », terme neutre, soit absence de couleur ou de teint. L’unité institutionnelle est le décalque de l’indivisibilité originelle des gens.  

Un seul et même être, aussi tous les gens doivent être traités de la même façon. C’est une exigence inviolable de la cohérence. Il ne s’agit pas d’égalité des chances en vue de l’inégalité irrelative dont les droits sont la base. Le traitement pareil qu’appelle l’être ofowu est l’assistance mutuelle qui débouche immanquablement sur la complémentarité extérieure ou sensible de l’être indivis. Pour y aboutir, chacune-chacun doit être physiquement à proximité de chacun-chacune et dans la pensée d’insuffisance réciproque, puis disposer aussi des moyens matériels, tout cela pour l’exercice de leurs facultés, ce qui s’appelle gwqmuntrt, indépendance dans la dépendance, en vue de coordonner les deux ordres de productions, corporel et environnemental pour la complétude, étape suprême, de l’être, une finalité intérieure de soi, le soi lakortal.
Pour cela, la vie collective doit être directement celle des membres non celle du Guide, savoir l’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines, dans le sens que « L’État, c’est moi ». C’est un vivre ensemble, une collaboration, dont le terme exact est le kbi. Il n’y a ni le purgatoire ni l’enfer, lieux de tourments, ici les pénitenciers, parce que cela sous-entend une structure de domination, ce qui ne va pas sans l’oppression. Toutes les prisons sous l’Administration de Dessalines sont vides.

Le kbi et la délégation vont de compagnie. On se souvient de la tâche que l’Éternel Empereur confie à Ingignac. Il lui donne la permission de prendre toutes les mesures nécessaires pour faire respecter la pensée collective. Cela comporte même la possibilité d’annuler et remplacer toute ordonnance dont Il, soit Jacques 1er,  est Lui-même l’Auteur. L’Empereur divise l’Empire en six régions et sept administrations, dont six locales et une Générale. Icelle relève de Ses Compétences. Par l’Administration Générale l’Éternel Empereur énonce la Volonté Collective Globale. Les responsables régionaux s’occupent de ce qui est local. Comme c’est un kbi, le Grand Peuple se voit confié la tâche d’évaluateur. À cet effet un comité de doléances, un genre de tête à tête entre l’Empereur et Son Peuple sur la marche des affaires, est mis à la disposition d’icelui. Le Peuple peut en saisir n’importe quand.

L’être que nous sommes est pris dans son milieu et celui-ci lui sert d’universel environnemental, c’est-à-dire son lieu d’être et exister. Exister, c’est s’organiser et exploiter ce qui est mis à la disposition de soi pour se préserver et se perpétuer. Il faut entendre par là que l’universel d’environnement est ce qu’il lui faut pour vivre, continuer à être et se développer. On n’Est pas sans les moyens de se maintenir. Il est le lieu d’exercice de soi en vue de sa plénitude. Puisqu’il en est ainsi, l’universel environnemental est inconditionnellement et irrelativement à lui, l’être que nous sommes, et partant le Grand Peuple. Le Guide paternel doit alors fournir à chacune-chacun une partie de son universel environnemental, son milieu physique, moyen sans lequel chacun-chacune ne peut développer  son aptitude à l’assistance mutuelle, un des deux socles de son être, l’autre est l’indépendance, agir par soi. C’est cela l’obligation du partage des ressources disponibles, à toutes et tous, et de « posséder un art mécanique » posée par l’Administration Dessalinienne.

Nous sommes éparpillé(e)s sur toute la terre et partout se forment des peuples. Quelle doit être l’attitude de l’Éternel Empire Dessalinien vis-à-vis d’eux, et surtout, ceux qui sont en proie aux agents de la paix? Il faut les assister pour qu’ils puissent les chasser. Cette assistance est dictée par la structure de Notre être, indépendance dans la dépendance. Cela veut dire l’absence totale de volonté de subjuguer. L’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines en donne l’exemple. L’Invincible Général chasse l’envahisseur et la nouvelle se répand comme une trainée de poudre et réjouit les peuples assiégés. Francisco de Miranda, qui mène la lutte contre la Bactérie, vient rencontrer l’Invincible Général pour qu’Il partage avec lui la recette de son succès. Ils en discutent et, pour l’efficacité de la campagne, le Général à Jamais Vainqueur du blancisme, en plus du partage des tactiques de contre-guerre, fournit combattantes comme combattants, armes et argent à Miranda. Dessalines lui demande une chose, et une seule, en retour, aération des Négresses et Nègres. Cinq nations sortiront de l’initiative de Francesco de Miranda et Dessalines, le Général Vainqueur. Aucun avantage pour l’Éternel Empire d’Ayti. Pas de velléités d’imbrication de la part de l’Empire de la gwqmunalité. Respect inconditionnel de l’autre, de la constitution interne munale, qui est la nôtre, savoir que chacune-chacun se dirige soi-même.

On entend de plus en plus parler de gouvernement mondial pour résoudre les problèmes entre les peuples. Cela est complètement inutile car les problèmes entre les peuples sont les mêmes entre les citoyens et citoyennes d’un même pays, à cause de leur source commune, la domination. La différence est que ces problèmes sont, à des points, plus accentués quand l’autre n’est pas des nôtres. C’est une tactique de guerre. Ce que je dis vaut pour les peuples plus ou moins organisés non pas pour les hordes modernes. Elles ne forment pas une entité face aux autres.

Quels sont les auteurs du projet de gouvernement mondial? Les soldats de la paix. Ce n’est pas sérieux. Ce sont des marchands et marchandes d’illusion. Ce projet est de toute évidence la ruse du droit à la liberté dans la démarche de faire l’homme, domination ou enchâssement de tous par l’un.

La Voie Dessalinienne est la seule qui soit respectueuse des gens et par conséquent des peuples. Elle est la seule qui soit recevable.

Les gens et les peuples sont hautement menacés, la cruauté est à son plus haut sommet.

Il est URGENT de RÉTABLIR l’ADMINISTRATION IMPÉRIALE pour le SALUT des GENS et des PEUPLES

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines

Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

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