Message d’Anniversaire – 4. La Grande Fête de septembre a mis en relief le clivage entre les gens habitant le territoire d’Ayti

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 p = v © Tous droits réservés

Le mardi 20 septembre 2016,

Message d’Anniversaire – 4. La Grande Fête de septembre a mis en relief le clivage entre les gens habitant le territoire d’Ayti

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UN TERRITOIRE MAIS DEUX GROUPES DE GENS FONCIÈREMENT AUTRE : PEUPLE DE DESSALINES, PEUPLE LÉGITIME ET ENDOGÈNE VERSUS PEUPLE PARRICIDE ET EXOGÈNE

Commençons par le commencement. Le teint n’a pas de prise en matière de vivre. Par conséquent il est sans valeur d'ensemble, vraiment aucune importance en matière de vie collective. Ce qui importe en ce domaine, c’est la pensée. C’est elle, et elle seule, qui assemble. Pourtant, dira-t-on, la Constitution Impériale dit clairement que tous les gens, quel que soit leur teint, sont connus sous le vocable de « noir ». Cela n’est pas faux. C’est parce que le teint n’entre pas dans la mise en forme de la vie collective que Sa Majesté Jacques 1^er fait appel à l’appellation « Noir » pour désigner la Population Impériale. Le « noir » n’est pas une couleur mais le principe de couleurs. Le « noir », comme indéterminé, n’est pas un teint. C’est à sa neutralité, comme propriété cardinale, que fait appel l’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines. Le teint n’est pas le principe d’appartenance collective.   

Point n’est besoin de démonstration pour mettre en relief la présence d’un peuple étranger sur le territoire dessalinien. Nombreux sont-ils ceux et celles qui farouchement s’opposent à l’arrivée de Jean-Jacques Dessalines dans le monde à cause de Sa Mission, qui consiste à bouter la Louperie, prédation blanciste, hors de notre sphère existentielle au profit de la vie conforme à notre constitution interne, être en Soi, par Soi et pour Soi, ce qui est la mise en échec de toutes velléités prédatrices.  

Le peuple étranger naît du parricide du 17 octobre 1806, dont la cause est l’impulsion hommale blanciste en chacun de ses auteurs. L’objectif du parricide est la continuation des tentatives d’instituer la structure prédationnelle au sein de l’ordre négro-jelefween initiées par la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres.   

Ce peuple, qualifié d’exogène à cause de son enracinement, est divisé en deux catégories, les opposantes et opposants ouvertement à l’Ordre Divin, générateur de Jean-Jacques Dessalines, le Messie, et les opposants et opposantes aussi convaincus que les autres mais sous forme de renard. Les deux catégories de sous-mun, c’est-à-dire des êtres dégénérés, sont les enfants de la république, une horde. Cependant la lutte de pouvoir a donné naissance à un groupe renard qui, pour combattre l’autre, utilise sans éhontée la situation catastrophique du Peuple de Dessalines et du Grand et Distingué Nom de Jean-Jacques Dessalines pour renverser l’autre à son avantage.  C’est une tactique de guerre intestine. Cela remonte aux années 1843 - 1846 avec les présidents Charles Rivière Hérard et Jean-Louis Pierrot, des parricides qui recourent au Nom de Jean-Jacques Dessalines au bénéfice de leur ignoble cause. Aujourd’hui encore c’est la même cadence.

Il est urgent de dénoncer cette sordide et morbide manœuvre dans l’intérêt de l’Empire. Ces gens de basse naissance sont des ennemis féroces de l’Éternel Empire d’Ayti et la Famille Impériale parce qu’elle en est la garante depuis le 17 octobre 1806.

Que le Grand Peuple d’Ayti fasse preuve de prudence car ce ne sont pas tous les gens qui parlent de Dessalines, l’Enfant des Mornes Cahos, qui sont des enfants du Géniteur Institutionnel, soit l’Éternel Empereur, pour employer le vocabulaire de la Constitution Impériale.

Il y a deux points à souligner. Quand on œuvre au sein de la horde républicaine, on est sans l’ombre d’un doute parricide, c’est-à-dire assassin de Jean-Jacques Dessalines. Ça va de soi, on est l’ennemi de l’Invincible Général et Éternel Empereur. Cohérence oblige. On est forcément l’opposant, opposante, à la Victoire décisive et incisive de Dessalines, Invincible Général et Général à jamais Vainqueur, sur l’armée de Napoléon Bonaparte et de la Nation qui en résulte, Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, dont la Grande Mission consiste à faire, sur la terre, échec total-capital au deloko, déséquilibre holiste, au profit du loko, équilibre holiste, et ultimement à la Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu, soit Dieu Véritable, parce que, en tant que Principe-Producteur de l’Ordre du La, Il a produit Jean-Jacques Dessalines par le système de phénomènes positifs, autorégulation du La, le Grand-Tout dans ses relations d’interdépendance, qu’Il y a insérée. Pour cette raison, et c’est là le second point, une telle personne ne peut pas fêter la Naissance de Jean-Jacques Dessalines, une Naissance gênante pour elle. Même si elle voulait bluffer, son engagement politique lui serait un obstacle infranchissable. On ne peut pas être au service du prédateur et de sa proie en même temps car l’intérêt de l’un est antithétique à celui de l’autre.   

                                                                

Il n’y a pas de Dessalinité dans tout mouvement propre à la horde républicaine. Cette proposition est immuable.

La république n’est pas notre histoire et ne pourra jamais l’être. Notre Grande Nation voit le jour le 29 novembre 1803 par la proclamation officielle à la Ville de Dessalines, Quartier-Général de la  contre-guerre. Le discours du 1^er janvier 1804, qui fait référence à l’érection passée de la Nation d’Ayti, une autorité nationale, lequel discours que plusieurs appellent à tort l’Acte de l’indépendance, parle de « l’Empire de la liberté ». Dans la Constitution Impériale, rendue publique au printemps 1805 (le 20 mai), il est question de l’Empire d’Ayiti, sans ponctuation, soit de la Proclamation de la Naissance de la Nation à la rédaction du texte officiel. Il n’y a pas de temps non Impérial. La Constitution est claire là-dessus. Il faut ajouter à tout cela l’incessibilité de l’Empire. Alors il ne peut pas y avoir de Dessalinité en dehors de l’Éternel Empire, donc en dehors de Dessalines, et surtout pas dans la république naissant de la transgression de la loi fondamentale et se fondant par conséquent dans la Louperie, plus précisément dans l’idéologie esclavagiste, un attroupement à l'ombre du blancisme. Dans le cas contraire ce serait une contradiction dans les termes.

 Dessalines pi wrd !

Pour la Maison Impériale Dessalines

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans

7^e de la Génération du Couple Impérial,

Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines

Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme