Que les blancistes français et français luttent pour la levée du siège en Karukera car la Guadeloupe coloniale est morte et enterrée depuis le 21 octobre 1801
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ROBERT MÉNARD ET L’APPARTENANCE FRANÇAISE
Un autre qui n’a rien compris
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Ce matin, Robert Ménard a remis en cause le vivre-ensemble et prétendu
que la…
S’il en est ainsi, soyez cohérent. Combattez
du côté de la Résistance
« guadeloupéenne »
et les autres. La cohérence est une des propriétés de notre substance d’être.
En voici un autre qui
n'a rien compris de la vie collective politisée. Que c'est triste! Une leçon de
politique-pratique. La France, Robert Ménard, est une institution, laquelle est
formée de personnes ou de gens. La génétique est propre aux gens ou aux personnes.
C'est une réalité dite naturelle. Tandis que l'institution politique-pratique
est une réalité artificielle, c'est-à-dire inventée ou mise en forme par nous,
êtres pensants. Être français, française, relève de l'institution
(artificielle), soit une invention, logiquement cette appartenance n'a rien à
voir avec la génétique.
Cette conséquence en
entraîne une autre. Il s'ensuit que n'importe quelle personne, quelles que
soient ses caractéristiques biologiques observables, peut être membre à part
entière de la collectivité politisée.
L'appartenance à un ensemble politisé repose
uniquement sur le mode de vie et la loi qu'il se donne. Le mode de vie et la
législation constituent la substance artificielle de chacune-chacun. Il ne peut
pas ne pas en être ainsi parce que c'est une création artificielle. Les normes
ici sont instauratives.
Avec le déplacement des
gens le mode de vie a vu son poids considérablement diminué dans la
détermination des membres de la vie collective politisée au profit de la loi.
C'est finalement le pouvoir, fondement de la vie d’ensemble politisée, par la
loi, expression de sa volonté, qui énonce l'appartenance non la culture. La
collectivité politisée est alors composée de gens de diverses cultures mais
unis sous un seul pouvoir, celui du territoire. À ce sujet je vous recommande
la lecture de mon ouvrage: "Pour un Québec à son image ou de la société à
la république québécoise". J’y expose la théorie politique, la seule, qui
peut fédérer efficacement la diversité culturelle sur un même territoire.
Une chose à rappeler.
Au tout début de l’année 2011, je crois, le président français, Nicolas
Sarkozy, est allé en Karukera (la Guadeloupe). Dans son discours il a dit ceci:
"La Guadeloupe est française, ici on est en territoire français".
Point n’est besoin de dire que c’est fort. Je ne m'arrêterai pas sur le
caractère blanciste de ces paroles. Nous le savons toutes et tous que depuis le
21 octobre 1801 la Guadeloupe coloniale est morte et enterrée par la
proclamation de la Gwqmunité, appelée indépendance, de ce territoire et nos
Ancêtres Négro-jelefweens et Négro-jelefweennes qui y habitent. Un an plus
tard, en 1802, la jeune Nation Gwqmun est encerclée par la France sous l'ordre
du Premier Consul, Napoléon Bonaparte. Le siège de la Nation Gwqmunale dure
aujourd'hui encore mais cela ne peut en rien changer l'érection de la Nation
Karukera. La Nation est née une fois pour toutes. Point de doute, la France en
Karukera, l’ancienne Guadeloupe, est un pays envahisseur. La force ne fait pas
droit chez les autres.
Nicolas Sarkozy a dit
que la « Guadeloupe » occupée " était française". Alors
j'invite Robert Ménard et Charles de Gaulle, là où il se trouve, à se dresser
contre cette pensée, par l’application de leur définition "d'être français"
sur la Guadeloupe aussi, en exigeant la levée immédiate du siège sur Notre
Nation Ancestrale. Il y a deux raisons à cela. Tout d’abord Karukera est au
Masuana, continent appelé Amérique par l'envahisseur, et ensuite ses habitantes
et habitants, mis à part les colons, ne sont pas blancs.
Je lance un appel à
tous les Blancs-tout-court français, même les blancistes comme Robert Ménard –
une exigence de leur cause -, à lutter du côté de la Résistance en Karukera,
côte à côte avec Éli Domota et le Grand Peuple pour le retrait immédiat et
inconditionnel de la France d’un Pays Gwqmun. Je suis confiant de votre
SOUTIEN.
J'en profite pour
souhaiter, à l'avance, BONNE FÊTE DE LA GWQMUNITÉ, le 21 octobre qui s'en
vient, à tous les ENFANTS de NOS ANCÊTRES de Karukera.
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques
Dessalines et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire
Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la
politique, notamment du blancisme
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