Du côté des Ancêtres ou du côté du blancisme

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 r =  i © Tous droits réservés

Hier l’opération de camouflage

par les irréductibles libres était aussi sur le terrain. 

 

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Malgré la grande mobilisation du Peuple Impérial, en ce mercredi 17 octobre 2018, le succès est mitigé car les dangereux séides du blancisme, les irréductibles libres, teints foncés comme teints clairs, par lesquels le blancisme, particulièrement, Napoléon Bonaparte et sa gang, la France, est rentré comme maître sur le Territoire Ancestral, ce qui est strictement et irréversiblement interdit par l’Ancestralité et la Constitution Impériale, ont réussi à porter en avant de la scène le faux problème du Petro-caribe et du teint.

Cbc, m nq dcgucn yo. Yo se torti, yo pote ku yo vini. Lr brf di, li ap sal savqn, se bunda l li ap sal.

Cette bataille est gagnée d’avance, sans nul effort en plus, parce que la tactique de détournement de la colère du Peuple Impérial du vrai problème, celui du retour physique d’une tête, en essence ange de la mort, à jamais proscrite, le blancisme, au mieux, sa représentante, la France, racaille de la racaille parce que vile et aussi irrécupérable, est du bouillon réchauffé, mqje kuhe. Il en est largement question dans les textes officiels précédents, surtout le dernier. Si ces êtres plus que monstrueux persistent dans la voie identifiée, dénoncée, jugée et éternellement condamnée, c’est qu’ils sont dans une voie sans issue, un no way out. Cela s’explique par leur incapacité de faire usage de leurs facultés pour la bonne et simple raison qu’elles ne sont pas djqm. Faute d’usage et partant asséchées, elles sont ankylosées. Il faut être alerte d’esprit, pour ce qui est des hommes, des êtres extrêmement bas, et exact-e-s de b⊗nqy, pour les êtres supérieurs, pour livrer bataille parce qu’il faut s’adapter à chaque nouvelle donne. Les gens de faculté de penser désertique, comme les irréductibles libres, n’y ont pas leur place. Ils perdent d’entrée de jeu.

Le problème

Le blancisme et son cheptel, les tubabu, ne savent ni courir ni se cacher. Cela résulte, sans doute, du caractère brut de leur être, soit sans finesse de la négro-jelefweité, un des modes d’être évolués de l’ordre du Nous, le lakort munal. En effet tout jeune j’ai appris de mon cousin, qui est aussi mon père adoptif, malheureusement décédé l’été de l’année dernière – j’en souffre terriblement car l’arbre familial contre lequel je prenais appui pour supporter les autres pertes s’en est allé, lui aussi -, que certaines douleurs ne sont pas des maladies mais l’effet de celles-ci. Il m’a donné l’exemple de la fièvre. De tout ce que j’avais appris de mon cousin, papa Gérard, la question de cause à effet a eu une grande influence sur moi au point qu’elle m’a déterminé à être ce que je suis aujourd’hui, savant et Sa Majesté Le Prince. J’ai cherché constamment le principe à conséquent dans les choses. C’est une inclination en chacune-chacun mais elle peut être abasourdie par une mauvaise éducation et surtout certaines fréquentations, telle le blancisme. Cet effet n’est pas une fin en soi, il vise à limiter les victimes à répéter fidèlement les autres, surtout comme un perroquet, et à s’y complaire; ce qui est alors renoncer à soi-même au profit d’un autre que soi. Ce mal a profondément atteint les irréductibles libres, dont plusieurs aiment à se nommer « intellectuel-le-s, un mot, paraît-il, ronflant.  

Quel est le problème auquel nous faisons face dans le monde négro-gelefween et particulièrement en Ayti? Après avoir combattu, sans relâche, durant trois siècles consécutifs la vermine la plus virulente de la planète, le blancisme, ici représenté par la France, nos Ancêtres, des êtres exceptionnellement enraciné(e)s en eux-mêmes, l’ont finalement vaincu avec fracas et panache par l’indescriptible Génie de l’Enfant des Mornes Cahos et élevé pour la Cause par Agbawaya Toya, l’Amazone. Cette Victoire incisive et décisive du Super Soldat, l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, l’Immensité, sur ce qu’il y a de plus grand dans le blancisme, Napoléon Bonaparte, une exiguïté, face à la négro-jelefwéité, les irréductibles libres, des attaché(e)s inconditionnels du blancisme par leur lien à la France, se sont joyeusement prêtés aux manœuvres sinistres de Napoléon Bonaparte, faute de pouvoir l’affronter directement et le vaincre, en l’assassinant par empoisonnement au profit du rétablissement de la colonie de Saint-Domingue, par une sorte de prête-nom, un nom de camouflage, soit la république d’Haïti, avec, pour récompense, un poste clé, la direction et l’indépendance du gouvernement, le moyen par lequel ils comme elles pourront s’enrichir, ce à quoi s’opposait Sa Majesté Jacques 1^er.

Ainsi le gouvernement colonial a une fin extérieure, faire la richesse des libres. Cependant les racines de la finalité d’une chose lui sont intrinsèques. En d’autres mots, dans la colonie républicaine d’Haïti, on ne gouverne pas pour gouverner mais pour faire de l’argent.

Allons plus loin dans la chaîne. On ne collabore pas au retour de la colonie de Saint-Domingue sur le Territoire de l’Empire ni n’œuvre à son maintien pour le simple plaisir de le faire mais pour ce que cela rapporte en richesse.

Par quel moyen? Par toutes sortes de moyens, y compris le vol. La logique de la chose coloniale républicaine est à l’origine d’un principe clé : « Voler l’État n’est pas voler ».

Alors faire du petro-caribe un problème, c’est tout ignorer du principe à conséquent ou de n’avoir aucun sens logique, le désert.   

Les conséquences du Crime, le 17 octobre 1806

« Et toi, peuple trop longtemps infortuné (...), si jamais tu refusais ou recevais en murmurant les lois que le Génie qui veille à tes destinées me dictera pour ton bonheur, tu mériterais le sort des peuples ingrats. Mais loin de moi cette affreuse idée. » Le Crime, le 17 octobre 1806, est l’une des transgressions majeures, et il ouvre la porte au plus grand fléau qui ait jamais frappé la terre, le blancisme. Nos Ancêtres en savent quelque chose. La transformation de notre espace en zones de turbulences est instantanée et depuis elles s’abattent sans répits, et de plus en plus nombreuses et dévastatrices, sur les gens. Plus ça va, plus ça s’empire. Le blancisme, dans son programme d’eliminrgyo, inscrit même votre suppression physique globale. Les preuves sont éclatantes.

Que vous y croyez, que vous n’y croyez pas, cela n’a aucune importance. L’intervention de votre « moi » n’est pas requise. Ce qui doit se faire se fera. C’est aussi simple que ça.

Les agents de la colonie haïtienne républicaine, les irréductibles libres, n’étant plus, en acte, doués de capacités dites supérieures - ils sont frappés d’un état d’esprit désertique -, sont inaptes à y lire le principe de causalité. Cela n’y change rien, ce sont des animaux sommaires.

Dans un tel contexte, comment peut-on être contre le Crime et s’opposer à l’enrichissement par le pouvoir, un trait fondateur de la république ? Il faut bien comprendre une chose. Rejeter le Crime, c’est être à l’antipode de la colonie républicaine, à l’extérieur du camp des parricides et du blancisme. Vous êtes leur adversaire et leur ennemi. Cependant vouloir stopper l’enrichissement par le moyen de gouverner, y faire régner un ordre contraire et contradictoire, c’est être à l’intérieur de la république colonialisée. L’affaire est gravissime, voire vertigineuse, car c’est se trouver dans un bourbier de contradictions irrelatives. Ce qu’il faut comprendre ici, c’est qu’on ne peut pas être pour et contre sous le même rapport. Ou bien on est adversaire de Dessalines, par conséquent on peut agir sans contradiction aucune à l’intérieur de la colonie républicaine – et même proposer des changements mais non fondamentaux ; ce qui détruirait la république colonialisée elle-même – ou bien vous vous opposez au crime fondateur de la colonie républicaine, partant vous ne militez pas dans la république. Vous allez à la rencontre de votre Pays, qui est l’Empire.

Il est important de savoir que si l’on veut imposer une façon de faire autrement, on agit à l’intérieur de la république, source de tous les maux. Ainsi, au lieu de résoudre les problèmes, vous les maintenez et les multipliez parce que « le-sort-des peuples-ingrats, qui n’est pas une supposition mais une réalité évidente, ne vous laisse aucune chance.

Quoi faire ? Est-ce un cul de sac ? Certainement pas. Jean Jacques Dessalines lui-même dit quelle attitude prendre : « Tu seras le soutien de la liberté que tu chéris, l'appui du chef qui te commande ». Cela signifie : rester à l’intérieur de l’Empire, Pays érigé par nos Ancêtres. Alors l’’Empire est et reste la SOLUTION.

Votre avenir est entre vos mains, cela est un trait de la Dessalinienne. Si vous êtes sensationnaliste, c’est-à-dire aimer vous plaindre, traîner, voir les gens souffrir, dépérir et ronger par la misère, vous enrichir au dépens des autres et écrabouiller ceux et celles qui ne sont pas comme vous, la colonie républicaine haïtienne est votre pays. Vous acceptez tout. Bluffent ceux et celles qui parlent de changement, à moins que cela veuille dire : « je veux mon tour ».

Aussi le problème n’est pas voler l’État ou petro-caribe mais la république d’Haïti, une colonie blanciste.

Il n’est plus possible de détourner l’éveil du Peuple Impérial. Les choses ont bien changé.

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti : 

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7^e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.

lekbaogfweda@gmail.com