LA RÉPUBLIQUE D’AYTI ENFIN DÉMASQUÉE, QUELLE JOURNÉE, CE MERCREDI 17 OCTOBRE 2018.

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 r =  h © Tous droits réservés

LA RÉPUBLIQUE D'HAÏTI ENFIN DÉMASQUÉE, 

UN POINT DE NON-RETOUR.

 

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Aux pas alourdis sous le poids de plis sans nombre, les vieux rats, boudés par les ratières, en somme, par tous les pièges à rats, faute de jus, sortent de leurs trous pour porter secours au blancisme en racontant leur vielle bourde qui a permis au plus grand Mal qui soit de retarder les Bras suspendus du Peuple d’Ayti, Peuple Impérial, Peuple Ancestral, Peuple de Dessalines.

Quant aux histo-à-riens, ils n’arrivent pas à contenir leur rage car le voile s’est levé sur leur travail de camouflage.

L’appellation de république d’Haïti est, a été et sera un leurre. Dès le départ elle a servi à camoufler la dénomination véritable du pays qui a vu le jour le 17 octobre 1806, soit « Saint-Domingue », la partie française, ce qui est, en fait, le retour à la colonie  française.

Napoléon Bonaparte, le lâche par excellence, petit de chien de Jean Jacques Dessalines, s’est, par l’intermédiaire de ses espions qui sont entrés au Pays d’Ayti sous de fausses nationalités et aussi comme colons, servi d’Alexandre Pétion pour « reprendre le territoire » de nos Ancêtres.

Sous l’ordre de Napoléon le choix d’Henri Christophe, le parricide, est annulé. On avait besoin de son aide uniquement pour la première phase de l’opération.

Durant la guerre le général Jean-Louis Ferrand de la Dominicanie, qui avait la mission de faire échec à l’indépendance, a menacé d’attaquer Christophe pour empêcher la partition de la colonie retrouvée. Alexandre Pétion et sa gang le lui ont déconseillé parce que cela annulerait la réussite du Crime, le 17 octobre 1806.

Furieux, à cause de cela, Henri Christophe a porté la chose, le retour à la colonisation qu’implique l’assassinat physique de Sa Majesté Jean Jacques Dessalines, sur la place publique. Comme il y est impliqué, lui aussi, et poussé par son ambition de gouverner, Christophe l’a avoué sous forme de vérité tronquée, soit la mise en relief de l’implication française. En somme Henri Christophe n’a pas tout dit en vue de ses intérêts.   

Sous le régime de Jean-Pierre Boyer, la France, contrainte par le réalisme politique, a fait un faux pas en faisant signer un document sous le nom véritable de la colonie retrouvée, « la partie française de Saint-Domingue ». L’intention de la France était d’amener petit à petit le fait au grand jour pour qu’il soit accompli. Et cela a mal tourné car la vérité s’est révélée au sein des militaires en service comme des militaires retraités.

La colère a vite gagné plusieurs d’entre eux et ils préparaient, sans perdre de temps, une riposte contre le pouvoir colonial. Mais tout était en place du côté de la colonie, comme au jour de l’assassinat physique de Dessalines, les militaires de l’armée coloniale que dirigeait Boyer les assassinaient avant même qu’ils aient le temps de frapper.  

Plus tard c’est le Peuple Impérial, appelé sottement « classe paysanne » par les histo-à-riens, qui, après avoir appris, par la publication du texte appelé code rural de Boyer, que la France dirigeait le fruit de leur travail pour son propre bénéfice, accéderait à la réalité coloniale. Aussitôt monte son Dessalines et il marche sur le pouvoir colonial.

Mais les noir-e-s libres, qui sont aussi dans le coup de Napoléon Bonaparte, s’empressent de prendre le contrôle du mouvement de debuwe, soit expulser le Mal à jamais vaincu, pour les convaincre du contraire et rejeter le blâme sur Jean-Pierre Boyer. Ainsi Jean-Pierre Boyer, qui ne vaut plus rien, est sacrifié au profit du maintien de la colonie.

Depuis lors est mise en place par la France, à travers la classe des libres parricides, une littérature d’opacité. Heureusement elle arrive difficilement à biffer la vérité. Ces gens, qui sont au service de la France, depuis deux-cents-douze ans, au détriment de nos Ancêtres, sont des êtres indiciblement ignobles et des criminel-le-s de premier ordre.

Le gouvernement colonial haïtien leur rapporte beaucoup et, en plus de cela, ils espèrent un jour serrer la main à des blancistes, les dieux sur terre pour eux.

Imaginons que la victoire, remportée sur la France et les parricides en chef de la colonie républicaine par nos Ancêtres, le Peuple Impérial repoussé vers l’arrière-pays, n’était pas volée par les noir-e-s libres, tels que Jean-Jacques Acaau, Salomon, Philippe Guerrier, Pierrot et compagnie, et que l’Empire d’Ayti aurait retrouvé son Administration combien NOTRE PAYS ET NOS GENS, cela veut dire nos familles, seraient BIEN au moment où j’écris ces lignes.

Il a fallu, pour que nous soyons dans cet état déplorable aujourd’hui, que ces supporters de la colonisation, des gens sans nqnq, se fassent passer pour des nôtres et qu’ils détournent une fois notre victoire. Cela a permis à l’épidémie, la blancismesque, de régner deux-cents-douze ans sur le Territoire Impérial.

Heureusement aujourd’hui cela n’est plus possible. L’Empire est depuis toujours porté par son Peuple et il vient de se donner une Administration, il y a de cela deux ans aujourd’hui, jour pour jour, 17 octobre 2016 – 17 octobre 2018.

J’allais oublier. Les défenderesses et défenseurs de la colonie républicaine, Haïti, sont mobilisés et ils viendront vers vous pour solidariser avec vous mais dans l’unique but de bloquer votre éveil pour un autre deux-cents-douze ans. Ils ne comprennent pas et ne comprendront jamais, à cause de leurs facultés de domestique, des capacités naines, que le Nègre et la Négresse, par le Dessalines en eux, sont en tous points GWQMUN.   

  

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti : 

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7^e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.

lekbaogfweda@gmail.com