Peuples de la terre, soyez informés de ce qui se prépare au Canada, plus précisément au Québec


La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 r =  f © Tous droits réservés

Peuples de la terre, soyez informés de ce qui se prépare au Canada, plus précisément au Québec, par une frange importante de la population.





 
 PARTAGER MASSIVEMENT


q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é

À la défense des peuples persécutés
Ou contre le Devoir et Jérôme Blanchet-Gravel

Le lien du texte publié par le Devoir :



C’est franchement irresponsable de la part du journal le Devoir que de prêter, en toute connaissance de cause, ses tribunes à des agents de la violence. Quelque chose de gros et de monstrueux se prépare ici, l’annonce en est fait sans détour.

Le pays que nous habitons nous est présenté comme déjà en guerre, un lieu de grandes secousses et turbulences :
« Si l’État était autrefois parvenu à unifier le corps social, dit l’auteur, voilà qu’avec le concours du libéralisme, le multiculturalisme revient en arrière en le divisant en plusieurs factions antagonistes. »
« Le multiculturalisme comme idéologie par excellence du morcellement territorial».
« Thomas Hobbes aurait perçu dans le triomphe du multiculturalisme un retour à l’état de nature replongeant l’Occident dans l’esprit du bellum omnium contra omnes [la guerre de tous contre tous]. »
« … l’engagement de la Coalition avenir Québec d’interdire le port de signes religieux ostentatoires pour les juges, les policiers et les enseignants
» « Thomas Hobbes aurait appuyé le premier ministre François Legault dans l’optique de préserver la paix sociale au Québec.
Thomas Hobbes parle d’un état de nature méthodique, savoir que rien de tel ne s’était passé, alors que l’auteur de l’article traite d’une situation réelle et bien située qu’il compare à la fiction méthodologique. Il y a identité entre la méthode et ce qui se passe présentement ici, selon l’auteur. Ce sont des paroles qui donnent le frisson parce qu’elles annoncent une attaque d’envergure contre les non blancs. Ce sont les gens pour lesquels la présence des non « occidentaux » au pays est considérée comme dérangeante qui sont en guerre et qui attaquent. Ces propos viennent d’eux. « La paix sociale au Québec » sera « préservée » s’ils obtiennent satisfaction. « Aujourd’hui, c’est grosso modo ce que souhaite la Coalition avenir Québec, soutient l’auteur.» Une seule partie est en guerre. Nous sommes dans une situation où il y a un seul belligérant, rien qu’un, l’agresseur, et c’est lui qui parle de « paix ». Voilà le conte « Le Loup et l’Agneau» ! Et c’est l’essence de ce qui s’appelle la Louperie, prédation blanciste.  Ce texte a tous les ingrédients pour renforcer les gens dans leur inclination guerrière et soulever ceux et celles qui traînent les pattes. Un appel clair à la violence.


Y-a-t-il une autorité dans ce pays? Je l’ai dit : le blancisme est une guerre raciale.  

L’exploitation de la philosophie politique de Hobbes
comme support à la violence
Il ne fallait pas faire appel à la pensée philosophique de Thomas Hobbes pour justifier la persécution, l’agression, le rejet, bref, la haine de l’autre. Il y a d’autres moyens disponibles et ils sont très efficaces sur le terrain. La philosophie est comme une patinoire, il faut maîtriser l’Art pour s’y engager. Tout mauvais usage d’une science ou d’une pensée, surtout dans le cas qui vous concerne, met, à coup sûr, en échec l’effet perlocutionnaire.

La question d’état de nature, chez Hobbes, ne peut être d’aucune utilité dans un contexte de communautés culturelles, un phénomène généralisé, le nouveau visage de la planète des peuples. Tout d’abord l’hypothèse du philosophe anglais vise à fonder le libéralisme. Il y a deux points essentiels dans cette démarche : 1) une anthropologie de droits, 2) l’avènement du pouvoir. Le premier point met en scène la multitude informe, des hommes foncièrement individuels et partant disparates parce qu’ils agissent sous l’impulsion de leur élan vital. L’absence de dimension universelle laisse tout l’espace à la puissance de celui-ci et cela débouche forcément sur l’état de guerre, tous contre tous.

Comme un tel état s’oppose au mouvement vital, premier droit de l’homme, soit l’individu, par le langage, qui est l’apanage de l’homme, et précisément l’une de ses caractéristiques, qui est l’appréhension de l’avenir, les individus, qui sont des égales et indépendantes libertés, parviennent à penser une manière d’être dans le monde contraire à celle de la nature. C’est la création du pouvoir, lequel, parce qu’il est une dimension universelle artificielle, les rassemblera en un seul corps, bien sûr par la loi mais très peu de lois, afin qu’ils puissent répondre, par une activité économique abandonnée à eux-mêmes, aux exigences de l’élan vital. Ils pourront s’enrichir, certes, mais on doit plafonner les richesses dans le but de conjurer tout risque de retomber dans l’état de nature, dont la guerre généralisée est le rendez-vous immanquable.

Voilà la pensée politique du philosophe anglais! Tout ce qui traîne autour d’elle est prétexte et camouflage. La préoccupation de Hobbes est le fondement et l’épanouissement du libéralisme naissant car il est et reste la finalité de sa philosophie. Parler de Hobbes, c’est y référer. Pour le reste, c’est une exploration d’agrément.

La durabilité est d’une nécessité dessalinienne, au plus haut point, pour Hobbes. L’auteur la fonde dans un État extrêmement fort. Tout tourne autour du pouvoir, socle de la vie-collective-politisée, il doit être souverain. La souveraineté du pouvoir, dont Jean Bodin est à l’origine, trouve son accomplissement sous la plume de l’Anglais. Elle est la garante de la durabilité du contrat social et partant du maintien du libéralisme, espace exclusivement réservé aux individus, donc les hommes. Le sexe n’entre pas en ligne de compte, faut-il le souligner. Le mot homme signifie animal doué de langage.

Si l’on veut entrer Thomas Hobbes dans cette guerre larvée, il faut se reporter à ce point de doctrine, savoir la souveraineté du pouvoir. La doctrine du pouvoir hobbienne structure la société en deux constituants. Le premier est le caractère central du pouvoir, le second est la soumission inconditionnelle et sans réserve au pouvoir. Il y a un lien de dépendance linéaire non réciproque entre les deux. Le peuple doit pleine obéissance au souverain.

La situation au Québec
Pour accéder à l’intelligence de l’utilité de la doctrine philosophique de Hobbes sur le terrain canadien-français québécois, à l’heure qu’il est, voyons l’état des choses.

Il n’est pas possible d’intégrer le contexte multiculturaliste dans l’état de nature méthodique Hobbien; premièrement il ne s’agit pas d’un monde d’individus ni de communautés sans lien, si faible soit-il, au mieux, secondaire certes, entre elles; deuxièmement il y a un pouvoir qui prend en charge tous les gens vivant sur le territoire. Par la loi il devient la dimension universelle artificielle de tout le monde, leur universel social.

Il y a plus. Les cultures ne sont pas livrées au caprice ni à la folie furieuse du pouvoir. Comme on le sait déjà, les déplacements et les établissements des gens, sur la terre, se font, d’un bout à l’autre, à l’intérieur d’un cadre fixé par la loi internationale. Ce ne sont pas des individus livrés à eux-mêmes qui quittent tel endroit pour aller s’établir dans tel autre mais des gens déjà inscrits dans une structure de sens, c’est-à-dire un pays ou une nation, une certaine façon de se situer dans le monde. C’est pourquoi il faut un passeport. On part et on est accueilli(e) à l’intérieur d’une structure en tant qu’être déterminé.

Le mensonge de l’auteur de l’article
Alors, contrairement à ce que dit l’auteur, « le multiculturalisme » ne « morcelle » rien du tout. Tout est et reste structuré. Le multiculturalisme fait plutôt voir des gens d’une grande diversité implantés dans une seule et même structure. Celle-ci est visiblement à l’image de l’ordre du Nous et la planète terre. Je comprends bien que pour qui n’est pas de la terre et qui ne connaît pas cette éclosion de teints, de mœurs, de pensées, de tailles, etc., cela peut étonner et déranger si c’est une créature à sens unique ou unicellulaire. C’est un fait presque banal pour les habitantes et habitants de la terre car le fait même de vivre en groupe ou en collectivité est un apprentissage de diversité en tout. Il n’y a là rien d’étonnant. Nous ne sommes pas des jumeaux et des jumelles identiques en tous points.

L’ordre intégré
Pour en revenir à l’ordre en vigueur sur la planète, il faut ajouter, à ce qui vient d’être dit, le risque d’isolement sur le plan diplomatique et culturel, puis de sévères sanctions économiques en cas de persécution raciale, culturelle ou politique. Il y a aussi un tribunal pénal international et une prison du même genre. Ces institutions ne sont évidemment pas en fonction présentement mais il y a un sérieux effort pour régulariser les choses afin d’aller chercher même ceux et celles qui ont bloquées leur fonctionnement en détournant l’objectif en leur faveur. L’effort, faut-il le souligner, ne vient pas des dirigeantes et dirigeants politiques mais des peuples mêmes.

Ce qu’il faut retenir dans tout cela, la circulation des gens sur la planète est réglée par un pouvoir, donc une autorité. On est loin de l’état de nature entre les individus. Le constat rapporté dans le texte du Devoir est mis en échec par la philosophie politique de Thomas même. Il est clair pour Hobbes, tout est tel qu’il se doit.   

Thomas Hobbes, en plus d’un état de nature entre les individus, parle aussi d’un état de ce genre entre les nations. Le droit international, qui est certes à corriger pour y supprimer les traces des prédateurs et prédatrices blancistes, a fait échec à un tel état de nature. Il s’ensuit que « l’immigration », « le multiculturalisme » et « le port de signes religieux ostentatoires pour les juges, les policiers et les enseignants» se situent hors du champ d’intérêt de l’auteur anglais parce que les particularités sont insérées dans un ordre, sous l’autorité du pouvoir.  Il faut entendre par-là que le pouvoir sait au préalable qu’il recevra des citoyennes et des citoyens, des gens déjà définis, non pas des libertés absolues.  

L’auteur, qui, de toute évidence, a une vague notion de la pensée politique hobbienne, ose affirmer ce qui suit dans le texte : « La pensée hobbesienne permet d’entrevoir la faillite du multiculturalisme, dans la mesure où ce dernier mène à la fin du contrat social, c’est-à-dire d’une société fondée sur l’adhésion commune à des principes universels ». Tout d’abord « Des principes universels », qu’est-ce que c’est que ça? Ce sont là des termes vides de significations. C’est propre à rien, si ce n’est à camoufler l’intention véritable de la politique, soit théorie et pratique. Revenons ensuite à la proposition elle-même. Elle fait voir la société politique comme quelque chose de fermé. Ce n’est pas une secte ou une organisation de type franc-maçonnique que le philosophe anglais est en train de monter. Il n’est pas question d’homogénéité dans le travail hobbien mais d’absence de conflit entre les individus pour pouvoir produire des biens sans risque de les perdre un matin. On ne voit pas en quoi le multiculturalisme y est en contradiction. C’est tout à fait le contraire. L’expérience nous apprend que le multiculturalisme est foncièrement concordant parce que ce sont les communautés culturelles qui sont, à sens unique, victimes des attaques constantes des indésirables Canadiens-français québécois et Canadiennes-françaises québécoises. En plus de cela le fait que le nombre de lois doit être limité et que le commerce est confié aux individus sans ingérence du pouvoir fait montre de la pluralité de manières peuplant la vie quotidienne des citoyens et citoyennes de l’État hobbien. Qu’on laisse en paix l’auteur du Léviathan.

La doctrine du pouvoir hobbienne est antipodique à l’intolérance primaire dont font preuve ces êtres difficiles à nommer. Dans l’État hobbien ils seront, « pour la paix sociale » contraints de se plier à la volonté du Léviathan, qui est l’ordre existant, tel que je l’expose ci haut. Hobbes n’est pas leur ami mais leur opposant parce qu’il a horreur du désordre dont pourtant ils sont l’auteur.

La preuve que ces êtres sont des agents de désordre, rien de plus, est l’interdiction du « port de signes religieux ostentatoires pour les juges, les policiers et les enseignants ». Quelle en est l’utilité? « Ne dit-on pas que l’habit ne fait pas le moine » et que « l’apparence est trompeuse ». En clair ce que l’on porte ne compte pas car il peut être en rupture avec ce que l’on est intérieurement. Autrement dit, ce qui importe, c’est ce que l’on est intérieurement. Ce n’est pas avec l’habit que l’on travaille mais avec la pensée. Celle-ci a trouvé l’emploi mais pas le voile. Il chôme pendant que l’intérieur fait le boulot. On n’a pas de contrôle sur la pensée, il est impossible de l’attaquer. On s’en prend à l’autre par l’extérieur, inoffensif et insignifiant, En somme le dérangeant est l’autre en soi. C’est lui que vise directement l’attaque. Voilà le sens de l’interdiction, quelque chose d’inacceptable.




S’il y a un état de nature réel au Québec, il est initié par les intolérantes et intolérants canadiens-français. La pensée politique de Hobbes le condamne haut et fort parce qu’il est un obstacle majeur au progrès.
Ces esprits de contradiction
La plus part de ces êtres d’une espèce indéterminée qui circulent en toute liberté sur notre planète s’en prennent aussi à leur religion. Pourtant ils sont aussi intolérants que les gens d’église, leurs aînés, et sur les mêmes points, puis de la même manière. Ils sont des jumelles et jumeaux identiques. C’est la religion après la religion, une situation circulaire. 
Le Canada et la loi
Il est un fait irréfutable que le Canada, particulièrement, le Québec, une de ses provinces, favorise un laxisme effarant dans le respect de la loi. La loi, dans leur esprit, c’est pour les autres. Celles et ceux qui la font comme ceux et celles auxquels elle est destinée ne la respectent pas toujours, ce en toute conscience. En sus leur conscience de citoyen ou citoyenne n’est pas le moindrement troublée. Il résulte de cela qu’ils ne sont pas encore sortis  de l’état de nature. C’est pour cela qu’ils peuvent se permettre, sans soucis aucun, de s’y référer publiquement comme lieu d’action légitime. Ne parle-t-on pas de « préserver la paix sociale au Québec » en dépouillant les autres de leur mode d’être dans le monde et « du multiculturalisme » comme « un retour à l’état de nature replongeant l’Occident dans l’esprit du bellum omnium contra omnes [la guerre de tous contre tous].. » Parler en ces termes comme se comporter en agresseur quand on vit dans un ordre politique, c’est contre-Hobbes. Ces paroles annoncent clairement une attaque d’envergure prochaine contre les non blancs.

Appel aux peuples
Que les peuples de la terre se préparent à recourir aux mécanismes légaux nécessaires - là où la loi est faible, qu’ils la renforcent -  ainsi qu’à d’autres moyens dérivant des relations internationales pour imposer, au désavantage du banditisme-légal qui s’est installé au Québec blanciste, le respect de l’ordre national et de l’ordre international à la frange canadienne-française québécoise qui se comporte en commandos de terroristes sur notre planète, dont les Négresses et Nègres sont les indigènes. Si un vote pour François Legault et la CAQ n’est pas un vote pour un bon gouvernement, qui assure les nécessaires au peuple, mais pour l’oppression politique, culturelle et raciale, le Québec, aussi le Canada, est basculé dans l’intolérance primaire, un état de nature non méthodique mais effectif appelé état de savqn. Alors les peuples doivent être prêts à aller jusqu’à la mise sous tutelle de la province, le Québec, et tout ce qui s’y rapporte, pour le bénéfice d’une vie tranquille, soit le respect mutuel.

Pour éviter tout cela, les indésirables canadiens-français québécois et canadiennes-françaises québécoises peuvent et doivent être expulsé(e)s du territoire canadien, terre des autochtones, parce qu’ils ne sont pas enracinés ici. Le chemin du retour meurt d’impatience de les accueillir.   
Je ne veux pas de désordre autour de moi ni sur le territoire qui est le mien.

Je vous invite à lire ce livre, il y a des exemplaires à la bibliothèque nationale du Québec :
Pour un Québec à son image
Ou de la société à la république québécoise
ISBN -2 – 9801302-2-2
LOF (Lekba/Ogu/Fweda) Montréal Québec 1990

Ce texte officiel est envoyé aux autorités compétentes fédérales et provinciales, il leur revient légalement d’assurer la sécurité des minorités.
Le lundi 15 octobre 2018
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti : 
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.


Commentaires

Unknown a dit…
C est bien dit il faut toujours denonver l intollerance de ses gens
C'est vrai, si on ne le fait pas ils comprendront qu'ils sont dans leurs droits

Posts les plus consultés de ce blog

Le Pays ďAYITI, dont le Nom est l’Empire ďAYTI, Est Seulement et Uniquement Ancestral

Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D'Orléans Charles Jean Baptiste

Le message du 1er janvier 2016 Par Le Prince de l’Éternel Empire de Toya-Dessalines, HRH Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans, Pour l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines