ALERTE, ALERTE, ALERTE GÉNÉRALE ! S’INTENSIFIE LA MENACE INDICIBLE CONTRE LA POPULATION NÈGRE DE LA PLANÈTE
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole
7 – 7 -h = ©
Tous droits réservés
q = an, u = ou,
w = r, r
= ê, c = in,
h = ch, e = é,
w = r, r
= ê,
= ê, c = in,
h = ch, e = é, Ä = on, = ñ
Décret0007Position2442023000
ALERTE, ALERTE, ALERTE GÉNÉRALE !
S’INTENSIFIE LA MENACE INDICIBLE CONTRE
LA POPULATION NÈGRE DE LA PLANÈTE
L’Éternel Empire ďAYITI face à la république du 17 octobre 1806, pays des libres :
Non-intervention : il s’agit d’une affaire interne,
Non-désintéressement : cela se passe sur notre Territoire, exclusif, et la république est, certes, minoritaire en nombre, mais la vaste majorité d’entre eux sont nos gens, qui s’y trouvent par un subterfuge du blancisme, conduit par les libres.
Selon les histo-à-riens, la république d’Haïti est le fruit d’une guerre opposant les Français intransigeants aux libres, dont l’objectif est l’accession de ces derniers à l’humanité. Il faut y comprendre qu’ils se sont donnés au blancisme. C’est le point fondamental.
Pourtant ce point retient un élément important, il ne fait pas voir la dualité du groupe des libres concernant la guerre. En effet, une partie d’entre eux est prête à garder la situation telle quelle car, pour elle, la pleine satisfaction est secondaire. La guerre alors est inévitable seulement pour le reste, tenant à un meilleur traitement. Ce sont eux, s’il faut croire les histo-à-riens à ce sujet, qui entonnèrent la Marseillaise. En dépit de tout cela, ils appartiennent tous et toutes à la blancismité, leur être artificiel.
La fin de la guerre a conduit à la naissance de la république d’Haïti. La victoire, si l’on reste à l’intérieur du cadre des histo-à-riens, n’a, de toute évidence, pas mis fin à la situation binaire, dur et moins dur, dans l’acte d’asservir comme le laisser-aller et absence de limite car aujourd’hui encore il y a, toujours dans la république du 17 octobre 1806, des citoyennes et citoyens qui obéissent à tout, vraiment à tout ce que désire le blancisme, alors que l’autre partie continue de lutter pour être traitée autrement, comme chez soi. Mais ils sont traités selon leur être construit par le maître, une partie du soi de celui-ci et ce qu’il en reste de leur soi auquel ils ont renoncé en cédant à ľhommalité blanciste, le sol, la terre sèche. Cela permettrait une circulation fluide, sans que le blancisme ne marche sur leurs pieds.
Cela donne l’impression qu’il y a une opposition au blancisme dans la république du 17 octobre 1806. Tel n’est pas le cas. Le blancisme est la maison de la république. Il faut entendre par là qu’elle y fait partie intégrante. Tous les libres sont générés par la substance du blancisme, laquelle est une et invariable. En d’autres termes, c’est une pâte de la même farine. La différence entre eux est dans le degré que ľhommalité, principe du blancisme, a atteint en chacune-chacun. La proximité des degrés est à l’origine des deux clans. Les degrés ne sont pas non plus égaux en toutes et tous par clan. C’est une question de proximité d’extension. Ce qui se passe dans la république du 17 octobre 1806 en est l’effet. Il en est ainsi et il en sera toujours ainsi, lieu de tous les conflits. Aucun changement n’est à espérer car ľhommalité en est la base. Ils sont un, l’unité blanciste est conforme à sa nature. Ils appartiennent tous et toutes à l’arbre blanciste, qui est la blancismité.
Entre les libres aussi, c’est l’état de nature, soi et soi seul, tout pour soi, rien pour les autres, ce qui s’appelle kuku. Il en résulte un jeu de mort. Le dualisme n’en est pas la cause mais il y participe accidentellement par le jeu des alliances. Ce qui n’est pas une organisation proprement dite. Le blancisme a produit quelque chose d’identique à sa nature. En d’autres termes l’origine de l’état conflictuel est leur point d’unité avec le blancisme. Ce n’est pas un hasard. En effet l’idéologie blanciste les considère comme des sous-êtres. En tant que tels ils sont faits pour être subjugués, évidemment par des êtres proprement dits, ici les blancistes. La subordination devient actuelle par l’absorption du discours fondateur du blancisme par le moyen des pratiques qu’il génère. Pour cela il leur faut renoncer à leur premier lien d’ensemble. Le désistement a eu lieu effectivement mais subtilement. Dans le vide où ils se trouvaient, ils ont été récupérés par le blancisme. En d’autres mots celui-ci a versé en eux sa substance. Désormais leur lien d’être est le blancisme. Ils se reconnaissent en lui, c’est-à-dire en sa vision du monde, dont l’humanité est le résultat immédiat. Ils forment un bloc. Cependant entre eux, ils n’ont aucun lien, si ce n’est l’animosité que le blancisme cultive à l’endroit des non-blancs, particulièrement les Négresses et Nègres. Voilà comment le nouveau lien désolidarise et il les oppose donc les uns aux autres ! Ils sont étrangers les uns aux autres. Si tel n’était pas le cas, le blancisme serait en danger par eux. Il institue par ce procédé le moyen de les mener et s’en débarrasser, lequel se nomme ľeliminrgyo, un génocide géant.
Par l’autorité du lien, le blancisme peut les conduire à l’abattoir. Par l’absence de lien entre eux, qui se traduit par la haine et le désir de supprimer, il peut s’en servir pour détruire leurs semblables, par les traits physiques, et/ou pour faciliter l’acte, par exemple, les génocides, dans l’indifférence crasse. Cela explique l’assassinat physique de Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines et une multitude d’autres gens enracinés dans ľAncestralité pour bloquer l’avancement de l’Éternel Empire ďAYITI, ce qui témoigne de la haine des Ancêtres, des Négresses et Nègres, puis l’institution de la république du 17 octobre 1806 par le contenu blanciste, lequel est hautement décrié par le grand Savant Jean Jacques Dessalines pour sa toxicité. La république est un instrument de mort, d`eliminrgyo. Plus profondément, elle est le mal haïtien, dont le sens est de se départir de soi-même pour faire place à ľhommalité blanciste au détriment ferme de soi-même par sa réduction en une terre desséchée, aride, assoiffée de vie, la vie de son remplaçant en partage, mais en vain.
Ce qu’il faut retenir jusqu’ici, c’est l’unité des libres, leur qualité d’instrument de mort du blancisme, leur haine invariable et irrévocable des Ancêtres, puis la république qu’ils ont formée le 17 octobre 1806 est la mise en forme de tout cela, ce qui revient à dire que cette république a vocation ďeliminrgyo, gage et preuve de rupture avec eux-mêmes au profit des blancistes, qui sont des agents de destruction d’eux-mêmes comme ils le sont des autres.
L’autre point est que, dans l’histoire de nos Ancêtres, nous ne trouvons pas un pays dénommé république d’Haïti, laquelle a vu le jour le 17 octobre 1806 et qui résulte de la Résistance Gwqmunale. Le point culminant de l’histoire des Ancêtres est l’Éternel Empire ďAYTI, œuvre en tous points réalisée par l’Invincible Général et l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, dont l’objectif immédiat est la protection de l’Ordre Divin, Notre Divin, Bon-Dieu, soit GwqmrtLa, et ľ <<assurance de la garantie et la sûreté des citoyens (citoyennes) d’une manière immuable et irrévocable >>, souligne la Lettre du 25 janvier 1804. D’où, en partie, certes, l’Intemporalité de l’Empire de Tóya-Dessalines, Empire Ancestral, Empire Dessalines.
La république a une histoire, non pas une histoire propre à elle, c’est celle du blancisme, autrement dit, elle est dans l’histoire de celui-ci. Les agents sont issus du blancisme. L’empereur français est l’auteur de la république par les citoyens français, présents dans l’Empire sous de fausses nationalités étrangères, donc des espions, pour travailler avec les irréductibles libres au blocage de la Mission de l’Éternel Empire ďAYITI par l’assassinat physique de Jacques 1er et l’anathème sur son Nom, puis l’institution de la république pour ľeliminrgyo, une façon de préserver le projet européen, le blancisme, soit l’absorption des peuples, qui est ľesclavagisation.
Le rêve impossible de Napoléon Bonaparte, voire du blancisme, est de substituer discursivement l’institution républicaine á l’Éternel Empire Dessalines. Dès le départ le Nom de Jean Jacques Dessalines est effectivement frappé d’anathème et on a transféré ailleurs tous les faits de la Ville Quartier-Général et Capitale Impériale, Dessalines, pour ne pas avoir á rendre des comptes, même son Nom, Dessalines, faut-il le répéter, est tombé dans le néant, Marchand, dit-on depuis. L’obstacle est la mémoire historique, celle des gens qui ont participé aux réalisations, l’implacabilité de la logique du discours constitutif de l’Empire et son adéquation avec la réalité, puis l’identité des gens á Dessalines, avant même qu’il ne soit nommé l’Empereur ďAYTI. En 1843 le Peuple Impérial, Peuple-État, demande des comptes au sujet du Nom de Jean Jacques Dessalines, l’Empereur Jacques 1er. Rivière Hérard, qui est allé à sa rencontre, lui a promis de faire les choses dans le Nom de l’Empereur Dessalines. Nous voyons bien que ce n’est pas du simple Nom de Jean Jacques Dessalines qui les préoccupe mais bien tout ce qui va avec. Il y a une différence entre Jean Jacques Dessalines et Sa Majesté l’Empereur Jean Jacques Dessalines, même si le premier appelle le dernier. Rivière Hérard prit le pouvoir le 4 avril 1843 et il fut renversé par les mêmes gens le 3 mai 1844. Le 16 avril 1845 Jean-Louis Pierrot devient président. Il semble qu’il ait compris l’attente du Peuple Impérial. Le 1 mars 1846 il tomba malgré tout. Lui, dans le bluff de l’Empereur Dessalines, il est allé plus loin que son prédécesseur mais pas au-delà du Nom.
Ces hommes, faut-il le signaler, ne sont pas à l'origine du retour du Grand Nom de Sa Majesté Jacques 1er au sein de la classe politique, les massacreurs, mais ils ont inventé le bluff du retour. Cela s’explique par le fait qu’ils ne peuvent pas donner au Peuple-État, ce qu’il réclame. Contrairement au Peuple, à qui appartient le Pays ďAYITI, ce n’est pas de Jean Jacques Dessalines le Vengeur, le Libérateur, le Fondateur et l’Empereur que parlent les irréductibles libres, les atha, mais d’une simple personne dénommée Jean Jacques Dessalines. Une partie des gens, au cours de la célébration organisée par Jean-Louis Pierrot, prince du royaume de Christophe Henri, est allée bien au-delà de cela, sans aucune invitation en ce sens de la part du président. La république a, sans doute, secoué. On a tenté d’imposer aux gens un vide. Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand s’oppose de façon irréversible à la présence de la république du 17 octobre 1806 sur le Territoire Impérial. Les libres, comme agents de la république française, sont des ennemis naturels de l’Empereur Dessalines. Ils font figure de destruction de Jacques 1er, ça va de soi, avec tout ce qui le compose. Ils sont pris avec le Peuple Ancestral qui est en rogne en apprenant que la France, soit le blancisme, est ici, chez eux. La France elle-même veut éviter tout affrontement avec le Peuple Nègre. Alors, pour contrer ce qui s’en vient, les agents de la république française, qui servent dans la république d’apparence, initient un Dessalines sans dessalinité, contenu du Nègre Infiniment Grand que nous connaissons, qui est au fondement de tout, en oubliant que la Famille Impériale, porteuse du Titre d’Empereur, et Jacques II, sont là. Ils ignorent tout du futur de leur initiative. Plus que jamais la république du 17 octobre 1806 est extrêmement menacée. Ce modèle de zuitzuit ou zuizuit, minimisation à l’infini de l’Invincible Général et Éternel Empereur (Celui << qui a su élever l’édifice de notre indépendance et notre liberté – Gwqmunité -.>>, comme le rapporte la Lettre du 25 janvier 1804, Lettre de nomination de Jean Jacques Dessalines au Titre d’Empereur, et le Fondateur de l’Éternel Empire ďAYITI) Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand et l’Empire ďAYITI, son Œuvre exceptionnelle, est la manière de parler des histo-á-riens, dans les écoles comme partout, de la Seule Grandeur Inestimable (Nègre) de la planète et, de ce fait, connue de partout. Pauvre timun ! Siya, 2 gudc kÄbo ! 2 gudc kÄbo, Siya ! Quand ces libres n’insultent pas l’Empereur Jacques 1er, le Soldat, le Savant de premier ordre, à visage découvert, ils parlent de lui dans un vocabulaire très pauvre. Il est vrai qu’ils sont faibles d’esprit, cela est loin d’être leur ineffable laideur. Mais ce n’est pas là, la raison. On les entend dire, en parlant de l’érection de l’Empire ďAYTI, <<l’État haïtien>>, et de la Constitution de l’Empire : <<la constitution nationale>>, n’est-ce pas là un problème psychologique grave, en plus du crétinisme ! ….. ; toujours dans leur discours quotidien, l’invincible Général n’est pas celui à qui la Mission de faire le Pays est donnée ; il est à l’ombre de Toussaint Louverture, celui qui est transparent, qui fait donc voir le Général Dessalines, et celui qui est l’agent de la république française dirigée par Napoléon Bonaparte, au dire même de celui-ci ; l’Indépendance est faite non par Dessalines mais par deux blocs de gens, <<hommes de couleur et esclaves révoltés>> ; une œuvre des fois de trois généraux, Pétion, Christophe et Dessalines, d’autres fois, quatre, Toussaint, Pétion, Christophe, Dessalines, celui qui est l’insignifiant. Ils ne veulent pas prononcer le mot EMPIRE. Zuizuiter le Plus Que Grand est un comprimé très puissant contre leur mal de tête que provoque l’Empire Ancestral. Point n’est besoin de dire plus. Il est évident que c’est la guerre contre l’Empire ďAYITI, celle que Napoléon Bonaparte avait ordonnée, qui continue. Par le moyen de cette agression sans fin, pour essayer de tenir le bras (soutenir) de la république, c’est ľeliminrgyo. Les irrésistibles libres travaillent durement pour en finir avec l’Ancestralité. Puisque ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles, il leur est impossible de voir, par l’organe sensible comme par l’œil de l’intelligence, s’ils en ont une, que cette attitude zuitzuitive, propriété de la minimisation du Plus Que Grand, l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, est une activité qui tourne aussi contre eux-mêmes. Le blancisme fait d’une pierre deux coups. Ils s’enterrent, sous les conseils de leur chef blanciste, avant même que leur libera ne soit chanté. Mais ils n’en savent rien et ne peuvent rien savoir non plus parce que tout wrs-mun est déjà de l’autre bord. <<L’esclavagiste>> ne joue pas, il tue. Il est l’ennemi de tout être, même de lui-même, car il est pur désordre. Le désordre, c’est cela son ordre, politico-religieux et d’autres macaqueries. Les atha du blancisme, les sbires, témoignent ainsi qu’ils sont des agents de la république du 17 octobre 1806, l’ange de la mort. Pour celles et ceux qui n’ont aucun sens du connaître, par les causes, et qui, par conséquent, veulent les confondre, certainement par débilité crasse, la république du 17 octobre 1806 est tout ce que l’Empire Ancestral n’est pas, de la cause á l’effet, et même tout ce que Sa Majesté l’Empereur Dessalines, Grand Savant de la chose politique et créateur du système munal sensible, soit l’Éternel Empire ďAYITI, a en horreur et auquel il a demandé de renoncer définitivement pour s’élever à sa hauteur d’être et être auprès de sa munite. Du côté de l’Empire ďAYTI, nous, nous avons la capacité de savoir, de façon dqmbala, et la science, le dqmbala. Le bÄnqy est supérieur à l’intelligence. Celle-ci dénomme la faillite tandis que celui-là signifie le maintien de la chose dans son ofowu ou ofowuité. Le Pays des Ancêtres est indépassable, alors invincible.
Pour ce qui est de l’horreur, l’indestructible couple (le tandem), blancisme et république du 17 octobre 1806, joue bien son rôle. Le blancisme veut une chose et la république des malheurs l’exécute. Quelle que soit l’issue qu’empruntent les gens, le blancisme trouve toujours le moyen de la pulvériser. Dessalines ľa bien dit dans son discours appelé á tort <<l’acte de l’indépendance>> : <<des malheurs et des malheurs si on désavoue…>>. Effectivement c’est l’état des malheurs, la république d’Haïti, pays du 17 octobre 1806. Pour maintenir l’horreur, les irréductibles libres font miroiter la possibilité de jours meilleurs, soit en rendant leurs confrères responsables des situations, soit en ces termes : <<Si on recommençait …, <<il faut rebattre les cartes>>. Mais plus ça change, plus c’est pareil. Le blancisme est toujours à pied d’œuvre. L’objectif, c’est d’en finir. Les assassiné(e)s ne se comptent plus. Ces jours-ci, c’est l’Empire Dessalines qui est dans l’œil du cyclone parce qu’il est le seul OBSTACLE á ľesclavagisation. Ici TOUT est défini.
L’erreur, dans cet état d’esclavage (esclavagisation) est de pointer du doigt une personne, de l’intérieur, ou un groupe, que ce soit par stratégie ou par ruse ou par ignorance. La république du 17 octobre 1806 est un tout indivisible, elle est dans le blancisme. Elle est une multitude informe en dehors de celui-ci, c’est-à-dire dans l’absence de lien entre eux. Sur ce plan ils sont kuku, savoir chacune-chacun pour soi. C’est le règne de l’individu, pour employer une terminologie de philosophie politique du droit. Ils sont ici un et multiple, un dans le blancisme et multiple en tant qu’abandonné(e)s à eux-mêmes. Sous cet angle-ci la république du 17 octobre 1806 est un duel, tous contre tous, au mieux, l’un contre l’autre. Cela s’explique comme suit : en tant qu’hommes, la passion fondamentale, d’où ils dérivent, est leur soi originel. Elle les dresse les uns contre les autres en vue de défaire les autres pour se faire ensuite, á leur désavantage, certes, mais aussi au détriment de soi-même puisque l’objectif est de détruire le non-être ou l’irréel de la pensée-être qui se renvoie constamment à soi-même ; la destruction est la fuite de soi, á l’avantage du résidu, le désir du désir, tel qu’il est exposé dans la pathologie hommale. La république du 17 octobre 1806 est aussi montée pour ce duel, sous la base de l’accession à l’humanité, comme promesse de récompense, ce qui rejoint le résidu en espérance, mais impossible en dehors de soi-même dans un contexte d’absorption de soi par l’autre, le blancisme, ce qui s’appelle esclavagisation. Le duel monté par le blancisme comme nature seconde, nature politique, est rendu possible par une illusion de pensée, dont le mensonge, un sophisme, est la cause. En effet l’illusion de pensée est de voir le blancisme, comme homme, tendance politique actuelle alors qu’elle est en puissance chez soi. L’actualité de la passion fondamentale porte le nom d’humanité. L’identification n’est pas arbitraire, elle descend de la manière dont le blancisme définit sa condition lui-même, l’humanité, le point le plus élevé de ľhommalité, principe de l’homme. Les libres prennent pour réelle la situation blanciste. Le blancisme provoque cette croyance pour mettre la main sur les libres, une mainmise indispensable pour pouvoir les absorber pour en faire tout ce qu’il veut. Cela met en évidence l’humanisme blanciste. Oui, le blancisme est un humanisme, il le tient de la passion fondamentale de l’homme. A l’instar de l’homme, sa base, il n’est que cela. Cet humanisme est en marche par l’humanité, qu’on appelle souvent la société, dans son aspect le plus bas, le plus restreint, mais ľhumanité, dans sa manière d’être dans le monde le plus haut, qui est son mode d’appropriation, au mieux, d’attrape. Les irréductibles libres de la république du 17 octobre 1806, pensent au blancisme plus qu’ils ne respirent. Ils veulent ardemment tout ce qui tire son origine du blancisme. Ils s’identifient à la moindre chose se rapportant à lui. Ils veulent lui ressembler en tout et partout. Le blancisme est pour eux le plus haut point de la vie. Ils sont ennemis inconditionnels de tout ce qui s’éloigne du blancisme. Tout être en qui se meut ľhommalité et qui s’approche trop près du blancisme, risque de se brûler, à cause de l’identité et des tactiques puissantes, des stratagèmes et du pic de l’horreur, qu’il a mises au point. L’invincible Général et l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines ľ a dit : <<Le blancisme est un monstre …>>. Il injecte dans sa proie son brûlant désir de dévorer et tuer pour lui pour se faire avant de la manger lui-même. <<Ce sont les vrais cannibales>>, ajoute l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines. Tel est le cas de la république du 17 octobre 1806. Elle est l’organe parfait du blancisme. C’est pour cela qu’elle se comporte ainsi vis-à-vis des Négresses et Nègres. Le mor, le discours-être, est en elle, elle ne peut que se révéler impitoyable envers les Nègres et Négresses. Comme elle est greffée sur le blancisme, elle ne se voit pas elle-même, elle n’a aucune conscience d’elle-même. Elle se conduit à l’abattoir comme elle y conduit les autres, Négresses et Nègres, à la simple demande du blancisme, bactérie mangeuse de Nègres et Négresses. Le blancisme les place à sa guise sur le poteau sacrificiel pour se protéger, elle accepte volontiers. Rien ni personne ne peut voler au secours de la république du 17 octobre 1806 parce qu’elle ne se sait pas menacée, au contraire. Elle fait du zèle dans la destruction des Négresses et Nègres et de tout ce qui est ANCESTRAL.
Ce n’est pas une façon particulière du blancisme de se comporter envers un groupe distinct. Le blancisme est un humanisme même en son sein. Il n’y a pas de lakort, groupe ubuntu, pour le blancisme. L’homme est l’individu. Par son humanisme, l’unité politique s’invente autour de l’un ou son image en renonçant chacun-chacune à soi-même au profit de celui-ci. C’est cela l’anthropologie du droit naturel, dont la société est le lieu de construction à cause de l’inaptitude de la nature à bien faire les choses, selon, bien sûr, la pensée européenne. L’humanisme, par ľhumanité, est appelé á produit l’UN, lequel est l’homme initié par la nature. Le pouvoir, qui est toujours politique, est le centre de création de l’homme par l’homme par l’unité des individus réalisée dans l’acte de faire sienne la totalité des volontés dictées, lesquelles comportent les passions et les pensées. La raison alors est dictée à l’homme, produit par la marche de la politique, se trouvant à l’extérieur de lui. Il en est de même de sa source de passions. Cela ne se fait pas sans le concours des choses de l’homme, notamment la ruse et l’horreur. La violence est l’acte de faire l’homme. La création est la destruction de l’homme réel, bien évidemment l’être de pensée, l’individu agissant, pour la chosification du résidu, le désir du désir. La première chose à faire est de le rendre inapte à agir par lui-même, c’est-à-dire le dépouiller de ses facultés, au mieux, les rendre inopérantes afin de produire le représentant qui est destiné à le faire à sa place. Il sera confiné dans le statut de représenté, dont le seul mouvement consiste à choisir son représentant. Le droit naturel comme substance de l’homme, entraîne l’idée de représentation, laquelle s’accompagne de la démocratie, soit choisir son représentant. Celui-ci est ce qui fait tourner la machine politique parce que c’est sa volonté, la sienne propre, qui donne forme à l’institution, surtout par l’absence inconditionnelle de toute désobéissance. Le représenté est là pour exécuter, strictement, cette volonté, ce sans quoi il n’y a pas de politique, une structure hiérarchisée, alors une esclavagisation - eux, ils disent esclavage -, ce que Jean Jacques Dessalines, le Grand Savant, dénomme tyrannie et despotisme, un désordre indicible. Ainsi, dès le premier moment de la construction de l’homme, émerge le processus de destruction de l’objet, c’est-dire la violence. Il n’y a que cette ligne, aller au-delà de celle-ci fait appel à l’oppression – eux, ils disent répression, le terme, paraît-il, s’adoucit sous cette phonation, même si le contenu est le même ; la magie prend sa place dans le savoir. Il y a ici aussi, la privation de soi-même au profit d’un autre que soi. Ce phénomène ne va pas sans se dédier à la chose en vue d’accéder à l’humanité. Ne pas être là se définit comme sauvage. Le même sophisme sert de support à l’illusion de pensée avec cette différence, il y a un carré proprement réservé aux gens de la maison. Dans le cas contraire, il n’y aurait pas de politique, dont l’esclavage est l’organisation, ici, selon leur propre définition, cela depuis l’antiquité. Pour en arriver là comme pour aller plus loin, l’acte de commander, qui est de dicter la conduite et l’oppression sont nécessaires et indispensables. La hiérarchisation n’a pas de pente douce. Ici aussi on tue, et sans état d’âme. Les sociétés ou humanités du droit misent démesurément sur la destruction des vies, pour l’actualisation de l’homme. C’est là ce qui explique le recours, de leur part, à la république du 17 octobre 1806. Ils courent vers la destruction d’eux-mêmes avant même de s’approcher de ce vers quoi ils tendent, à moins que l’Empire ďAYITI, l’Éternel Empire de Tóya-Dessalines, les arrête.
Dans de telles circonstances l’Éternel Empire ďAYITI ne peut pas ne pas s’intéresser à ce qui se passe sur son Territoire propre et á la situation de ses gens qui, par défaut d’attention, sont tombés dans le lac et qui attendent du secours immédiat. Nous suivons de très près tout ce qui se fait par la république du 17 octobre 1806 dans l’intérêt du blancisme.
La responsabilité de l’Éternel Empire est de tendre la main, par l’instruction, aux égaré(e)s pour les diriger vers les lieux de secours et de se tenir irréversiblement devant le blancisme. Les vrais cannibales, en recourant également, dans cas-ci, cela au moment précis, á l’arme de destruction massive sans portée criminelle, pour terrorisme, personne qui ordonne et/ou á qui profite le crime, et pour crime contre l’humanité, raison esclavagiste. Le lieu de la peinière est forcément le territoire des Nègres et Négresses.
Tout membre de l’Éternel Empire ďAYITI, victime de n’importe quel acte, á cause de son appartenance, par exemple, surveillance, écoute, restriction, intimidation, insulte, détention, provocation, etc., doit le signaler illico ou en parler abondamment pour que la chose se sache et qu’elle soit enregistrée pour être listée pour le tribunal pénal international.
Il y a plus. Toute agression contre les membres de l’Empire, lesquels sont forcément engagés dans le processus de sa solidification, quel que soit le lieu où le pays, partant, la nature et la raison du crime, porte irréfutablement la signature de son auteur, la personne qui le commande. Le mode de procéder des blancistes est de charger un tiers à exécuter les crimes et de les accuser lui-même ensuite, tout en leur faisant des promesses de protection, pour pouvoir couvrir ses traces. Le processus de mise en accusation pour ces crimes, par le recours à l’arme de destruction massive sans portée criminelle, est déjà entamé.
La partie 2
La république d’Haïti est l’ange de la mort
Le discours n’est pas le fruit de l’imagination mais du domaine du réel. Les gens, Négresses et Nègres, mouraient en grand nombre et aujourd’hui rien n’a changé. Le nom de république d’Haïti est un camouflage, elle couvre l’opération de morts conduite par les blancistes. Ce n’est pas le nom de l’institution. Dans le papier que Jean-Pierre Boyer et ses hommes ont signé avec le roi français, Charles dix, est indiqué le nom véritable de celle-ci : <<la partie française de Saint-Domingue>>. La république d’Haïti est un nom d’emprunt pour ne pas éveiller les soupçons. La découverte de ce stratagème a couté la vie à un nombre incalculable de nos gens. Le blancisme a institué la république d’Haïti pour arriver à ľeliminrgyo en vue de chosifier l’homme et, surtout, se venger dans le feu et dans le sang, jusqu’à ľeliminrgyo, ces Négresses et Nègres qui se sont élevés au plus haut sommet de l’être, la Supériorité incontestée et incontestable, en repoussant avec vaillance et virtuosité ineffables le vide hommal et en livrant, en contrecoup, à nos pieds nos ennemis naturels, dont le seul appui est les mensonges et les armes, une faiblesse hors pair. Absorbés par les ténèbres denses de l’infériorité, ils livrent heureux les autres à la lumière, la seule, du pic de l’horreur, laquelle, en soi, se passe naturellement d’un organe.
L’enlèvement par les blancistes des enfants de onze ans et moins, dans le feu inextinguible des condamné(e)s aux travaux forcés et aux travaux des champs comme en pleine Gwqmunité extérieurement rétablie par le long et vigoureux combat de la Gwqmunalité, pour en faire des wrs-mun, lequel enlèvement sous-entend le règne de la nuit sur les autres, met en exergue le génocide programme des Négro-gelefweens et Négro-gelefweennes, soit ľeliminrgyo, pour ne pas s’évaporer sous l’effet de la véridicité de l’Ancestralité, ainsi que la déterminité de l’être de pensée, le vide, à être en accord avec lui-même envers et contre tout, une unidirectionalité incontestable.
Le génocide de seconde phase, après les rapts de nos Ancêtres au Gelefwe même, est précédé du projet de kidnapping des enfants. Il a commencé avec l’assassinat physique de Sa Majesté Jacques 1er, l’assassinat auquel les irréductibles libres ont prêté leur assistance aux blancistes et pendant lequel ils ont enlevé la vie à plusieurs des Bras les plus vaillants, dans l’ignorance de ce qui se préparait.
Le plus grand massacre après celui des Bras et de plusieurs cerveaux de l’Éternel Empire ďAYITI est celui de la christianisation, qui est la mort presque de toutes les facultés, sensibles comme intellectuelles, des converti(e)s. Ce projet de mort certaine est discuté avant même de passer aux actes parce que, dans la constitution de 1806, la première de l’institution effrayante qui est en train de naître, d’entrée de jeu la charge est confiée à l’église. On s’en souvient, dans le discours de Bukmqn, la nuit du 14 août 1791, il est strictement déconseillé aux gens de croire en ce dieu, qui est le fruit de l’homme, soit le blancisme. Ils ont décidé, irréductibles libres et blancistes, de passer à une vitesse supérieure, mettre la main sur eux avant même qu’ils se rendent compte de ce qui leur est arrivé, le piège dans lequel ils sont tombés. Ce massacre est, certes, facilité par un embryon de la politique. Au développement de celle-ci et jointe à la scolarisation, si faible soit-elle, la machine à tuer s’est renforcée.
Cette masse de gens, devenus wrs-mun, renforce la capacité de tuer du blancisme sur le Territoire Impérial. L’arme se diversifie. Par elle nos ennemis naturels s’attaquent à l’agriculture, la faune et la flore.
La destruction de l’agriculture a un objectif bien précis, pousser la population au bord de la famine. Dès qu’il est question de celle-ci, on parle de morts en masse. On comprend alors pourquoi la population, qui est la seule propriétaire de son Territoire, sol et sous-sol, ne peut pas compter sous son sous-sol pour s’en sortir. L’accès à celui-ci est déjà bloqué. La république du 17 octobre 1806, qui est l’assistante du blancisme dans la campagne de mort, s’arrange pour qu’il soit le seul à avoir accès aux ressources. Même si elle est en train d’exploiter la ressource, quelle qu’elle soit, la république du 17 octobre 1806 la tasse et elle la lui livre, la ressource. Cela ne lui rapporte pas un sous, même à la république comme institution en soi. C’est incontestablement la dépossession du Peuple-État de ce qui est exclusivement á lui. Ni sol ni sous-sol, rien ! Nous avons l’exemple de l’or. Il s’ensuit que, d’après la logique de la république du 17 octobre 1806, le sol et le sous-sol ne sont pas au Peuple-État. D’ailleurs celui-ci a disparu, le 17 octobre 1806, selon elle. Tout cela révèle que la république du 17 octobre 1806 s’érige en barrière devant le Peuple Ancestral, Peuple Impérial, soit sa vie, puisqu’elle descend des véritables cannibales. Elle assure sa disparition physique à l'avantage du blancisme, son maître et propriétaire.
Au début des années 1990, durant l’effet le plus aigu de la crise agro-alimentaire, les blancistes utilisent la politique, son champs prisé, pour imposer un embargo économique sur la république d’Haïti, au cours duquel ils appliquent sa méthode de génocide. Il en résulte plus d’un millier de morts par jour, dont la majorité d’entre eux sont des bébés, des enfants et des personnes âgées, tout cela dans l’indifférence totale des membres, au mieux, des partis politiques que l’on croyait adversaires ou ennemis – voir mon livre : L’Empereur est mort, Vive l’Empereur !. Éditions LOF, (Lekba/Ogu/Fweda) 2005
Le blancisme se sert de sa position renforcée contre les Nègres et Négresses par son action dans la république, qu’il présente comme le <<Pays ďAYITI >>, pour s’en prendre à la Population Ancestrale planétaire. Dans leur tête la Voix de l’Empire est couverte par la présence de leur république, ils ne courent donc aucun risque. Il a inventé le virus du SIDA pour en venir à bout. En plus des Négresses et Nègres de la planète, la république du 17 octobre 1806, bien partenaire par le silence dans le crime, et même parce que telle, se voyait accorder la provenance du virus. Le jeu est double. Parce qu’il s’agit des Nègres et Négresses, elle fait partie du lot. Lui accorder l’origine d’un virus virulent, dont on dit, dans les milieux bien informées, fabriqué au Canada, c’est la présenter comme une menace pour la planète, surtout ce pays s’est prononcé contre un État Nègre sur le continent – il est question de l’Éternel Empire ďAYITI -. L’objectif est d’en finir, hic et nunc, comme pays au bénéfice de la partie française de Saint-Domingue, ce que l’on gardait secrètement et en réserve. Un esclavagiste est un esclavagiste. C’est l’être même du blancisme. Une Négresse et un Nègre habitant la même sale qu’un blanciste, c’est comme des souris qui cohabitent avec chats et chattes. Un jour ou l’autre, ils finiront par sauter sur eux. C’est la loi du désordre initié par ľhommalité, dont le blancisme est la plus haute expression. Bien évidemment, pour en revenir au virus du SIDA, la république payait un lourd tribut de morts. C’est pour en arriver là. Voir mon ouvrage : Le Québec et le Canada devant le tribunal de la négro-divinité, Editions LOF (Lekba/Ogu/Fweda) 2006
Fort du silence de la république du 17 octobre 1806, ce qui est clairement son accord dans le génocide programmé, est durement frappé le continent ancestral, dont tous les Nègres et Négresses sont membres de l’Éternel Empire ďAYTI, Empire Ancestral. Le Rwanda a particulièrement beaucoup de choses à nous raconter, en temps et lieu.
Les virus, un nombre important d’entre eux, regardent en direction des Négresses et Nègres. L’apartheid y fait son lit aussi. Leur mission dans la vie sur terre est la destruction de nos Ancêtres et nous-mêmes. C’est le voile blanc pour cette catégorie d’êtres. Dans cette optique, le virus Ebola a fait son apparition. Point n’est besoin de dire l’état des choses, des morts et des morts ; cela en un temps éclair. Ça promet de ce côté-ci car ce virus est une arme redoutable. Mais les blancistes ne peuvent y aller d’un trait. Ce ne serait plus un secret, un tel assassinat. Il lui faudrait alors rendre des comptes. Il est donc nécessaire d’y aller de façon saisonnière. Mais il n’en sera pas toujours ainsi. Au moment précis ils donneront libre cours à leur passion, leur être. En attendant, les blancistes l’amènent en visite sur le Territoire Impérial avec la complicité de la république du 17 octobre 1906 qui a accueilli tout bonnement ses agents créateurs et distributeurs.
Le silence est un élément essentiel dans la culpabilité de la république dans son aide indispensable dans ľeliminrgyo mené par le blancisme, son fondateur. L’activité sinistre du blancisme ne pourrait pas avoir aujourd’hui lieu si les irréductibles libres n’avaient pas collaboré avec Napoléon Bonaparte dans son projet immonde et lâche d’assassinat physique de Jean Jacques Dessalines l’Infiniment Grand. Le Missionnaire Divin avait son œil toujours fixé sur chaque mouvement de nos ennemis naturels pour les bloquer avant même qu’ils passent à l’action. Contre la tendance blancismique de plusieurs, il se préparait à faire venir du continent originel un demi-million de Négresses et Nègres pour renforcer le Pays Ancestral, l’Empire ďAYITI. Avant même la mise en exécution du plan, il fut physiquement assassiné. Pourquoi en ce moment précis Ɂ La raison est donnée par elle-même. Si cela avait eu lieu, le projet sinistre des blancistes et leurs atha, les irréductibles libres, aurait été bloqué. Rappelons-nous le rôle de premier plan de ces Bras, parce qu’ils étaient incorruptibles, dans l’Éternelle Victoire Ancestrale sur le blancisme. Dessalines voulait aussi rapatrier les Négresses et Nègres des États-Unis au Pays ďAYITI, le président n’accepta pas l’offre. Il tenait à les garder. Le blocage du pic de l’horreur sur notre planète relève de notre responsabilité, surtout quand il s’agit des Nègres et Négresses. Lorsque Dessalines, Éternel Vainqueur de Napoléon Bonaparte, donnait les raisons pour supprimer physiquement les colons français, qui ont survécu à la contre-guerre, il disait : <<pour ce qui venait de se passer en Guadeloupe>> - Karukera, pour celles et ceux qui ne le savaient pas -, soit l’exécution, en mai-juin 1802, des Nègres et Négresses, par les troupes de Napoléon, pour avoir fait l’indépendance en octobre 1801, dont le 20 du même mois est la journée nationale, celle de l’établissement du gouvernement. Écoutons, à ce sujet, les paroles du membre du gouvernement français, autorité en ce domaine : << Vice-amiral Denis, duc Decrés (1761-1820), ministre de la Marine en 1801. Decrés, alors ministre de la marine et des colonies, déclare le 14 novembre 1801 : “Je veux des esclaves dans les colonies. La liberté est un aliment pour lequel l'estomac des Nègres n'est pas préparé. Je crois qu'il faut saisir toutes les occasions pour leur rendre leur nourriture naturelle sauf les assaisonnements que commandent la justice et l'humanité. Je crois qu'il faut envoyer une force considérable en Guadeloupe, non pour la réduire à ce qu'elle était mais à ce qu'elle doit être >>. Dessalines, membre de la grande famille négro-jelefweenne, dans son unité, en terme plus exact, yunité, par l’Ubuntu de l’être, a le dump, responsabilité par la conséquence de la constitution interne munale, de défendre et venger les Karukerans et Karukeranes, les enfants de nos Ancêtres, dont plusieurs, d’ailleurs, se sont sauvés pour se joindre aux troupes de Dessalines. Ne pas le faire serait les livrer au plus grand Mal qui soit, le blancisme. Dessalines en serait donc un complice ou un assistant du blancisme, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, et un acteur de ľeliminrgyo. Il a même envoyé un bâtiment de guerre en Guadeloupe pour aider ses frères et sœurs, bâtiment dont on n’était sans nouvelles. C’est contre nos responsabilités constitutionnelles murales dans le monde que se dressent les blancistes et les irréductibles libres, aspirants à l’humanité. Alors le barrage de l’Éternel Empire ďAYITI par la république du 17 octobre 1806 a vocation de favoriser l’activité effrayante du blancisme.
Tout près de nous, en Dominicanie, le président dominicain, Rafael Leonidas Trujillo Molina, a, en 1937, massacré un nombre massif d’Haïtiens et Haïtiennes. La république est sourde et aveugle.
Devant la froideur inégalée et inégalable des irréductibles libres, citoyens et citoyennes de la république du 17 octobre 1806, les blancistes, très satisfaits, veulent accélérer le processus et ils songent à donner le coup de grâce le 12 janvier 2010, une bonne façon de commencer la nouvelle décennie et la nouvelle année. L’effet dévastateur du séisme artificiel fera trembler la planète. Une erreur se glissera. Trop vite en affaire ou peut-être trop confiant, le blancisme annonce au même instant la disparition ďAYITI. Sans même voir l’effet, il dit ce qu’il en est. Ce n’est, de toute évidence, pas la vérité adéquation. Il est plutôt poussé par la vérité pragmatique, dans le sens de faire advenir. S’il le savait à l’avance, c’est que la disparition était programmée. Puisqu’il en est ainsi, la planète n’est pas en face d’un phénomène naturel. Pour la première fois, sauf preuve du contraire, des chefs d’État et de gouvernement blancistes, puis leurs représentants et représentantes se déplacent pour faire le constat eux-mêmes… ou prendre notes … D’un autre côté les spécialistes du domaine se portent à la défense de la nature. Ils affirment, sans détour, qu’elle n’y est pour rien. Voir à ce sujet mon ouvrage : <<Ấ cause du déferlement de la bêtise irrelative …>> Editions LOF (Lekba/Ogu/Fweda), 2010. La république d’Haïti a tout vu et a tout entendu mais elle a fait le mort.
Le blancisme, de toute évidence, ne s’attendait pas à ce mince résultat de cette attaque savqn, même si les pertes sont nombreuses. La république du 17 octobre 1806 enregistre plusieurs autres de même nature, elle continue à ne rien n’entendre ni voir. Preuve, un ancien président des États-Unis a récemment déclaré qu’il avait sciemment détruit l’agriculture du pays d’Haïti. La république en a fait un de ses meilleurs amis. Deux de ses successeurs ont annoncé, dans des mots à peine voilés, l’extermination imminente du Pays d’Haïti. Ces propos sont accueillis dans l’indifférence totale. Le caractère dualistique impose, La république du 17 octobre 1806, comme l’a planifié Napoléon Bonaparte, concentre toute son activité et toute son énergie autour d’une lutte pour le pouvoir, celui de l’argent et l’assassinat, et L’acte de gouverner-par pour camoufler les démarches en cours.
La république du 17 octobre 1806 et les blancistes tuent sur le Territoire Impérial.
L’agriculture étant détruite, l’ennemi pousse les gens à prendre le chemin de l'exil, dont la moitié, si ce n’est pas plus, meurt en chemin dans des accidents provoqués. Ceux et celles qui restent voient, pour la plupart, leurs quartiers enviables se glissent entre leurs doigts par le poids des flammes quand ils ne sont pas contraints de partir en plein jour comme en pleine nuit, sans sommation. La technique de destruction de l’agriculture s’applique aux gens de tous les milieux ainsi qu’à leurs biens. Les blancistes ne cachent plus leur intention de s’installer en chair et en os sur le Territoire ďAYITI en passant par le république du 17 octobre 1806, leur naturelle voie. Ils cherchent par tous les moyens à vider les lieux de leur contenu nègre.
Les irréductibles libres ne voient aucun inconvénient à cela, au contraire, ils n’attendent que cela pour se sentir en pleine adéquation avec eux-mêmes, eux qui ont depuis longtemps, abandonné AYITI, ce qui s’y rapportait en eux, soit leur négrité, leur Ancestralité.
L’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines dit que tout écart dans l’Empire de la Gwqmunalité, parce qu’on désapprouverait son travail, entraînera, à coup sûr, des malheurs sans fin et la seule protection est de rester dans l’Éternel Empire. Ces PAROLES, qui occupent la scène depuis le 17 octobre 1806, ne peuvent pas être combattues parce qu’elles sont ÉTERNELLES. Il en est ainsi parce qu’elles mettent en évidence deux choses éternelles, le vide et l’être.
La république du 17 octobre 1806, par ses origines infames, le blancisme, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, est, irréversiblement et invariablement, l’instrument des malheurs sans fin. Cela est incontestable. Sa souche, sa substance, sa raison d’être, ses fréquentations, tout le maintient dans la chose (artificielle, certes) qu’elle est, l’instrument de malheurs et de destruction du blancisme dans le processus ďeliminrgyo, le projet qui a vu le jour à cause de l’activité intense, invariable et invincible de la Gwqmunalité en nous contre ľesclavagisation, une propriété de ľhommalité portée de manière infatigable par le blancisme.
La très vaste majorité des gens ignore tout de cela. D’ailleurs ce pays n’est pas leur choix. C’est, certes, par la ruse qu’ils se sont vu attribuer le titre de citoyens, citoyennes, de la république du 17 octobre 1806, partie française de Saint-Domingue, le nom véritable qu’on leur a caché. Le coup contre l’Éternel Empire ďAYTI par l’assassinat physique de l’Éternel Empereur Jacques 1er, vise ľeliminrgyo, alors leur suppression physique aussi, eux aussi. La chose ne s’est pas passée comme prévu, on est à ce point aujourd’hui encore. Étant maitres et maitresses du Territoire, Territoire Impérial, l’institution blanciste républicaine après le meurtre de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines et de plusieurs Bras Puissants par Napoléon Bonaparte á travers les militaires, irrésistibles libres en qui vit le blancisme á leur place, donc des wrs-mun, la république du 17 octobre 1806, une simple institution comme l’église, sans mot dire, se constitue, s’installe sur le Territoire et parle aux gens comme si elle était le Pays naturel ďAYITI, lequel est inatteignable parce qu’il est constitué de propriétés indestructibles, notamment l’intemporalité de son objet, soit l’entente, l’unité par l’Ubuntu, la détention pour toujours de l’obligation de se mener soi-même, le Peuple-État, la Gwqmunité, la résidence du Titre d’Empereur en chacun-chacune des Enfants de Jean Jacques Dessalines par leur reconnaissance de Sa Majesté l’Empereur même, toutes les forces de l’État dans le Titre d’Empereur, la neutralisation des militaires, l’invariabilité du Pays et Prince Jacques Dessalines désigné par Jacques 1er comme son remplaçant.
La Famille Impériale maintient l’Éternel Empire ďAYITI par des Mbwa devant conduire au Rétablissement de l’Administration Impériale au moment précis pour sauver le Peuple, la Population Nègre de la planète et tous ceux et celles qui veulent intégrer la munalité.
À toute tentative d’assassinat ou toute agression de n’importe quelle nature, visant l’Éternel Empire et la Population Nègre dans le but de déstabiliser le monde impérial pour faciliter le déroulement de ľeliminrgyo, nous renforcerons la liste de crimes contre l’humanité pour la TPI par l’arme de destruction massive sans portée criminelle.
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn
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