Le complot blanciste et tubabu en ce triste anniversaire du 12 janvier 2025 et la suite

 

Le complot blanciste et tubabu

Le Décret 0000000 le maintien ferme du Soi malgré les tentatives d’enlèvement continues700000007 12 janvier 2025

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - j  = © Tous droits réservés

q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é, ¼ = on, ñ

L’hommalité, partant le blancisme, se tient sur le vide.

A

Quand on a que du vide pour bagage et qu’on veut prendre l’allure de l’être, plus particulièrement de chose, il n’y a qu’un recours, la violence, cime de la cruauté, pour croire en soi-même, puis tenter de s’imposer aux autres. Telle est la situation de l’homme, plus précisément du blancisme, dans le monde.

L’échec du complot du 12 janvier 2010, lequel visait la destruction totale du Territoire de l’Éternel Empire d’AYITI, et forcément tout le Peuple Impérial, Peuple de Jean Jacques Dessalines, n’a pas cassé les feux des blancistes car ils n’ont pas mis de temps à raccorder leur violon pour en concocter un autre avec la même amplitude.  

Coup de théâtre, l’Éternel Empire de Toya-Dessalines sort son front!

Il a fallu que le vrai cannibale, le monstre, qui est notre ennemi naturel avéré, sorte de son esprit sinistre l’idée du coup de la réédition du 17 octobre 1806 pour faire sauter l’entrave, dans l’espoir d’avancer dans son projet, soit l’eliminrgyo. 

Le problème est qu’il y a un décalage entre 1806 et au jour d’aujourd’hui, ce qui renforce l’Empire d’AYITI en moyens supplémentaires, et pour cause! Alors avons-nous cause gagnée.    

B

Nous, Négresses et Nègres, nous avons éternellement vaincu les hommes, soit les esclavagistes blancistes et leur support, les tubabu, mais ils refusent, à cause de l’unidirectionalité de leur être de pensée, de se plier devant le fait accompli. Ils tournent sans cesse autour du déni de la réalité comme si cela pouvait changer le cours des choses. Premièrement ils n’acceptent pas l’idée de perdre devant les Nègres et Négresses, les Ancêtres, gens qu’ils avaient, par un verdict idéologique sans appel, qualifiés de sous-êtres; deuxièmement ils ne supportent pas le fait qu’ils soient tenus éloignés du Territoire Impérial et même quand ils agissent dans l’ombre à travers les bunda qmr, leur oeuvre idéologique; troisièmement le spectre d’être traînés en cour, double cour, Impériale et internationale, sous une Victoire Annoncée à grand cri, sans pouvoir tricher comme d’habitude, malgré leurs influences et leurs capacités sans nombre de tuer, leur vocation; quatrièmement, l’histoire retiendra leur nom en tant que tel même après leur disparition devant l’.Éternel Empire d’AYITI Tout Puissant. Ces pensées les ont transformés en lions blessés.   

Ce qui est triste, c’est la stratégie du mensonge à laquelle recourt sans cesse le blancisme dans cette situation dans l’espoir de parvenir à diminuer le poids de ses souffrances psychologiques, une détresse psychologique. Les blancistes ont tout entrepris, surtout avec l’aide des bunda qmr, pour empêcher l’avancement des choses, projet de Jean Jacques Dessalines, Missionnaire de Notre Dieu, Bon-Dieu, GwqmrtLa, pour lier ensuite les échecs répétés accolés à sa multitude informe dénommée république d’Haïti à l’incapacité congénitale nègre. N’est-ce pas là un grand désespoir! Pourtant c’est par ce signe d’une grande pathologie qu’il justifie sa présence. Le blanciste est en soi une grande instabilité psychologique, ce qui explique ses agissements constants en cime de cruauté. Devant le Rétablissement de l’Administration de l’Empire d’AYITI sa déstabilisation psychique prend du poil de la bête. Plus sa déchéance psychique s’affaisse, plus notre équilibre b¼nqyel s’élève. C’est pourquoi certaines choses qu’il devait pourtant garder toujours présentes à l’esprit lui font défaut.   

C

Ce qu’il ne faut jamais oublier, c’est que nous sommes en Jean Jacques Dessalines et Jean Jacques Dessalines est en nous. Nous formons donc une yunité, une réalité indéfectible. Notre forme sensible est l’Éternel Empire d’AYITI. Notre yunité extérieure réalisée, qui est l’Empire d’AYTI, est notre Soi, Notre Éternel Soi. Il est fait de tous les Ensembles Ancestraux du Continent Ancestral et tous ceux qui sont ici, sur le continent Masuana. Ils sont derrière Jean Jacques Dessalines pour la production de l’OEuvre Divine, l’Empire d’AYITI. Celui-ci, par les Mbwa Divins, est une exigence de leur corps. Il est le décalque, au mieux, la manifestation du Soi Munal, notre soi à nous, dans le monde sensible. C’est pourquoi l’Empire d’AYTI et notre Essence Munale sont deux termes interchangeables. Il en est de même pour leur réalité respective. 

La réalité de ce que nous sommes, à cause de sa vérité, laquelle découle de l’adéquation  du soi de chacun-chacune de nous, le Soi Munal, au Soi de l’Empire d’AYITI, est constamment sous la menace de séquestration, voire de génocide, ce que nous appelons l’eliminrgyo, par l’homme, notamment le blancisme, parce que nous lui sommes irréfutablement un obstacle qu’il lui est impossible de vaincre.     

Ici, au Masuana, que le blancisme a dénommé l’Amérique, tous les Négresses et Nègres, pourvu qu’ils soient enracinés dans l’Ancestralité, forment une seule chose. Il en est de même de celles et ceux du continent des Ancêtres, Gelefwe. L’Empire d’AYITI n’est pas une affaire uniquement des Ancêtres mais du lakort munal, par conséquent il est ouvert à tous ceux et celles, quel que soit leur teint, qui, après avoir accédé à la conscience munale, veulent y prendre leur place pour vivre à la hauteur de leur essence, l’Essence Munale.

La Logique Munale oriente les choses :

“Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti.”  Le Peuple est fondé dans l’Essence Munale et celle-ci, d’après un des Mbwa Munaux, fait de lui le Siège ou Principe Irréductible de sa Conduite, c’est-à-dire le Gouvernement de Soi en Soi, par Soi et pour Soi, un Dqmbala, connaissance vraie, puisque le MUN est pour cheminer vers la Perfection, soit la Négro-divinité, le plus haut point de son Être, sa Substance : “Nous avons osé être libres - soit Gwqmun -, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes”, ce qui signifie puiser en soi-même et continuer sans cesse, et pour toujours, à le faire pour la floraison de soi-même. Ce sont là des idées du plus haut point qui soit, dictées par notre munité à travers la munsqmba, connaissance vraie de nous-mêmes. Le Soi est aux commandes et, par conséquent, il rejette avec force l’autre : “Le nom français”’ dont le terme général ici est blancisme, “lugubre encore nos contrées. Tout y retrace le souvenir des cruautés de ce peuple barbare ; nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française ; que dis-je, il existe des Français dans notre île,  : “Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves.” On ne vit pas dans l’autre, soit sa pansée, mais en Soi-Même, dans le cas contraire cela s’appelle “esclave”, en terme précis, esclavagisé-e-, une logique implacable.”Marchons sur d'autres traces “, dit Jean Jacques Dessqlines.  

La conséquence de cela :« L’esclavage (esclavagisation) est à jamais aboli ». 

Le contexte oblige l’accentuation suivante car l’Affirmation de Soi est en ébullition face au plus grand Mal qui soit, le blancisme : “Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété.”  C’est comme tout dire!

 

De la Constitution de l’Empire d’AYITI, promulguée le 20 mai 1805 à Dessalines, Capitale de l’Empire d’AYITI. 

D

Jacques 1er, le Grand Savant en la matière, qui sait très bien dans quel monde nous vivons, prend le temps de bien construire l’Édifice, l’OEuvre dont il dit : “C’est mon zèle, sans doute, à veiller sur le salut de l’Empire, c’est ma volonté à consolider notre entreprise, entreprise qui donnera de nous, aux nations les moins amies de la liberté non l’opinion d’un amas d’esclaves, mais celle d’hommes - MUN - qui prédilectent leur indépendance aux préjudices de cette considération que les puissances n’accordent jamais aux peuples qui, comme vous, sont partisans de leur propre liberté...”. D’après ce qui précède, l’Oeuvre est grandiose, le moins qu’on puisse dire, et, en sus, complète en elle-même. Elle est, en plus d’être Unique et Particulière, révèlatrice de l’Être que Nous sommes, soit sa Grandeur, puis dont la vocation est : “d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens d’une manière immuable et irrévocable”. D’emblée l’Éternité de l’Empire d’AYITI est énoncée puisque rien que lui porte cette responsabilité. Depuis Bukman, il est dit que Notre Dieu, Bon-Dieu, est à l’origine de notre Combat pour la Gwqmunité, dont l’Empire d’AYTI est le Magnifique Édifice. Jean Jacques Dessalines maintes fois nous dit que l’Empire d’AYITI est le résultat des Décrets Divins. Cette idée revient dans le texte de la Constitution en termes de “ Décrets Immortels Divins” . Le discours du 1er janvier 1804 laisse sous-entendre qu’il y a des militaires qui n’étaient pas totalement sous la Direction de l’Ancestralité : “ Généraux, et vous chefs, réunis ici près de moi pour le bonheur de notre pays, le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance.

S'il pouvait exister parmi vous un cœur tiède, qu'il s'éloigne et tremble de prononcer le serment qui doit nous unir.

Jurons à l'univers entier, à la postérité, à nous-mêmes, de renoncer à jamais à la France, et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination.

De combattre jusqu'au dernier soupir pour l'indépendance de notre pays ! “

“L’Éternité” de Notre Pays exige cet article de la Constitution : “La force armée est essentiellement obéissante, nul corps armé ne peut délibérer”. Il est clairement dit qu’aucun coup ne peut venir de l’Armée ni des militaires parce que l’action sera inconstitutionnelle, soit nulle et non avenue, sans effet, sur l’Institution Impériale, autrement dit, l’Empire d’AYITI.

Aucune alliance, de quelque nature que ce soit, pourvu qu cela touche l’Institution, soit l’Éternel Empire d’AYTI, ne peut se faire entre quelqu’un-e- de l’intérieur et une personne de l’extérieur : “ Jamais aucun colon ni Européen ne mettra le pied sur ce territoire à titre de maître ou de propriétaire. Cette résolution sera désormais la base fondamentale de notre Constitution» et c’est là le point fort, le point indépassable. Notre Constitution est une Loi-théorème, sa Base Fondamentale est Nous, notre Essence. Elle est irrévocable et Être à jamais.

Dans le monde sensible l’Empire d’AYITI est fondé en et par Jean Jacques Dessalines : “par ses services, son influence et ses talents, IL a su élever l’édifice de notre indépendance et notre liberté”, ce qui est nécessaire et indispensable au Pays qui s’en vient. La seconde étape est de “décerner au seul chef capable de représenter ..., un titre auguste et sacré qui concentre en lui les forces de l’État”. L’Empire est seulement a priori. La représentation dessalinienne est sa yunité pré-impériale avec le Peuple non une absorption, des gens séparés les uns des autres, par lui, du Peuple. Cela permet l’énoncé suivant : “le Peuple se fait État” puisque le Peuple est Peuple par la yunité seconde, le Peuple-État dont le Nom est l’Empire d’AYITI. Le Peuple est dans “le Titre Auguste”:“déférons audit citoyen Jean Jacques Dessalines le titre d’Empereur d’Haïti et le droit de choisir et de nommer son successeur”. “Désirons que cette expression libre de nos cœurs et déjà provoquée par le peuple, soit offerte à sa sanction sous le plus bref délai et reçoive sa prompte et entière exécution par un décret du peuple qui sera extraordinairement convoqué à cet effet La yunité est à l’oeuvre. “Si quelques considérations justifient à mes yeux le titre auguste que votre confiance me décerne, c’est mon zèle, sans doute, à veiller sur le salut de l’empire, c’est ma volonté à consolider notre entreprise.” Cette construction, Jean Jacques Dessalines la détermine en termes de “consolidation” et “d’entreprise”. C’est la réalisation extérieure de l’Empire d’AYITI. Jean Jacques Dessalines en est l’Auteur : “mais puissent mes successeurs suivre la marche que je leur aurai tracée ! C’est le système le plus propre à consolider leur puissance : c’est le plus digne hommage qu’ils pourront rendre à ma mémoire “.

Il découle de ce qui est dit que l’Empire d’AYITI Est en Jean Jacques Dessalines et qu’il doit nécessairement se perpétuer en Jean Jacques Dessalines. Le système dessalinien consiste à marcher dans l’enseignement et sur la génétique de Jean Jacques Dessalines. Pour cette dernière partie il est dit dans la Constitution que le Titre d’Empereur reconnait les Enfant de Jean Jacques Dessalines : “Il sera affecté, par l'État, un traitement annuel aux enfants reconnus par Sa Majesté l'empereur”.Par cet acte l’Empereur Jacques 1er entre les Enfants de Jean Jacques Dessalines dans la Structure de l’Empire d’AYITI pour cristalliser son Être comme base de celui-ci. Cela se fait tout simplement par ses chromosomes. C’est un coup de génie. Il n’y a là rien d’étonnant car il s’agit de Jean Jacques Dessalines. Jean Jacques Dessalines se perpétue, en tant que Principe, dans la Structure de base de l’Empire d’AYITI par ses chromosomes à travers sa génération. Ainsi il fait échec à tout épuisement, tout possible écart et peut, sans faille, dire que l’Empire d’AYITI est et sera toujours la VOIE, Sa Voie. Il y a plus. Tout-e- Enfant de l’Empereur, qui est bien imbu-e de la Dessalinienne, peut, et en a l’obligation suffisante, par les forces de l’État qui sont dans l’Empereur ou le Titre d’Empereur et qui sont forcément en Lui ou Elle, intervenir efficacement au bénéfice du Peuple-État, l’Éternel Empire d’AYITI, en cas de nécessité pour empêcher ou rétablir quoi que ce soit. Elle ou Il est en avant de l’Empire d’AYTI, face à tout, de quelque nature que ce soit, pour la protection sans faille du Peuple-État. IL ou Elle est la continuité sans cesse garantie et assurée de la pratique du Soi du Peuple-État. En d’autres mots Elle ou IL se tient là, comme un gardien, pour que le Peuple-État puisse profiter pleinement de Son Pays, Son Corps. Ainsi Jean Jacques Dessalines est aussi Éternel que son Édifice; une logique toujours implacable. 

Celui ou celle qui se retire se livre à des conséquences désastreuses, qui ne viennent pas de l’Empire d’AYTI mais de là où ils prennent refuge. La raison est simple :“Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes, il convient d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens d’une manière immuable et irrévocable, et que le plus sûr moyen d’atteindre ce but est de décerner au seul chef capable de représenter et de gouverner dignement la nation, un titre auguste et sacré qui concentre en lui les forces de l’État, qui en dispose au dehors et qui en est au dedans la gage de la tranquillité.” Il y a plus : “Que d’autres chefs, après moi, creusent leur tombeau et celui de leurs semblables, en tenant une conduite diamétralement opposée à la mienne, vous n’en accuserez que la loi inévitable du destin qui m’aura enlevé au bonheur et au salut de mes concitoyens, concitoyennes”; et le plus fort: « Qu’elle vienne, dit Jean Jacques Dessalines, cette puissance assez folle pour m’attaquer! Déjà, à son approche, Notre Dieu irrité d’Ayti, sortant du sein des mers, apparaît; son front menaçant soulève les flots, excite les tempêtes; sa main puissance brise ou disperse les vaisseaux; à sa Voix redoutable, les lois de la nature obéissent; les maladies, la peste, la faim dévorante, l’incendie, le poison volent à sa suite ». Alors il n’y a pas d’autres issues que Jean Jacques Dessalines. 

Voilà Notre Pays, Glorieusement appelé l’Empire d’AYITI !

E

 La vallée de la mort

Le blancisme encercle l’Empire d’AYITI en vue de le détruire, une contradiction dans les termes. Cependant, par ses forces maléfiques il y fait régner la cime de l’horreur. Il y viole toutes les lois, celles de l’intérieur comme celles de l’extérieur. L’esclavagisation est ce qui lui est le plus cher. Sur le continent masuana, il n’y a pas un Peuple Nègre qui ne soit pas agressé en ce sens. Il mobilise toutes ses forces destructrices. Il y fait un carnage. Aujourd’hui le 12 janvier, c’est l’anniversaire d’un de ces scènes d’horreur sur le Territoire de l’Empire d’AYITI. Le génocide est en cours depuis des années

F

Tous les gens du dehors qui tuent, sous quelque forme que ce soit, sont en état d’arrestation et, ainsi que ceux de l’extérieur qui les assistent comme au temps de Napoléon Bonaparte, ils ne doivent pas quitter le Territoire Impérial même si rien ne leur signifie. Ils se connaissent et savent très bien ce qu’ils font. Pour ceux qui sont à l’extérieur, nous travaillons sur leur cas au niveau du tribunal pénal international. Toute personne à laquelle on intime l’ordre de se mettre à la disposition du Tribunal Impérial doit se soumettre sans disputer. 

Etc., etc., etc.

Nous invitons tous les gens, sans considérations épidermiques, à travailler avec nous à l’arrestation de nos génocidaires, sans oublier les crimes contre l’humanité, au niveau du tribunal pénal international.

Le Décret est en vigueur dès aujourd’hui, le 12 janvier 2025n en mémoire des victimes du tremblement de terre.

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

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