"L'esclavage est à jamais aboli' à toute transgression de notre territoire, la peinière !
L’Éternel Empire d’AYITI, c’est NOUS, les Invincibles
Le Décret 70000000 Inviolabilité de l’Éternel Empire d’AYITI 00000007 20 janvier 2025
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - l = © Tous droits réservés
q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é, ¼ = on, ñ
L’inviolabilité de l’Éternel Empire d’AYITI
Conformément à la loi fondamentale de l’Éternel Empire d’AYITI, tout l’univers, particulièrement la planète terre, est témoin de notre Affirmation de Soi, avec acuité, et notre ferme et invincible détermination à vaincre irrelativement tout vent contraire et contradictoire, quelle que soit sa provenance. C’est cela Être !
Nous sommes des mêmes gènes et de la même science que nos Ancêtres. La manifestation dans le monde sensible de ce que nous sommes, soit l’Empire d’AYITI, est irréversible et antisismique car nous sommes invariablement faits pour camper en ce que nous sommes, Notre Soi.
Le changement cosmétique ou le renouvellement du personnel dans l’espoir de berner, nous ne savons pas qui, et camoufler le jeu sinistre, projet collé au monstre, vrai cannibale, afin d’aller de l’avant dans le crime positif contre le Peuple Impérial, selon l’idéologie du blancisme, c’est-à-dire le terrorisme, le génocide, le crime contre l’humanité, bref, l’eliminrgyo.
Saches que chez l’autre, spécialement chez Nous, Nègres et Négresses, êtres dont le prédicat est Nrg-Nrgrs Ginc, est inaccessible. En d’autres mots on n’y entre pas, dans l’Empire d’AYITI, non comme on veut mais tout simplement pas parce que nous sommes Indomptables et Insoumis, Insoumises. Ces caractéristiques vont de concert avec un sentiment d’une grandeur inimaginable, lequel est l’incompatibilité avec l’irrémissibilité. Le sentiment d’irrémissibilité est merveilleusement défini comme suit par l’Invincible Général et Éternel Empereur : acte de rendre aux vrais cannibales ce qui est en pleine conformité à leur nature.
Quelle que soit l’intensité du mal, rien n’est plus ni autant savoureux que d’agir pour se garder en soi, par soi et pour soi. Cet agir ne nécessite aucun principe sacrificiel au contraire. Il porte en lui tout le sens de l’être et l’existence. C’est déjà les rayons du Blrz, la plus grande et forte agréable sensation d’être avant même l’atteinte de la Négro-divinité. Dans un contexte comme le kokcn hcn dewqjmq, l’hommalité pousse comme des champignons, proportionnellement à cela notre élan d’agir, soit en découdre avec la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. C’est le sentiment le plus suave, un sentiment de grandeur, laquelle est de s’élever à la hauteur de soi-même.
Le blancisme n’entend pas lâche prise, il revendique notre terre ancestral, notre corps, ce qui comprend notre conduite, nos ressources et nos richesses et enfin notre mort parce qu’il ne parvient pas à nous asservir. Il entreprend toutes sortes de démarche pour atteindre son objectif. Notre Empire, l’Empire d’AYITI, qui est NOUS, est pour lui une démangeaison sans cesse.
Il a beau attaqué l’Empire d’AYTI en assassinant Jacques 1er en vue de le renverser. L’Édifice Impérial est, certes, fondé en Jean Jacques Dessalines par “des Décrets Divins Immortels” et se perpétue physiquement en ses générations par leur appropriation par le Titre d’Empereur. Aucun élémént de nature à contrarier et même supprimer ce qui va dans le sens de la Production Continue de Notre Dieu, Bon-Dieu, ne peut l’atteindre. L’OEuvre est d’une construction et une solidité exceptionnelles.
Ne pouvant pas atteindre l’Empire d’AYITI, même par l’empoisonnement physique de Jean Jacques Dessalines, le blancisme français, par l’empereur Napoléon Bonaparte, s’est imaginé un territoire sur lequel il a institué une république reposée sur des idéologies, des organismes, des institutions extérieurs, qui se renforcent de plus en plus en nombre, et de véritables gens se postant, par infraction puisqu’ils étaient par Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, à l’intérieur du Territoire en qui elles prennent forme par l’érection de leur personne en obstacle réel à l’Administration de l’Institution réelle, l’Empire d’AYTI, pour aboutir, après toutes sortes de manoeuvres tantôt fructueuses tantôt infructueuses, par exemple, décalage interne, christianisation, diplomatie, endettements, gangstérisme, assistances bilatérales, associations, économie, alliances bilatérales, vol de richesses et de ressources, etc., à la mise en place de l’autorité esclavagiste en instituant un groupe, composé de soi-disant diplomates, dont la responsabilité est de gérer, dans l’obscurité, en assocition avec les groupes de liaison du dehors servant de territoire de la nouvelle pratique de la politique de l’esclavagistion. Cette assemblée constituant l’autorité comporte tous les champs d’action en administration politique et la pensée de la politique appliquée dans l’esclavagisation.
Chaque a membre ses responsabilités particulières. Il revient au Canada la présidence. Le choix n’est pas sans raison spéciale. Pouvons-nous simplement dire que finalement l’hostilité congénitale du Canada à l’égard de l’Éternel Empire d’AYITI, à sa naissance, se révèle payante.
Les gens du dehors se sont institués en autorité, laquelle ne peut pas s’exercer à ciel ouvert sur le Territoire parce qu’il est plein et inaccessible. Ils se dédoublent. Ils se donnent une apparente organisation dans le visage des atha, les tubabu, laquelle est une copie du modèle commun, un président ou une présidente, des ministres, de nos jours un premier, une première, ministre, et tout ce qui s’ensuit. Il y a même une constitution, des lois, etc. Toute cette organisation n’a pas force de présence face aux blancistes. C’est du papier. Elle est là pour exécuter la politique esclavagiste. L’élection de la présidence est une désignation par l’autorité de l’ombre. Le Canada te racontera tout. La constitution n’a pas voix au chapitre devant les blancistes. Le dehors s’occupe de tout ce qui est du dehors et laisse aux tubabu ce qu’on appelait déjà du temps de Napoléon Bonaparte le pouvoir noir. Le pouvoir noir, conformément au vide, s’invente une petite société pour faire ombrage au Peuple Impérial, qui, par manque d’outils, ne peut pas administrer, et recevoir dans le noir de la chose ses récompenses. Mais tout ce qui a du poids vient du territoire imaginaire, soit l”extérieur.
Le pouvoir noir fait figure de multitude informe parce que les atha qui le portent ne sont pas liés entre eux et qu’ils ne sont attachés que singulièrement au blancisme, qui n’est pas non plus connecté de l’intérieur à eux même s’il est leur âme. Si mentalement ils s’imaginent la réalité telle quelle, dans le sens qu’ils ne se voient pas comme un tout avec les blancistes ou une nation en eux, ils, en ce court temps, capotent.
L’autorité de l’ombre est, certes, mentale parce que l’Éternel Empire d’AYTI est irréversible et à jamais inaccessible à notre ennemi naturel. Cependant les blancistes, les esclavagistes, à travers les bunda qmr, qui sont pourchassés depuis l’avènement du Pays Ancestral, Pays de Jean Jacques Dessalines, à cause de leur allégeance au blancisme, mènent à présent, à travers cette fausse réalité, à ciel ouvert par leurs faux pas constants. La situation est comme un tourbillon dans la main des blancistes. Ils sont dépassés par les événements puisqu’ils cherchent à bluffer là où la chose est d’une évidence! En les observant on voit très bien qu’ils nagent dans des eaux troubles. Plus ils s’y perdent, plus ils se livrent.
Les blancistes ont pour objectif de reprendre le Territoire Ancestral, diriger, devenir le propriétaire et se venger. Par ces points ils veulent prouver à ceux qui sont témoins de ces choses, soit l’Éternelle Victoire de Nos Ancêtres, dont Jean Jacques Dessalines est l’exécutant, que rien ne s’était passé et que tout marche sans discontinuité, autrement dit, ils violent la loi ancestrale, soit la Constitution et les lois du dehors dites internationales. Ils prennent l’Éternel Empire d’AYTI pour le pouvoir noir.
On agit toujours an accord avec sa pensée. Les blancistes ont le champ libre, ils ne se privent de rien. Il y a deux principales raisons à cela. La première est que le Canada est le chef de l’esclavagisation. Cette organisation, le Canada, est majoritairement peuplée, et par voie de conséquence, gouvernée par des criminel-le-s de première classe. Le Canada est une dictature sauvage épouvantable. Il n’y a là rien de surprenant, une chatte n’accouche que de chats et chattes. Cette horreur innommable est structurée en forme pyramidale. La pointe se constitue des autorités. Les lignes, de haut en bas, impliquent les fonctions et les statuts des gens. La ligne du bas représente la population. Les autorités se servent des gens aptes à la criminalité pour monter des coups contre ceux et celles contre lesquels elles éprouvent quelque choses forcément de négatif et aussi pour des raisons idéologiques et politiques. C’est une pratique dont ils raffolent. Il est déjà demandé, depuis plusieurs décennies, aux gens, à l’interne, visés par les haines canadiennes et aussi à celles et ceux qui sont déjà victimes de cette canadienneté d’une férocité indescriptible, laquelle ravage particulièrement les jeunes nègres et négresses, de bien conserver les pièces à conviction, notamment les attestations des juges, pour le tribunal pénal international. La majeure partie de la population et la quasi totalité des autorités, surtout les plus puissantes, sont de la monstruosité bien décrite par Jean Jacques Dessalines, le fils élevé par Agbawaya Toya. Les gens retiennent leur souffle devant cette cime de l’horreur, le Canada. À l’échelon international le Canada fait figure d’épouvantail.
Nous y arrivons, l’international. C’est là que le monstre, le vrai cannibale, se révèle notre ennemi naturel, comme Jean Jacques Dessalines nous l’enseigne. À l’extérieur, là où rien ne l’arrête, surtout chez les Nègres et Négresses, il s’y adonne à coeur joie, à titre d’exemple, le génocide, le terrorisme doublement brutal, le crime contre l’humanité, etc., etc., etc.
La deuxième raison est que les bunda qmr, étant dépouillés d’eux-mêmes par le vrai cannibale, le blancisme, n’ont plus de volonté propre. Ils veulent ce que veut le maître. Ils ne savent pas dire “non”. Ils sont donc les instruments de la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, le blancisme.
Ce qui se passe sur les gens, sur le Territoire de l’Éternel Empire d’AYITI, est ahurissant. Les gens ne peuvent pas bouger, ils sont encerclés de tribord à bâbord, une position de mort décidée pour eux par le Canada. Des enlèvement de toutes sortes, des assassinats, des vols de ressources, des actes terroristes affreux, maladies, paupérisation, génocides. Rien n’est impossible.
Quant aux bunda qmr, ils exécutent tout ce que le chef, le Canada, leur dit car ils se croient protéger. Le maître le dit alors que le maître lui-même tremble à la pensée de ce qui l’attend. Son seul espoir est de pouvoir faire régner la terreur, par sentiment de criminalité, avant de se faire prendre. Son heure viendra certainement, il le sait.
Le pays des blancistes n’est plus, en fait il n’a jamais été. Ce qui est dans le mental n’est que du vent.
Le seul qui soit est l’Empire d’AYITI
“Quel peuple a combattu pour nous ! Quel peuple voudrait recueillir les fruits de nos travaux ?
“Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes!
“le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance.
“S'il pouvait exister parmi vous un cœur tiède, qu'il s'éloigne et tremble de prononcer le serment qui doit nous unir.
“Jurons à l'univers entier, à la postérité, à nous-mêmes, de renoncer à jamais à la France, et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination.
“De combattre jusqu'au dernier soupir pour l'indépendance de notre pays !
“Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti.
“L'esclavage est à jamais aboli
“Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété.”
ENFIN
C’est enfin l’heure de faire face aux tribunaux. Les moyens, qui faisaient défaut à l’Empire d’AYITI pour continuer sans relâche à faire fonctionner son Administration, sont comblés.
Personne ne peut s’échapper à la peinière. Nous n’avons jamais cessé de travailler à l’arrivée de ce jour. Rien n’est plus beau ni aussi beau que de travailler, se battre, pour son pays, surtout quand ce Pays est l’Empire d’AYITI, un Bijou Inestimable.
La planète terre vit ses meilleurs temps car l’Éternel Empire d’AYTI agit plus puissamment qu’autrefois.
Il est interdit à tous les membres de l’Empire d’AYITI de mourir, même de mort naturelle, sauf de blancismique.
Continuez de parcourir tous les lieux, ici comme ailleurs, pour porter l’Évangile de libération, celle qui nettoie et nous introduit hic et nunc dans le BLRZ.
Que ceux et celles qui ne sont pas encore avec nous, en train de préparer d’abord les plaintes internationales et ensuite le mode de juger de l’Empire d’AYITI, qu’ils s’amènent, le teint ne compte pas ici. Il y a de la place pour tout le monde.
Etc., Etc., Ect.
Le Décret est en vigueur dès aujourd’hui, le 20 janvier 2025.
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn
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