ICI DESSALINES CE QU’IL FAUT SAVOIR DE LA LOUPERIE, PRÉDATION BLANCISTE.

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 m = z © Tous droits réservés


ICI DESSALINES
 CE QU’IL FAUT SAVOIR DE LA LOUPERIE, PRÉDATION BLANCISTE.


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q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é


UNE VISION DU MONDE DES PLUS SAUVAGES, DES PLUS SANGUINAIRES, DES PLUS BASSES DE HAUTEUR, VOIRE SANS PROFONDEUR, ET DES PLUS DANGEREUSES POUR L’HARMONIE, LE MAINTIEN DANS LA PRÉSENCE ET LA SURVIE DE L’ORDRE DU NOUS.





Il y a deux points à retenir pour cette courte, succincte et puissante excursion, 1) Toute collectivité a un fondement discursif, 2) Tout discours fondateur implique un objectif dont la force est de coordonner l’action des membres. En d’autres mots le but collectif détermine ce qu’il faut faire et forcément ce qu’il ne faut pas faire pour bien vivre. Alors toute personne s’intéressant à la chose collective, surtout quand il s’agit d’un groupe en particulier, doit savoir quelle en est la finalité, c’est-à-dire quel but y poursuit-on.   



Point n’est besoin de signaler que le blancisme n’est pas savqn et que, par conséquent, tout ce qui s’y fait répond à l’exigence de son objectif. La chose politique n’est pas une connaissance sensible mais une science que l’on acquiert à l’intérieur d’un cadre bien précis, par exemple l’école et l’observation.  


En dehors de ce cadre on peut, pour des besoins immédiats, se faire des idées de la politique-pratique, mais, comme elles sont collées sur l’expérience sensible, donc sans cause, elles ne doivent pas être des convictions. Il faut s’en servir comme moyen de s’informer.


Ceci étant dit, je passe à la mise en lumière de l’être du blancisme, son projet social et son projet planétaire.


L’être du blancisme se forme comme suit : une nature d’origine divine et l’homme, ceci est très important, qui se tient en dehors de celle-ci à cause de son identité au principe de la nature, ce qu’il appelle dieu. Seuls les non-hommes sont pris dans la nature, incapables de la transcender. L’homme doit dominer la nature comme dieu, son dieu, domine tout. C’est un aspect de l’objectif à atteindre à travers l’organisation politique, appelée d’abord société sous certains aspects et nation, pays, royaume, etc., sous d’autres.


La domination, comme objectif irrelatif et sens de la vie de l’homme – un autre point très important à retenir -, se fait sur deux plans. Le premier est interne, c’est-à-dire au sein de l’homme même. Il ne s’agit pas de la maîtrise de soi, une conduite personnelle, mais d’une structure hiérarchique au sein de l’homme même. Cela s’impose parce que l’homme n’est pas une unité élémentielle, comme le mun, mais une multitude d’individus – le mot d’individu est pris dans le sens européen du terme – disparates, sans lien entre eux. Le terme qui définit mieux cette anthropologie est kuku, soi, encore soi et toujours soi. En d’autres mots l’homme ne se limite qu’à soi, l’individu. Cette conception, homme-individu, est tirée de la doctrine chrétienne selon laquelle « Le salut est personnel ». Cela évoque le « chacun pour soi ». Les auteurs donnent à l’homme ou l’individu une nature concrète, observable, sous le vocable de droit, droit à la vie, droit à la liberté et droit à la propriété ou la possession. Les deux derniers droits sont subordonnés au premier et sont des moyens par lesquels l’homme-individu s’accomplit. Les auteurs ajoutent à cette nature le caractère partagé avec la divinité.  


Étant donné que l’homme est l’individu, il y a autant d’hommes que d’individus et vice versa.


Parce que les hommes tendent de par leur constitution à agir par et pour eux-mêmes, ils se trouvent dans une situation conflictuelle. Le conflit fait donc partie même de l’homme. Le conflit est l’opposition farouche de l’un aux autres.


C’est ici que se donne sans ombre le projet de vie de l’homme, lequel projet est de faire échec à la tendance des autres en parvenant à les greffer sur soi, son individualité propre, ce qui s’appelle la hiérarchisation, au mieux, la domination.


L’anthropologie du droit ou des droits de l’homme, qui a vu le jour au dix-septième siècle, une doctrine du philosophe anglais, Thomas Hobbes, dont je suis le spécialiste, et qui trame toute la réflexion philosophique et politique, cela jusqu’aujourd’hui, vise à faciliter l’atteinte de l’objectif.


Alors, si étrange que cela puisse paraître, le conflit a une valeur positive chez les blancistes parce qu’ils en font le mode de création de soi, c’est-à-dire l’homme. Les propriétés de la nature de l’homme que l’on voit ci haut sont les prémices et la gestion du conflit naturel est le moyen de terminer la création, un individu-homme en qui se trouvent tous les attributs de l’idée de dieu, le dieu de l’homme ou des blancistes, comme l’a dénommé Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand, le Messie.  


Toutes les royautés européennes sont des tentatives de création de l’homme, un empereur, un roi, une reine identifié(e) à dieu, sous la forme de son pouvoir sur terre. C’est pourquoi l’État se réduit à cette personne.


L’anthropologie des droits ne conteste pas la pensée selon laquelle « l’État, c’est moi » mais les familles qui s’élèvent à la hauteur de l’homme, dont cette pensée est l’expression. Ce combat est légitime parce que l’homme est naturellement conflit. Les auteurs maintiennent l’idée mais cherchent à renverser les enfants du pouvoir divin, une stratégie.


La nouvelle anthropologie déloge l’origine du pouvoir et le fait dériver des individus, des hommes. Le pouvoir repose sur l’approbation des individus. C’est ce qui s’appelle démocratie. Pouvoir démocratique versus pouvoir divin. Au lieu d’être divin, le pouvoir est humain, au service des humains.


Le pouvoir se nomme pouvoir parce qu’il est engendré par le renoncement au droit de liberté, qui consiste à se diriger soi-même. Il y a déjà là une dépossession de l’individu de lui-même. Pouvoir et commandement vont de compagnie. Pouvoir signifie alors domination. Bref le pouvoir est une question de domination de l’homme par l’homme.


Le combat prend une autre forme. Le pouvoir, qui est une domination, est et demeure l’objectif à atteindre par l’un. Puisque ce n’est pas dieu qui choisit l’un, l’individu-homme, les conditions pour la coïncidence de l’un et du pouvoir sont maintenant fixées par les hommes. Ce qui veut dire qu’on encadre et institutionnalise le conflit, caractère de l’homme. C’est pourquoi le mode de vie du blancisme est la sauvagerie en système. Il faut se battre pour se placer au-dessus des autres car c’est moral, c’est-à-dire que cela est conforme à sa nature. Mais on ne le fait pas n’importe comment. Le pouvoir que l’on institue, une instance au-dessus de tout,  dicte les règles et veille à ce qu’elles soient respectées. D’où son caractère séparé du peuple. Le pouvoir doit être en dehors de celui-ci pour le diriger, lui dicter sa conduite, soit le dominer. La puissance ainsi conçue est déjà un élément de la création de l’homme.  


Le pouvoir crée et administre le match social. Oui des êtres de conflit ne peuvent avoir qu’une culture d’affrontement. Le match, c’est l’exploitation de ses talents, qui ici n’appartiennent en propre qu’à l’individu, rien qu’à lui. C’est le jeu de liberté, ici capacités intellectuelles en vue d’ordonner sa vie. Ce droit, c’est-à-dire la liberté, est le même auquel on renonce pour instituer le pouvoir. Cependant le renoncement n’est pas total. On ne doit pas en faire usage pour se donner une conduite, on peut y recourir pour l’emporter sur les autres dans le match en plaçant ses pions à leur désavantage. Comme on peut le constater, la politisation blanciste, course à l’hommalité unique, n’est pas une détente mais un champ de bataille impitoyable. On défait l’autre à notre profit.  


Qu’est-ce qui est en jeu en humanité, le match blanciste? La possession. L’idée de possession ici implique tout, toutes choses, et elle est globale. La collectivité-politisée blanciste est une prédation sauvage. Le ballon du match est production et consommation. Ce sont là des termes au sens très large. On produit des idées en vue de la consommation, on produit des biens et services dans la même visée. Tout le monde est potentiellement dans la course, on mise sur ses talents. Tout est une question d’habileté.


On a tendance à ne voir l’affrontement que sur le plan des affaires. Il est vrai que cela relève de la connaissance sensible. On met sur pied des compagnies, on réussit à les rentabiliser et on se fait bouffer par d’autres en vue de maximaliser leur possession. C’est le jeu d’élimination et de maximisation du match. Les mesures gouvernementales, du pouvoir, le favorisent. Il le faut. Celles et ceux qui ne comprennent pas le match de la politisation et la nature comme la fonction du pouvoir voient à tort dans ce comportement de l’État son asservissement aux grandes activités économiques et celles-ci comme le véritable pouvoir. Toutes ces activités sont soumises à l’État. Pour ce qui est du pouvoir, il n’est soumis qu’à son objectif spécifique qui est de produire l’un, soit l’homme, le maître et possesseur de toutes choses. Les hommes d’idées, peu visibles certes, sont aussi importants sur le terrain. Leur campagne est puissante. La création de l’homme, c’est de prendre entièrement possession du champ du droit de liberté afin de maîtriser l’adversaire. L’homme d’idées peut aussi parvenir à imbriquer leurs pairs ainsi que les grandes fortunes. Les hommes d’idées dominent le terrain des pensées.  


Tout cela se passe bien évidemment à l’intérieur du blancisme mais le même jeu, sous une forme différente, a lieu à l’extérieur, savoir la maîtrise des adversaires par les idées, les doctrines politiques, la religion, l’école, la récréation, la franc-maçonnerie, etc., etc., etc. - là les habitantes et habitants parasitent les auteurs blancistes -, et le transfert des ressources.  


Il y a un pouvoir dans ces lieux assiégés ou occupés mais il est différent de la puissance-mère, le pouvoir-prédateur blanciste qui le commande. Cela influe sur sa forme.


Il faut inconditionnellement lire mon livre à ce sujet :

Pour une nouvelle planète terre

Ce savoir nous dit sans ambages que les blancistes sont de purs sauvages et que, par conséquent, ils ne sont pas fréquentables, « … un monstre que la terre engloutit trop lentement, nous dit Dessalines, le Plus Que Grand.


Le mode d’être dans le monde et le modèle dessaliniens sont les seuls qui soient à la mesure de notre être. Il n’y a de vie qu’à l’ombre de l’Éternel Empire de Toya-Dessalines, forme propre de la Dessalinienne dans le monde sensible.


Voilà ce que c’est le Rétablissement de l’Administration Impériale. Le Rétablissement est la gestion de votre vie, vos affaires, directement par vous-mêmes conformément à la pensée du Plus Que Grand, Jean-Jacques Dessalines, soit vous d’abord et avant tout.


Plus vite vous complétez la liste de vos préoccupations, c’est-à-dire ce que vous voulez entreprendre comme activité korbique, plus vite l’Administration Impériale pourra entreprendre ses activités en ce sens, votre seul et unique SALUT.

La Dessalinienne est une doctrine collective et une pratique relevant de grandes spéculations héritées des Ancêtres au moyen de l’Ancestralité.

Méditez à l’approche du premier janvier (2017), jour de l’institution du gouvernement de soi par soi.  La vie collective n’est pas savqn, ici n’importe quoi, il en faut la science pour comprendre. Le savoir éclaire la voie. Elle évite de dire et faire n’importe quoi.  


Pour la Maison Impériale Dessalines

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

Blog de Tiécoura Dessalines :


Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr


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