ICI DESSALINES CE QU’IL FAUT SAVOIR DE LA LOUPERIE, PRÉDATION BLANCISTE.
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ICI DESSALINES
CE QU’IL FAUT SAVOIR DE LA
LOUPERIE, PRÉDATION BLANCISTE.
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r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
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h = ch
e = é
h = ch
e = é
UNE VISION DU MONDE DES PLUS
SAUVAGES, DES PLUS SANGUINAIRES, DES PLUS BASSES DE HAUTEUR, VOIRE SANS PROFONDEUR, ET DES PLUS
DANGEREUSES POUR L’HARMONIE, LE MAINTIEN DANS LA PRÉSENCE ET LA SURVIE DE
L’ORDRE DU NOUS.
Il y a deux points à retenir pour cette
courte, succincte et puissante excursion, 1) Toute collectivité a un fondement
discursif, 2) Tout discours fondateur implique un objectif dont la force est de
coordonner l’action des membres. En d’autres mots le but collectif détermine ce
qu’il faut faire et forcément ce qu’il ne faut pas faire pour bien vivre. Alors
toute personne s’intéressant à la chose collective, surtout quand il s’agit
d’un groupe en particulier, doit savoir quelle en est la finalité, c’est-à-dire
quel but y poursuit-on.
Point n’est besoin de signaler que le
blancisme n’est pas savqn et que, par conséquent, tout ce qui s’y fait répond à
l’exigence de son objectif. La chose politique n’est pas une connaissance
sensible mais une science que l’on acquiert à l’intérieur d’un cadre bien
précis, par exemple l’école et l’observation.
En dehors de ce cadre on peut, pour des
besoins immédiats, se faire des idées de la politique-pratique, mais, comme
elles sont collées sur l’expérience sensible, donc sans cause, elles ne doivent
pas être des convictions. Il faut s’en servir comme moyen de s’informer.
Ceci étant dit, je passe à la mise en
lumière de l’être du blancisme, son projet social et son projet planétaire.
L’être du blancisme se forme comme
suit : une nature d’origine divine et l’homme, ceci est très important,
qui se tient en dehors de celle-ci à cause de son identité au principe de la
nature, ce qu’il appelle dieu. Seuls les non-hommes sont pris dans la nature,
incapables de la transcender. L’homme doit dominer la nature comme dieu, son
dieu, domine tout. C’est un aspect de l’objectif à atteindre à travers
l’organisation politique, appelée d’abord société sous certains aspects et
nation, pays, royaume, etc., sous d’autres.
La domination, comme objectif irrelatif et
sens de la vie de l’homme – un autre point très important à retenir -, se fait
sur deux plans. Le premier est interne, c’est-à-dire au sein de l’homme même. Il
ne s’agit pas de la maîtrise de soi, une conduite personnelle, mais d’une structure
hiérarchique au sein de l’homme même. Cela s’impose parce que l’homme n’est pas
une unité élémentielle, comme le mun, mais une multitude d’individus – le mot d’individu
est pris dans le sens européen du terme – disparates, sans lien entre eux. Le terme
qui définit mieux cette anthropologie est kuku, soi, encore soi et toujours
soi. En d’autres mots l’homme ne se limite qu’à soi, l’individu. Cette conception,
homme-individu, est tirée de la doctrine chrétienne selon laquelle « Le
salut est personnel ». Cela évoque le « chacun pour soi ». Les
auteurs donnent à l’homme ou l’individu une nature concrète, observable, sous
le vocable de droit, droit à la vie, droit à la liberté et droit à la propriété
ou la possession. Les deux derniers droits sont subordonnés au premier et sont
des moyens par lesquels l’homme-individu s’accomplit. Les auteurs ajoutent à cette
nature le caractère partagé avec la divinité.
Étant donné que l’homme est l’individu,
il y a autant d’hommes que d’individus et vice versa.
Parce que les hommes tendent de par leur
constitution à agir par et pour eux-mêmes, ils se trouvent dans une situation
conflictuelle. Le conflit fait donc partie même de l’homme. Le conflit est l’opposition
farouche de l’un aux autres.
C’est ici que se donne sans ombre le
projet de vie de l’homme, lequel projet est de faire échec à la tendance des
autres en parvenant à les greffer sur soi, son individualité propre, ce qui s’appelle
la hiérarchisation, au mieux, la domination.
L’anthropologie du droit ou des droits
de l’homme, qui a vu le jour au dix-septième siècle, une doctrine du philosophe
anglais, Thomas Hobbes, dont je suis le spécialiste, et qui trame toute la
réflexion philosophique et politique, cela jusqu’aujourd’hui, vise à faciliter
l’atteinte de l’objectif.
Alors, si étrange que cela puisse
paraître, le conflit a une valeur positive chez les blancistes parce qu’ils en
font le mode de création de soi, c’est-à-dire l’homme. Les propriétés de la
nature de l’homme que l’on voit ci haut sont les prémices et la gestion du
conflit naturel est le moyen de terminer la création, un individu-homme en qui
se trouvent tous les attributs de l’idée de dieu, le dieu de l’homme ou des
blancistes, comme l’a dénommé Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand, le Messie.
Toutes les royautés européennes sont des
tentatives de création de l’homme, un empereur, un roi, une reine identifié(e)
à dieu, sous la forme de son pouvoir sur terre. C’est pourquoi l’État se réduit
à cette personne.
L’anthropologie des droits ne conteste
pas la pensée selon laquelle « l’État, c’est moi » mais les familles
qui s’élèvent à la hauteur de l’homme, dont cette pensée est l’expression. Ce combat
est légitime parce que l’homme est naturellement conflit. Les auteurs
maintiennent l’idée mais cherchent à renverser les enfants du pouvoir divin,
une stratégie.
La nouvelle anthropologie déloge l’origine
du pouvoir et le fait dériver des individus, des hommes. Le pouvoir repose sur
l’approbation des individus. C’est ce qui s’appelle démocratie. Pouvoir démocratique
versus pouvoir divin. Au lieu d’être divin, le pouvoir est humain, au service
des humains.
Le pouvoir se nomme pouvoir parce qu’il
est engendré par le renoncement au droit de liberté, qui consiste à se diriger
soi-même. Il y a déjà là une dépossession de l’individu de lui-même. Pouvoir et
commandement vont de compagnie. Pouvoir signifie alors domination. Bref le pouvoir
est une question de domination de l’homme par l’homme.
Le combat prend une autre forme. Le pouvoir,
qui est une domination, est et demeure l’objectif à atteindre par l’un. Puisque
ce n’est pas dieu qui choisit l’un, l’individu-homme, les conditions pour la
coïncidence de l’un et du pouvoir sont maintenant fixées par les hommes. Ce qui
veut dire qu’on encadre et institutionnalise le conflit, caractère de l’homme. C’est
pourquoi le mode de vie du blancisme est la sauvagerie en système. Il faut se
battre pour se placer au-dessus des autres car c’est moral, c’est-à-dire que
cela est conforme à sa nature. Mais on ne le fait pas n’importe comment. Le pouvoir
que l’on institue, une instance au-dessus de tout, dicte les règles et veille à ce qu’elles
soient respectées. D’où son caractère séparé du peuple. Le pouvoir doit être en
dehors de celui-ci pour le diriger, lui dicter sa conduite, soit le dominer. La
puissance ainsi conçue est déjà un élément de la création de l’homme.
Le pouvoir crée et administre le match
social. Oui des êtres de conflit ne peuvent avoir qu’une culture d’affrontement.
Le match, c’est l’exploitation de ses talents, qui ici n’appartiennent en
propre qu’à l’individu, rien qu’à lui. C’est le jeu de liberté, ici capacités
intellectuelles en vue d’ordonner sa vie. Ce droit, c’est-à-dire la liberté,
est le même auquel on renonce pour instituer le pouvoir. Cependant le
renoncement n’est pas total. On ne doit pas en faire usage pour se donner une
conduite, on peut y recourir pour l’emporter sur les autres dans le match en
plaçant ses pions à leur désavantage. Comme on peut le constater, la
politisation blanciste, course à l’hommalité unique, n’est pas une détente mais
un champ de bataille impitoyable. On défait l’autre à notre profit.
Qu’est-ce qui est en jeu en humanité, le
match blanciste? La possession. L’idée de possession ici implique tout, toutes
choses, et elle est globale. La collectivité-politisée blanciste est une
prédation sauvage. Le ballon du match est production et consommation. Ce sont
là des termes au sens très large. On produit des idées en vue de la
consommation, on produit des biens et services dans la même visée. Tout le
monde est potentiellement dans la course, on mise sur ses talents. Tout est une
question d’habileté.
On a tendance à ne voir l’affrontement
que sur le plan des affaires. Il est vrai que cela relève de la connaissance
sensible. On met sur pied des compagnies, on réussit à les rentabiliser et on
se fait bouffer par d’autres en vue de maximaliser leur possession. C’est le
jeu d’élimination et de maximisation du match. Les mesures gouvernementales, du
pouvoir, le favorisent. Il le faut. Celles et ceux qui ne comprennent pas le
match de la politisation et la nature comme la fonction du pouvoir voient à
tort dans ce comportement de l’État son asservissement aux grandes activités économiques
et celles-ci comme le véritable pouvoir. Toutes ces activités sont soumises à l’État.
Pour ce qui est du pouvoir, il n’est soumis qu’à son objectif spécifique qui est
de produire l’un, soit l’homme, le maître et possesseur de toutes choses. Les
hommes d’idées, peu visibles certes, sont aussi importants sur le terrain. Leur
campagne est puissante. La création de l’homme, c’est de prendre entièrement
possession du champ du droit de liberté afin de maîtriser l’adversaire. L’homme
d’idées peut aussi parvenir à imbriquer leurs pairs ainsi que les grandes fortunes.
Les hommes d’idées dominent le terrain des pensées.
Tout cela se passe bien évidemment à l’intérieur
du blancisme mais le même jeu, sous une forme différente, a lieu à l’extérieur,
savoir la maîtrise des adversaires par les idées, les doctrines politiques, la
religion, l’école, la récréation, la franc-maçonnerie, etc., etc., etc. - là
les habitantes et habitants parasitent les auteurs blancistes -, et le
transfert des ressources.
Il y a un pouvoir dans ces lieux
assiégés ou occupés mais il est différent de la puissance-mère, le
pouvoir-prédateur blanciste qui le commande. Cela influe sur sa forme.
Il faut inconditionnellement lire mon
livre à ce sujet :
Pour
une nouvelle planète terre
Ce savoir nous dit sans ambages que les
blancistes sont de purs sauvages et que, par conséquent, ils ne sont pas
fréquentables, « … un monstre que la
terre engloutit trop lentement, nous dit Dessalines, le Plus Que Grand.
Le mode d’être dans le monde et le
modèle dessaliniens sont les seuls qui soient à la mesure de notre être. Il n’y
a de vie qu’à l’ombre de l’Éternel Empire de Toya-Dessalines, forme propre de
la Dessalinienne dans le monde sensible.
Voilà ce que c’est le Rétablissement de
l’Administration Impériale. Le Rétablissement est la
gestion de votre vie, vos affaires, directement par vous-mêmes conformément à
la pensée du Plus Que Grand, Jean-Jacques Dessalines, soit vous d’abord
et avant tout.
Plus vite vous complétez la liste de vos
préoccupations, c’est-à-dire ce que vous voulez entreprendre comme activité
korbique, plus vite l’Administration Impériale pourra entreprendre ses
activités en ce sens, votre seul et unique SALUT.
La Dessalinienne est une doctrine collective et une
pratique relevant de grandes spéculations héritées des Ancêtres au moyen de
l’Ancestralité.
Méditez à l’approche du premier janvier
(2017), jour de l’institution du gouvernement de soi par soi. La vie collective n’est pas savqn, ici
n’importe quoi, il en faut la science pour comprendre. Le savoir éclaire la
voie. Elle évite de dire et faire n’importe quoi.
Pour la Maison Impériale Dessalines
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines
D’Orléans
7e de la Génération du
Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du
lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science
de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme
Blog de Tiécoura Dessalines :
Courriel :
jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr
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