LE COMPLOT FAISONS ÉCHEC AU COMPLOT
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 m = u © Tous
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LE COMPLOT
FAISONS ÉCHEC AU COMPLOT
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q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
Si le fruit définit l’arbre, il en est de même pour la
parole et l’acte. N’importe qui peut dire n’importe quoi car dire est très facile.
S’il fallait se fier seulement à la parole, on aurait un grand problème car on
ne saurait pas distinguer le vrai du faux. Heureusement le tribunal divin qui
est en nous via le UN (U-N), une des composantes de notre substance d’être,
nous a prémuni(e)s de deux propriétés, la cohérence et la correspondance, pour savoir,
ce en tout et partout. Dans la vie pratique le dire et l’acte vont de
compagnie. Là où l’un, par conviction, se dissocie de l’autre, la vérité finira
par se savoir tôt ou tard.
Ils sont nombreux celles et ceux qui s’identifient à Dessalines,
l’Éternel Empereur d’Ayti, sans avoir aucune Dessalinité en eux et elles. La
chose est même gravissime parce qu’ils font usage du Nom du Plus Que Grand pour
cacher leur opération anti-impériale. Une chose doit être claire, il n’est pas ici
question du candidat Moïse Jean-Charles mais des gens bien avant la venue de
celui-ci sur la scène de la soi-disant république.
La « république », c’est le nœud du problème.
Depuis 1844 on assiste à un recours systématique au Grand et Distingué Nom de
Jean-Jacques Dessalines pour affronter ses adversaires sans croire, même un peu,
à la Dessalinienne. Aujourd’hui encore rien n’a changé, on a sans cesse recours
à Son Nom. Certains le font pour donner une quelconque légitimité à leur
ambition médiocre, voire sinistre, donc pour bien paraître, d’autres pour mieux
opacifier l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines d’Ayiti,
la NqhÄ qu’Il a
érigée. C’est cette catégorie de gens qui est l’objet de mon discours.
Ces bandits, pour m’associer au vocabulaire de
Jean-Jacques Dessalines, mon Ancêtre maternel, sont de véritables défenseurs et
défenderesses du blancisme, verte épidémie et Bactérie mangeuse de Négresses et
Nègres. Ils descendent sans nul doute de ces nègres à blanciste qui, en toute
bonne conscience, s’alignaient sur Napoléon Bonaparte pour combattre (tuer) nos
Distingué(e)s Ancêtres qui repoussaient inconditionnellement et invariablement
la Louperie, prédation blanciste, pendant que des Blancs-tout-court de diverses
origines, volontairement et par conviction, se rangeaient du côté de l’Invincible
Général Dessalines, le Messie et le Mandataire des Résistantes et Résistants au
plus grand Mal qui soit, contre ces indescriptibles sauvages, soit vivre joyeux
de la sueur, la douleur aiguë et la mort massive des autres, parce que cette
vision du monde et la cime de la cruauté leur répugnaient. Avec ces
Blancs-tout-court nos Ancêtres, Négresses et Nègres Gwqmun, constituent ce qu’il
convient d’appeler, conformément à la Loi Suprême, la Famille Institutionnelle
Impériale, tous et toutes, sans nuances épidermiques, enracinés en Jacques 1er.
En effet c’est le rejet de l’Éternel Empire d’Ayiti,
NqhÄ érigée
par et en Jean-Jacques Dessalines, sous l’effet de la Volonté de Notre Dieu,
Bon-Dieu, et la Volonté du Peuple Ancestral conjuguées, qui a mis en lumière la
FAUSSETÉ de leur parole.
Pour supprimer l’Éternel Empire, il faudrait être d’abord
au-dessus de Notre Dieu, Son Fondement Premier, et ensuite se placer au-dessus
de la loi suprême, qui énonce l’ordre non le chaos. Dans les deux cas il
faudrait réduire tout le système du Là, soit le Grand Tout holiste, en
tohu-bohu. Pour y parvenir, il faut, au préalable, disposer d’une puissance anthropologique
appropriée. Qu’on nous nomme ces gens? Cela doit se faire selon la science du
dire.
Les bandits sont des citoyennes et citoyens de la
horde républicaine, laquelle est fondée sur le parricide, l’assassinat physique
du Père de la NqhÄ. Le mot
de république et celui de Dessalines sont affirmativement placés l’un à côté de
l’autre. C’est faire preuve de simplicité d’esprit que de savoir qu’il peut y
avoir de relation de sujet à prédicat entre deux termes s’excluant mutuellement.
On n’affirme rien non plus quand on ignore les propriétés des mots. Le langage
est une affaire de définitions. On fait usage des mots par la connaissance de
leur définition respective. On parle des systèmes en maîtrisant leur substance
théorique respective, qui est une coordination d’un ensemble de définitions
claires et distinctes. Cela ne relève pas de la connaissance sensible. Parler,
ce n’est pas n’importe quoi. De toute évidence les esprits savqn n’en savent
rien.
L’appellation de république désigne une
vie-collective-politisée conçue par l’Europe suivant la culture européenne. Parce
l’Europe est un coin particulier, soit non universel, la république, dans
toutes ses sinuosités, lui est propre. Cette vie-collective-politisée est
antipodique à la Dessalinienne, à cause de la particularité qui la constitue,
laquelle particularité est décriée de par son intention fondamentale. Je sais
qu’il s’agit là de grandes spéculations, lesquelles ne sont pas à la portée de
simples d’esprit. Cependant il faut en parler. Le discours vise les blancistes
car ils tendent à mettre nègre à blanciste et Négresse comme Nègre, des mun,
dans le même panier.
Pour en revenir à l’antinomie entre l’européanisme et
le Négro-jelefweisme, le Général à jamais Vainqueur du blancisme, Jean-Jacques
Dessalines, rappelle, dans son discours du premier janvier 1804, lors de l’installation
de l’Administration Ancestrale, que tout, de nos mœurs aux noms des rues,
évoque encore la vaincue. Dans ce cas « Nous avons vaincu pour être
esclaves », dit-il. Comme ils sont nombreux les gens qui n’y ont rien
compris, aujourd’hui encore, faut-il souligner qu’il est ici question d’un
énoncé anthropologique, à savoir que l’esclave est celui ou celle qui, faute de
capacités de spéculer, vit dans la pensée des autres. Il les invite à « laisser
cette épithète qualificative, l’esclave, aux Français » et à « marcher
sur d’autres traces ». Il ne faut pas être analphabète quand on se prononce
sur ce qui est écrit.
Le Général Vainqueur n’aurait certainement pas épousé
la république, une nouvelle forme de gouvernement fondée par la Convention en
1792 après avoir prononcé la déchéance du roi. Le contenu de la république est
historique, culturel, idéologique, donc philosophique, tout cela ne nous
comporte, nous les Nègres et Négresses, que comme « esclaves », êtres
du « néant », a dit Félicité-Léger Sonthonax. Seuls les esprits
privés d’incohérence, sens logique, peuvent lier la Dessalinienne, Action Messianique
de l’Invincible Général, à la république franchement pensée et instituée par l’irréductible
ennemi de notre être.
Les « autres traces » dont parle le Général
Vainqueur du blancisme sont l’Éternel Empire reposé sur le Couple
Toya-Dessalines, avec un contenu royal ancestral (fondement et finalité), non
sans une couche d’aujourd’hui, plus précisément la spécificité de la NqhÄ, soit sa lakortalité. Rien de comparable à la pensée
républicaine.
Les bandits, qui font usage du Nom de Jean-Jacques
Dessalines dans l’enclos de la république, s’en prennent à d’autres gens de la
république et les rendent responsables de tous les maux au Pays de Dessalines. Alors
une source locale est donnée à la débâcle que connaît le Peuple. Ils opacifient
ainsi la blancismique, action sinistre du prédateur à nul autre pareil, le
moulin à broyer les Nègres et Négresses. Ils travaillent clairement pour le
compte du blancisme, Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. L’acte ici met
en relief la fausseté de la parole, celle qui fait l’éloge de Dessalines. On ne
peut pas en même temps défendre, en plus sous le même rapport, deux thèses franchement
antipodiques. La république à laquelle ils s’attachent aveuglement est, en tous
points, enracinée dans le blancisme. C’est cette idéologie même qui a commandé le
démantèlement de l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, par l’assassinat
physique de Jacques 1er et qui a aussi empêché Jacques II d’administrer
après le parricide. Par une formule inintelligible, parce qu’anhistorique et
illogique, les bandits maintiennent la république, produit de sang, celui de
Dessalines même ainsi que celui de nos Ancêtres, les Braves. Ils œuvrent en
toute bonne conscience à l’intérieur de la république, ennemie de Dessalines et
la Dessalinienne. Selon leur action, l’échec de la république a pour sujet une
catégorie de gens internes, donc des adversaires, leurs adversaires. Ils s’accusent
mutuellement. Les bandits font d’une pierre quatre coups, détruire l’œuvre magistrale
ancestrale, c’est-à-dire l’Éternel Empire de la Gwqmunalité, justifier l’apparition
de la république, faire reposer l’échec de celle-ci, prédit pourtant par le
Père de la NqhÄ en ce
premier janvier 1804, sur les épaules d’un petit groupe interne, les véritables
auteurs, donc citoyens et citoyennes, de la république et dorer le placement de
la république à l’ombre de la politique, théorique et pratique, blanciste,
ennemie qui constitutionnellement veut notre disparition, au mieux, notre renvoi
de la vie. Finalement leur job consiste à détruire l’Éternel Empire de
Dessalines, obstacle majeur au projet de domination blanciste, à vendre l’idée
républicaine, qui, rappelons-le, est fondée sur l’assassinat de Jean-Jacques
Dessalines en ce 17 octobre 1806, aux gens en la liant à Dessalines même, un
contresens, et traduire devant un tribunal non déterminé les gens de l’intérieur
pour non-assistance à personne ….. Ainsi, suivant cette opération, la main
criminelle blanciste peut continuer à opérer dans l’obscurité jusqu’à la
victoire sur la négro-jelefweité. Retenez bien ceci : l’usage du Grand Nom
de Jean-Jacques Dessalines et la guerre intestine ont pour objectif immédiat de
détourner l’attention sur l’opération morbide du blancisme en Ayti, au Pays de
Dessalines. Il y a, sans l’ombre d’un doute, COMPLOT.
Cela rappelle Toussaint L’Ouverture qui a travaillé
avec le Directoire, gouvernement qui a succédé à la Convention, pour lui soumettre
les Négresses et Nègres. Quatre grandes actions relèvent de cette entreprise
sinistre, Toussaint gouverneur en apparence, le décret du 12 octobre 1800
rétablissant l’esclavage, la constitution coloniale de juillet 1801 proclamant unis
à la France Nègres et Négresses par la citoyenneté, ce qui signifie la fin de
la Résistance Gwqmunale, et l’arrivée de l’expédition de Napoléon Bonaparte
pour désarmer et supprimer physiquement certaines personnes avant qu’elles
n’ouvrent les yeux de la masse nègre et qu’elles ne continuent la Résistance.
Nous faisons, une fois de plus, face à un autre
COMPLOT du même genre.
Les séides du blancisme semblent oublier que c’est sur
l’échec de la supercherie et la traîtrise de Toussaint que repose la Victoire
incisive et décisive de nos Ancêtres, VICTOIRE qui débouche sur l’Érection de l’Éternel
Empire de Dessalines.
Nous, le Peuple Ancestral, Maat et Maa de la Victoire,
leur réservons la même défaite.
Que toutes et tous œuvrent la main dans la main avec
la Famille Impériale et la Ville de Dessalines pour le succès du Rétablissement
de l’Administration Impériale et la propagation de l’Empire sur la planète
terre, SALUT incontestable d’icelle.
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines
D’Orléans
7e de la Génération du
Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du
lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme
Blog de
Tiécoura Dessalines :
Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr
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