ICI DESSALINES SEUL ET UNIQUE ARCHÉTYPE EN QUI VOUS ÊTES ET EN QUI ÉGALEMENT VOUS VIVEZ.
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 m = w © Tous
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ICI DESSALINES
SEUL ET UNIQUE ARCHÉTYPE EN QUI
VOUS ÊTES ET EN QUI ÉGALEMENT VOUS VIVEZ. TELLE EST VOTRE HISTOIRE.
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MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
CE QUI FAIT INVARIABLEMENT DE VOUS L’UNIQUE
AUTEUR DE L’ORGANISATION DE VOTRE VIE
Ce qui suit est d’une extrême importance. Lisez-le
bien, surtout lentement.
POINT 1 - Le concept de représentation est aujourd’hui
le fondement officiel de la pratique de la politique. Il est ce sans quoi il
n’y a pas de vie-collective-politisée.
POINT 2 – La représentation en politique, principe
générateur du pouvoir, lequel est le socle et l’organisateur du
vivre-ensemble-politisé, repose sur le désistement, c’est-à-dire le renoncement
à soi au profit d’un tiers, donc un autre que soi, ce qui est un impératif de
l’hommalité, une chimère accidentelle, réduisant l’homme à l’un, soit
l’ « individu », et faisant des autres des êtres qui sont là en
de vue de celui-ci, le soi. C’est précisément le conflit a priori qu’implique
cet acte mental, ce concept, qui est à l’origine de la nécessité de la représentation
débouchant sur la naissance du pouvoir et de son corollaire, la démocratie,
laquelle n’est qu’un acte sensible d’approbation et assorti d’une condition de
participation par le bénéfice « individuel», non collectif, de la vie de
groupe.
POINT 3 - Le concept de représentation, ainsi que ses
fruits, n’est pas Impérial-Dessalinien parce qu’il s’oppose à l’Ancestralité,
mode d’être négro-jelefween et son accord parfait avec le savoir
architectonique, notamment la wÄnité, caractère
massif de l’être munal, ce que nous sommes, une unité indivise dont la
singularité plurielle est la manifestation sensible.
La Dessalinienne, qui est l’action coordonnée du
Messie produit par les phénomènes positifs, soit Jean-Jacques Dessalines, est l’expression
de la Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu, en opposition au dieu créé par le
blancisme à son image, et de notre être munal, plus précisément la gwqmunalité,
Voix nous parlant de l’intérieur – Bukmqn l’a souligné dans la nuit du 14 août
1791 -, par la confirmation sensible du Peuple Ancestral immédiat au moyen d’un
mandat, qui n’est pas un transfert de soi au Soi de Jean-Jacques Dessalines,
comme il nous est donné d’y assister dans la représentation politique, mais une
reconnaissance de soi, chacune-chacun, en la Personne singulière du Messie, l’aspect
badral du wÄnal
munal. Le mandataire, l’être jouissant de la reconnaissance des mandants, lesquels
sont des êtres en qui vibre l’identité consommée, s’oublie au profit des mandants
pour se retrouve dans la pleine satisfaction de ceux-ci. La Dessalinienne est
un mouvement collectif exceptionnel et spécifique. Elle est alors étrangère et
impropre à la représentation.
POINT 4 - L’unité consommée du Peuple Ancestral et de
Dessalines n’est pas provoquée, elle se manifeste à travers la gwqmunalité, la
Voix, et est naturellement parvenue à
son apogée en chacun-chacune. C’est un mandat interne, sans parole, mais
infiniment puissant. L’Invincible Général Dessalines est en route pour le Cap
afin de rencontrer, pour la première fois, celui qui est désigné gouverneur par
le Consul Napoléon Bonaparte. À son arrivée, dans la ville assiégée, voire
empestée par la simple présence de la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres,
le Grand Peuple Ancestral, sans peur, sort de l’ombre pour aller à sa rencontre
en hélant Son Nom et en se prosternant à son passage. Il manifeste ainsi sa foi
en Dessalines, le Messie, pour mener à terme l’aération de son espace
existentiel. Le mandat se donne par l’intercommunication interne des corps. Il implique
aussi l’invitation à rester fermement et éternellement unie pour le progrès
sans cesse dans la continuité. Le 2 septembre 1804, après la proclamation de
Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand comme Empereur d’Ayiti par Son Peuple,
Sa garde d’honneur le salue en Empereur, ce qui signifie son entrée en fonction
en tant que tel, et spontanément se prosterne devant Lui de la même manière que
la population capoise. C’est partout pareil, une communion interne, dont le
contenu est le mandat de rester éternellement auprès de soi, ici le Grand
Peuple pour la pérennité de la Victoire et l’avancement dans le parachèvement
de Soi, le munal, finalité immédiate du fait d’être par l’existence, manière d’être
dans le monde. Une unité parfaite. La constitution de 1805 va, par nécessité
logique, va dans le même sens.
Tout cela se résume comme suit : Jean-Jacques
Dessalines est Son Peuple et Son Peuple est Jean-Jacques Dessalines. Jacques 1er
fait légalement de l’Empire d’Ayti une Famille Institutionnelle Impériale. Dessalines
vit en Son Peuple : Peuple, «Rappelle-toi
que j'ai tout sacrifié pour voler à ta défense, parents, enfants, fortune, et
que maintenant je ne suis riche que de ta liberté « (Gwqmunalité);
« En
combattant pour votre liberté, dit-Il, j'ai travaillé à mon propre bonheur». Le Peuple
de Dessalines vit aussi en Lui : en effet au Pays de Dessalines, quand on
se fâche, on l’exprime en ces termes : « Le Dessalines en moi émergera».
C’est le jeu du miroir entre Dessalines et Son Peuple. Quand l’un regarde l’autre,
il se voit à travers lui, une unité consommée.
Alors la Dessalinienne n’est pas une démocratie,
laquelle est en tous points une déchéance par son objectif égoïste, au mieux,
kuku, c’est-à-dire soi, encore soi et toujours soi. Il n’y a pas de gens
disparates ni par conséquent de renoncement à ce que l’on est. On est et reste
ce qu’on EST dans la Dessalinienne.
Cela signifie deux choses, premièrement on a Un Seul
Guide, soit Dessalines, ce qui revient à dire SOI-MÊME, compte tenu de l’unité
indivise des deux; deuxièmement on n’est pas gouverné de l’extérieur, comme c’est
le cas de la représentation politique, mais par soi-même. La Dessalinienne n’est
pas un pouvoir, lequel est en soi politique, structure de domination : « …..
j'ai veillé, combattu,
quelquefois seul, affirme l’Invincible Général à Jamais Vainqueur du blancisme, et, si j'ai été assez heureux pour remettre
en vos mains le dépôt sacré que vous
m'avez confié, songez que c'est à vous maintenant à le conserver ».
Il découle de cela que le Peuple Ancestral est en Soi Gwqmun - ce pour quoi il
se battait -, ce qui veut dire propriétaire exclusif de lui-même, savoir sa
destinée, par, bien sûr, son mode d’être dans le monde, sa conduite, laquelle
est déjà énoncée dans l’Ancestralité, et de son territoire, celui qu’il se
donne, cela comprend évidemment ce qu’il contient. Un tel Peuple se gouverne forcément
lui-même, cela se fait par sa connaissance de lui-même. C’est de cela qu’il s’agit
dans cet énoncé : « … les lois,
soutient Dessalines, que le génie qui veille à tes destinées me
dictera pour ton bonheur ». La loi n’est pas, ici, l’expression de la
volonté de Dessalines, parce qu’Il ne détient pas un pouvoir, elle est plutôt
une conclusion tirée de notre substance d’être, notre constitution interne, le
munal, et du savoir architectonique, bref de l’Ancestralité qui nous a toujours
dirigés jusqu’ici. Il n’y a pas de législateur en dehors de la science de soi,
le dqmbala (connaissance vraie) de ce que nous sommes. C’est dire qu’il n’y a
pas de législateur du tout, dans le sens politique du terme, parce que la loi n’est
pas ici l’expression de la volonté du souverain, soit l’État ou le pouvoir (donc
le bénéficiaire), lequel ne peut être que par le décalage infranchissable entre
le souverain et le peuple, là aussi où le peuple n’est peuple que par son union
avec le souverain à travers la volonté (la loi) de celui-ci qu’il fait sienne,
une tyrannie dit Dessalines mais une dictature aujourd’hui, les deux termes
sont interchangeables, et qu’elle est de préférence, selon Dessalines, comme
une espèce de Théorème. La conclusion qu’il faut tirer de tout cela est que le
Seul Guide est Dessalines ou le Soi, ce que nous sommes. Le tiers est exclu.
POINT 5 - Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand
sépare l’Empire de la Gwqmunalité en six divisions et confie l’administration à
six personnes. Les administrateurs sont indépendants les uns des autres. Pour
ce qui est des théorèmes dictés par le Génie
ils sont rendus publics seulement par le Guide, Jean-Jacques Dessalines
Lui-même, ce qui implique le savoir global, et s’appliquent dans toutes les divisions.
Il y a, certes, un espace réservé aux administrateurs de chaque division.
Jacques 1er sait qu’Il est totalement dédié à Son Peuple et qu’Il ne
peut aucunement aller à l’encontre de leur intérêt, qui est par le fait même,
le sien propre. L’Éternel Empereur est infaillible, au niveau de l’intérêt de
chacune-chacun, dans la transmission des théorèmes. Cependant Dessalines ne
cultive pas la même assurance à l’égard des administrateurs divisionnaires.
Alors l’intérêt local du Peuple est menacé car il est ou n’est pas. Cela veut
dire total. Pour contrer la menace, Jacques 1er ouvre la voie à l’intervention
du Peuple dans la gestion de ses affaires en intégrant un système de doléances
dans Son Administration à Lui, l’espace universel, pour être instruit de tout
écart, directement par Son Peuple. Celui-ci, contraire à la doctrine de la loi
kantienne, le philosophe allemand, n’a pas à pâtir des sottises et écarts des
autres mais agit, cela d’un commun accord, lui et son Guide, l’Éternel Empereur.
Il s’ensuit que sur le plan divisionnaire l’intérêt de chacune-chacun prime
comme sur le plan universel. Le Peuple prime sur tout. Cela débouche
inéluctablement sur la gestion des affaires du Peuple par le Peuple pour le
Bien du Peuple. Quelle belle doctrine collective!
La leçon qu’il faut tirer de cela est de ne jamais s’identifier
à un parti politique ni à chef de parti politique. Toute identification de
cette nature entraîne illico votre mort par l’aliénation totale et l’impuissance
« intellectuelle » qui en dérive. Pour le dire de façon canonique,
vous ne vous appartenez plus. C’est l’esclavagisation, une vie parasitaire. Vous
devenez l’infini zéro, néant, et la risée de tout le monde. Il n’y a plus d’espace
dans la Dessalinienne, le tiers est exclu. Cela est immuable.
Vous êtes déjà en unité indivise avec Jean-Jacques
Dessalines et le Tout Collectif. C’est à vous, et à vous seul(e)s de gérer, sans
tierce personne, les affaires collectives, lesquelles sont votre vie et directement
vos affaires. Fiez-vous à vos talents, nul n’est sans talents. C’est à la
gestion directe de votre vie qu’ils servent. Faites-vous confiance.
C’est cela le Rétablissement de l’Administration
Impériale, la gestion de votre vie, vos affaires, directement par vous-mêmes.
Plus vite vous complétez la liste de vos
préoccupations, c’est-à-dire ce que vous voulez entreprendre comme activité
korbique, plus vite l’Administration Impériale entreprendra ses activités en ce
sens, votre seul et unique SALUT.
Sachez que, des talents, tout le monde en a. Tout d’abord
il s’agit de les identifier et ensuite de créer un espace pour les exploiter. C’est
la fonction du CQ (Comité de Quartier), de la DG (Direction Générale) et du
Principat, espace de la Famille Génétique de Dessalines en étroite collaboration
avec des membres de la Famille Impériale Institutionnelle. Le Principat est une
fonction de savoir et d’évaluation constante de la gestion du Peuple par le
Peuple afin de contrer toute dérive et de maintenir incessamment le cap sur le
parachèvement de soi, le soi munal, finalité immédiate de la vie munale.
Méditez à l’approche du premier janvier 2017.
Pour la Maison Impériale Dessalines
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines
D’Orléans
7e de la Génération du
Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du
lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme
Blog de
Tiécoura Dessalines :
Courriel
: jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr
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