(TEXTE RENFORCÉ) ICI DESSALINES UN MODÈLE DE PEUPLE ET DE VIVRE ENSEMBLE PUREMENT ANCESTRAL ET CONFORME À NOTRE CONSTITUTION INTERNE MUNALE

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 m = Y © Tous droits réservés


ICI DESSALINES
 UN MODÈLE DE PEUPLE ET DE VIVRE ENSEMBLE PUREMENT ANCESTRAL ET CONFORME À NOTRE CONSTITUTION INTERNE MUNALE


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q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é


EN DEHORS DE LA DESSALINIENNE, C’EST LE VIDE, PUR NÉANT, ET LA MORT CERTAINE.







Jean-Jacques Dessalines a toujours rejeté le mode de vie européen, qui lui est parvenu sous le mode du blancisme, une horreur ou une monstruosité sans pareille. Le Plus Que Grand ne veut pas que la dénomination d’empire qui lui est proposée soit le décalque de l’empire tel que conçu par l’Européen. Dessalines en donne la raison et elle est extrêmement forte. « Ces gens, dit-Il, ne soucient jamais de peuple ». Cette proposition, qui est incontestablement conforme à la réalité extramentale, soit vraie, ne fait pas voir un fait – le contenu ne se donne pas aux sens -, elle est la conclusion tirée d’une profonde réflexion, évidemment à partir de l’observation. Celle-ci est-elle directe ou indirecte ou un amalgame des deux? Cela importe peu.


Tout d’abord il faut souligner que l’appellation de peuple n’a pas le même signifié dans le vocabulaire de Dessalines. Il désigne un ensemble d’abord lié par l’être ofowu, tel qu’il est sorti de la Pensée de Notre Dieu, et ensuite confirmé par les badr, la singularité multiple, qui est la manifestation plurielle de l’être-un, c’est-à-dire de la wÄnité de l’être, se trouvant accidentellement dans un même lieu. La confirmation se fait sous l’influence de l’être-un, constitution interne. Rappelons-nous comment les Ancêtres se prosternent spontanément devant Jean-Jacques Dessalines, ce que j’appelle un mandat par la reconnaissance mutuelle. Le contexte est ici particulier.Point n’est besoin de dire pourquoi. Nous ne sommes pas de ce continent, ni de l’Île d’Ayti, ni n’y sommes-nous arrivé(e)s de notre propre gré, sans parler de la cime de la cruauté qui a établi son règne sur nous. Tout cela, sans couper les gens de leurs racines négro-jelefweennes, et pour cette raison, spécifie le groupe. Le mandataire et le mandant forment ainsi un Peuple, c’est-à-dire un groupe particulier, dont l’objectif est l’aération totale de son espace existentiel afin de continuer à être en soi, par soi et pour soi sans obstacle. La finalité est une des propriétés de la construction d’un peuple. Il est important de le souligner, le mandataire n’est pas séparé, savoir indépendant, du Peuple. Il s’ensuit qu’un peuple, au mieux, le Peuple, selon Dessalines, est, à l’instar de la constitution interne munale, une unité massive, dont le Guide et les gens forment un tout indistinct. Un véritable chef-d’œuvre conceptuel.  


Le Peuple, selon l’acception propre de Dessalines, n’est pas une union, rassemblement de gens distincts autour d’un intérêt commun, toujours mesquin, mais une unité, soit sans ponctuation. Selon la pensée de Dessalines, il ne faut pas confondre séparation, qui est le fait de décalage, et fonction, qui est la tâche réservée à des éléments de même nature, point d’unité indivise. Le Peuple de Dessalines est le fait de nature et de fonction. « En combattant pour votre liberté, dit Dessalines, j'ai travaillé à mon propre bonheur ». Ces paroles font montre d’une interpénétration des deux, Dessalines et le Peuple. Le soi de Dessalines se nourrit du soi collectif. Votre blrz, grand Bien, est mon blrz, souligne le Plus Que Grand. Je paraphrase : travailler pour mon blrz, dit Dessalines, c’est faire d’abord votre blrz, qui est de vous donner ce que vous désirez tant, soit être maître et maîtresse de votre vie et les moyens nécessaires à la vie bonne. C’est cela l’élan d’être ou êtral, le fait de présence. Le blrz de Dessalines est dans la satisfaction du Peuple, dans le travail bien fait. Il y a une dépendance, de l’ordre logique. Le dépendant ici n’est pas le Peuple mais le Guide, Dessalines. Il dépend du Peuple. Ce n’est pas le Guide, Dessalines, d’abord, mais le Peuple. Le blrz du Guide est en retour. Le Plus Que Grand va encore plus loin dans sa conception wÄnale de la vie munale : « Rappelle-toi que j'ai tout sacrifié pour voler à ta défense, parents, enfants, fortune ». C’est l’oubli de soi au profit de la collectivité existentielle. Ce n’est pas un oubli irréversible, le Guide se perd dans l’Ensemble munal particulier pour se retrouver en retour. La singularité munale ne s’efface pas devant la singularité, c’est-à-dire les autres, ni ne se perd dans l’unité constitutive du tout. Tout en étant wnal, unité massive, chacune-chacun de nous est badral, soit sujet, dans le sens d’auteur de son action à l’intérieur du tout que nous SOMMES et EXISTONS. C’est ce qui ressort de l’énoncé du Général À Jamais Vainqueur du blancisme, le plus grand Mal qui soit à l’heure qu’il est. Selon la pensée ancestrale les deux se tiennent côte à côte. C’est pourquoi Jean-Jacques Dessalines est capable de dire : « et que maintenant je ne suis riche que de ta liberté ». Dessalines était dans l’état immanent avec le Peuple pendant l’exécution de Sa Tâche. À la fin de celle-ci Il est en état de transcendance, Il retrouve Sa singularité. Le Peuple est ainsi projeté en avant comme élément premier, celui duquel dépend le Guide, Jean-Jacques Dessalines. Dans une telle vision comme dans un tel contexte chacun-chacune y trouve son compte, l’oppression est alors lettre morte. Les prisons sont toutes vides dans l’Empire, sous le Guide direct de l’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines. On est ainsi témoin de la complétude entre le Peuple et le Guide. L’Ensemble est alors le reflet de notre être, notre constitution interne munale. Une mélodie à nul autre pareil, un parfum envoûtant.


Le rapport est inversé dans la conception dessalinienne de la structure de la collectivité. On est ici dans un mouvement contraire et contradictoire à la situation européenne, la vision européenne, plus précisément blanciste du terme, vision selon laquelle le premier élément est le pouvoir, puissance souveraine, soit distincte, indépendante et libre face au peuple, qui est ici la multitude enchâssée dans le pouvoir comme élément secondaire.


Le peuple, dans la pensée blanciste, n’est pas un élément positif mais plutôt négatif parce que, par sa nature, le soumis ou dominé, et sa fonction, le moyen par lequel l’un (l’individu) se crée, l’absorption effective des autres par soi, il est en vue de l’autre. La négation du peuple se révèle par la puissance infinie du pouvoir, notamment l’acte de commander, incluant la peinière en cas d’insubordination, une véritable insulte – un mauvais traitement ou maltraitance de l’homme par l’homme -, le droit de vie et de mort, le secret d’État et la construction d’une voie au moyen de la loi, sa volonté, permettant l’appropriation totale par l’un, finalité même de la vie-collective-politisée.


Tout cela met en relief la vie séparée de la puissance souveraine du peuple et l’insignifiance de celui-ci dans la structure politique. Je peux, pour faciliter la compréhension, exemplifier ce qui précède, les exécutions policières by the book, l’étendue de leur champ d’action, l’attitude infantile imposée à leur égard (une humiliation), l’intérêt de l’État, c’est-à-dire son maintien, prime sur l’intérêt primordial du peuple, c’est le cas des scanners à l’aéroport, causes du cancer, le cancer par l’alimentation autorisée, le cancer par les médicaments et vaccins autorisés, l’investissement massif dans l’art de la guerre comparé au maigre montant réservé à la santé, etc. L’État passe d’abord et avant le peuple. C’est une véritable sauvagerie en système. On est à des années-lumière de la vision dessalinienne du peuple, là où le Guide en qui sont le Peuple et le Pays, ainsi que ceux-ci forment un tout indivis, non ponctué.    


La république est un produit du blancisme, elle hérite de cette dichotomie, entre le pouvoir et le peuple, et des mépris à l’endroit de celui-ci qui en résultent. Elle est même pire que le blancisme, son principe, car elle n’a pas de peuple, une autre monstruosité. Le comportement des républicaines et républicains, absence de préoccupations du peuple,  que l’on veut faire passer pour un manque, une faille, est un élément de doctrine. Elle transmet vos ressources au blancisme sans se soucier de quoi vivrez-vous. La république ne peut marcher que tel que vous pouvez le constater depuis deux-cents-dix ans. C’est du banditisme-légal, un vent de mort.


Blancisme et république sont deux grands ennemis de notre être. Ils ne sont pas fréquentables. Il est un impératif de la Gwqmunalité de bouter sans délai ces vents méphitiques hors de notre sphère existentielle.


Le mode d’être dans le monde et le modèle dessaliniens sont les seuls qui soient à la mesure de notre être. Il n’y a de vie qu’à l’ombre de l’Éternel Empire de Toya-Dessalines, forme propre de la Dessalinienne dans le monde sensible.


Voilà ce que c’est le Rétablissement de l’Administration Impériale. Le Rétablissement est la gestion de votre vie, vos affaires, directement par vous-mêmes conformément à la pensée du Plus Que Grand, Jean-Jacques Dessalines, soit vous d’abord et avant tout.
 .


Plus vite vous complétez la liste de vos préoccupations, c’est-à-dire ce que vous voulez entreprendre comme activité korbique, plus vite l’Administration Impériale pourra entreprendre ses activités en ce sens, votre seul et unique SALUT.

La Dessalinienne est une doctrine collective et une pratique relevant de grandes spéculations héritées des Ancêtres au moyen de l’Ancestralité. 

Méditez à l’approche du premier janvier (2017), jour de l’institution du gouvernement de soi par soi.  La vie collective n’est pas savqn, ici n’importe quoi, il en faut la science pour comprendre. Le savoir éclaire la voie. Elle évite de dire et faire n’importe quoi.  


Pour la Maison Impériale Dessalines

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

Blog de Tiécoura Dessalines :


Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr


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