ICI DESSALINES LE MESSAGE DU PREMIER JANVIER 2017

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = a © Tous droits réservés


ICI DESSALINES
 LE MESSAGE DU PREMIER JANVIER 2017, 77 JOURS DE L’AN 1 DU RÉTABLISSEMENT DE L’ADMINISTRATION IMPÉRIALE DE L’ÉTERNEL EMPIRE D’AYITI,
 LEQUEL EST FONDÉ EN NOTRE DIEU, GWQMRTLA, JEAN-JACQUES DESSALINES ET LE PEUPLE ANCESTRAL NÉGRO-JELEFWEEN 


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q = an
u = ou
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 = on
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e = é











NOUS VIVONS DANS UN MONDE OÙ LA PRÉDATION, AU SEIN DE L’ORDRE DU NOUS, EST CE QU’IL Y A DE PLUS NOBLE. SE DONNER DES MOYENS DE DESTRUCTION MASSIVE ET VERTIGINEUSE DES SEMBLANTS EST LA PLUS GRANDE GLOIRE QUI SOIT. LES PIRES MASSACREUSES ET MASSACREURS TIENNENT LE HAUT DU PAVÉ. ILS SE DÉFINISSENT COMME GRANDES ET GRANDS ET, DE FAÇON ÉHONTÉE, SE POSENT EN MODÈLES. QUELLE HORREUR!


La victime sans pareille de ce monde sans freins, d’un monde dont la plus haute vertu morale est de se nourrir de la vie des semblants ou les écrabouiller gaiement, est le Peuple Négro-jelefween, les Négresses et Nègres. Laissez dérouler ce qui suit, la cime de la cruauté, sur l’écran de votre tête :      

Invasion de notre continent ancestral, 200 000 000 de razzié(e)s, traumatisme-la chez les gens qui restent et traumatisme-la au sein des razzié(e)s; déportation; occupation de la Cour; chute provoquée des rois; guerres provoquées; razzia et assassinat des rois, kidnapping sur place des rois; corruption de rois; tentatives de mise sous tutelle par le christianisme; interdiction de vivre dans son mode existentiel; corruption par les sens; priver quelques razzié(e)s de nourriture durant la traversée; en fouetter d’autres au sang et arroser leurs blessures avec de l’eau de piment fort; en écorcher vifs plusieurs, mâles ou femelles; les violer à répétition au vu et au su de toutes et tous; choisir arbitrairement quelques-uns (femelles ou mâles) pour être assassinés à fin d’arracher ensuite leur cœur et en contraindre d’autres à le manger; pour chaque razzié(e) qui arrive en Amérique, six sont assassiné(e)s en route après être torturé(e) parce qu’insoumis(es); séparation à jamais d’une mère ou d’un père de son ou ses enfants, de l’époux de son épouse; dans les colonies, la vente des kidnappé(e)s, la vente à la tonne des rejets: chétifs et chétives, malades, malingres ; jeter à la mer le reste qui ne trouve pas d’acheteurs; travaux forcés au bout des armes; fouetter jusqu’au sang et souvent jusqu’à la mort; peine du carcan; vol; viol; fouetter les pendu(e)s; pillage; donner des gens en nourriture aux reptiles; bras coupé; jambe coupée; bras et jambe coupés; les étrangler à mort; abandonner des gens aux arthropodes venimeux; immolation des gens; en fusiller par centaines à la fois; en regrouper dans la soute à charbon en vue de les asphyxier dans la fumée du bateau; supplice de la roue; les écarteler vivant(e)s; les larguer dans une chaudière d’eau bouillante; les broyer vivant(e)s; arracher les enfants aux parents pour les vendre à des colons d’autres plantations, lointaines; les enterrer vivant(e)s; érection de clôture avec des têtes coupées; des gens vivants jetés à la mer boulets aux pieds, fusiller celles et ceux qui refont surface; déposer vivants des gens dans une grosse chaudière d’huile bouillante; lier les gens dos à dos pour les larguer ensuite à la mer; les marquer au fer rouge de feu; couper une oreille de celle ou celui qui refuse d’exécuter les travaux, couper parfois la langue; les violer avec rage; suant sang et eau sous les coups de fouet; les enterrer vivants debout jusqu’au cou et la tête imbibée de graisse pour être mangé(e)s par les fourmis; les bourrer de poudre à canon pour être explosé(e)s ensuite; les enflammer vivants; les livrer aux chiens anthropophages; châtiment du blanchiment, lequel consiste à enlever la peau foncée jusqu’à ce que mort s’ensuive; les livrer vivant(e)s aux chiens anthropophages pour être mangé(e)s vivants sous les applaudissements des spectateurs et spectatrices en liesse, surtout des jeunes filles sur leur trente et un. Pour chaque razzié(e) qui arrive au Masuana, 6 furent assassiné(e)s en route, par exemple, pour sa seule colonie de Saint-Domingue (Ayti), la France en a razzié 15 millions, 4.5 millions ont vu l’île. De ce nombre, selon le dernier recensement en Ayiti, juste avant les dernières grandes batailles, il en restait 600 000. Cela prouve le caractère sauvage de la violence.


 Dans toutes les colonies, cela se passe de la même manière. Les assassiné(e)s ne se comptent plus, tellement il y en a.


Cette offensive n’a pas d’époque. Il nous est donné, à nous qui vivons aujourd’hui, d’assister à ce spectacle sinistre et immonde dont nous sommes l’objet.


Des dizaines de sortes de VIRUS, notamment le SIDA et l’Ébola, SONT FABRIQUÉS DANS LES LABORATOIRES du BLANCISME, pour l’extermination des Nègres et Négresses.


Les inventions ou imitations de catastrophes naturelles, telles que le tremblement de terre, l’inondation et le cyclone, en vue de cet objectif sont légion.


Les génocides et épidémies provoqués pavent les collectivités nègres.  


La présence de toute collectivité nègre, ainsi que le droit à la terre sur laquelle elle s’installe, est contestée, des dirigeants et dirigeantes de doublure y sont installés.


Sur tous les territoires nègres, les mains-sales, des gens d’apparence nègre, sont placés en avant afin d’assurer la libre circulation et l’action morbide des prédateurs et prédatrices ou de la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres.


De concert avec les loupiennes et loupiens, les mains-sales provoquent l’émigration des enfants des territoires ancestraux, qui ne sont aimé(e)s ni désiré(e)s nulle part sur cette planète, vers les territoires blancistes, des territoires souvent spoliés, là où toutes leurs activités, mêmes les plus insignifiantes, sont étroitement surveillées. En les ayant sous les yeux et à portée de main, ils pensent pouvoir faire ainsi échec à toutes tentatives d’aération de la part de celles et ceux qui accèdent à la plus haute compréhension de la réalité.  


Cela ne se limite pas aux surveillances policières ni à des enquêteurs et enquêteuses privés, qui sont parfois de très jeunes personnes, sans être des prostituées, se servant de leur sexe pour s’introduire dans la vie de ces gens alertes de bÄnqy, faculté de spéculer. L’opération prend aussi la forme d’une campagne de rejet systématique dans toutes les sphères d’activité de la société. Le très peu d’entre eux et elles qui y est accepté, c’est pour couvrir l’opération. Les gens qui cultivent la hargne officielle contre les Négresses et Nègres sont très actifs sur ce terrain. Ce n’est pas de leur comportement qu’il s’agit. L’agression dont il est ici question se passe à un autre niveau, celui de l’État. La persécution des Nègres et Négresses est d’abord une affaire de hauts niveaux des sociétés dites d’accueil, agentes de la campagne antinègre sur la planète. Le sentiment antinègre part d’en haut et se propage vers le bas. Ces personnes, sans être innocentes, sont les victimes de l’État, le chef d’orchestre.  


Pour donner une image plus nette de la réalité, je prendrai l’exemple du Canada, pays que je connais du bout des doigts. Ce pays est l’un des endroits de la terre où le Nègre et la Négresse sont les plus détestés et persécutés. On raconte même que le virus du SIDA a été inventé dans les laboratoires du Canada, lequel virus a vocation d’éliminer les Négresses et Nègres. Pourtant la presse canadienne, de façon maladroite, bien évidemment, pointe du doigt les victimes elles-mêmes en les accusant d’être à l’origine de la maladie – On parle d’une maladie non biologique –, de l’épidémie et la pandémie. Est-ce du kase-kuvwi, acte de détourner l’attention de la planète non blanche, voire des Blancs-tout-court au pays et ailleurs? Il y a d’autres voix, d’origines douteuses, qui rentrent dans la danse pour donner appui à celle de la presse. Des voix mercenaires ? Le Canada est ce pays qui s’est prononcé contre la présence de l’Éternel Empire d’Ayti, un Pays Nègre, sur ce continent, Masuana, appelé Amérique par les bandits de grand chemin. C’est aussi ce pays qui a des ambassades africaines sur son soi-disant territoire, mais les pays avec lesquels il n’échange pas de relations diplomatiques. Il y a fermé ses ambassades. Étrange situation. Au Canada il y a deux classes de citoyennes et citoyens, l’une d’ici, l’autre d’ailleurs. Et les traitements, en redevances, ne sont pas les mêmes. Les derniers de la classe d’ailleurs sont les Nègres et les Négresses. Cela donne une idée claire et nette de ce pays.


De tous les coins du Canada la persécution va son train. Cependant le coin où elle excelle le plus est le Québec, l’une des dix provinces du Canada. Cela s’explique par la colonisation, très tôt, de ces colons qui étaient des esclaves chez eux, en France. Il y a là un double Mal, l’esclavage domestique et la colonisation, qui est par définition la mise en retrait, et l’un rejoint l’autre. Ainsi ces gens n’ont pas eu la possibilité de s’élever à la civilisation.


Par un effort louable de plusieurs la roue vient de commencer à tourner mais lentement. Ils arrivent de très loin, ces gens. L’État de la province en est l’image. Ces gens qui se remettent petit à petit de leur situation léthargique et en qui sommeillait une mission depuis plusieurs siècles, celle d’écrabouiller l’autre parce qu’il est autre afin de se substituer à sa place, prennent naturellement place dans leur pensée primitive.


L’écrasante majorité d’entre eux n’a aucune idée du monde actuel, le plan sur lequel il a évolué. L’État québécois se fait tout bonnement l’instrument de cette âme d’ailleurs, parce que grosso modo, sans finesse dans la pratique d’aujourd’hui de la persécution de l’autre.


Ce qui rend la chose plus facile et abrupte, c’est leur attitude vis-à-vis de la loi. C’est un concept encore flou dans l’esprit d’une multitude d’entre eux. Les gens qui la font, qui sont chargés de veiller à son respect et ceux auxquels elle est destinée la transgressent indifféremment. Bref la loi est ici un vain mot. C’est ainsi que l’État québécois persécute les Négresses et Nègres en tout et partout. Il en assassine publiquement.


Au Québec n’importe quel employeur peut remercier un Nègre ou une Négresse, non pas sans raison valable, mais sans lui donner de raison du tout. L’employeur n’a pas à se soucier des représailles de la loi à moins que l’affaire tombe accidentellement dans les mains d’un Blanc-tout-court et qui ne se laisse pas intimider. Cela arrive mais rarement.


Tout porte à croire que le mot d’ordre de persécution des Négresses et Nègres par l’État est verbal ou relève d’un code secret. Ce qui facilite l’intervention bénéfique des Blancs-tout-court.

Au Québec les corps de police n’ont pas l’ordre de l’État de protéger les Nègres et Négresses ni contre les Nègres et Négresses ni contre les non Nègres et Négresses. Cela est ostentatoire. Tout agresseur de Négresses et Nègres en est a priori leur propre victime. Si une Négresse ou un Nègre demande de l’aide de la police contre son agresseur, sur les lieux c’est l’agresseur qu’elle va voir d’abord. La police entreprend illico une recherche rapide sur le Nègre ou la Négresse afin de pouvoir l’emmener. Qu’un Nègre ou une Négresse demande une enquête sur un délit dont il ou elle est victime, c’est sur lui ou elle que porte l’enquête, à moins qu’il ou elle tombe sur un enquêteur blanc-tout-court. Dans ce cas c’est la stratégie sinistre de l’État qui reçoit un soufflet. Il faut voir la face de ces commandos de l’État québécois qui arrivent sans doute d’un siècle que l’on croyait avoir perdu dans l’obscurité dense des temps ou d’une planète inconnue et qui vous parlent, à nous les Négresses et Nègres, indigènes de la terre, sur un ton effronté, parfois méprisant, accusateur et provocant. La police, au Québec, est certes une police ethnique, l’ethnie canadienne-française, elle est particulièrement une force de l’insécurité publique pour les Noir(e)s. Elle donne des cours publics sur la façon de « tuer un nègre ». La police de l’État québécois monte la population contre les Nègres et Négresses. Elle remplit très bien la mission de l’État.


L’affaire est une « culture » car les blancistes de la population se comportent de la même façon envers les Négresses et Nègres.


Le Québec n’est pas un État de droit encore moins un État-nation. Le droit n’y a pas droit de cité. Ce sont là des concepts vides de significations dans cette province. Le Québec est l’Afrique du Sud de Peter Botha en Amérique.


Tout cela se fait sous l’œil complaisant de l’État canadien, ce qui met en relief le caractère officiel de la persécution des Négresses et Nègres au pays. La persécution canadienne ne s’embarrasse pas de juridiction, elle s’étend jusqu’en dehors du pays. Les filières sont faciles à remonter.  


Louis Delgrès, l=un des artisans et artisanes de la Gwqmunité de Karukera/Kaloukaera/ (Guadeloupe), affirme : AIl existe des hommes malheureusement trop puissants par leur éloignement de l'autorité dont ils émanent, qui ne veulent voir d'hommes noirs, ou tirant leur origine de cette couleur, que dans les fers de l'Esclavage@. Les paroles de Delgrès étaient prononcées, il y a plus de deux-cents ans, et le contexte est toujours actuel. La vérité de cette proposition est imbattable.


Il faut tirer le drap propositionnel parce qu’aujourd’hui encore il n’y a pas de campagne antinègre sans les mains-salles, ces nègres contrefaçons qui s’alignent sur le prédateur en vue de l’aider à bien conduire son opération parce qu’ils s’abreuvent à la même source, l’hommalité.


Pour élargir l’énoncé de Delgrès, je dirai : Il existe des nègres et négresses malheureusement trop éloignés de la munalité, qui ne veulent voir, comme les blancistes, en qui ils se reconnaissent, des Négresses et Nègres ou des gens tirant leur origine de ce groupe d’êtres, que dans les fers de l'esclavagisation ou du blancisme. Ils sont de tout temps et partout, les mains-sales. Aujourd’hui, comme hier, ils sont au Pays de Delgrès comme au Pays de Dessalines. Ils veulent transformer la Grande Victoire de nos Ancêtres qui s’est soldée par l’Érection de l’Empire d’Ayiti en une défaite à travers l’émergence d’une république bidon dont le fondement est le blancisme. Certains d’entre eux, pour camoufler leur opération morbide, vont jusqu’à faire usage du Nom du Plus Que Grand, Jean-Jacques Dessalines. C’est comme si, selon eux, il pouvait y avoir de Dessalines en dehors de l’Éternel Empire d’Ayti, un Dessalines sans dessalinité. Les mains-sales placent leur tente à l’ombre du blancisme et font tout pour le succès de sa campagne. Ils ouvrent la voie à notre domination par la pensée pour nous pousser à l’arrière-plan, sans lieu physique propre et sans mode d’être dans le monde, à la merci du plus grand Mal qui soit à l’heure qu’il est. Les mains-sales facilitent le transfert de nos ressources aux pays blancistes afin de provoquer notre disparition physique, un génocide programmé. Avec leur complicité, le blancisme détruit notre florissante agriculture, notre cheptel, nos industries, etc. la république nous a dénudé(e)s.


C’est de ce contexte hautement négatif et douloureux qu’est né l’Empire d’Ayiti et qu’il se maintient.


La république n’est pas et n’a jamais été autorisée à parler aux étrangers ni à contracter parce qu’elle n’est pas un fait ancestral. C’est tout le contraire, elle s’oppose foncièrement à l’Ancestralité. Elle est une dose mortelle.

La république apparaît par infraction et elle est par conséquent la cause de tous nos malheurs : « Si jamais, dit Dessalines, tu refusais ou recevais en murmurant les lois que le génie qui veille à tes destinées me dictera pour ton bonheur, tu mériterais le sort des peuples ingrats ». Que dit la loi :

« Article 1er: Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti. »
Article 19:
Le gouvernement d'Haïti est confié à un premier magistrat qui prend le titre d'Empereur et Chef suprême.
Article 20:
Le peuple reconnaît pour Empereur et Chef suprême de l'armée Jacques Dessalines, le Vengeur et Libérateur de ses concitoyens; on le qualifie de Majesté ainsi que son auguste épouse l'Impératrice.
Article 21:
La personne de Leurs Majestés est sacrée et inviolable.
Article 26:
L'Empereur désigne son successeur et de la manière qu'il le juge convenable, soit avant, soit après sa mort. »


Je résume. Notre Pays, celui que nos Ancêtres, sous la direction de Dessalines, ont fondé est un « Empire ». Il s’appelle Empire d’Ayiti. Celui à qui le gouvernement du Pays est donné prend le Nom d’Empereur et Chef Suprême. Cette personne, qui est le choix du Peuple, est Jacques Dessalines. Il y a une raison très forte à cela, Jean-Jacques Dessalines est «le Vengeur et Libérateur de ses concitoyens », donc le Fondateur du Pays. Il n’y a qu’un seul Fondateur, Jean-Jacques Dessalines. Le texte est clair là-dessus. La Personne de l’Empereur et l’Impératrice est « sacrée et inviolable ». Cela veut dire qu’on ne peut pas toucher à un seul de leurs cheveux. Et en plus l’Empereur nomme la personne qui doit lui succéder. Et Il l’a fait. La république est entrée dans le portrait par la transgression de la loi, ces lois. La république est la voie contraire et contradictoire, elle est la voie du blancisme que nos Ancêtres viennent tout juste de vaincre. Le blancisme, Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, source de la cime de l’horreur, dont nous sommes les victimes, est de retour sur notre territoire. Voilà « le sort des peuples ingrats ». Le principe de nos malheurs, l’ennemi vaincu, est là parmi nous et avec lui les malheurs, nos malheurs.


Qui peut nier l’accomplissement de cette prophétie ? Si on connaît la cause d’une maladie ou d’un malheur, on connaît en même temps le remède ou la solution. L’apparition de la république est la cause de tous nos maux, alors le Rétablissement de l’Administration Impériale conformément à la loi est la solution à tous nos malheurs.   


C’est l’Administration Impériale, et elle seule, qui a en main la destinée du Pays de Dessalines, soit l’Éternel Empire d’Ayiti. Toutes les obligations contractées par la république sont nulles. La république est une imposture. Ayiti a été, est et sera un Empire, un Indestructible Empire. Aucune force étrangère n’y est admise, ce sous aucun prétexte. L’Empire, et lui seul, détient la clé de la terre ancestrale, nos Ancêtres, et, par conséquent, l’Empire est le seul qui accueille et qui parle dans le Nom du Peuple et de la NqhÄ. Nous le disons à la planète entière : NOUS, le Peuple de Dessalines, Peuple Ancestral, NOUS SOMMES les SEULS MAÎTRES et MAÎTRESSES des LIEUX.  


L’Empire est la gestion de soi, ce qu’on est en soi, par soi et pour soi. Nous ne marchons que sur nos propres traces, l’objet même de Notre Pays, Notre Empire, et c’est le sens exact de la rencontre du 1er janvier 1804, jour où les Vainqueurs, nos Ancêtres, sous la direction de l’Invincible Général Dessalines, se sont donné leur propre Administration après avoir proclamé leur Gwqmunité le 29 novembre 1803 à Dessalines, Ville Quartier-Général. C’est ce que signifie la fête de Janvier, le 1er, instituée le premier janvier 1805 à Dessalines, Capitale Impériale, par Jacques 1er  Lui-même. Ce jour nous renvoie à notre Gwqmunité, une œuvre magistrale de notre Gwqmunalité, qui implique l’Administration de notre vie par nous-mêmes, sans intermédiaire.


Soyons fidèles à nous-mêmes en marchant dans la Voie que nous nous sommes donnée, c’est-à-dire l’Empire et une Administration collective propre, signe de notre Gwqmunalité et notre Gwqmunité qui en découle.


La Maison Impériale Dessalines invite tous les gens du Peuple de Dessalines vivant en Ayiti comme à l’extérieur, qu’ils y soient nés ou pas, à monter une liste de préoccupations, c’est-à-dire ce qu’ils veulent entreprendre comme activité korbique. Plus vite ils complètent la liste de préoccupations, plus vite l’Administration Impériale, seul et unique SALUT, pourra entreprendre ses activités en ce sens.


Voilà ce que c’est le Rétablissement de l’Administration Impériale. Le Rétablissement est la gestion de votre vie, vos affaires, directement par vous-mêmes conformément à la pensée du Plus Que Grand, Jean-Jacques Dessalines, soit vous d’abord et avant tout.


La Maison Impériale Dessalines invite le Peuple de Dessalines à prêter le serment du 1er janvier 1804 :

« Prête donc entre ses mains le serment de vivre libre et indépendant, et de préférer la mort à tout ce qui tendrait à te remettre sous le joug.
Jure enfin de poursuivre à jamais les traîtres et les ennemis de ton indépendance.
Jurons à l'univers entier, à la postérité, à nous-mêmes, de renoncer à jamais au blancisme (à la France), et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination.
De combattre jusqu'au dernier soupir pour l'indépendance de notre pays! »



Pour la Maison Impériale Dessalines

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

Blog de Tiécoura Dessalines :



Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr

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