Texte renforcé 29 NOVEMBRE 1803 – 29 NOVEMBRE 2018, CÉLÉBRONS UNE MAJESTUEUSE NAISSANCE
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 r =
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29 NOVEMBRE 1803 – 29 NOVEMBRE 2018
LE MESSAGE DU 29 NOVEMBRE 2018 À L’OCCASION DE L’ANNIVERSAIRE DE
NAISSANCE
DE L’ÉTERNEL EMPIRE D’AYTI.
LE CONTEXTE DE LA VICTOIRE ET SA FORME SENSIBLE, SOIT L’ÉTERNEL
EMPIRE D’AYTI, PUIS SA VOCATION EN CE 29 NOVEMBRE 2018
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e = é
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LE CONTEXTE
Le monde, pour des raisons exposées
ailleurs, est bipolarisé. Ce n’est pas peu de chose pourtant peu de gens s’en
rendent compte. Faudrait-il qu’on soit un(e) illuminé(e) pour s’en apercevoir.
Ce qui est une absurdité au sein d’un ordre peuplé d’êtres pensants. Cela explique
le nombre incalculable des racailles dans le monde. Les pensées ou idées
marronnes, impropres à des êtres doués de capacité de b⊗nqyer, y trouvent leur justification. À
titre d’exemple les blancistes affirment que les Négresses et Nègres sont d’une
monstruosité à nul autre pareil. N’est-ce pas le grand philosophe français,
Charles de Montesquieu, qui, sans ambages, soutient : « Un dieu si bon ne peut pas mettre une âme,
une âme bonne, dans un corps tout noir ». Quel grand esprit, ce
Montesquieu! Le « noir », dans l’acception de couleur, est présenté
ici comme une monstruosité. D’autres, toujours des blancistes et des adeptes du
même dieu mais sous un autre vocable, à la vue des Noir(e)s, se voient
envahi(e)s d’une désagréable sensation. Il en manque malheureusement de cette
catégorie de gens car les blancistes ainsi que leurs semblables resteraient à
l’intérieur de leurs frontières, loin des nôtres. En même temps, toujours dans
ces milieux, on dit tout haut que ce même dieu est le créateur de toutes
choses. Ça va de soi, ce dieu, créateur de monstruosités, n’est pas parfait et
il est ipso facto une illusion, au mieux, une idée de l’homme à son image. C’est
le verdict de la logique même de l’idée de Dieu. Alors Bukmqn a sans doute
raison de nous inviter à ne pas recevoir ce dieu dont le blancisme est le
propagateur, cela, pour cette raison, soit son caractère chimérique. Ce grand b⊗nqy négro-jelefween fait reposer son salutaire conseil sur l'aperception, à ce sujet, de l’illustre savant Jean Jacques Dessalines,
savoir que Notre Dieu, Bon-Dieu ou Dieu Véritable, versus dieu de l’homme, soit
du blancisme, le faux dieu parce que créé par l’homme à son image, d’où alors la
bipolarisation du monde. Toujours d’après la pensée de Dessalines, le dieu
blanciste est la source de tous les malheurs; Bukmqn insiste sur « nos
malheurs » – soit le pic de l’horreur auquel nous sommes soumis et soumises
par les porteurs et porteuses de ce dieu. Toujours selon Bukmqn, Notre Dieu
nous ordonne, par la Voix nous parlant de l’intérieur, la Gwqmunalité, d’y
faire échec total-capital. Est clairement et irrelativement posée, la ligne de démarcation entre
l’Ancestralité et le blancisme, civilisation crapaud, dans le sens que, si
l’action hommale était en faveur des gens qualifiés de monstruosités et par
conséquent incapables de se diriger eux-mêmes, les blancistes et leurs
semblables ne seraient pas présents dans tous les coins de la terre et qu’ils n’inventeraient
pas sans cesse de faux prétextes pour pouvoir s’y rendre, même au péril de leur vie. Il est un fait
irréfutable que la
bipolarisation du monde est, de toute évidence, à la base de la Victoire, dont la forme sensible est l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, Empire de Tóya-Dessalines, Érigé le 29 novembre 1803 à Dessalines, Quartier-Général de l’Opération Dessalines, contre-offensive ancestrale triomphante.
bipolarisation du monde est, de toute évidence, à la base de la Victoire, dont la forme sensible est l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, Empire de Tóya-Dessalines, Érigé le 29 novembre 1803 à Dessalines, Quartier-Général de l’Opération Dessalines, contre-offensive ancestrale triomphante.
Quiconque n’a pas accédé à l’intelligence de ce qui
précède, et nombreux sont- ils, ne peut pas comprendre l’Ancestralité, soit des
gens à leur vivasi⊗, de l’invasion blanciste à la
déportation, de la Résistance à l’Érection de l’Éternel Empire de Tóya-Dessalines, du Crime des crimes, le 17 octobre 1806, à
le-sort-des-peuples-ingrats et du maintien de l’Empire par la Famille de
Dessalines, puis du Dessalines en chacune-chacun constituant son Peuple, à
l’Administration Impériale Rétablie le 17 octobre 2016. Ces gens sont tellement
nombreux qu’on ne peut plus les compter. La preuve est palpable car légion sont
les exemples.
Le caractère lakortal du Pays de
Dessalines
Le blancisme est exclusion alors que l’Ancestralité est
inclusion. La VICTOIRE, par la Mission Divine et lakortale du Sujet, Jean
Jacques Dessalines, est englobante. Il ne peut pas ne pas en être ainsi, c’est
une nécessité logique. L’Empire d’Ayti, ayant pour essence la VICTOIRE, est le
lieu d’être et exister de tous et toutes, sans nuances épidermiques. L’une des
deux couleurs de l’Empire, savoir le NOIR, symbolise cette généralité.
La logique impériale est implacable car l’appartenance à
l’Empire ne connaît pas de lieux d’origine non plus. En effet toute personne,
d’où qu’elle soit, est en puissance l’Enfant de l’Empire de Tóya-Dessalines. Cette appartenance passe de la puissance à l’acte lorsqu’on
est victime de la polarisation blanciste, quelque chose de nocif et partant
négatif, et qu’on opte pour l’Empire d’Ayti.
Pas de catégorisation
L’œuvre
de Dessalines est la plus belle chose de l’ordre du Nous que la terre ait
jamais vu. Elle est la consolidation et la sécurité du lakort, somme totale des
mun. C’est pourquoi si, par hasard, on entend dire une personne d’une autre, à cause
de son teint différent du teint foncé ancestral, et/ou de ses lieux d’origine, qu’elle
n’est pas des nôtres, du Pays de Dessalines, il ne faut accorder aucune valeur
ancestrale à ces paroles. Sachez aussi, et c’est là le point culminant, que
cette personne, ayant transgressé un des Mbwa générateurs de l’Éternel Empire
d’Ayti, n’est irréfutablement pas d’icelui.
La
personne en question est du nombre des gens du dehors. Puisqu’il y a deux
pôles, l’un inclusif, l’autre exclusif et que le premier est ancestral, donc
impérial, puis le dernier hommal-blanciste, la personne en question n’est pas
du camp de Dessalines, le camp des Ancêtres, lequel est un Ubuntu (être par et
avec les autres), mais celui du blancisme, dont l’exclusion est le mode d’être
dans le monde.
Cette
personne parle du dehors. Elle est ou descend des noir(e)s libres, ceux et
celles qui, par identité de contenu d’être artificiel ou historique, ont pris
fait et cause pour le blancisme en défaveur de l’Ancestralité. Cette personne
est une enfant de la horde-république, une colonie blanciste, et partant un
ensemble de racailles.
L’une des propriétés de l’Empire : la prise en charge de
ses enfants sans acception de personne
Le
caractère d’Ubuntu, qui a donné à l’Empire sa substance familiale, est,
évidemment, extensionnel au lakort, il garantit, sous forme d’impératif
constitutionnel interne, la possession suffisante à toutes et tous
indistinctement. L’Empire est à des années-lumière du blancisme, dont la
finalité, par la structure hiérarchique, est possession totale par l’un et, en
complémentarité, privation totale par les autres. Il s’agit, à l’interne comme
à l’externe, de l’absorption de tous et toutes par l’un. C’est la logique de
l’exclusion, relevant de l’hommalité, car l’homme est le soi singulier,
c’est-à-dire l’individu, pour reprendre une terminologie blanciste. L’Empire
d’Ayti n’est donc pas un état de droit ni une démocratie, donc une savqnerie dont
la signification est la sauvagerie en système, dont la raison réside dans une
conception éclatée de soi, des gens disparates qui sont des indépendantes et
égales libertés – ce qui est une incontestable régression par rapport au
progrès de la munalité enregistré dans plusieurs coins de la planète -, mais
une gestion k⊗biale de soi, le lakortal, sous l’égide de sa constitution
interne, en vue du parachèvement de soi, le mun, savoir un apprentissage de vivre
ensemble comme une unité indivise jusqu’à la spontanéité, ce qui s’appelle le
parachèvement, l’atteinte de la négro-divinité, une existence en pleine
conformité à notre constitution interne munale. C’est le pôle d’Ubuntu versus le
pôle de l’un, le mode d’être blanciste. Pour en arriver à ce stade, le
parachèvement de soi, il relève de la Fonction de Père de Famille, soit
l’Empereur, de mettre à l’exploitation des Enfants de l’Empire tous les biens
et ressources et garantir la possession de chacun-chacune qui en résulte. Quoi
de plus reposant! Quoi de plus beau !
Le nécessaire objectif
Se
trompent royalement celles et ceux qui pensent que la vie d’ensemble, quel que
soit sa nature, politique ou k⊗biale, n’a pas de fin extérieure. Ils sont, à coup
sûr, la proie de ces vautours. La fin extérieure est d’une importance
dessalinienne car elle est l’aune de ce qui est convenable et ce qui ne l’est
pas. On ne fait pas n’importe quoi, en collectivité. La forme et le contenu des critiques sont prédéterminés.
On est dans un cadre, il se nourrit de lui-même. Toute autre nourriture lui est indigeste.
C’est dans cette optique qu’il faut
comprendre les paroles de Dessalines, l’Éternel Vainqueur du blancisme. « Tout
y retrace le souvenir des cruautés de ce peuple barbare: nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte
française …». « Nous avons osé être libres, osons
l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes … » « Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves …
». Pour comprendre la dernière proposition, faut-il savoir que le mot
d’esclave signifie : Vivre dans la pensée d’un autre que soi parce qu’on
est, de par sa constitution interne ou sa nature, incapable de se diriger
soi-même. Autrement dit l’esclave n’est pas suffisamment doué de capacités
intellectuelles pour produire les pensées de cet ordre. Alors la nature ou
dieu, le faux bien sûr, le place, pour son bien propre, sous l’autorité ou le
commandement de l’être qui naturellement possède toutes les facultés en
question. Quel paradoxe ! Car c’est à cette pensée monstrueuse que fait
ici référence Jean Jacques Dessalines, le Vainqueur de celui qui se dit doué de
toutes les facultés supérieures. Fort de sa VICTOIRE sur le blancisme, se
disant maître naturel, Dessalines termine en disant : « Marchons
sur d'autres traces ». Dessalines, par ce conseil, met sous les
yeux des gens concernés la finalité de l’Empire. Il les invite à la faire leur.
L’Éternel Vainqueur de Napoléon Bonaparte ouvre ainsi largement la porte à
la Gwqmunalité des gens pour la réappropriation de soi. Bien évidemment ces
paroles vises un groupe spécifique, les libres qui sont et restent malgré tout
accrochés à la France. Comprendront-ils le message ? L’avenir le dira. Une
chose est sûre, le nouveau Pays, qui est l’Empire de la Gwqmunalité, l’Empire
d’Ayti, est bien ce « d’autres traces » auquel réfère le Plus Que
Grand, Jean Jacques Dessalines. Le Pays
d’Ayti, l’Empire, dont l’essence est l’Ancestralité, est antipodique à la
présence désordonnée et sinistre qu’est le blancisme.
Dessalines, l’Infiniment Grand, maintient, par l’Érection de l’Éternel
Empire, la bipolarité et il la présente comme un clivage inconciliable.
L’Empire et son comportement
vis-à-vis du plus grand Mal qui
soit
La vocation de l’Empire fait de lui l’arrêtoir de la racaille systématisée,
le blancisme. L’Empire de Dessalines est la seule opposition capable de
supprimer ce grand Mal en vue de rétablir le loko ou le katrl, l’équilibre
holistique, dans le monde parce qu’il est la seule figure d’opposition ayant
pignon sur rue. En d’autres mots il envahit, en gwo-nrg, savoir une force
invincible, et en dépositaire de la VOIE DIVINE, soit la VÉRITÉ dans toute sa
plénitude, l’espace spolié par la Bêtise irrelative, l’hommalité du blancisme,
et l’affronte barbe pour barbe. Sa vérité et sa bravoure lui assurent, sans
faille, la VICTOIRE totale-capitale.
La réponse du blancisme à l’Empire
Conscient du danger d’en face, le blancisme mise sur la disparition de
l’Empire. Il travaille d’arrache-pied en ce sens.
La question qu’il faut se poser est la suivante : L’Empire de Tóya-Dessalines est-il destructible ? La réponse est NON. L’Empire est une fois pour toutes et rien ni personne ne peut le détruire. Il est tant et aussi longtemps que sera le MUN. Si celui-ci devait disparaître, l’Empire d’Ayti, Empire de Tóya-Dessalines, resterait un monument en souvenir de l’être munal parce qu’il est son décalque et son lieu d’exister. L’Empire de Dessalines est, à l’instant même de son Érection, hors de portée de l’homme et par conséquent le blancisme. L’Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, est donc éternel.
La question qu’il faut se poser est la suivante : L’Empire de Tóya-Dessalines est-il destructible ? La réponse est NON. L’Empire est une fois pour toutes et rien ni personne ne peut le détruire. Il est tant et aussi longtemps que sera le MUN. Si celui-ci devait disparaître, l’Empire d’Ayti, Empire de Tóya-Dessalines, resterait un monument en souvenir de l’être munal parce qu’il est son décalque et son lieu d’exister. L’Empire de Dessalines est, à l’instant même de son Érection, hors de portée de l’homme et par conséquent le blancisme. L’Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, est donc éternel.
Voyons
maintenant le socle de tout cela. Tout d’abord, l’Empire est d’origine divine. Bukmqn
l’a souligné en mettant l’accent sur la Source Principale de la Résistance,
laquelle Source est Notre Dieu lui-même, parce qu’il ordonne de repousser le
blancisme de notre sphère existentielle. De son côté Jean Jacques Dessalines
dit, sans ambages, que le Grand Peuple Négro-jelefween a exécuté un Impératif
Divin en boutant la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres hors de son espace
et en instituant son propre Pays, preuve tangible qu’il a retrouvé son état
primitif. C’est pourquoi le Plus Que Grand parle de Génie d’Ayti, soit Notre
Dieu, comme Socle du Pays. Celui qui est le Vengeur et le Libérateur,
l’Invincible Général Jean Dessalines, précise que les « décrets »,
qui sont à l’origine de l’Empire, sont « éternels ». Ce qui revient à
dire que l’Empire est enraciné dans l’Éternité. Ce n’est pas une petite œuvre
que nos Ancêtres ont entrepris de construire. C’est pour cela que Dessalines,
le Sujet de toute cette activité, a dit très tôt, au cours de son enfance,
avoir une Mission Divine.
Le second
aspect de l’indestructibilité de l’Empire d’Ayti est son lien avec le mun. L’Empire est la manifestation de
la constitution interne munale et il a pour vocation de conduire les enfants du
lakort munal à leur finalité immédiate. Nous ne sommes pas dans la vie pour
satisfaire notre animalité (boire, manger, dormir, baiser, se couvrir, fumer,
etc.), comme le laisse subtilement entendre le blancisme. L’ordre de
contre-guerroyer qui nous est venu de Notre Dieu est en rapport direct avec
notre être, le munal. L’ordre est inscrit dans notre constitution interne
munale. Bukmqn nous invite à écouter notre être : la Voix nous parlant de l’intérieur, laquelle est la
Gwqmunalité, dont la fonction est de protéger ce qui est. Les décrets partent
de Notre Dieu et ils nous sont transmis par notre être en sa faveur. Ces
décrets qui sont éternels sont des Mbwa de notre constitution interne. Ils font
voir l’éternité de celle-ci, ça va de soi, ainsi que de l’Empire qui est sorti
de la VICTOIRE comme son décalque, un Ubuntu.
La
troisième justification de l’indestructibilité du Pays de Dessalines est
effectivement le rôle que Dessalines lui-même joue dans son Érection. Il est le
Sujet, sous l’ordre divin et le mandat populaire. On fait de Jean Jacques
Dessalines l’Agent actif de l’éternité de l’Empire, dans le monde sensible.
Premièrement il est l’Empereur parce qu’il est le Fondateur; deuxièmement le
Statut spécial est attribué à sa famille biologique, qui est déjà membre à part
entière de l’Empire puisqu’elle fait partie du Peuple. Dans l’Empire, la
famille biologique et institutionnelle de Jean Jacques Dessalines le rejoint
dans son Statut d’Empereur. C’est une accession non pas au Trône mais à la
sphère du Trône. Tout d’abord Sa Compagne Marie Claire Heureuse Dessalines est
élevée à la personne de Sa Majesté, ce qui fait ipso facto d’elle Sa Majesté,
et ensuite, pour ce qui est des enfants, cela se fait au moyen de la
reconnaissance des enfants de Dessalines par l’Empereur Dessalines. La famille
de Jean Jacques Dessalines devient la Famille Impérielle et elle est au service
de l’Empire. Elle est comme une pépinière à l’ombre de Sa Majesté. Jacques 1er
pourra y recourir en cas de besoin car la succession automatique, qui est
l’hérédité, n’est pas retenue dans l’Empire d’Ubuntu. Un traitement particulier
est accordé à la Famille Impérielle. Voilà le Sujet de la VICTOIRE et partant
de sa forme sensible, l’Empire, au sein d’une sphère qui lui est propre, la
Famille Impérielle. Ce niveau familial est, comme Jacques 1er, le
garant, pas directement du maintien de l’Empire, mais de l’Activité de l‘Empereur.
Elle est secondairement au service de la pérennité de l’Empire, le support
génétique et institutionnel de l’Empereur, le Sujet. La preuve, en observant de
très près la réalité, Dessalines constate la dangerosité du moment. Le
déroulement des choses lui donnera raison. Jacques 1er puise donc au
sein de sa Famille particulière son successeur, son premier garçon Jacques
Dessalines, et il confie à Sa Majesté Impératrice Claire Heureuse Dessalines
l’intérim au cas où Jacques II n’aurait pas encore 20 ans, s’il lui arrivait
quelque chose. Par la Famille Impérielle, qui est directement reliée à Sa
Majesté Jean Jacques Dessalines, lequel est, lui, directement relié au munal et
à Notre Dieu, la sphère particulière de l’Empire assure dans le monde sensible
la continuité, sans ponctuation, de l’Empire d’Ayti.
La
quatrième raison consolide la troisième, c’est la mise hors de
portée des hommes les Majestés : « La
personne de Leurs Majestés est sacrée et inviolable ». Il faut comprendre par ces mots que la
Personne de l’Empereur et l’Impératrice est la Valeur première parce qu’elle
est celle qui porte en elle l’Essence de l’Empire et qui, par ce fait, oriente.
C’est une œuvre colossale, l’Empire, au niveau de la pensée. Pour le succès de
cette tâche, la Valeur de cette Personne est sans aucune restriction ni
réserve, donc inconditionnelle. Il faut y lire que tout en étant partie
intégrante de l’Empire, donc en état d’immanence, la personne de Leurs Majestés
se différencie par son Lieu Propre. C’est la transcendance de l’Empire par
Leurs Majestés. Le Couple forme une Personne et un Lieu Séparé, donc Distinct.
Cela s’explique par la Divinité de l’Empire , dont elle porte l’Essence non pas d’un
« individualisme possessif », et aussi, mais surtout, son statut de
Guide qui en résulte. Cela est imposé par la logique de la chose. En effet pour orienter, soit diriger, comme se diriger soi-même,
il ne faut pas être étranger, étrangère, mais du tout, puis sans y être
totalement absorbé – e -. C’est comme être dans l’eau tout en ayant la tête
hors de l’eau. C’est la seule façon de pouvoir en parler. L’inconditionnelle
Valeur de la Personne Impériale est une nécessité logique. L’autre point est
que la Personne de leurs Majestés ne peut faire l’objet d’aucune critique ni
attaque. C’est là une conséquence de sa Valeur Inconditionnelle, irrelative. Le
simple fait de comploter contre la Personne Impériale est de nier cette Valeur
et cela, par conséquent doit être puni. La vindicative est commandée par l’Inconditionnalité
de la Valeur et elle met, du même coup, en évidence l’absence d’issue à ce niveau. On ne touche pas Sa Majesté. On ne peut
rien faire contre la Première Valeur de l’Institution qu’est l’Empire. L’armée
est strictement soumise, aucun coup ne peut venir d’elle. Il n’est pas permis,
sous aucun prétexte, de ne pas se soumettre à Sa Majesté. Une clôture de prescriptions
et interdictions, servant de protection, est érigée autour de la Personne qui
veille à la destinée du Peuple. Sa Majesté est un Lieu Distinct.
Il faut lire en tout cela la construction de la Perpétuité de l'aspect sensible de l'Empire d'Ayti. Quelle dextérité de la part de Sa Majesté Jean Jacques Dessalines! Une manière de faire majestueuse!
Il faut lire en tout cela la construction de la Perpétuité de l'aspect sensible de l'Empire d'Ayti. Quelle dextérité de la part de Sa Majesté Jean Jacques Dessalines! Une manière de faire majestueuse!
La cinquième est la
transmission de l’exercice de la Puissance Collective Munale Ofowu, toujours
dans l’ordre du maintien et l’Immortalité de l’Empire. Il est dit à ce
sujet : ‘L'Empereur désigne son successeur….» L’Empire est ici replié
sur lui-même sur le plan de sa préservation. Il se perpétue en lui-même, en d’autres mots ce n’est pas l’extérieur qui le
maintint. Il le fait lui-même. L'Empire, une fois Érigé, devient Sujet de lui-même. Il y a
une source et une légitimité à la Vie de l’Empire, et c’est la Personne de
Leurs Majestés, donc l’Empire même. Aussi l’extérieur, ses ennemis de tous poils, ne peut
rien contre lui, il lui est inaccessible, inatteignable. Tout assaut contre l’Empire
est un coup d’épée dans l’eau.
La sixième justification
est qu’il est inscrit dans la loi et la Logique Impériale même que l’Empire ne
finit pas avec la disparition physique de Sa Majesté l’Empereur Jean Jacques
Dessalines. « Malheur à celui qui
portera sur les degrés du Trône d’autres sentiments que ceux d’un père de
famille», dit Dessalines. Ces paroles mettent en lumière la certitude de
Jean Jacques Dessalines, concernant la survie de l’Empire à sa mort. D’après ce
qui précède, l’Empereur n’a pas tort. C’est l’Éternité même de l’Empire qui est
responsable de cette croyance et cette énonciation. On lit également dans ces
mêmes paroles l’invariabilité de la Substance Impériale; il n’est pas permis de
remplacer l’Empire par autre chose. L'Empire, c'est sa Substance Familiale. Ces Paroles de Dessalines vont toujours dans le sens de la pérennité de l'Oeuvre Ancestrale. S'écarter de la Paternité constitutive de l'Empire entraîne illico des "malheurs". Faut-il bien comprendre ce qui précède. Cette
conséquence des inconséquences n’a pas pour auteur le Génie d’Ayti. Aucune souffrance
ne peut venir de Notre Dieu, la punition est impropre à l’être de Notre Dieu.
Cela s’explique par le fait que Notre Dieu est Bon-Dieu, terme signifiant Vrai
Dieu. Les malheurs sont donc la peinière qui accompagne l’acte que pose le sujet.
Imaginons les contrariétés et les péripéties d’une personne qui se trompe de
direction. Sa direction, rapport à sa destination, n’en est pas une. Cela ne va
certainement pas sans contrariété de toutes sortes. Les « malheurs »,
dont parle Dessalines, sont une action du sujet sur lui-même. La voie qu’il
choisit est rocailleuse et meublée de piquants. Il en est ainsi parce qu’elle n’en
est pas une. Il n’en est pas une parce qu’elle ne jouit pas de l’invincible et
l’invariable protection de Notre Dieu. Pour en revenir au rejet de l’Empire et
ses conséquences désastreuses, il est intéressant de constater que, le fait que les malheurs frappent, la réalité de l'Empire n'est pas atteinte par la transgression. Autrement dit, l’Empire tient fermement. La raison est on ne peut plus évidente,
sans l’Ancestralité comme contenu, il n’y a pas d’Empire. Il y a dans l’Empire
des éléments stables, invariables et immuables, comme il y a des éléments de
nature fugace, changeante. Tout ce qui fait de l’Empire ce qu’il est, soit l’Empire,
tel qu’il est conçu et fondé par le Sujet de la VICTOIRE, dont l’Empire est la
forme sensible, relève de la stabilité, l’invariabilité et l’immuabilité.
La septième raison est, dans la conception et la fondation de l’Empire d’Ayti, l’absence d’après l’Empire. Tout est logiquement structuré.
Cette absence se comprend puisqu’il est Éternel. Cette absence s’énonce comme
suit: « Malheur » et le-sort-des-peuples-ingrats. « Malheur
à celui qui portera sur les
degrés du Trône d’autres sentiments que ceux d’un père de famille»; « et si jamais tu
refusais ou recevais en murmurant les lois que le Génie qui veille à tes
destinées me dictera pour ton bonheur, tu
mériterais le sort des peuples ingrats. Le « malheur » et le « le-sort-des-peuples-ingrats » font clairement voir les bouleversements continus et toutes sortes de calamités sans
fin qui suivraient à la tentative de s’écarter de l’Empire. Dessalines lui-même
qualifie la situation d’ « affreuse idée ». Ce
que mettent en relief ces turbulences incontrôlables, c’est l’impossibilité d’aller
de l’avant dans la désobéissance à la Parole de Sa Majesté, Parole qui lui est
dictée par Notre Dieu, Fondement Premier du Pays Ancestral. Autrement dit, il n’y
a aucun progrès possible en dehors du cadre impérial, tel que posé par Jean
Jacques Dessalines. L’après l’Empire est
néant.
Pour contrer tout cela, Dessalines affirme :
« Tu seras le soutien de la liberté (Gwqmunalité) que tu chéris, l'appui du chef qui te
commande. » En d’autres termes, reste à l’intérieur du cadre
de l’Empire et il ne t’arrivera pas malheur. Il ne peut pas ne pas y avoir blocage
total car l’Empire de Tóya-Dessalines est Éternel. Une logique implacable. L’Empire
est une merveilleuse construction et l’œuvre d’un grand B⊗nqy, Jean Jacques Dessalines.
Il est conçu pour vaincre.
Conclusion
Il n’y a rien que l’on puisse faire, le monde est bipolarisé. D’un côté
il y a l’hommalité, de l’autre la munalité. L’hommalité couvre tous les
systèmes politiques connus alors que la munalité, elle, est
représentée par le Pays de Dessalines, l’Éternel Empire d’Ayti. Qu’on ne se
trompe pas ! Le pôle destructeur, parce que gordrm, ne peut rien contre le
pôle générique et positif, l’Empire d’Ayti. Le La EST. Par conséquent la pulvérisation du pôle destructeur
est garantie. Il sera consumé par le pôle générique et positif. Voilà le sens
immédiat de l’acte de vivre présentement.
La république d’Haïti, qui est sortie du Crime
des crimes, en est un exemple frappant. Elle est tout ce que combattait et rejette
l’Ancestralité, donc une colonie blanciste. Écoutez parler les chefs de partis
politiques, leur évaluation de la situation et leurs solutions, ils puisent
dans le langage blanciste tous leurs discours. Ils ne sont pas des
nôtres, ces gens-là. Ce ne sont donc pas des gens en soi. Ils
sont sans pensée ni culture, de purs singes. Tout bien considéré, ils
ne sont que des masses biologiques.
Les Horde-républicaines et les
Horde-républicains ont commencé à se battre dès le lendemain du Crime, ils se
battent, sans répits, depuis. Il y a deux-cents-douze ans, cette année. Pour
eux, c’est comme si c’était hier, ils n’ont pas vu le temps passer. La vie à l’ombre
d’un autre que soi les a assotits, privés de l’usage effectif de leurs facultés.
Même le sens de l’évidence les a abandonnés. La colonie républicaine est une
voie sans issue. Cela s’explique par le fait qu’il n’y a pas de troisième pôle
ni de possibilité de faire échec à l’Empire, FORME de la
VICTOIRE, consolidée le 29 novembre 1803, par la proclamation de la Gwqmunité du Peuple Ancestral à Dessalines.
Pour la Maison
Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines,
Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre
Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans
Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse
Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du
Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique,
théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la
munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
lekbaogfweda@gmail.com
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