En ce 2 novembre 2018 une pensée pour le général français Victor Emmanuel Leclerc
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 r =
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WO O O O O o …. ! ME ZC !
DU COUPANT SANS LAME COMME DU SUCRÉ SANS SUCRE !
BONNE FÊTE, GELEFWE, EN CE 2
NOVEMBRE 2018 !
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De même qu’il y a du sucré sans sucre, de même il y a du
coupant sans lame. Son nom est Ancestralité, une invincibilité qui a vu le jour
au Jelefwe (Gelefwe).
RETENEZ BIEN CECI
À l’approche de l’armée de Napoléon Bonaparte, laquelle
est armée jusqu’aux dents, le Super Soldat, Dessalines, de toutes ses forces,
CRIE à ses Braves, nos Ancêtres : « AVANCEZ ! »
Les Braves : « Nous n’avons pas de munitions, mon
Général ».
Le Super Soldat, faisant semblant de ne pas entendre la
réponse, Crie à nouveau « « AVANCEZ ! »
Les Braves : « Nous n’avons pas de munitions,
mon Général ».
Jean Jacques Dessalines : « AVANCEZ! »
Les Braves : Nous n’avons pas de munitions, mon
Général ! »
Dessalines : « AVANCEZ ! PRENEZ-LES AVEC VOS
ONGLES ET VOS DENTS! »
Et c’est la Victoire, une Victoire incontestablement coupante!
Ce
qu’il faut tirer de cet exploit sans pareil, c’est la FORCE de VIVRE et EXISTER (être en soi, par soi
et pour soi), puis, de VAINCRE, un Impératif de Notre Être Ofowu.
Napoléon, Leclerc et l’expédition
Avant tout cela, Napoléon Bonaparte écrit au Grand Peuple Négro-jelefween de
« Saint-Domingue » : « Le gouvernement, dit-il,
vous envoie le capitaine général Leclerc; il amène avec lui de grandes forces
pour vous protéger contre vos ennemis et contre les ennemis de la république.
Qui osera se séparer du capitaine général sera un traître à la
patrie, et la colère de la république le
dévorera comme le feu dévore vos cannes desséchées>>. Le Premier
Consul est comme bandé à l’arrière.
Mais les choses ne seront pas si faciles que ça, le Premier Consul surestime ses forces et du même coup sous-estime la Force de Vivre et Exister, puis de Vaincre du Peuple Nègre. L’expérience de la détermination négro-jelefweenne ébranle, non sans raison, le général Leclerc. Dans son rapport, il écrit à Napoléon Bonaparte : «Depuis que je suis ici, je n’ai eu que le spectacle d’incendies, d’insurrections, d’assassinats, de morts et de mourants. Mon âme est flétrie, aucune idée riante ne peut me faire oublier ces tableaux hideux.”
Au lieu de se retirer, soit abandonner la
partie, Leclerc, par sa nature unidirectionnelle,
tient à l’emporter malgré tout : “Les hommes, écrit-il
une autre fois au premier Consul, meurent avec un fanatisme incroyable. Ils
se rient de la mort. Il en est de même des femmes”. Quel exceptionnel DÉSIR de SOI-MÊME dont fait preuve le PEUPLE NÈGRE!
Ces “grandes forces”, de toute évidence, n’y peuvent rien, le fait est là pour
le prouver. En effet, en 1816, Napoléon, exilé sur l’Île Sainte Hélène, écrit :
<<C’était une grande faute que d’avoir voulu la soumettre par la
force>>, cette colonie
Leclerc face à Dessalines
La partie la plus belle est le coup que l’Invincible
Général Dessalines portera au général Leclerc, beau-frère de Bonaparte, le mari
de sa sœur Pauline, juste avant la Grande Victoire.
Leclerc écrira à
Napoléon Bonaparte pour lui dire <<... que Dessalines est dans ce
moment le boucher des noirs. C’est par lui que je fais exécuter toutes les
mesures odieuses. Je le garderai tant que j’en aurai besoin >>. Suivant l'ordre de Napoléon, le général Leclerc devra enlever ou assassiner le Général Dessalines, selon le cas. Pour bien
comprendre ces paroles, il faut garder à la pensée que Toussaint L’Ouverture,
qui est un agent secret de la république française, proclame de son propre chef,
la fin de l’affrontement, et ce, à l’avantage de la France, malgré l’opposition
de Dessalines. Toussaint, général en chef de l’armée, conseille à son chef, le
capitaine général Leclerc, d’intégrer dans l’armée française les officiers et
officières noirs. Cet ordre lui est donné par Napoléon Bonaparte même. En effet dans la lettre que Bonaparte lui adresse le 18
novembre 1801, on lit ce qui suit : « Assistez de vos conseils, de
votre influence et de vos talents le capitaine général. » Voilà Dessalines, malgré lui
dans l’armée française, ayant à sa tête le général Leclerc. Celui-ci lui
demande de désarmer les noir-e-s et chasser les groupes qui refusent de se
joindre à l’armée française. C’est un grand cadeau pour le Général Dessalines
qui détourne l’ordre de Leclerc en le mettant à profit de la Cause Ancestrale.
Il se débarrasse de ses adversaires, les chefs de contre-guerre qui refusent de
fusionner leurs forces pour mieux vaincre les blancistes français. Ignorant ce qui se joue sur le terrain, le général français voit en Dessalines
quelqu’un qui défend l’intérêt français. C’est là le sens des propos du général
Leclerc.
Très
satisfait, Leclerc confie alors à Dessalines le génocide des hommes et femmes de
couleur. Pour mener à bien le travail, le général français autorise le Général
Dessalines à monter une armée. Il lui donne l’argent nécessaire pour l’achat
des armes et des munitions. Un cadeau inespéré pour l’Invincible Général
Dessalines, le Super Soldat et Défenseur inconditionnel de l’Ancestralité. En
réponse à tout cela, l’Invincible Général Dessalines, plus que satisfait,
laisse tomber ces belles paroles : « Mon général, il va y avoir un tremblement de terre ». Le
général français est tout content d’entendre ça.
Dans
quel camp la terre tremblera-t-elle ? Cela, le général français l’ignore
et il ne tardera pas à l’apprendre. Moins d’une semaine, on vient lui dire :
«Mon général, ne dites-vous pas que le
Général Dessalines marche avec nous ? » « En effet »,
répond Leclerc. « Eh bien, poursuit
le soldat français, des Français tombent sous les Bras de l’Armée de Dessalines ».
Les jambes du général Leclerc ne supportent soudainement plus le poids de son
corps et il tombe sur ses fesses, en prononçant ces étincelantes paroles «Me suis-je fait avoir par un barbare ? ».
Le
devoir appelle alors Leclerc et le général se jette dans la bataille. Seulement deux
semaines après le début de l’Opération Dessalines, le général en chef de l’armée
française, le général Victor Emmanuel Leclerc, beau-frère de Napoléon
Bonaparte, s’écroule sous le poids des Bras négro-jelefweens le 2 novembre 1802.
Pourtant, par l’armée de Napoléon, « les grandes forces », « la
colère de la république » est censée «les
dévorer comme le feu dévore (leurs) cannes desséchées ». Quel pédant, ce Napoléon Bonaparte, il n'avait pas encore croisé le Nègre et la Négresses sur son chemin.
Pauline Bonaparte rapatrie, en France, les restes du
général Leclerc, son mari. Le coup dévore le premier Consul Napoléon Bonaparte comme
le feu dévore les cannes desséchées. En effet, devant le corps sans vie de
Leclerc, furieux s’écrie Napoléon : « Voilà le résultat d’un nègre
révolté! » Il parle sans doute de l’Invincible Général Jean Jacques
Dessalines. Les autorités françaises, pour camoufler la débarque de l’armée
napoléonienne, s’entendent pour attribuer à la fièvre jaune la mort du général
Victor Emmanuel Leclerc. Quelle lâcheté!
Les mains nues, par la FORCE de VIVRE et EXISTER, (être en
soi, par soi et pour soi), puis de VAINCRE, le Peuple Ancestral Nègre en Ayti a
fait du 2 novembre 1802 historiquement un jour de leçon.
Du coupant sans lame, c'est l'Ancestralité.
Du coupant sans lame, c'est l'Ancestralité.
Dessalines pi wrd!
Pour la
Maison Impériale Dessalines, l'Empire
d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que
l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort
avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans
Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse
Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur
de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du
blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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