Eritye Papa Desalin, défenseur du Bicolore Noir et Rouge, et la polémique du Drapeau de Dessalines
La Famille Impériale et la Ville de
Dessalines prennent la parole 7 - 4 r = o © Tous
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Eritye
Papa Desalin, au cours de son émission du lundi 12 et du mardi 13 novembre
2018, soit hier et aujourd’hui, sur les ondes de Radio Pa Nou,
a
pointé du doigt le Drapeau du Pays d’Ayti,
l’Éternel
Bicolore NOIR et ROUGE.
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Voici, en résumé, de quoi s'agissait-il sur les ondes.
Je rappelle qu'il y a, dans le blog, tableau public officiel,
Je rappelle qu'il y a, dans le blog, tableau public officiel,
plusieurs articles traitant de la
question du Drapeau.
Un historien, en vérité un histo-à-rien, comme il y en a
massivement, écrit, de façon éhontée : « Selon une légende
d’aujourd’hui, le drapeau est noir et rouge ». De toute évidence cet homme
mérite bien son titre, histo-à-rien, car il est clairement dit dans l’unique
Constitution du Pays d’Ayti, Pays de nos Ancêtres, Éternel Empire, que
« Les couleurs du Drapeau sont Noir et Rouge ». Ayti pullule de gens
qui racontent l’histoire sans avoir lu une seule phrase écrite par nos Ancêtres
mêmes. Ce qu’ils racontent, ils le puisent en eux-mêmes, quand ce qu’ils
doivent dire ne leur est pas dicté par l’ennemi des Négresses et Nègres. Ces
gens sont là pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Ils sont
payés par le blancisme pour le faire.
Eritye Papa Desalin a, sans nul doute, raison. Faut-il le
reconnaître, l’institution de défense de l’héritage du Fondateur de NOTRE PAYS
D’AYTI, l’Empire, comme le précise la Constitution, a, de toute évidence,
éclairé la lanterne de plus d’une personne. Nous applaudissons son travail. Il
vaut mieux écouter, en histoire, régulièrement Eritye Papa Desalin au lieu
d’écouter de toutes ses oreilles les laïus de ces histo-à-riens, ces clowns qui parcourent les salles de classe et qui
osent même écrire leurs balivernes.
Le drapeau et notre vivasiÄ
Le drapeau, sans être négatif ni un degré supérieur en
soi, n’est pas un élément de notre vivasiÄ, mode de vie négro-jelefween. Dans
le Saint-Domingue d’Ayti, espace répugnant parce que gordrm, soit étranger au
La, cet usage est très répandu. Le drapeau s’inscrit dans la symbolique
blanciste comme spécificité de groupes tandis que, par son frisson sous l’effet
du vent, il est perçu par les Ancêtres comme action et animation.
Pendant les premiers mois de l’Opération Dessalines les
troupes ancestrales intègrent le drapeau dans leurs rangs, cela, par habitude
puisque plusieurs d’entre eux et elles ont déjà servi dans les armées
européennes. C’est la preuve que nos Ancêtres, agents de l’Opération
Dessalines, n’ont pas la même perception de la chose. Pourtant les blancistes,
qui sont incapables de connaître les choses en soi, voient dans l’usage du
drapeau, ici le tricolore français, par nos Ancêtres, l’absence de volonté de
bouter la France hors de notre sphère existentielle. La Gazette de
Port-au-Prince, en février 1803, accouche tout haut de cette bêtise dans un
article.
L’absurdité est monumentale, à la hauteur du contresens
constitutif du blancisme, parce que la finalité immédiate de l’Opération
Dessalines est l’aération totale-capitale de notre sphère négro-jelefweenne, par
l’expulsion des blancistes - on se souvient de la réponse de Dessalines au
général Quentin en octobre 1802, savoir que « la France est un monstre que
la terre engloutit trop lentement » et qu’il s’en charge lui-même -, et
que le drapeau français, le tricolore, né à la suite de la révolution du 14
juillet 1789, est la somme des idéologies et de croyances religieuses du pays
de France. Tout d’abord le bleu fait référence à Sainte Geneviève et
Saint-Martin. Il est attaché aux rois français car l’église en a fait le
symbole de la légitimité qu’elle accorde au roi. En dehors du bleu la monarchie
française a sa couleur traditionnelle, c’est le blanc. Le blanc, associé à
Saint-Michel, l’Archange, qui combat Satan, est le symbole de la légitimité
divine de la royauté française. Le rouge est la couleur de la bannière de
l’abbaye de Saint-Denis, et le roi Hugues Capet en a fait le symbole de sa
mission divine. Plusieurs rois français, notamment Charles V et Charles IX,
ont eu le tricolore pour étendard avant 1789. Ce n’est qu’à la suite du décret
du 27 pluviôse an II, soit le 15 février 1794 qu’est fixée la disposition
actuelle. Le tricolore ne pourrait en aucune façon trouver sa place dans la
symbolique négro-gelefweenne.
Malgré tout le général Pétion fera parvenir le numéro de
la Gazette au Général Dessalines, Sujet de l’Opération du même nom, à
Dessalines, Ville fondée au début de l’année en cours par le Général Dessalines
lui-même et Quartier-général de l’Opération Dessalines. Le Super Soldat en
prendra effectivement connaissance et, à l’instant, il entrera dans une vive
colère. Dessalines, qui sera monté par un lua, VUD ou UN, sortira au même
instant son sabre et, avec la dextérité qu’on le connaît, d’un coup, tout en
prononçant des paroles d’une langue ancestrale, coupera le blanc du tricolore
qui est dans son office. Catherine Flon, sa mqbo, se chargera, au même moment,
de coudre, avec ses cheveux, le bleu et le rouge dans la disposition du 15
février 1794, signifiant être debout. Ainsi le drapeau est entré dans la
symbolique ancestrale comme symbole de la contre-guerre, l’Opération Dessalines
en cours.
Le Pays d’Ayti qui est sorti de la VICTOIRE, par la
logique de sa Vocation, se donne aussi son propre DRAPEAU, dont les couleurs
sont NOIR et ROUGE, le NOIR, est associé au lakort munal et signifie absence de
teint ou couleur – il est pris au sens générique; on y lit la Mission Divine et
planétaire de Jean Jacques Dessalines, Enfant des Mornes Cahos et élevé par
Agbawaya Tóya
-, et le ROUGE désigne le sang versé et consenti pour être en soi, par
soi et pour soi. Somme toute le Bicolore NOIR et ROUGE est le SYMBOLE de la
VICTOIRE de l’ANCESTRALITÉ sur le plus grand Mal qui soit à l’heure qu’il est,
le BLANCISME.
Est arrivé le 17 octobre 1806, la colonie, « la
partie française de Saint-Domingue », est rétablie. Cela a nécessité un
changement de drapeau. L’église, auteur de la colonisation, est rétablie dans
ses droits, les couleurs forcément aussi. Ainsi le symbole du Mal indicible est
le tricolore, bleu, blanc, rouge, avec cette différence, le blanc, toujours au
centre, mais qui n’est plus une partie égale, prend la forme d’un carré, auquel
est confié le port des armoiries, et une nouvelle disposition, couchée à plat
ventre, pour afficher la distanciation du nouvel étendard du Drapeau de la
contre-guerre créé par l’Invincible Générale Jean Jacques Dessalines, le
Drapeau de la VICTOIRE - ce qui est tout
à fait logique.
Il est, en tout sens, faux de dire que le
drapeau bi-tricolore de la république tire son origine du Drapeau Ancestral de
février 1803. Le drapeau, qui est entré dans notre espace ancestral par le parricide,
est, de toute évidence, un produit distinct, une nouvelle création; cela saute
aux yeux, franchement. Dans le cas contraire, tous les drapeaux ayant une ou
deux couleurs identiques auraient les mêmes origines, ce qui serait une
absurdité parce qu’il y aurait dans le monde un seul drapeau. Le parricide n’est
pas cérébral car on ne discute pas de l’évidence. Ce drapeau est
irréfutablement le drapeau de la république, une colonie française, laquelle
est née du Crime des crimes, le 17 octobre 1806, dont l’auteur, mais exécuté
par les irréductibles libres et des espions français, est l’empereur Napoléon
Bonaparte, faute de génie militaire pour affronter Jean Jacques Dessalines, Éternel
Vainqueur du blancisme et Éternel Empereur, préparé par l’Amazone Agbawaya Tóya.
Le drapeau de Christophe Henri, le parricide, a déserté la
symbolique du Drapeau Ancestral; il conserve les mêmes couleurs mais inversées,
soit rouge et noir, avec un signe distinctif au milieu. Docteur François
Duvalier, un président de la république colonialisée, a opté, lui aussi, pour
le noir et rouge, avec la même disposition dessalinienne, mais, par le carré
blanc au centre et les armoiries de la république, il oppose son drapeau au
Drapeau de Dessalines, Drapeau du Pays Ancestral, l’Éternel Empire de la
Gwqmunalité, le seul lieu d’être et exister du Peuple d’Ayti, Peuple de
Dessalines, Peuple Endogène.
La polémique
Le leader politique, Moïse Jean Charles, suscite une
polémique hors pair, sur notre Territoire Ancestral, ainsi qu’à l’extérieur, ça
va de soi, par sa décision de hisser les couleurs NOIR et ROUGE de Sa Majesté
Jacques 1er, au désavantage du bi-tricolore de malheurs sans nombre
de la colonie blanciste haïtienne. Cela s’explique par la bipartition des
habitantes et habitants de la Terre des Arawak, devenue Ancestrale, en Peuple
Endogène et peuple exogène. Le premier est le Peuple-Maître des lieux, le
dernier est le peuple d’ailleurs. Le Peuple Endogène est le Peuple Ancestral
alors que le peuple exogène est issu des irréductibles libres, les parricides,
enracinés dans le blancisme, donc des gens du dehors. Il s’ensuit que la
polémique est générée par une question d’idéologie. Celles et ceux qui sont en
faveur du retour du Drapeau de Dessalines, l’Étendard du Pays Ancestral, se
laissent guider par l’inclination à la réappropriation de soi, qui est leur
Pays, leur identité et l’inestimable Grandeur de nos Ancêtres. Tandis que ceux
et celles qui s’y opposent voient, face à la toute-puissance de l’Ancestralité,
la fin prochaine de la colonie qui, par l’indépendance du gouvernement, permet
de s’enrichir sans effort aucun au détriment de la très vaste majorité. Il y a
aussi le fait que ces gens ne sont pas, loin du blancisme, principe de leur être.
Ces êtres ont très peur de l’émergence de l’Ancestralité car ils sont
incapables de penser et s’organiser par eux-mêmes. Ce sont les esclaves de la
théorie-foutaise. Qui aurait pu penser qu’il y a des êtres pensants qui
préfèrent la vilenie à la Grandeur, l’infériorité à la supériorité. Eh bien, il
y en a massivement.
DESSALINES PI WRD !
Pour la Maison Impériale
Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de
Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents
sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais
englouti :
HRH
Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de
la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et
Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme
VudUn.
lekbaogfweda@gmail.com
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