INTERDICTION DE CÉLÉBRER LE 18 NOVEMBRE 1803
La Famille Impériale et la Ville de
Dessalines prennent la parole 7 - 4 r = m © Tous
droits réservés
INTERDICTION
DE CÉLÉBRER LE 18 NOVEMBRE 1803
LE
18 NOVEMBRE 1803 EST LA VICTOIRE ANCESTRALE SUR LA LOUPERIE, PRÉDATION
BLANCISTE.
PARTAGER MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
Depuis la première razzia nos Ancêtres, Mat et Maa, sont
entrés en contre-guerre. Le blancisme de tous poils fait face à une résistance
jusque-ici inconnue à la terre. Tout contexte, pour les Négro-jelefweennes et
Négro-jelefweens, est une occasion de contre-frapper le Mal et ils n’y vont pas
de main morte.
Partout le blancisme fait, sous les puissants bras de nos
Ancêtres, l’expérience de la Gwqmunalité et l’intrépidité nègre. Une telle
expérience est imparable car le Soi munal est tout ce qu’il doit être. Il est
alors incessible et ne pardonne pas. Aussi les victoires ancestrales sur le
blancisme pavent le continent masuana.
Dans le Saint-Domingue d’Ayti, la Résistance Gwqmunale,
tout en restant massive avec toutes les autres terres du Masuana, prend une
toute autre signification, celle d’ériger la silhouette sensible de la
constitution interne munale, savoir la manifestation externe de notre essence
en vue du parachèvement de l’être que nous sommes. Ainsi nombreux sont-ils,
celles et ceux, des Négresses et Nègres aux bras puissants, qui prennent le
chemin conduisant à la Terre d’Ayti. Ils arrivent également du continent
ancestral, Bossales les nomme-t-on, pour décrire leur férocité positive parce
que libératrice.
Une fois sur l’Île d’Ayti tous et toutes se joignent à
l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, préparé à cette fin par l’Amazone Agbawaya Tóya. Il y a plusieurs hommes de couleur libres qui
font de même car le général Leclerc a ordonné leur exécution par le Général
Dessalines. Celui-ci a rejeté l’ordre de Leclerc alors leur sûr refuge devient
Dessalines même. Les blancs-tout-court de la colonie, qui ont compris la
Concordance de la Résistance Gwqmunale, se placent sous la Direction de Jean
Jacques Dessalines. Certains noirs libres, parce qu’ils ont vu croître la
puissance du Messie Divin, s’abritent à l’ombre de l’Enfant des Mornes Cahos.
Dans le camp ancestral, ayant à sa tête le Général
Dessalines, à l’exception des libres de couleur et de quelques noirs libres qui
ont tous peur pour leur vie - c’est par conséquent une raison égoïste et elle
ne vaut que pour un temps -, toutes et tous sont unis dans la pensée de la
Résistance à l’hommalité, le gordrm (l’étranger au système holistique du La), dont
le blancisme est la plus haute expression à l’heure qu’il est.
L’Opération Dessalines, après le nettoyage du
Port-républicain, aujourd’hui Port-au-Prince, met le cap sur la Capitale
coloniale, le Cap-français, dernière poche importante de bandits, pour démanteler
le cruel ou le boucher français, le général Donatien Rochambeau. L’Invincible Général
Négro-gelefween, Jean Jacques Dessalines, prouvera à icelui que cruauté et
lâcheté vont de compagnie. En effet il faudra une journée de combat pour déculotter
le général Rochambeau et démantibuler l’armée de Napoléon Bonaparte dont il est
à la tête.
Voici l’acte de reddition :
VERTIÈRES : ACTE DE
REDDITION 19 NOVEMBRE 1803
«
Aujourd'hui 27 Brumaire (19 novembre 1803), l'adjudant Commandant Duveyrier,
chargé des pouvoirs du Général en chef Rochambeau, Commandant l'armée
française, pour traiter de la reddition de la ville du Cap, et moi, Jean
Jacques Dessalines, sommes convenus des articles suivants :
Art. 1er. - La ville du Cap et les forts qui en
dépendent seront remis dans les dix jours, à dater du 28 présent, au Général en
chef Dessalines.
Art. 2. - Les munitions de guerre qui seront dans
les arsenaux, les armes et l'artillerie seront laissées dans l'état où elles
sont présentement.
Art. 3. - Tous les vaisseaux de guerre et autres
qui seront jugés nécessaires par le Général Rochambeau, tant pour le transport
des troupes et des habitants que pour l'évacuation, seront libres de sortir au
jour nommé.
Art. 4. - Les Officiers militaires et civils, les
troupes composant la garnison du Cap, sortiront avec les honneurs de la guerre,
emportant leurs armes et les effets appartenant à leurs demi-brigades.
Art. 5. - Les malades et blessés hors d'état d'être
transportés seront traités dans les hôpitaux jusqu'à leur guérison. Ils sont
spécialement recommandés à l'humanité du Général Dessalines.
Art. 6. - Le Général Dessalines en donnant
l'assurance de sa protection aux habitants qui restent dans la place, réclame
de la justice du Général Rochambeau la mise en liberté des hommes du pays
quelle que soit leur couleur, lesquels ne pourront sous quelque prétexte que ce
soit être contraints à s'embarquer avec l'armée française.
Art. 7. - Les troupes des deux armées resteront
dans leurs positions respectives jusqu'au dixième jour fixé pour l'évacuation
du Cap.
Art. 8. - Le Général Rochambeau enverra pour sûreté
des présentes conventions l'adjudant commandant Urbain Deveau en échange duquel
le Général Dessalines remettra un officier du même grade.
Fait en
double et de bonne foi, au Quartier général du Haut du Cap, les dits jours,
mois et an précités.
Signé : Général DESSALINES et adjudant Commandant
Duveyrier
La finalité de la VICTOIRE ANCESTRALE
La Résistance Gwqmunale débouche sur la VICTOIRE Décisive
et Incisive de l’Ancestralité sur le blancisme français. Notre espace
existentiel est aéré et est ensuite érigé l’Empire d’Ayti, dès le 29 novembre 1803
par la proclamation, en ce jour, de la Gwqmunité du Peuple Nègre d’Ayti, dont
le contenu est la Royauté Ancestrale, d’où sa spécificité.
Retenons bien ceci. L’Empire n’est pas le fruit de la VICTOIRE ANCESTRALE, il est la VICTOIRE ANCESTRALE, scellée le 18 novembre 1803.
Retenons bien ceci. L’Empire n’est pas le fruit de la VICTOIRE ANCESTRALE, il est la VICTOIRE ANCESTRALE, scellée le 18 novembre 1803.
Rappelons bien que Dessalines est Empereur parce qu’il
fonde l’Empire. Il n’est pas Empereur d’un Empire qui l’a précédé. On est ici à
la genèse d’une Œuvre Colossale. Elle est le résultat d’une interpénétration. Voyons
bien. Tout se donne rendez-vous en l’UN, soit Jean Jacques Dessalines, qui n’est
pas une idée mais un Être biologique. C’est la pensée que nos Ancêtres nous ont
transmise.
Ce qu’il faut comprendre ici, c’est que l’Empereur et l’Empire
sont massifs par une propriété commune et nécessaire. Tout d’abord Jean Jacques
Dessalines, l’être véritable, est le Sujet de la VICTOIRE. Pourquoi en est-il
le Sujet? Dessalines a d’abord dit lui-même avoir une Mission Divine et ensuite
il a reçu de son Peuple, rappelle-t-il, la Mission de Vaincre le blancisme en
vue de son chez Soi, le Pays. Jean Jacques Dessalines est historiquement Sujet.
Il s’ensuit que la VICTOIRE est un constituant-prédicat du Sujet, Dessalines. Sans
le Sujet il n’y a pas de VICTOIRE et sans la VICTOIRE il n’y a pas de Sujet de
la VICTOIRE, soit de Sujet véritable. C’est cela l’interpénétration, une
interpénétration-chose, artificielle, certes, c’est-à-dire une véritable création.
Dans l’ordre logique il y a simultanéité ou coïncidence
entre Sujet et Prédicat. Cependant dans l’ordre temporel, par sa réalité
biologique, le Sujet de l’action, débouchant sur la VICTOIRE, ici Dessalines
porteur d’une pensée, précède de peu celle-là. L’action a lieu dans la pensée
de la VICTOIRE, ce qui accorde à celle-ci une réalité d’être en puissance. Elle
est, par la pensée, dans le Sujet, Jean Jacques Dessalines. L’effectivité de la
VICTOIRE est le point d’arrivée de la pensée par l’action, soit l’Opération
Dessalines. Cette pensée est,
bien sûr, celle du Sujet, elle est alors la propriété nécessaire reliant la
Victoire, comme prédicat, au Sujet. Cette pensée est le contenu de Jean Jacques
Dessalines et la VICTOIRE elle-même, elle passe, comme contenu, de la puissance à l’acte, ici comme réalité
ou manifestation dans le monde sensible.
Cette pensée devenue chose artificielle est, en somme, l’Ancestralité (dont la substance est Notre Dieu, le Mun et Nos Ascendants et Ascendantes), la propriété nécessaire qui relie l’Empire à l’Empereur. Le premier, par l’acte fondateur, est en ce dernier.
Cette pensée devenue chose artificielle est, en somme, l’Ancestralité (dont la substance est Notre Dieu, le Mun et Nos Ascendants et Ascendantes), la propriété nécessaire qui relie l’Empire à l’Empereur. Le premier, par l’acte fondateur, est en ce dernier.
L’exclusion de la célébration de la
VICTOIRE
La république d’Haïti naît d’un acte attentatoire à l’Empire,
finalité immédiate de la Résistance Ancestrale, lequel acte est l’assassinat
physique de Sa Majesté Jacques 1er, Éternel Empereur Jean Jacques
Dessalines. Jean Jacques Dessalines, comme Sujet, est le seul qui porte en lui la VICTOIRE,
scellée le 18 novembre 1803. L’acte générateur de
la république est, de toute évidence, le reniement de l’Empire, et par
conséquent la VICTOIRE parce que celui-ci est, par sa structure, sa forme
sensible – autrement dit, les deux sont une seule et même chose. Cela se
vérifie dans la séparation de la république, par son trait colonial (la partie
française de Saint-Domingue), de l’Éternel Empire, qui en est la forme sensible
dans le monde. La république est un produit, une conception, de l’empereur français
Napoléon Bonaparte, dont le nom du contenu est « la partie française de
Saint-Domingue », et partant le retour du cauchemar colonial. La naissance
de la horde-république est alors la désolidarisation de la VICTOIRE, accomplie
le 18 novembre 1803.
Tous ceux et celles, dont les activités s’inscrivent dans
la république, sont des libres, la conjonctionnelle par laquelle le coup de
Napoléon Bonaparte s’est donné chair, une substance concrète, et ils ont, par
conséquent, déserté la VICTOIRE ainsi que sa vocation dans le monde.
Le 18 novembre 1803 est vide de significations pour les
libres, support nécessaire et indispensable de la horde-république et cause de
tous les malheurs sans nombre qui frappent le Territoire Ancestral.
Il y a un décalage irréversible entre l’Éternel Empire et la horde-république. Les horde-républicaines et horde-républicains sont donc toutes et tous formellement interdits de fêter le 18 novembre 1803. Fini le BLUFF !
Il y a un décalage irréversible entre l’Éternel Empire et la horde-république. Les horde-républicaines et horde-républicains sont donc toutes et tous formellement interdits de fêter le 18 novembre 1803. Fini le BLUFF !
DESSALINES PI WRD !
Pour la Maison Impériale
Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de
Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents
sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais
englouti :
HRH
Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de
la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et
Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme
VudUn.
lekbaogfweda@gmail.com
Commentaires
Il est temps de signifier au blancisme sa défaite définitive.
Pour lui, il n'y a pas de victoire sans anéantissement de la partie qu'il considère comme "adverse".
Le blancisme fonctionne ainsi.
Cela nous contraint negro-jelefween à neutraliser le blancisme partout où il opère.