13 – 22 octobre 2016 JOUR 5 du RÉTABLISSEMENT de l’ADMINISTRATION IMPÉRIALE LA BRAVOURE CONTRE LA CAMPAGNE DE LA PEUR

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13 – 22 octobre 2016

JOUR 5 du RÉTABLISSEMENT de l’ADMINISTRATION IMPÉRIALE

LA BRAVOURE CONTRE LA CAMPAGNE DE LA PEUR

q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é

Blog de Tiécoura Dessalines :

Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr





LA VIE EST À CELLES ET CEUX QUI LA VALORISENT INCONDITIONNELLEMENT ET QUI FONCENT, SOUS SON IMPÉRATIF, POUR ASSURER SON ÉPANOUISSEMENT. C’EST CELA VIVRE.

La vie, ce que nous sommes indépendamment de toute pensée, tout en étant indissolublement et invariablement liée à son environnement, est, en grande partie, régie par ses propres mbwa, principes générateurs et de maintien de la chose. Il s’ensuit que, puisque tout ce qui est est constitué et par le fait même déterminé, elle implique sa propre direction, une trajectoire tracée par ce qui fait d’elle ce qu’elle est, c’est-à-dire une chose par opposition à une idée, la façon dont on reçoit la chose.   

L’un des mbwa de la vie est l’inertie, se mouvoir unidirectionnellement. Elle ne comporte alors pas son contraire, mouvement opposé, ce qui serait une contradiction dans les termes. La vie est ou n’est pas. Le fait qu’elle soit inertie, la vie incline à rester omunon⊗, soit identique à elle-même. Elle ne peut atteindre son objectif que dans la praxis, soit l’action. Agir, comme vie, c’est se mouvoir. Ainsi on est fait pour être constamment en mouvement.

Pourquoi le mouvement, se demandera-t-on? Pour se nourrir. Cela appelle une autre question : Que signifie se nourrir? Fournir à la vie qu’on est ce qu’il lui faut. Qu’est-ce que c’est, ce ce-qu’il-lui-faut ? Pour bien comprendre la réponse, il faut savoir préalablement que la vie que nous sommes est constituée de plusieurs éléments. Ces éléments durent, cela veut dire qu’ils sont dans le temps, quantité fluide, ou qu’ils sont tissés du temps. La fluidité en eux est la cause de leur épuisement. Pour que la vie reste toujours dans sa position, soit être, ses éléments doivent être sans cesse renforcés. Le renforcement n’est rien d’autre que le déversement de l’identique dans la vie pour remplacer les éléments fortement épuisés. C’est comme une machine. L’essence qu’on y met s’épuise. De temps en temps il faut en rajouter, y verser de nouveau de l’essence. N’importe quel liquide ne fait pas l’affaire. Il faut que ce soit de l’essence qui lui est spécifique. C’est ce qu’il faut entendre par l’identique ou le même. Il en est de même de l’huile. L’un des éléments de la vie est l’oxygène. L’oxygène est dans l’air. Quand on est à l’intérieur, on épuise l’oxygène qui y est. Il faut alors ouvrir les portes et fenêtres pour changer l’air de l’intérieur pauvre en oxygène afin qu’on puisse continue à s’alimenter en oxygène. Il en est de même du fer, du sodium, etc. On ne peut pas priver la vie de ses éléments si on veut qu’elle se maintienne. C’est cela se nourrir en fournissant à la vie ce qu’il lui faut, soit le même, afin qu’elle puisse continuer à être. Tout cela se fait par le mouvement.

La mise ensemble des éléments, qui sont des choses, génère les mbwa. L’un des mbwa de la vie est la tendance à rester identique à elle-même, soit se conserver. C’est le mbwa de la stabilité, de l’invariabilité. C’est le mbwa qui fait que la vie tourne sur elle-même, son caractère d’inertie. Ce mbwa contraint intérieurement ou constitutionnellement la vie à faire échec à tout ce qui pourrait entraver son mouvement sur elle-même, le mouvement au bénéfice du mouvement.

Un autre mbwa de la vie que nous sommes est d’écouter son corps et répondre à ses exigences, tout cela en rapport à l’omunon. Ce mbwa, toujours à cause de l’invariabilité caractérisant la vie, fait de chacune-chacun de nous l’auteur de ses pensées et ses actions pour la satisfaction des exigences.

La vie est centrée sur elle-même, c’est-à-dire qu’elle est le centre de tout ce qui se fait pour elle.

Comme les exigences engagent parfois plusieurs, il est impératif, toujours de l’intérieur, de s’organiser, soit se constituer en groupe, pour déterminer la façon de procéder, cela toujours en accord avec la constitution interne de la vie que nous sommes.

Nous sommes le mouvement de nous-mêmes, c’est-à-dire notre vie, c’est à nous, et à nous seul(e)s, d’accorder les exigences résultant du mouvement. Pourquoi est-ce à nous seul(e)s? Les seul(e)s vraiment qui sachent ce que c’est, c’est nous. Tout est inter-relié, la chose, le savoir et le sujet. C’est de là que dérive le mbwa de la Direction de soi par soi.

Rien de tout cela ne dépend de notre volonté mais de Notre Dieu, Bon-Dieu, notre Producteur. Nous ne subissons pas Sa Volonté puisque nous sommes cette Volonté.

Et c’est là le nœud du problème au sein de l’ordre du Nous, la transgression de ce mbwa de la vie munale. Plusieurs veulent se substituer à la place ou la vie de chacun-chacune de nous dans la production et la gestion de notre vie.

Ces gens, par leur comportement, sont étrangers à l’ordre munal. Ils se nomment intrus. L’ordre des choses est bouleversé. Cela entraîne le deloko, désordre holiste.

La vie munale n’est pas dépourvue de moyen face à cette situation. Il y a un autre mbwa qui contraint, légitimement puisqu’il s’agit de notre constitution interne, la vie munale ou l’être que nous sommes à réagir fermement contre l’intrus afin de rester omunon. Ce mbwa résulte du mbwa de l’omunonÄité, soit invariable identité à soi-même. Il assure le plein de l’être, c’est-à-dire ses bornes. Ce mbwa s’appelle la gwqmunalité, soit le protecteur de l’être. La gwqmunalité est le mbwa se rapportant à la globalité de l’être.  

La gwqmunalité est le principe protecteur de l’être ou la vie munale, les deux termes sont interchangeables, contre tout ce qui pourrait chambarder, sur le plan singulier, l’accord des éléments entre eux et les mbwa qui en dérivent et aussi, ici su niveau lakortal, l’ensemble munal, soit l’harmonie des singuliers entre eux, dont la source est l’organisation, parce que chaque singulier est irréversiblement et invariablement dépendant des autres indistinctement. Cette unité massive est ce qui définit le mun comme une dépendance mutuelle, liée indestructiblement à l’assistance mutuelle, et mutuellement indépendant chacune-chacun de chacun-chacune dans la gestion des exigences corporelles. Autrement dit, l’être que nous sommes est en soi un ensemble dont la gestion, sur le plan global, appelle une organisation sensible, donc externe, dont chacun-chacune est une pierre. C’est cela la vie collective munale. La gwqmunalité en est le protecteur.  

Logiquement la vie collective munale sensible est de même structure que la vie singulière munale, être en mouvement en soi, par soi et pour soi. En clair cela signifie que le groupe, à l’instar du singulier munal, produit ses propres exigences, corporelles et contextuelles, et met lui-même en place les moyens de les satisfaire. C’est ainsi que le munal chemine vers sa plénitude, ce qui s’appelle le parachèvement de soi, le Soi munal, le lakort.  

Quand un autre que soit vient s’imposer dans la production et la gestion singulières des exigences, corporelles et contextuelles, émerge illico la gwqmunalité pour protéger l’omunonÄité, invariable identité de l’être. Il suffit que quelqu’un(e) te dit quoi vouloir ou quoi faire ou critique ce que tu fais pour toi-même pour que tu te sentes contrarié(e) et que l’envie de le ou la repousser te prenne. C’est l’œuvre de la gwqmunalité.

Se passe la même chose au niveau du groupe ou du grand ensemble, la vie collective munale sensible, dont le singulier est le socle ou le matériau. Le groupe est le prolongement de soi, le soi singulier, on EST, par conséquent, dans le groupe. Quand un ensemble autre vient s’imposer sur le nôtre, émerge, de la même façon et pour les mêmes raisons, la Gwqmunalité du groupe ou de l’ensemble, laquelle Gwqmunalité n’est pas la somme totale des gwqmunalités des membres mais celle de l’être global auquel nous appartenons toutes et tous, dont les gwqmunalités singulières sont l’expression ou le mode multiple. Un seul être, une seule gwqmunalité.

L’Histoire de nos Ancêtres fourmille d’exemples supportant cela. C’est pourquoi les agents de la mort n’arrêtent pas de la modifier afin de nous entraîner dans le lac, soit le piège. Il me vient à la pensée notre grand ami François Cappois, mieux connu sous le nom de Cappois Lamort. Lorsque l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines demande à Cappois d’aller planter le drapeau de la Résistance Victorieuse du haut des Mornes comme signe de la Victoire Certaine sur l’adversaire, armée de Napoléon Bonaparte, le délégué, Cappois, répond spontanément : « Oui, mon Général ». Cependant Cappois doit traverser un espace qui le mettra à portée d’armes de l’ennemi, l’intrus, l’envahisseur. Suivant une rapide réflexion, il se dit qu’il peut ne pas avoir le temps de le traverser. Le drapeau en lui-même n’a aucune valeur parce que ce sont des morceaux de tissu. Mais ce qu’il fait voir est inestimable. Il est question, bien sûr, de notre Soi, notre Gwqmunalité. Cappois ne veut pas mourir sans avoir le temps de planter notre Affirmation de Soi. Il tient à notre Gwqmunalité, invariable identité de l’être. Cela est un impératif de la vie, la vie munale, notre être. Une idée lui vient à la tête, Cappois confie la tâche d’aller planter le drapeau à Gabart pendant que, lui, il le couvre en faisant seul face aux canons de l’intrus. Admirons la puissance et la beauté de la Gwqmunalité, notre Affirmation de Soi. Effectivement les soldats français le visent directement et il finit par s’en sortir indemne pendant que Gabart s’acquitte de sa tâche. Il faut lire dans le geste de François Cappois la réaction de la vie contre une tentative de la dénaturer. Cela s’appelle la BRAVOURE.    

Plusieurs, dont les origines sont l’intrus, tenteront de vous convaincre de ne pas vous engager du côté du Rétablissement de l’Administration Impériale en évoquant toutes sortes de faux malheurs. Songez à l’omunonité de la vie, de la gwqmunalité et de la bravoure, tout ça va ensemble.
La vie est mouvement, un mouvement unidirectionnel. Elle résiste à toute force tentant de la dévier de sa direction propre. L’inertie de la vie est un mouvement fidèle à elle-même. La vie est sans cesse sur ses gardes. Il n’y a pas de vie dans l’inaction. Toute dénaturation superficielle de la vie implique la mort de la vie. Vie ou être et bravoure vont de compagnie. La bravoure, comme action propre de la vie, est quand la vie est menacée de l’extérieur et qu’on intervient pour la protéger. Le travail de la Famille Impériale au bénéfice de l’Éternel Empire est un acte de Bravoure.

L’action signifiant la vie en situation ordinaire est la gestion de la production des exigences corporelles et contextuelles, ce qui comprend l’environnemental.  

Voilà ce que le Rétablissement de l’Administration Impériale vous garantit. L’Éternel Empire d’Ayti, Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, est le seul qui puisse garantir l’omunonité de votre vie, votre être, parce qu’il n’est pas inséré dans la structure de mort, c’est-à-dire la politique, fruit de l’hommalité, dangereux et incontrôlable intrus, dont la république fait fonction d’ambassadrice.

Vive le Rétablissement de l’Administration Impériale!


Pour la Maison Impériale Dessalines


HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines

Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

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