5 - Pour le 210e anniversaire de l’assassinat physique de l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines et Éternel Empereur Jacques 1er

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 m = d © Tous droits réservés

5 - Pour le 210^e anniversaire de l’assassinat physique de l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines et Éternel Empereur Jacques 1^er. Échec au complot. Y participez-vous ?

q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é

La république « de Haïti », qui n’est irréfutablement qu’une horde, est un COMPLOT contre l’Ancestralité, contre nos Ancêtres immédiat(e)s (les déporté-e-s), contre notre Grandiose Histoire – manifestation de la Grandeur de notre être, le MUN -, contre Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand, contre le Peuple de Dessalines – Peuple Endogène d’Ayti -, contre l’Éternel Empire de la Gwqmunalité, contre le Couple Toya-Dessalines, contre l’être munal, contre le loko – équilibre holistique du La, le Grand-Tout - et partant contre Notre Dieu, Bon-Dieu, Être Véritable. 

1 -

Faut-il dire A avant de B. Sachez que l’homme, fruit de l’hommalité, n’est pas un être véritable mais une fausse vision de soi, le MUN, être premier ou ofowu. Par conséquent, l’homme est un être de pensée ou pensée-être gordrm, c’est-à-dire, étranger au La.

Étant une pensée, cet être mental, l’homme, est doté d’un élan à se manifester dans le monde sensible, des sens. Il ne peut pas y parvenir sans tenter de bouleverser l’ordre ofowu (fruit de la Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu) des choses. L’humanité, mode de faire advenir l’homme, pensée-être, est le deloko, déséquilibre holiste ou holistique. D’où la dangerosité de l’hommalité, principe de l’homme. 

Par dangerosité, il faut entendre la dépression qui frappe notre système global, notamment les relations entre les éléments de la planète terre et surtout le pic de l’horreur au sein de l’ordre du Nous. La dépression nous frappe par la volonté et les tentatives de substituer à l’ordre de dépendance mutuelle, par conséquent d’assistance mutuelle, et d’indépendance irrelative de chacune-chacun un ordre contraire et contradictoire, la hiérarchie artificielle, soit la structure de l’homme, principal/subordonné.

2 -

Le blancisme se réclame de l’hommalité et revendique l’exclusivité hommale, c’est-à-dire il est le seul homme. En d’autres mots le blancisme se dit l’homme véritable, le seul et unique homme, et fait la promotion de la naturalité de l’homme, l’illusion de la pensée.

Ce qu’il faut tirer de cette prétention, c’est que le blancisme n’est pas le seul groupe qui soit de tendance hommal et qu’il n’est donc pas l’unique source de la dépression sur la terre, comme plusieurs le laissent entendre. Comme bien d’autres le blancisme est une volonté affirmée de faire échec à ses rivaux, hommaux et munaux. Le blancisme est une conception d’exclusion de soi mais tardive. C’est une guerre propre à l’hommalité. Le blancisme est né, ce qui est tout à fait logique, de la campagne de la réification ou la création de l’homme par l’homme. Il s’ensuit clairement que le blancisme est une nouvelle stratégie hommale dans la course à la réification de l’homme, soit l’Un ou l’Unique.

Il faut l’avouer, la visibilité du blancisme vient du fait qu’il est actuellement la plus haute expression de l’homme et qu’il met tout en œuvre pour faire advenir l’homme, pensée-être. Le blancisme, agissant sous l’impératif de son essence (sa substance ou son contenu) hommale, veut tout s’approprier, êtres et choses) et fait tout pour y arriver. Il cherche à supprimer tout obstacle sur devant lui, même ses rivaux blanciste et les Blancs-tout-court, ses opposantes et opposants de proximité.

3 -

Le La, par ses mbwa constitutifs, est autorégulateur. Le La produit des phénomènes positifs par lesquels il maintient le loko.

La dépression, entrainée par l’hommalité par le moyen du blancisme, à cause de la prétention d’icelui, a atteint son point culminant. Le Peuple Nègre de la planète est sa principale victime. Jamais un peuple de la terre n’a été aussi durement frappé par la rage de l’homme et jamais il n’y en aura un, invasion du continent ancestral, le Gelefwe, sous l’ordre de l’église, berceau du dieu créé par l’homme à son image; le règne de la terreur; deux-cents millions de razzié(e)s et déporté(e)s, dont plus de 2/3 sont assassinés en chemin; sur le continent Masuana (appelé Amérique), c’est la cime de la cruauté, par exemple, travaux forcés dans les plantations, le châtiment de blanchiment, qui consiste à enlever la peau foncée jusqu’à ce que mort s’ensuive, les livrer vivants aux chiens anthropophages, les brûler vifs, les broyer vivants … Tout cela afin de les contraindre à renoncer à eux-mêmes, à l’ordre ofowu dans lequel ils et elles sont et existent au profit de la hiérarchisation, d’un nouvel ordre mondial, celui de l’homme.

   

Par les phénomènes positifs est né Celui qui sera connu sous le Nom de Jean-Jacques Dessalines, dont la Mission, forcément Divine puisque l’Ordre est Celui de la Volonté de Notre Dieu, est de contrer, au mieux, faire échec total-capital au deloko, dont le blancisme, par la plus haute conscience de l’hommalité qui l’anime, est le sujet principal. Jean-Jacques Dessalines, élevé par Agbawaya Toya, une Amazon, doit affronter la figure hommale la plus puissante de l’heure, le farouche conquérant français et le Consul, Napoléon Bonaparte.

Par l’Action de Dessalines la figure emblématique de l’hommalité, Napoléon Bonaparte, est vaincue et est érigé l’Éternel Empire d’Ayti, appelé aussi Empire de le Gwqmunalité, référence faite à l’invariabilité de l’être munal, être premier, et Empire de Toya-Dessalines, pour symboliser l’Ancestralité. L’Empire d’Ayti est Éternel parce qu’il est d’abord la Volonté de Notre Dieu, qu’il a ensuite pour substance l’Éternel contenu de l’être munal et qu’il est enraciné et réalisé en l’unité de la Personne de Dessalines avec Notre Dieu et le Peuple, une entité munale. Là-dessus, les documents officiels, faits par les contre-guerriers et contre-guerrières victorieux et approuvés par le Peuple Vainqueur, sont très clairs.

L’Empire d’Ayiti, À Jamais Lié À Notre Dieu, Bon-Dieu,  Au Mun, ce que nous sommes toutes et tous originellement, et À Jean-Jacques Dessalines, le Messie Divin, a ceci comme particularité, il est celui de tous les membres du lakort munal (espèce ofowu), sans nuances épidermiques. Le teint n’y a aucune valeur. La Victoire de Jean-Jacques Dessalines est par nature la Victoire de l’espèce ofowu : « J’ai vengé, s’est écrié l’Invincible Général Dessalines au lendemain de Sa Victoire sur l’armée de Napoléon Bonaparte, TOUTES LES RACES ÉTEINTES DANS L’ESCLAVAGE », dont le terme juste est l’esclavagisation à cause du caractère illusoire du mot source, « esclave ». Jean-Jacques Dessalines, Lui-même, a mis en évidence la nature globale de sa Mission. D’où sa Divinité. Et c’est sur cette Victoire, qui est inclusive, que s’est érigé l’Empire d’Ayti. Alors l’Empire ne peut pas ne pas être celui de tous et toutes sans nuances épidermiques. Une logique implacable. Quiconque, quelle que soit sa nationalité, en fuyant le despotisme et la tyrannie, est automatiquement libre (gwqmun, soit sujet de sa vie) en foulant le sol de l’Empire d’Ayti, disait Jean-Jacques Dessalines. Quoi de plus MERVEILLEUX, l’unité du lakort!

4 –

Le 17 octobre 1806, le tout jeune Empereur Jean-Jacques Dessalines est assassiné par un groupe de gens, imbibé de l’européanisme, qui, par le fait même, conteste la Divinité et le munisme, donc l’universalité ou la globalité, de l’Empire d’Ayiti pour revenir à l’hommalité sous l’influence du blancisme. C’est du parricide, prérejeté par les documents officiels, qu’est entrée dans le paysage ayitien la république, un attroupement non une institution au sens propre du mot.  

Un gros problème se pose, comment donner une origine à la république afin de faire échec à l’Empire dont l’Histoire Ancestrale est la sienne propre. Il y a plus, comment faire échec à Dessalines dont le Grand Nom est À Jamais associé à l’avènement de la Nation d’Ayti. Du territoire d’Ayti, Terre de Dessalines, les parricides frappent d’anathème Son Grand Nom. Personne ne doit désormais prononcer le Nom de Celui que la Constitution Impériale, publiée le « 20 mai » 1805 dans la Capitale Impériale, Dessalines, Ville fondée au tout début de l’année 1802 par Dessalines Lui-même, juste avant l’arrivée de l’expédition de Napoléon Bonaparte, dénomme « le Vengeur et le Libérateur ». Je rappelle que Dessalines est Celui à qui s’identifie quotidiennement le Peuple Endogène, Celui à qui il a officiellement donné le mandat de bouter la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres hors de notre champ existentiel et qui l’a effectivement fait prendre ses jambes à son cou. Quelle maladresse de la part des parricides.  

Les pays blancistes, puisque c’est d’abord et avant tout leur combat, se donnent pour tâche de réécrire l’Histoire, Notre Histoire ayant pour Sujet Sensible l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines. Ils ont recours à deux institutions pour y parvenir, l’église et l’école. Les histo-à-riens inventent de nouveaux faits, défavorables à Jean-Jacques Dessalines, le Vatican se donne la responsabilité de les évaluer avant d’autoriser leur enseignement. Une véritable opposition coordonnée et massive au Général À Jamais Vainqueur du blancisme afin de vaincre l’Érection et la Mission Divine de l’Empire d’Ayti.

Le premier projectile lancé par le blancisme en direction de Dessalines, le Vainqueur, pour énoncer son inutilité, est la docilité des déporté(e)s, niant ainsi l’incassable Résistance Négro-jelefweenne dès l’aube de l’invasion européenne et les pertes énormes en vies du côté du blancisme même. Le deuxième projectile est de faire passer la Résistance Gwqmunale pour une rébellion et une révolution, en la datant de la contre-attaque massive du 22 août 1791 pour la faire dériver ensuite de la révolution française sous l’intervention de Toussaint L’Ouverture, un inconnu de la Résistance Gwqmunale.

Le blancisme impose ensuite Toussaint comme père de la nation haïtienne. Une autre maladresse de la part des histo-à-riens du blancisme. Car Toussaint L’Ouverture est inconnu de la Résistance. En plus il était combattant dans les armées espagnole et française parce qu’il était royaliste et esclavagiste, propriétaire d’ « esclaves », récompense accordée au système d’esclavagisation aux gens qui s’y soumettent. Il faut ajouter à tout cela qu’il était nommé gouverneur de la colonie française à Saint-Domingue et assisté par un conseil-gouverneur composé de Gros, Pascal et du régiment béarnais, région de France. Napoléon Bonaparte écrit dans ses confessions rédigées sur l’Île Sainte-Hélène en 1816, là où il était exilé, qu’il gouvernait par Toussaint L’Ouverture. La situation contraire aurait été étonnante quand on sait la place du nègre dans la structure de l’idéologie blanciste.

Toussaint L’Ouverture, en entrant en fonction, a fait la promesse au Directoire, gouvernement français d’alors, de soumettre à la France « mes frères les noirs ».

En Juillet 1801 la colonie de Saint-Domingue publie sa constitution dans laquelle il est clairement énoncé que Saint-Domingue est une colonie française et que tous et toutes, blancs et nègres, sont des citoyens français. Cette constitution nie ainsi la Résistance vieille de plusieurs siècles et proclame l’inutilité des millions de morts nègres qui en résultent. Si nos Ancêtres voulaient être Françaises, Français, ils n’auraient jamais combattu le blancisme dans leur sein. Cela est une évidence. Il faut voir dans la constitution coloniale de juillet 1801 le respect de la promesse du début de Toussaint L’Ouverture, promesse faite à la France via le Directoire.

Je rappelle que nous sommes à la fin du mandat de Toussaint L’Ouverture parce que, dans quatre à cinq mois, après plusieurs mois de préparation, des chantiers de construction de navires à droite et à gauche pour des dizaines et des dizaines de milliers de soldats aguerris – le nombre dépasse de loin la population des colons sur l’île -, des gens qui ont combattu sur toute la terre, l’expédition de Napoléon Bonaparte prendra la mer en direction d’Ayti, appelée Saint-Domingue par l’envahisseur, avec la mission expresse d’assassiner tous les grands Résistantes et Résistants, sous prétexte qu’ils soulèvent constamment les nègres et négresses, des gens sans capacité de comprendre, ce qui s’est soldé par leur nature d’esclave. Alors se débarrasser vite de ces mauvaises herbes avant le départ de Toussaint pour la retraite consoliderait l’imbrication des négresses et nègres telle qu’énoncée dans la constitution publiée sous la soi-disant autorité de Toussaint L’Ouverture.

Ce n’est pas une coïncidence, que l’expédition napoléonienne, ayant à sa tête, le général Leclerc, époux de Pauline Bonaparte, sœur de Napoléon, comme nouveau gouverneur de la colonie et chargé d’assassiner tous les régiments nègres, et la promulgation de la constitution coloniale. C’est un complot bien coordonné. Au dire même de Napoléon Bonaparte, les colons veulent qu’on revienne au vrai visage de la colonie, une affaire de Blancs. Mais le Consul juge qu’il faut trouver un bon moment de le faire sans entraver le travail favorable réalisé par Toussaint L’Ouverture. La constitution est la dernière grande stratégie de Napoléon.

Le Consul demande à Leclerc, son beau-frère, d’épargner Toussaint L’Ouverture.

Pendant que l’expédition fait route vers Ayti, Toussaint L’Ouverture, encore gouverneur, a émis un communiqué dans lequel il ordonne à tout le monde de recevoir « avec amour filial les envoyés de la métropole ».

Ces faits clament tout haut que, du début à la fin, il n’y a pas eu de désaccord entre Toussaint L’Ouverture et la métropole, dirigée par Napoléon Bonaparte. À la fin de tout Toussaint L’Ouverture dira : « J’ai toujours bien servi ma patrie, j’ai combattu pour imposer les couleurs de la France à Saint-Domingue ». Les propos de Toussaint, prononcés en France, sont confirmés par son neveu, à Saint-Domingue, le général Charles Belair, qui ignorait que Toussaint, son oncle, avait fait cette déclaration. L’adverbe « toujours » et le verbe « imposer », dans les paroles de Toussaint, témoignent d’une bonne relation entre le gouverneur Toussaint et le Consul Bonaparte, qui lui a accordé la plus grande responsabilité, celle de signer la loi, et aussi d’une fidélité sans faille du premier envers la France.

Cela explique pourquoi c’est le Général Jean-Jacques Dessalines qui a battu l’expédition en prenant le contrôle de l’Armée de la Résistance et qui a ensuite fondé la Nation d’Ayti, conformément aux phénomènes positifs.        

Alors quand Toussaint L’Ouverture a-t-il fondé le Pays d’Ayiti? Le blancisme et les parricides sont coincés.

Je ne suis pas Dessalines D’Orléans uniquement de Nom mais aussi de gènes. D’où ma supériorité dans l’art du connaître. Dessalines pi wrd!  Nous avons, de toute évidence, affaire avec des gens qui ont manqué de sens de l’amitié, de l’inimitié et du temps.

Comme si cela ne suffisait pas, le blancisme et les parricides accordent aussi la paternité de la Nation d’Ayti à Henry Christophe, un officier qui n’a jamais gagné une seule bataille. Un nul, quoi !

Et ce n’est pas fini. La paternité du Pays d’Ayiti va également à Alexandre Pétion, le chef des parricides et un blanciste avéré, en sus, un gars qui a manqué le rendez-vous de toutes les grandes batailles, surtout la Bataille de Vertières, qui a scellé la Victoire définitive et incisive de l’Invincible Général et À Jamais Vainqueur du blancisme Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand sur l’armée de Napoléon Bonaparte.  

5 –

Toutes ces tergiversations, c’est pour déloger Dessalines, essence conjuguée de l’Empire d’Ayiti, au Socle de la Nation Missionnaire au profit de l’hommalité, dominée par le blancisme. Aucun de ces pauvres noms précités n’est lié à l’Éternel Empire. Leur vocation est de trouver un fondement à la république, qui est une horde, et qui ne peut être rien d’autre, à cause de son enracinement dans l’hommalité blanciste, la chef.

Malheureusement, de la proclamation de la Naissance du Pays d’Ayiti et la publication de la Constitution en 1805, il n’y a aucun temps non Impérial. Déjà, dans le discours du premier janvier 1804, un mois et quelques jours après l’Érection de la Nation, il est question de l’Essence Impériale du Pays, « Empire de la liberté », soit la Gwqmunalité. C’est ce même terme qui revient au printemps 1805 mais avec plus de précision :  « Article 1er:
Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti. »

Le premier article de la Constitution d’Ayti reprend la proclamation de la Naissance du Pays et dit explicitement qu’Icelui, sans ponctuation, est un Empire. On passe de Saint-Domingue, qui est une colonie, à l’Érection de l’Empire. Aucun temps ni espace pour une république, de quelque nature que ce soit. Il a toujours été question de l’Empire et l’Empire légitimement et légalement lié à la Trilogie Salutaire, Notre Dieu, Peuple Endogène et Dessalines, qui est en partie un amalgame des deux forces précédentes, une interpénétration des trois singularités pour n’en former qu’une unité massive.

Je descendrai un peu plus dans la logique de la chose. La Trilogie Salutaire est hermétiquement close. Chacune des Entités engagées, tout en étant indissolublement une, est unique sur le plan singulier et par le fait même irremplaçable. Il y a Un Seul Dieu, Notre Dieu, Un Seul Peuple Endogène et Un Seul Jean-Jacques Dessalines, donc un Seul fondateur. Les documents officiels sont très explicite là-dessus ; « Article 20:
Le peuple reconnaît pour Empereur et Chef suprême de l'armée Jacques Dessalines, le vengeur et libérateur de ses concitoyens » et le discours du premier 1804 fourmille de ces références à un Seul Libérateur, Jean-Jacques Dessalines : «… que mon nom », « le dépôt sacré que vous m'avez confié », le jour qui m'a vu naître ». Il en résulte l’Irréversibilité, l’Irrelativité, l’Invariabilité et l’Éternité de l’Empire. Cela est une fois pour toutes. D’où le caractère hermétiquement clos de l’Empire de Toya-Dessalines. Le processus ne se répètera plus jamais. L’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines n’est pas Éternel physiquement mais le processus ne recommencera pas à cause de l’Éternité de l’Empire. Selon la logique de l’Impérialité Jacques 1^er choisira Son Successeur physique. Cela est sous-entendu dans la structure logique de la Chose Impériale, laquelle est liée à la nature de la Vie. Le choix par l’Éternel Empereur, le Seul qui soit ainsi, est la continuité de ce qui est établi une pour toutes. Aussi c’est un vain exercice de la part du blancisme et des parricides de faire entrer dans l’Histoire de l’Éternel Empire, notre Grandiose Histoire, des mercenaires.

Comme les gens ne savent pas lire en raison de la déficience de leur faculté de comprendre, ils ne peuvent pas accéder à l’intelligibilité de ce qui est dit dans les documents officiels. Le blancisme exploite cette faiblesse.

Si vous œuvrez au sein de la république, vous êtes partie prenante du complot et vous le faites par conviction. Cela fait de vous l’ennemi(e) des Nègres et Négresses, de la Population Nègre de la terre, des peuples de tout teint, du loko et de Notre Dieu, Bon-Dieu.

Par conséquent vous êtes directement responsable de tous les malheurs qui frappent la terre de Dessalines et ailleurs. Bref, vous êtes l’Ange de la mort.

L’acte de vivre est indissociablement lié à la connaissance car vivre ce n’est pas faire n’importe quoi. Si Jean-Jacques Dessalines, mon Ancêtre maternel, est Celui qui a accédé à la plus haute compréhension de la réalité, une nécessité, pour établir l’Empire d’Ayiti, Je Suis Celui qui a accédé à la plus haute compréhension de la Dessalinienne pour le maintien sans faille et le rétablissement de l’Administration de l’Empire d’Aytien en vue du BLRZ de toutes et tous.

La connaissance sauve. C’est son objectif. Vous le savez, foncez maintenant pour le RÉTABLISSEMENT de l’’ADMINISTRATION IMPÉRIALE.

Pour la Maison Impériale Dessalines

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans

7^e de la Génération du Couple Impérial,

Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines,

Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme