11 – 20 octobre 2016 JOUR 3 du RÉTABLISSEMENT de l’ADMINISTRATION IMPÉRIALE - LA PRÉDISPOSITION AU SUICIDE DE L’ENFANT DE LA RÉPUBLIQUE

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11 – 20 octobre 2016

JOUR 3 du RÉTABLISSEMENT de l’ADMINISTRATION IMPÉRIALE

L’ENFANT DE LA RÉPUBLIQUE
EST PRÉDISPOSÉ(E) AU SUICIDE  

Ce discours scientifique est un chef-d’œuvre, un don de la Famille Dessalines à tous les peuples de la terre. Faites-en un bon usage.  



q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é

Blog de Tiécoura Dessalines :

Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr
DÉGUSTEZ CE TEXTE SUCCULENT SANS FRONTIÈRES À SAVEUR SALUTAIRE
en ce Jour 3 du RÉTABLISSEMENT de l’ADMINISTRATION IMPÉRIALE
Ce texte est aussi dédié aux habitantes et habitants de la Guadeloupe (Karukera) en ce 21 octobre 2016 (21 octobre 1801 – 21 octobre 2016), Jour de la proclamation de leur Indépendance, une autre Grande Victoire de l’Ancestralité.

Il ne fait aucun doute que le peuple exogène d’Ayti va tout droit vers la mort certaine. Et cela est inscrit dans sa constitution mentale humaine sous forme d’acte volontaire.

Je me souviens de cette histoire qu’on nous racontait le soir au cours de mon enfance à Dessalines. À cause de ma jeunesse elle me faisait trembler de peur mais je ne comprenais pas bien l’histoire. Maintenant, avec le temps, j’ai tout compris.

Un beau gars, un véritable pétard, se promène la nuit, heure indigne, comme on dit là-bas, et rencontre sur son chemin une très jolie fille, plus belle que la lune et le soleil. C’est le coup de foudre. Sous le charme du mec, la jeune fille emboîte le pas. Se forme un couple. Heureux ils continuent tous les deux la promenade la main dans la main. Sous l’impulsion de la flamme qui le traverse de part en part, le gars manifeste le désir d’accompagner la fille chez elle. Son amie n’y voit aucun inconvénient. Ils nagent dans le même océan du désir. La maison est d’une architecture exceptionnelle et le décor intérieur est du tonnerre. Le gars est tout émerveillé. Là la promenade se poursuit à un autre niveau, l’un explore avec appétit le corps de l’autre dans ce domaine si luxueux. La fatigue s’y met et le sommeil les emporte tous les deux, l’un dans les bras de l’autre. Le jour chasse le crépuscule et le gars se réveille. Il se voit étendu sur une tombe au cimetière de la ville. 

Ce que met en relief l’histoire, c’est le fait que la pure matière est hautement désirable et qu’elle inéluctablement conduit à la mort. Il en est ainsi parce que premièrement la pure matière est une spécialisation, que,  deuxièmement, celle-ci est artificielle gordrm, soit étranger au système holiste, et que, troisièmement, elle débouche, à cause de cela, sur la mort. La pure matière est un fait d’extérieur et partant privée d’intériorité. L’histoire, sur un plan complémentaire, est aussi une mise en garde, à savoir qu’il ne faut jamais ajouter créance à tout ce qui brille. Il peut être, dans certains cas, chimérique et les conséquences peuvent être le plus grand Mal, soit la mort.

Cela illustre bien la situation du peuple exogène d’Ayti et la civilisation de la matière pondue par le blancisme. Les deux groupes sont, sans aucun doute, une dualité mais aussi une unité par une propriété commune, l’hommalité. Ce qui a permis leur rencontre.

Par ce point d’accord ils sont en déphasage avec le système ofowu, Ordre originel, qui est le socle de l’Ancestralité, notre manière d’être dans le monde.

 Le nœud, l’hommalité de leur être, explique l’absorption du peuple exogène d’Ayiti par l’hommalité blanciste, la plus évoluée actuellement, dans le sens de la création de l’homme. L’extériorité spécifique du blancisme peut se révéler attrayante pour qui n’a pas encore accédé à l’intelligence de la réalité qui est la nôtre et elle peut l’être encore avec plus d’intensité chez qui est vive l’hommalité. C’est le cas du peuple exogène.

L’absorption du peuple exogène, des hommes en apparence nègre, par l’hommalité blanciste se forme par les possibilités immédiates qu’elle lui fait voir. Ces possibilités, par leur sensibilité, relèvent toutes de la pure matière, caractéristique de la nature d’extérieur de l’homme. Ces possibilités sont la fortune, le luxe, la beauté, la renommée, la puissance, pour ne citer que quelques-unes, qui se soldent par un sentiment de distinction, c’est-à-dire séparation des autres, et partant de domination.  

Parce que le blancisme, à l’heure qu’il est, est le seul qui soit capable d’offrir ce standing, qui est un niveau ou échelon d’être, à ces hommes d’apparence nègre, et le blancisme ne manque pas d’insister là-dessus – c’est le sirop par lequel on attire la fourmi -, ils s’y livrent, au blancisme, sans réserve, une manne pour le prédateur à nul autre pareil, faut-il le souligner.

Le blancisme s’y connait bien puisque c’est par cette laisse, liée à la nature de l’homme, être de contenu d’extérieur, qu’il s’aliène les locaux, ses concitoyennes et concitoyens. Il exploite le fait que ces soi-disant nègres et négresses s’alignent sur lui en vue du standing, dont il est l’auteur, pour les imbriquer au niveau discursif aussi, précisément le discours idéologique générateur du blancisme même, qui leur réserve une place de néant dans la structure de l’être, qu’il se dit être. Ivres d’extériorité dans laquelle ils se reconnaissent aisément, ces faux nègres et négresses tombent tête baissée dans le lac. Alors le renard, le blancisme, les entraîne dans une voie ou situation sans issue. C’est la ruse de tout prédateur face à sa proie.

 Par l’enchâssement discursif, le prédateur constamment et excessivement affamé, assiège la pensée comme faculté et obstrue tout calcul, acte de penser ou réflexion, qui déboucherait sur des velléités dans lesquelles il serait absent. Il en résulte la déconstitution des adhérentes et adhérents, au niveau du mode d’être dans le monde, le leur propre, et, par conséquent, leur abandon à eux-mêmes, comme dans l’état de nature hobbien, le philosophe anglais, lequel abandon débouche sur l’échouement contre le fond du blancisme, le locuteur, où icelui les prend en retour en charge pour en faire de véritables photocopies, celles de son être mental propre, c’est-à-dire la structure de la réalité qu’il a montée.

Il s’ensuit une sorte de tohu-bohu, chacune-chacun vis-à-vis de chacun-chacune est une indépendante et égale liberté, nécessairement source d’inimitié et de non-reconnaissance mutuelle, mais une entité liée fermement au blancisme, le sujet du désordre provoqué de l’extérieur, pour ce qui est de la conduite de leur vie et de leur standing. Un blocage sur le plan de développement de l’être. Alors ces nègres et négresses dénégrisés, vidés de leur substance première et sous tutelle, ont pour seul lien, un lien parallèle certes, le blancisme, leur universel lieu de non-être en soi. Étrangers à eux-mêmes en leur propre être, ils sont spontanément amenés à croire en leur déconstructeur, qui se présente à eux comme le seul soi réel, d’une créance indestructible, ce qui se traduit finalement, soit dans le temps, par un nœud vital, alors une véritable domination.

Il est triste et amusant de les voir insouciants sirotant le vin de leur appartenance au blancisme. Ils ne peuvent plus s’imaginer, voir concevoir la vie, le fait d’être, et la vie collective, la collaboration, en dehors de la sphère blanciste. Icelle est leur seule et unique référence. Penser en dehors des schèmes non pas européens – ce terme est de diverses tendances, notamment le Blanc-tout-court - mais blancistes, un espace bien circonscrit, n’est pas une activité de la pensée stricto sensu. Par ce comportement, ils attribuent aux blancistes une qualité d’être supérieure sui generis. Pour tout ils s’alignent sur le blancisme, de véritables parasites. Ils ne sont qu’en lui, un point de non-retour de la dégénérescence d’être.    

Le problème est que le blancisme est doté d’un impératif de mort, nécessité de son être, dont le but invariable est de réduire considérablement, chez lui comme ailleurs, le nombre de gens sur cette planète afin qu’il ne soit pas gêné dans ses mouvements. Saouls de la blancismité, les Enchâssé(e)s n’en savent rien et n’en peuvent rien savoir à cause de leur état d’immanence idéelle dans le blancisme et leur infime état de transcendance dû au noyau dur de l’hommalité. La puissance de ce noyau est ainsi réduite par la soif  encore vive du standing et l’espoir de l’apaiser un jour que fait de temps en temps miroiter par le blancisme au moyen de faux discours et de petits gestes concrets très limités. En Ayti il dénude par le pillage des ressources, tue massivement par les maladies de toutes sortes et les catastrophes naturelles artificialisées et tente, par tous les moyens, de démanteler l’Érection de la Nation Ancestrale, tout cela dans l’indifférence, et même la complaisance affichée, la plus complète du peuple exogène, dont le mode d’affirmation est la république. La croyance indéracinable dans le blancisme opacifie cet objectif dans la pensée des dénégrisé(e)s, composantes de la république. Ils sont quotidiennement face à la mort mais leur projet de vie est et demeure à l’ombre du blancisme, Ange ou Auteur de la mort, leur fossoyeur. Ils ne peuvent même pas songer à s’en éloigner. Au contraire le blancisme est et reste, à leur sens, leur plus sûr refuge.   

Le peuple exogène voit dans la cessation d’être leur asile, une contradiction dans les termes pour un être tendant à se maintenir dans l’être. Ce peuple est structurellement et incontestablement suicidaire.

Heureusement le Rétablissement de l’Administration Impériale est désormais un fait. Il est le plus sûr abri contre la MORT IMPORTÉE par la république à contresens, dont la population propre est le peuple endogène, les tubabu, appelé(e)s les comiques par un grand Résistant de l’heure.

ENTREZ VITE DANS LA RONDE DU RÉTABLISSEMENT DE L’ADMINISTRATION IMPÉRIALE PAR LA PRÉPARATION DE VOTRE LISTE DE PRÉOCCUPATIONS. 

Pour la Maison Impériale Dessalines


HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme


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